Discussion:Critiques du socialisme
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Pas d'accord sur le titre
modifier1) Il ne peut conduire qu'à un article non neutre comme la diatribe idéologique critique du libéralisme économique.
- And so what ?
- Une critique devrait présenter les points positifs et négatifs. L'article principal aussi. Donc l'utilité de l'article critique pourrait être contesté. Mais le problème de non neutralité ne vient pas du mot critique mais du mot socialisme. De quel socialisme parle-t-on? Mais c'est le point suivant... 87.89.44.229 (d)
2) Il y a diverses formes de socialismes, plus ou moins hard ou soft. C'est une "marque-ombrelle", typique du marketing politique et idéologique, qui joue sur la confusion
- Alors il faut marquer ces nuances et dégager les différents courants dans l'article.
- Parce que si on accepte un article fourre-tout comme celui-ci, pourquoi ne pas faire un article critique de la démocratie dans lequel on mélange le parti démocrate, les démocraties populaires et les sociaux démocrates (en «marquant ces nuances et dégageant les différents courants dans l'article».) ? 87.89.44.229 (d) 9 janvier 2011 à 11:10 (CET)
3) Certes, toutes ses formes ont un tropisme envers la collectivisation, pour placer l'homme sous l'emprise plus ou moins grande de la société. En pratique celle de l'appareil de l'état, même si certains gourous et marabouts du socialisme racontent benoîtement qu'ils veulent la disparition de l'état. En fait, c'est une théorie qui, comme l'a montré ses applications extrêmes, tend à créer une nouvelle noblesse dirigeante, et souvent flirte de très près avec le nationalisme économique. Cela oblige à séparer les controverses sur les fondements et celles sur les formes concrètes. Il y va de la démythification du concept-ombrelle, de certaines démonstrations pseudo-rationnelles et de certains slogans enrobant tout cela d'appels à l'affect. Le vernis cognitif et émotionnel autrement dit.
- "séparer les controverses sur les fondements et celles sur les formes concrètes" : non, justement, le plus intéressant est de voir que les unes sont les conséquences directes et inéluctables des autres. Sinon c'est esquiver le problème...
- "flirte de très près avec le nationalisme économique": apparemment que cela soit en RP de Chine qui se découvre nationaliste après avoir lâché le marxisme-léninisme, avec le "patriotisme économique" français, via l'anti-américanisme primaire des Europolâtres (Europe, nouvelle grande nation moderne contre l'ennemi commun... vous avez lu 1984 ?) ou de Chavez, et auquel fait écho le Patriot Act de Bush... collectivisme et nationalisme se font du rentre-dedans, non ?
- Je préfère discuter du contenu de wikipedia plutôt que de philosoper et tirer des plans sur la comète... désolé! Toutefois votre remarque est pertinente dans le mesure où elle montre que l'on ne sait pas de quoi cet article parle.87.89.44.229 (d) 9 janvier 2011 à 11:10 (CET)
4) Il faut distinguer les controverses internes entre les différentes écoles socialistes et les oppositions externes aux bases communes des divers socialismes, à savoir la mise sous dépendance et infantilisation de l'individu par la collectivité ou souvent, en pratique, 2ème effet kisscool, par l'appareil auquel la société a abandonné son pouvoir.
- Ok la dessus.
- Encore que critiquer l'Ordre d'une société revient à défendre l'anarchisme... c'est d'ailleurs me semble-t-il comme ça qu'est né le socialisme!87.89.44.229 (d) 9 janvier 2011 à 11:10 (CET)
Le titre orienté et simpliste de l'article est loin d'une annonce de clarification encyclopédique de cette complexité. Je souhaite le renommage dès le départ en "points de controverse sur les diverses formes de socialisme" --Pgreenfinch 11 septembre 2005 à 11:33 (CEST)
- Je ne vois pas en quoi l'existence d'articles critiques nuirait à cette encyclopédie, au contraire... pourvu que chaque niveau de critique soit bien identifié (interne, externe, point de vue x, y, z) et que ces critiques soient documentées et intelligentes (on évite les je crois que et mon voisin de bar pense que...). Face à l'illusion de la neutralité, il vaut mieux permettre la multiplicité des points de vue... Enlevez donc le bandeau !!!--Khano-et-khayek 15 décembre 2005 à 23:27 (CET)
- Moi je préférerais avoir plusieurs articles de critiques avec des liens entre eux. Juste histoire de ne pas confondre les critiques contre les socialistes qui mènent une politique d'austérité, et qui privatisent (les sociaux démocrates), avec les critiques des politiques socialistes de nationalisation, et d'accès gratuit à l'école. De même une critique de parti unique ou de constitution devrait constituer un article distinct d'une critique d'une politique monétaire ou commerciale.87.89.44.229 (d) 9 janvier 2011 à 11:10 (CET)
L'article sera une traduction de w:en:Criticisms of socialism, article qui n'a pas soulevé de polémique dans le wiki "en" en son temps. Ma question est, pourquoi y a-t-il un article critique du libéralisme économique ainsi qu'un § "Critiques" dans l'article libéralisme et aucun article critique du socialisme ni même le début d'une seule critique dans l'article socialisme ? On y donne donc une longue liste des théoriciens de l'esclavagisme collectiviste (Marx, Lénine, Trotsky...) comme si de rien n'était, comme s'il n'y avait jamais eu de problème avec cette idéologie mortifère... Il y a à mon avis un équilibre à rétablir pour éviter le 2 poids, 2 mesures (on a le droit de taper sur le libéralisme - surtout quand on ignore ce que c'est - mais il est interdit de formuler toute critique sur le socialisme).Dilbert 11 septembre 2005 à 12:32 (CEST)
- Le problème que je vois à traduire l'article anglophone est que les anglophones comprennent socialisme comme communisme ou république soviétique. Alors qu'en France et en Europe, le terme socialisme désigne plutôt la social démocratie, comme le parti socialiste européen ou le Labour anglais. donc deux choses qui n'ont rien à voir. Pour moi la critique du socialisme devrait être une critique du socialisme actuel (labour et la social démocratie), et la traduction en français de l'article anglais avoir un autre nom. Éventuellement avec des liens entre articles, si nécessaire.87.89.44.229 (d) 9 janvier 2011 à 11:10 (CET)
- Ca, j'en suis bien conscient, le titre critique du libéralisme économique est profondément POV et fait la honte du WP francophone. Un renommage est absolument indispensable, sinon faudra proposer à nouveau la suppression de cet article. Mais ce travers ne doit pas être renouvellé pour le présent article. Faut pas tomber dans les mêmes turpitudes que les antilibéraux qui noyautent le WP francophone. L'entrisme idéologique de cette faction pose d'ailleurs un problème général de neutralité dont les "instances supérieures" de WP, qui m'ont l'air de sommeiller, devront bien un jour se saisir, car il met en cause la crédibilité même de cette encyclopédie. --Pgreenfinch 11 septembre 2005 à 15:37 (CEST)
- Heureux de lire ton opinion. C'est bien pour ça que de mon côté j'ai décidé d'abandonner Wikipedia (ou presque !) pour Wikiberal...Dilbert 12 septembre 2005 à 12:25 (CEST)
- Je suis plutôt d'accord avec vous mais pour d'autres raisons: le titre critique du socialisme est profondément POV parce qu'il confond un parti (le parti socialiste) qui mène (entre autres choses) une politique d'ouverture à la concurrence et de décentralisation avec une organisation sociale de nationalisation et de centralisation (l'union soviétique) et un troisième système mêlant croissance économique et valeurs non occidentales (Le socialisme de Chine populaire). Et ça fait cinq ans que cette embrouille de mélange des concepts dure (2005-2011)! Je pense que cela vient des certitudes et de l'arrogance des gens qui croient dans une idéologie locale (peu importe qu'il s'agisse de l'anti-socialisme américain ou d'une autre) qui les conduit à mépriser un point de vue différent. Sur des sujets polémiques dont les mots sont polysémiques, sur un site régi par des procédures et un Ordre qui est ce qu'il est, il s'agit d'un vrai défi! 87.89.44.229 (d) 9 janvier 2011 à 11:10 (CET)
Critiques au pluriel
modifierJe viens de changer le titre de "critique" à "critiques" comme pour l'article anglophone. — Miniwark (écrire) 17 octobre 2005 à 16:01 (CEST)
Échec des économies planifiées
modifierJe voudrait vous faire remarquer que l'on désigne les économies planifiées comme un échec total et lamentable. Alors que la plus part des multinationales qui agissent soit disant au nom du libéralisme, la libre entreprise, la libre concurrence, fonctionnent sur des stratégie de planifications similaires à celle pratiqué par les industries de l'URSS. Ca semble peut être un peut gros mais en y réfléchissant bien c'est exactement le cas. On parle de plan marketing, plan de financement, plan média, plan de développement ... Si ce n'est pas de l'économie planifiée qui "marche"... Tenshu 12 janvier 2007 à 21:56 (CET)
- L'économie planifiée fait généralement référence à une économie centralisée au niveau d'un Etat. Mais gérer l'économie d'un Etat et d'une société commerciale sont deux choses sans rapport: ne serait-ce que parcequ'une société commerciale peut prendre des parts de marché au concurrent (qui lui en perd)! Mais ce qui « semble peut être un peut gros mais en y réfléchissant bien c'est exactement le cas», c'est plutôt que les sociétés multinationales se fournissent dans une économie planifiée (la RPC), planifient leur production en se basant sur les plans d'une économie planifiée (la RPC), se font rachetées par des sociétés d'une économie planifiée (la RPC),et que les Etats-Unis et les Etats européens se financent sur l'épargne dégagée par cette économie planifiée (de RPC)! Et dans ce contexte, le présent article est ... inattendu! 87.89.44.229 (d) 9 janvier 2011 à 11:19 (CET)
Traduction ?
modifierLe bandeau de traduction traîne en tête de l'article depuis décembre 2005, tandis que la moitié de celui-ci est encore encombré par la version anglaise. Je pense que ça repousse un peu les éventuels contributeurs, je propose donc de basculer la version anglaise en page de discussion, ou même de la supprimer. On pourra ensuite reprendre la rédaction avec une version un peu plus présentable. Galoric - ✉ 11 octobre 2007 à 23:07 (CEST)
- Puisqu'aucune objection, et que la situation perdure, j'ai déplacé ici le passage. Galoric - ✉ 15 janvier 2009 à 12:36 (CET)
This article deals with opposition and criticisms of socialism, and arguments for and against such criticism.
One of the fundamental goals of the socialist movement, throughout its history, has been the abolition of capitalism. As such, the majority of socialism's opponents have been advocates of capitalism - most often, advocates of "pure" or laissez-faire capitalism. They include liberals, conservatives and libertarians such as Milton Friedman, Ayn Rand, Ludwig von Mises, Friedrich Hayek, and Joshua Muravchik, to name a few.
Socialism itself is by no means a monolithic movement; there are in fact important points of disagreement between its several branches. Therefore, some of the criticisms presented below may not apply to all forms of socialism (for example, many of the economic criticisms are directed at a Soviet-style planned economy, while some proposed socialisms advocate different methods of economic planning, and others reject planned economics altogether).
Incentives
modifierAccording to its supporters, a profit system is a monitoring mechanism which continually evaluates the economic performance of every business enterprise. In theory, under capitalism the firms that are the most efficient and most successful at meeting consumer demand are rewarded with profits. Firms that operate inefficiently and fail to serve the perceived public interest are penalized with losses.
By rewarding success and penalizing failure, the profit system provides a strong disciplinary mechanism which continually redirects resources away from weak, failing, and inefficient firms toward those firms which are the most efficient and successful at serving the consumer demands of their corresponding market segment. A competitive profit system ensures a constant re-optimization of resources and moves the economy toward greater levels of efficiency. Unsuccessful firms cannot escape the strong discipline of the marketplace under a profit/loss system. Competition forces companies to profit (which advocates of capitalism tend to equate with serving the public interest) or suffer the consequences.
Under central planning, there is no profit-and-loss system of accounting to accurately measure the success or failure of various programs. Without profits, critics argue, there is no way to discipline firms that fail to serve the public interest and no way to reward firms that do. Therefore, they claim that centrally planned economies do not have an effective incentive structure to coordinate economic activity. Slavenka Drakulic made this point in How We Survived Communism & Even Laughed (ISBN 0060975407), where she argued that a major contributor to the fall of socialist planned economies in the former Soviet bloc was the failure to produce the basic consumer goods that its people desired. She argues that, because of the makeup of the leadership of these regimes, the concerns of women got particularly short shrift. She illustrates this, in particular, by the system's failure to produce washing machines.
In response, most socialists claim that the incentives in a socialist planned economy should come from the democratic nature of the system. Economic planners are supposed to have an interest in doing a good job and delivering what the people need because that ensures the people will keep voting for them in elections, while if the planners are doing a bad job and the economy is stagnating, the people would vote them out of office and elect a new government with a new economic plan.
Drakulic lived under a system that was not a democratic one, and it can be argued that the planners had no incentive to cater to the needs of the people. Some socialists do not consider such an undemocratic system to be socialist at all. As a corollary to this argument, socialists claim that inefficient planned economies can only exist for prolonged periods in undemocratic conditions, where the people cannot reward or penalize the state for its performance.
Critics of socialism insist that publicly owned organizations are less efficient than private companies (see privatization for further discussion). A majority of socialists disagree with the notion that private companies serve the public interest. They argue that the profit/loss motive encourages companies to cut costs and raise profits in ways that do more harm than good to the public: a company will try to get the maximum work from its employees for the minimum amount of money, keeping wages as low as it can, and, as capitalists hold high concentrations of capital and may restrict access to vital resources, they claim that the workers are left with little bargaining power. Finally, since the rich have more money than the poor (and therefore there is more profit to be made in serving the rich rather than the poor), they claim capitalism encourages companies to cater to the interests of the rich and ignore the needs of the poor. They also point to drugs companies that have little incentive to produce drugs to cure diseases such as malaria, which primarily affect poor countries that cannot afford to buy them, but those same companies devote huge resources to developing drugs for the relatively trivial complaints of the rich western consumers who can pay.
Supporters of capitalism argue that companies compete for workers and thus cannot give arbitrarily low wages. They also hold that companies that sell luxury products are few; most money is made by selling products to ordinary people in developed nations. However, socialists argue that since companies are also in competition with each other and thus attempt to cut costs in order to enhance their competitiveness there is an incentive to "downsize" the workforce and/or cut wages.
Regarding poor people in developing nations, capitalists assert that people in the democratic developed nations could vote to raise taxes in order to increase foreign aid or otherwise give much help voluntarily, almost everyone in developed nations being very wealthy in comparison to people in developing countries. They argue that the little interest among the public for such aid is not something capitalism can be blamed for. Furthermore, they argue that nations that are more capitalistic have less poverty (see Index of economic freedom). Socialists argue that the reduced poverty in developed countries is either due to exploitation of poorer nations, or to the extensive welfare states that have been put in place in most of the developed countries.
Prices
modifierAccording to the critics of socialism, the price system in a market economy guides economic activity so flawlessly that most people don't appreciate its importance or see its effect. Adam Smith dubbed this effect the "invisible hand" of the market. Market prices transmit information about relative scarcity and then efficiently coordinate economic activity. The economic content of prices provides incentives that promote economic efficiency.
Some forms of socialism propose to abolish markets entirely. All, or nearly all, advocate some form of governmental or other "social" interference with market prices. Free-market economists argue that a controlled or fixed price always transmits misleading information about relative scarcity and that inappropriate behavior results from a controlled price, because false information has been transmitted by an artificial price.
Socialists opposed to the market generally argue that markets don't work nearly as well as thought. They point out that some people struggle to survive in capitalism while others have mansions, and that this itself is indicative of scarcity and evidence that free market pricing mechanisms are evidently not effective or equitable. Socialists also point out that even most economists supporting capitalism acknowledge the existence of various market failures that need to be regulated such as monopolies or externalities. The rules of the market may also be manipulated by those with more power.
A planned economy tries to replace the invisible hand with a highly visible (and, according to socialists, more efficient) one. The claim is that a more rational result can be achieved by the efforts of economic coordinators rather than by market forces. While some socialists oppose a centrally planned economy, all advocate the overt inclusion of non-economic factors in determining economic decisions.
Socialists are sharply divided on the claim that market pricing produces allocative efficiency. There are market socialists who believe it is both possible and imperative that socialistic systems take this point into account. David Schweickart, a philosophy professor in the US, has said that socialists must endorse the market because otherwise "everything in the economy is subject to political debate -- every price, every product, every technology" and he says only two possible outcomes can result from this, "either anarchy or, more likely, the subtle or not so subtle shutting down of democratic input."
On the other hand, a Hungarian economist, Jonas Kornai, once a market socialist himself, modified his views subsequent to the fall of the Soviet system and its eastern European variants. Kornai has written that "the attempt to realize market socialism...produces an incoherent system, in which there are elements that repel each other: the dominance of public ownership and the operation of the market are not compatible."
A capitalist opponent of socialism would argue that both Schweickart and Kornai are right -- that markets are both a necessity and an impossibility for a socialism that would be humane, sustainable, and allocatively efficient.
On the other hand, socialists who do reject the market mechanism of pricing make the following points:
- That capitalism has a natural tendency toward monopoly, leading to distortion in prices. This is essentially the same argument used by critics of socialism, but with the terms reversed: assuming monopoly to be inevitable, the socialists argue that the conditions will not be present for the "invisible hand", and other means not available under free market capitalism must be found. For example, this argument is repeatedly invoked in the 2001 Program of the Communist Party of Canada, which refers to the current system as "State-monopoly capitalism" and argues, that "financial and industrial monopolies dominate agriculture, and farmers are compelled to pay high monopoly prices for seed, equipment and other inputs, while the prices they get for their produce are set by the powerful packing, milling, grain-handling and railway monopolies." [1]
- That market systems are distorted by the unequal power of the players in the markets. Globalissues.org editor, Anup Shah (a leftist, though not necessarily a socialist) makes this case, suggesting that the current neo-liberal order might be better called "neo-mercantilism" and applying to it Adam Smith's critique of how military power distorted trade under mercantilism. [2]
- That one or another socialist approach can mitigate the role of externalities in pricing, producing results at least as efficient as those under capitalism. This was basically the argument put forward by Oskar Lange [3] and the Paretians [4]; see also Pareto efficiency.
The tragedy of the commons
modifierThe tragedy of the commons, in its narrowest sense, refers to the situation of certain grazing lands communally owned by British villages in the 16th century. These lands were made available for public use (or, more precisely, the use of those with rights in that common land). According to Garrett Hardin and others, because each individual had more of an incentive to maximize his (or her) own benefit from this common land than to be concerned for its sustainability, the land was eventually overgrazed and became worthless. (However, studies by C.J. Dahlman and others have largely refuted the claim that any such tragedy actually occurred. Access to the commons in the 16th century was constrained by a variety of cultural protocols and was far from equal.)
More generally, the line of argument is that when assets are owned in common, there are no incentives in place to encourage wise stewardship. While private property is said to create incentives for conservation and the responsible use of property, common property is said to encourage irresponsibility and waste. In other words, the argument is that if everyone owns an asset, people act as if no one owns it. And when no one owns it, no one really takes care of it. This is an argument directed at libertarian socialism and other proposed forms of socialism where there is little or no central authority to act as a steward of public property. Planned economies avoid the tragedy of the commons by placing the state in charge of the use of resources owned in common.
One libertarian socialist counterargument is that the tragedy of the commons is an inherently psychological issue that can be resolved through proper education - that is, by creating a culture where people are respectful of common property and do not act as if no one owns it.
On a related note, many socialists point out that some things are almost inevitably commons, for example air and oceans. Paul Burkett makes a specifically Marxist case for socialism as being better able to address the issue of managing the environment in an article entitled "Ecology and Marx’s Vision of Communism" in Socialism and Democracy, Vol. 17, No. 2 [5].
Critics respond that air and oceans are indeed commons and that problems such as overfishing and global warming due to pollution can be traced to this fact. In economic terms, air and sea pollution are cases of market failure due to externalities (market agents do not pay the full costs of their actions). While most environmentalists propose to solve such problems through government regulations, there is also a theory of free-market environmentalism, which argues that the most effective direction of reform is continued privatization of the commons [6]. The United States, and some others nations, have experimented with market solutions in the form of emissions trading in order to reduce air pollution. Such trading uses an artificially created market in which a government decides the number of emissions credits that will be in circulation and the rules under which they may be traded.
Lastly, there is a body of thought, often linked to cultural anthropology and to modern institutional economics, that recognises that constraints must exist to prevent the private overuse of resources. However, this perspective contends that alternative institutions than private property might well be just as effective or more effective in meeting those goals and better suited to meeting social goals. This was the belief of many early Bolsheviks, particularly Georgui Plekhanov, who evoked this idea to make his case that a socialist state would need regulations.
Central Planning
modifierEven anarchist socialists usually advocate some form of coordination so that different groups of workers function smoothly together (whether on a local or global scale). Critics of socialism argue that it is not possible to vote on everything, if for no other reason than that information gathering, discussion, and voting takes time; therefore, theoretically, some power must be given to leaders, at least temporarily.
Large scale central planning (and anarchist coordination) requires an understanding of trends and statistics. Critics argue that it is often impossible to make long term predictions (eg. chaos theory) based on current trends and numbers. They further argue that a capitalist system solves this problem by simultaneously trying multiple solutions and letting economic competition find the best result. Central planning means that relatively fewer solutions will be chosen, and those that will will be based on numbers. Arguably, these solutions may be less effective due to a lack of variety in the number of options available.
Historical Examples
modifierDue to the existence of several branches of the socialist movement, who advocate different kinds of social and economic systems they call "socialism", there is no consensus on what countries - if any - can be given as historical examples of socialism.
The two kinds of countries most commonly said to be "socialist" are communist states on the one hand and Northern European welfare states (e.g. Sweden) on the other. Within the socialist movement, views are divided as follows:
- Marxists-Leninists argue that some or all of the historical communist states were examples of socialism.
- Social democrats argue that welfare states are examples of socialism.
- Other socialists argue that none of the above countries were socialist, and that socialism has never been applied in practice.
Different critics of socialism also hold different views on the subject. Some consider socialism to be a purely theoretical concept that should be criticized on theoretical grounds; others hold that certain historical examples exist and that they can be criticized on practical grounds. Criticisms of communist states are particularly prevalent (see criticisms of communism for a discussion of these).
Socialisme et liberté
modifierLa grande erreur est de croire que le socialisme se limite à l'économie et qu'il nécessite le collectivisme, ce qui est sans doute le cas d'autres théories comme le communisme. Le socialisme est d'abord une éthique de l'égalité, qui, comme toute éthique, sera toujours une utopie en tension. La question est de savoir si l'égalité s'oppose à la liberté. Ce n'est pas mon point de vue. Mais il est clair que la liberté, pour être partagée, doit offrir les conditions de l'égalité qui permettent l'accès à la liberté, c'est à dire à l'autonomie du pouvoir, dans le sens de l'action. Or peut-on être autonome quand on est malade, handicapé, à faibles revenus, sans toi, sans formation, etc face à ceux qui disposent de tous ces avantages? La liberté est un leurre si elle ne s'appuie pas sur un socialisme qui veille à ce que toutes et tous puissent être autonomes, c'est-à-dire à être libre d'être.
socialisme et communisme en anglais et en français
modifierLes mots socialismes et communismes peuvent être utilisés d'une manière différente en anglais et en français depuis que les Protestants anglais préférèrent le mot socialisme au mot communisme alors jugé trop proche du mot communion de l'église catholique romaine.
En France, en 2011, l'usage veut que le mot socialiste se réfère au parti socialiste français, parti qui se revendique, communique, agit et s'associe à des partis et idées sociaux-démocrates plus qu'à des idées communistes. Les idées communistes quant-à elles sont plutôt défendues par --et j'espère ne pas me faire lapider par des intégristes sectaires en disant cela-- le parti communiste, la lutte communiste révolutionnaire et autres partis d'extrême gauche.
Pour ces raisons, je ne suis pas satisfait de la situation actuelle qui est la suivante:
- L'article Critiques du socialisme est associé à la version anglaise en:Criticisms of Socialism qui est une critique du communisme (au sens français usuel en France en 2011).
- L'article Critiques du socialisme ne clarifie pas que son contenu n'est pas une critique du socialisme (lire ici socialisme au sens parti socialiste européen, c'est-à-dire social démocratie) mais plutôt une critique du communisme
- L'article Critiques du socialisme (comprendre ici communisme) ne qualifie pas sa relation avec l'article Critiques du communisme.
- Il manque un article Critiques de la social-démocratie.
PS: afin d'éviter les critiques, je m'abstiens de proposer une solution à ce problème. 87.89.44.229 (d) 11 janvier 2011 à 23:43 (CET)
Redondance entre « théorique » et « pragmatique »
modifierLa section « Critiques théoriques » fait figurer la question de l’information (prix, etc.) dans la sous-section « Le problème du calcul », ce qui est redondant avec la sous-section « L'absence de prix, source d'information » de la section « Critiques pragmatiques » ; plus généralement, je ne vois pas bien ce qui permet de séparer les critiques qualifiées ici de « pragmatiques » des critiques théoriques comme cela est fait dans la forme actuelle de l’article. Peut-être faudrait-il transférer le contenu de la section « Critiques pragmatiques » dans la section « Critiques théoriques », et remplacer les concepts développés dans celle-là par des exemples concrets historiques (appuyés par des statistiques, par exemple) illustrant les idées décrites dans celle-ci ? — SniperMaské (d) 25 février 2011 à 18:34 (CET)
Cas concret
modifierJe souhaitais ajouter des cas concrets dans l'article, pour ne pas rester sur une critique qui ne serait que théorique (déjà couverte par ailleurs).
Toutefois les cas ajoutés concernaient la France, un aspect francocentré est reproché (ainsi qu'un aspect non-neutre). Comment peut-on améliorer ces deux points?
Impuissance sur le coût du travail élevé, en France
modifierEn France le coût du travail est considéré comme élevé. Les socialistes sont impuissants car ils ne veulent pas affaiblir les bas salaires ce qui conduirait à précariser leur électorat. Ils sont aussi impuissants car le niveau de la monnaie — dont le contrôle leur a été retiré — réduit la compétitivité des produits fabriqués en France[1].
Indifférenciation, en France
modifierEn France, le socialisme a tendance à ne pas se distinguer des autres partis politiques [2].
Réponse
modifierOn ne construit pas un article avec des « exemples » sortis de son chapeau qu'on érige en vérités absolues... Certes, l'article est à ce stade dans un état pour le moins primaire, mais il n'est pas question de l'enfoncer encore plus. Celette (discuter) 23 juin 2014 à 00:08 (CEST)
Le socialisme détruit la motivation.... au canada l'étude que j'avais participé dans les années 1968 a 1970 pour des Co.!! internationnales. les conclutions que effondrement économique a partir de 2023 (je n'étais pas preneur???? en 1970) 2607:FA49:D53E:5800:E826:D65F:571A:8AD2 (discuter) 11 mai 2024 à 23:33 (CEST)