Discussion:Job de Roincé/À faire

qu'il quitte rapidement constatant que les convictions des nouveaux adhérents sont incompatibles avec les siennes [réf. nécessaire].

Ses convictions royalistes ne faisaient pas bon ménage avec les sentiments républicains de Marchal et Debauvais.

Anna Youennou écrit dans "Fransez Debauvais de Breiz-Atao" page 54 du premier tome :

A la démobilisation, ne s’entendant pas avec son père, de Roincé dut prendre une situation dans le journalisme à l’« Ouest-Eclair » puis au « Nouvelliste » et ne put continuer sa participation officielle à Breiz-Atao. De plus, avec l’arrivée de nouveaux adhérents, ses convictions royalistes ne faisaient pas bon ménage avec leurs sentiments républicains. Quand il devint directeur d’un quotidien lavallois, il était perdu pour l’action bretonne. Néanmoins, il ne se désintéressa pas du mouvement breton et revoyait avec plaisir ses amis lors des manifestations bretonnes, en particulier Marchal et Debauvais. C’est en 1970 que de Roincé m’a donné les renseignements cités plus haut.--2.11.133.66 (discuter) 16 novembre 2015 à 13:15 (CET)

• Votre aide est la bienvenue pour corriger les liens, présents dans l'article, vers les pages d'homonymie Arthur de Bretagne ⇒ Quelques explications pour effectuer ces corrections. -- 15 septembre 2024 à 16:21 (CEST)