Discussion:Juda et Tamar/Midrash Tannaïm
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- Mishna Meguila 4:10 — Maasse Tamar niqra oumitarggem,
- Sifre Devarim 260 (s.v. Gn 38:21) — lo tihye qdesha (Dt 23:18) — zou azhara lamoufne/lamoufna i.e. l’interdiction de se prostituer ou de se rendre chez une prostituée, s’applique également à un/une célibataire, le flottement provenant de ce que le texte n’est pas vocalisé SZ140
- Tossefta Nidda 1:7 — qui est considérée enceinte ? Symmaque dit au nom de Rabbi Meïr : dès qu’on reconnaît son fœtus, de ce qu’il est dit « ce fut environ au bout de trois mois » (Gn 38:24) SZ151
- Tossefta Sota 9:3 — De même, tu dis : “Elle dit : Reconnais donc à qui le sceau” [l’]a dit Tamar, “Elle est plus juste que moi” a dit Juda, et l’esprit de sainteté dit “et il n’ajouta plus de la connaître” (Gn 38:26), trois propos l’un à côté de l’autre, et qui a dit ceci, n’a pas dit cela. SZ174
- Tossefta Berakhot 4:18, Mekhilta deRabbi Ishmael, Beshallah 5, cf. Mekhilta deRabbi Shimon p.64 — la raison qui valut à Juda la royauté. SZ174
- Sifre Devarim 348 - “Que Ruben vive et ne meure pas et voici pour Juda (Dt 33:6-7)” Quel rapport entre celui-ci et celui-là? C’est parce que Juda a fait ce qu’il a fait, s’est levé et a dit “elle a été plus juste que moi” : comme Ruben a vu que Juda confessait, il se leva lui aussi et confessa ses actes, c’est-à-dire que Juda entraîna Ruben à se repentir. Sur eux l’écrit dit : “Ce que racontent les sages, sans rien dissimuler, comme une tradition de leurs pères, qui furent, seuls, maîtres de ce pays et auxquels nul étranger ne s'est mêlé” (Job 15:18) SZ175