Discussion:Bleimor

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Erwan Evenou dément avoir été membre de Bleimor. ClaudeLeDuigou 20 janvier 2006 à 09:38 (CET)

Vu que c'est une IP anonyme qui a rempli cette article comme tant d'autre, il faudrait vérifier les autres ou virer cette liste invérifiée de l'article. Soig 20 janvier 2006 à 14:12 (CET)

Ben ouais, et on va se faire traiter de censeurs, nazis, collabos, etc. ? ClaudeLeDuigou 20 janvier 2006 à 15:17 (CET)

présentation tendancieuse de bleimor

L'impression donnée est que les scouts et le bagad bleimor ont vécu dans une atmosphère d'extrême droite; or c'est faux. Les scouts et le bagad ne voyaient les dirigeants de la communauté bleimor que rarement; dans la troupe St Brandan, les scouts n'avaient pas conscience de certains propos des Keraod par exemple, et ont même développé de plus en plus une distanciation ironique envers eux. Pour une partie importante des scouts (et donc du bagad), le cheminement de la sensibilité politique est parti d'un catholicisme breton de droite ou démocrate chrétien imprégné d'autonomisme et de fédéralisme pour évoluer vers la gauche socialiste bretonne. Vers 1960-61, la séparation morale avec l'équipe dirigeante était manifeste. A cette même époque, les scouts ont laissé le scoutisme pour la musique. Ils s'y sont entièrement consacré. Quand la place de champion de Bretagne a été atteinte, le bagad a enfin pris le temps de se séparer officiellement de la communauté scoute bleimor. Voilà la réalité de ce qu'ont vécu les scouts et le bagad Bleimor, bien éloignée des amalgames qu'on lit ici ou là. kej (17 mai 2006 21h23)

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Ben ouais. Comme d'hab' sur Wikipedia... Cordialement. ClaudeLeDuigou 17 mai 2006 à 21:34 (CEST)

telenn bleimor

je signale une petite erreur: Alan Stivell (Cochevelou) n'a jamais fait partie de la Telenn Bleimor, créee (uniquement chez les guides bleimor) quelques temps après les premiers récitals d'Alan; à la même époque , il a par contre adhéré aux scouts et au bagad; Kej1 23 mai 2006 à 09:11 (CEST)

André Geffroy

Il y en a deux : un exécuté au titre du Bezen Perrot un condamné à mort, membre du groupe gwenn-ha-du, et du Kommando de Landerneau de la Gestapo, d'après Kristian Hamon

Amalgame

"Les idées de Perig Keraod n'était pourtant pas aussi à droite qu'on a bien voulu le dire (son activité de résistant)."

Cette phrase ne veut rien dire. L'appartenance à la résistance ne détermine pas si une personne est de gauche ou de droite. Il y a eu des extrémistes de droite résistants (provenant de l'Action française par exemple) comme il y a eu des personnes de gauche collaborationnistes (Doriot, provenant du PCF).

Je supprime donc la mention "(son activité de résistant)".

Aïe ! Qualifier d'homme de gauche collaborationniste le fasciste Doriot chef du PPF est particulièrement inconvenant. Doriot à certes été un membre important du PCF des années vingt mais c'était avant de virer radicalement de bord pour devenir chef de son parti fasciste dans les années trente jusqu'à sa mort en 45.

Amalgame (suite)

c'est vrai que la phrase manquait de précision. Effectivement il y a eu des gens de droite et de gauche dans la Résistance. Pour préciser ma pensée, Perig Géraud se situait dans le camp anti-nazi. C'est cela que je voulais dire. Et c'est très important, puisque la communauté scoute Bleimor a été présentée, dans certains livres, comme montrant des affinités avec le nazisme. L'accusation est trop grave pour la laisser se propager.82.126.110.254 (d) 2 mai 2010 à 19:41 (CEST)

Et il a été répertorié dans quel réseau de résistance ? --Sammy Moreau (d) 3 mai 2010 à 11:46 (CEST)

Ces remarques toujours suspicieuses, pour nier les activités de résistants de militants culturels ou politiques régionalistes ou autonomistes bretons montrent bien le problème profond de plusieurs contributeurs partiaux, toujours à charge sur certains sujets ou certaines personnes. Faut il confondre et amalgammer droite, ultra droite et extrême-droite ? enfin sur les parcours croisés, il y a d'ailleurs un ouvrage (sinon plusieurs), consacré aux trajectoires de militants internationalistes devenus vichyssois, et d'antisémites devenus résistants...quand on voit les biographies simplistes qui sont rédigées sur wikipedia par certains, visant à enfermer des gens ou mouvements dans des cases, cela montre la faible impartialité historique de leurs "travaux" et comme si les choix humains, politiques se faisaient sans leur contexte et d'autres paramêtres...ps: personnellement, on peut rêver une histoire, avoir un modèle en tête par rapport à nos valeurs, mais les faits sont têtus,...Pensée à un aieux, récepteur de stick et combattant de la Poche.

C'est vrai que Déat était encore anti-fasciste en 39 avant de devenir nazi en 40. Et bien d'autres sont comme lui passés de la gauche à l'extrême-droite et à la collaboration.

Mais chez nationalistes bretons il ne s'agit pas d'individus qui tournent mal dans les circonstances de l'occupation. C'est la mouvance qui a collaboré. En 40, Debauvais chef du PNB est même allé en Allemagne proposer aux prisoniers bretons de les faire libérer en échange de leur adhésion à son parti collabo.Il y a de légitimes revendications bretonnes dont les nationalistes bretons ne sont pas forcément les représentants appréciés des Bretons. Le nationalisme est ce qu'il est et les nationalistes bretons des temps d'occupation sont allés droit dans l'mur . A leur décharge relative, je précise que les nationalistes français beaucoup plus nombreux sont pires, en particulier avec leur nauséabond FN. Momo. --83.199.117.5 (discuter) 29 septembre 2014 à 23:14 (CEST)