Discussion:Catherine Barbaroux
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« licenciée en 1993 par Alain Minc »
modifierCette formulation me fait sourciller, puisque la lecture de l'article de la-croix.com et de l'article récent de marianne.net induit une autre lecture, celle d'un « pilotage » de ce licenciement par Alain Minc, ce qui semble différent d'un supposé licenciement « par Alain Minc ».
Il faudrait d'ailleurs vérifier que ledit Alain Minc, en 1993, aurait réellement eu la capacité juridique de prononcer un licenciement au sein du groupe Pinault-Printemps-Redoute (PPR), alors que la formulation employée par Séverin Husson, dans l'article « Catherine Barbaroux, le bénévolat en héritage », n'interdit pas de penser qu'Alain Minc aurait simplement « fait jouer ses relations » au sein du groupe PPR pour obtenir le licenciement de CB... — Hégésippe (Büro) [opérateur] 8 mai 2017 à 21:33 (CEST)
- Alain Minc est membre du conseil de surveillance de Pinault depuis le 27 novembre 1991, ce qui cohérent avec un pilotage par téléphone du licenciement.--Barbanegre (discuter) 8 mai 2017 à 23:17 (CEST)
- Mais cela ne signifie pas, comme le dit notre article, que CB aurait été « licenciée par Alain Minc ». Qu'il soit membre du conseil de surveillance ne lui donnait pas le pouvoir direct de procéder à un licenciement, juste de le téléguider. L'allégation actuelle ne correspond ni aux faits avérés, ni à ce que dit précisément la source. — Hégésippe (Büro) [opérateur] 9 mai 2017 à 00:30 (CEST)