Discussion:Logiciel libre

Dernier commentaire : il y a 7 ans par Mimmo D.DN dans le sujet Capture d'écran
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" Pour illustrer le principe du logiciel libre, face au logiciel non libre, on peut comparer cela à une recette de cuisine :

  • selon le principe du libre : vous avez obtenu cette recette par n'importe quel moyen (revue, bouche à oreille...) et personne n'a rien à redire pour ceci et/ou cela... Vous avez le droit de redistribuer cette recette comme vous l'entendez tout comme vous pouvez la modifier comme il vous plaît...
  • selon le principe du logiciel non libre, elle est un peu plus restrictive : il faut vous acquitter d'une licence d'utilisation de la recette valable dans 'une seule' cuisine. Toute copie ou modification de la recette est interdite ! De plus, il vous faudra souvent faire des travaux dans votre cuisine pour suivre les nouvelles versions, toujours plus indispensables et toujours plus chères !

"

N'y aurait-il pas une pointe d'ironie qui pourrait remettre en cause la neutralité de l'article ?

Cousin, le 17/08/2003

Oui, peut-être un peu. En fait c'est une reprise (une citation en quelque sorte) d'une des métaphores utilisées par RMS pour expliquer le logiciel libre. -- Looxix 17 aoû 2003 à 18:53 (CEST)

À propos de la discussion ci-haut. Puisque c'est écrit " conformément à l'analogie de Richard Stallman", il est clair que la phrase qui suit en est une des rédacteurs de l'encyclopédie. Par conséquent, je trouve qu'il faudrait retravailler la phrase pour davantage de neutralité. La phrase "D'ailleurs, vous ne pouvez même pas accéder aux détails de la recette, qui sont souvent cachés aux yeux de tous" manque de neutralité à mes yeux. Pfv2 8 août 2005 à 05:18 (CEST)Répondre


À propos des formats libres : parler de ogg pour l'audio et ogm pour la video n'est pas très exact. Pour ce que j'en sais, il s'agit du même format (container), mais certaines personnes on jugé utile de transformer ogg en ogm pour signifier que le fichier ne contient pas uniquement un flux audio, mais aussi un flux video (ogm = ogg Media). Soit dit en passant, on n'est quasiment pas limité sur le contenu du container, ainsi on peut éventuellement mettre aussi du texte (sous-titres) ou plusieurs flux audio (doublage).

Aldoo, le 07/01/2004 PS. : Si le but était de citer plusieurs formats, on pourrait par exemple citer aussi mkv (Matroska) ... c'était juste une suggesion ;-)

sympa à mettre dans un article sur le format ogg :) Ashar Voultoiz 7 jan 2004 à 01:15 (CET)

Sarcasme modifier

Le texte "De plus, il vous faudra souvent faire des travaux dans votre cuisine pour suivre les nouvelles versions, toujours plus indispensables et toujours plus chères ! " constitue un sarcasme.

C'est un allusion à la société Microsoft qui pousse se utilisateurs à devoir faire des investissements dans leur matériel informatique pour pouvoir suivre l'évolution des logiciels vendu par cette société. S'il est vrai que le géant de Bellvue,WA a cette habitude, on ne peut pas en dire autant de toutes les sociétés qui vendent des logiciels.

À contrario, il est faux de prétendre que les logiciels libres sont eux à l'abri du "viellissement" du matériel. Essayez de faire tourner Linux (la dernière mouture) sur le matériel qui supportait ce système d'exploitation lorsque Linus Torvalds a lancé son projet il y a quelques années et vous m'en donnerez des nouvelles.

Ce commentaire est tendancieux et s'éloigne dangeureusement de la "neutralité" que doivent prendre le contenu d'un article dans Wikipedia.

Yanik Crépeau 5 avr 2004 à 02:49 (CEST)

Bonjour, je suis venu sur l'onglet de discussion justement à cause de la même remarque que les précédents contributeurs... Je suis en train de downgrader un vieux pentium 300 de fedora core à red Hat 7.1 sinon ça rame trop. La remarque sur les travaux dans la cuisine est de trop ! Qu'il suffise de dire que la recette n'appartient pass à son utilisateur, qu'il a juste acheté le droit de l'utiliser et strictement, sans modification : c'est déjà beaucoup, pas la peine d'en rajouter avec des inexactitudes. Utilisateur:pichel

PS : j'ajoute cela à la discussion malgré la lecture du HowTo des choses à ne pas faire, mais le début de l'article ne semble pas modifiable comme ça, alors...

Bah! Je fais tourner une Mandrake 10.0 sur un P2 266 avec 64Mo de RAM ça marche impec. Évidemment je ne m'en sers que comme serveur, pas comme station de travail. Pour faire la même chose je ne suis pas sûr que windows 2003 (comparons des OS de la même époque) aurait voulu s'installer. :) Med 7 sep 2004 à 01:46 (CEST)

recette de cuisine modifier

Rien ne vient empêcher un cuisinier d'adapter une recette libre à ses désirs et ses contraintes (moyens matériels et ingrédients à disposition), en particulier pour une petite cuisine désuète. C'est bien là l'idée qui a un peu disparue dans la dernière mouture de l'article.

La seconde partie de la comparaison devrait être plus efficace, par exemple :

  • selon le principe du logiciel non libre : vous êtes contraint par licence de ne cuisiner la recette que dans une seule cuisine et à ne la cuisiner que pour vous. Vous n'avez le droit de diffuser cette recette à personne, y compris à vos proches. En outre, la recette fait appel à des produits et des ustensiles dont le rôle et la réalisation sont tenus secrets, de sorte que vous ne pouvez pas la modifier pour l'adapter à votre cas personnel : petit budget, problèmes d'allergie, etc.

Sources modifier

Linus Torvalds a, par exemple, personnellement insisté pour que convergent des produits au départ antagonistes tel que KDE et Gnome Sources de cette révélation fracassante ? Marc Mongenet 7 oct 2004 à 19:27 (CEST)

Tu n'as pas l'Internet, sur ta machine fracassante ? ici, tout simplement. 81.65.26.7 9 décembre 2006 à 01:10 (CET)Répondre
Salut FDA, toujours aussi mal embouché ? Dans cet article paru 2 ans après ma remarque... la seule phrase parlant de Linus est : « Voyez la fureur qui a suivi l'annonce par Linus Torvalds qu'il recommandait KDE contre GNOME ». Marc Mongenet 9 décembre 2006 à 05:36 (CET)Répondre


Microsoft et Intel La palme du Big Brother électronique revient incontestablement à Microsoft, avec son système Windows et son navigateur Internet Explorer, qui renferment un numéro d'identification de l'utilisateur, le GUID (Globally Unique Identifier). Ce numéro d'identification est ensuite inscrit dans tous les documents créés avec les applications de Microsoft Office. Il peut être consulté à distance par Internet grâce à des commandes spéciales prévues par Microsoft. Le système Windows et Internet Explorer intègrent d'autres commandes spéciales qui permettent de sonder le contenu du disque dur de l'utilisateur, à son insu, durant ses connexions à Internet. Microsoft a reconnu l'existence de ces commandes spéciales et du GUID. Selon un rapport réalisé en 1999 pour le ministère français de la Défense, il existerait des liens entre Microsoft et les services de renseignements américains, et des membres de la NSA travailleraient dans des équipes de Microsoft. Ce rapport parlait aussi de la présence de programmes espions ("back-doors") dans les logiciels de Microsoft.De son coté, Intel a également placé un numéro d'identification consultable à distance dans les puces Pentium III et Xeon.La solution pour protéger votre vie privée et vos données: utilisez un Macintosh (ou le système Linux), et surfez sur le Net avec Netscape au lieu d'Internet Explorer.

Format libre modifier

Je ne le trouve pas très explicite (on ne voit pas trop ce que ça peut être), et je virerais volontiers "ASCII" de la liste. Peut-être à revoir après la réécriture de Format ouvert (proposée sur la page des articles non-neutres) Esp2008 5 déc 2004 à 08:12 (CET)

Section "Quelques formats de données libres" à virer àmha modifier

Il s'agit de la page des logiciels libres et non des formats de données libres (à créer àmha et à lier avec Format de données).

Un logiciel et un format n'ont rien à voir : les uns lisent, produisent, modifient, copient les autres. Des logiciels non-libres peuvent gérer des formats libres, et inversement des logiciels libres peuvent gérer des formats non-libres.

De plus, la définition du logiciel libre est stricte, claire et consensuelle. La notion de format libre est loin loin d'être consensuelle, voir Formats ouverts.org.

Nÿco 9 fev 2005 à 16:00 (CET)

Section Liberté et vigilance modifier

Il y a une imprécision importante relative à la "propriété" de Linux : Seule la "TradeMark" appartient à Linus Torvalds, pas la specification... On ne peut donc mettre sur le meme plan OpenGL, Java et Linux. Je propose tout simplement d'enlever toute référence à Linux dans la phrase sur les logiciels aux spécifications propriétaires... NB : il n'y a pas de specifications en tant que telles pour Linux, à part peut-être l'implémentation presque complète du standard POSIX, et le respect d'a peu pres tous les syscalls System V...

Fred 12/06/05 12:43 CET

AdQ ? modifier

Bonjour. Je souhaite savoir ce que vous souhaitez voir ajouter, pour le proposer en article de qualité. Merci. guffman 28 décembre 2005 à 04:46 (CET)Répondre

Les limitations et inconvénients des LL. Ne préparez pas le buchet pour autant, je suis un fervent défenseur du libre ^^ Ripounet 27 mai 2006 à 23:11 (CEST)Répondre

Traduction auto de l'article espagnol sur Linux modifier

es:Linux

Le logiciel libre dans l'administration publique modifier

Il y a une série d'administrations publiques qui ont montré leur appui au software libre, ou en migrant totalement ou partiellement ses employés et systèmes de bureau, est en le subventionnant. Comme des exemples est eus à à :

  1. l'Allemagne en payant pour le développement du Kroupware. En outre villes comme Munich, qui migre ses systèmes à SuSE Linux, une distribution allemande spécialement orientée à KDE.
  2. Le Cuba où le gouvernement a établi une indication officielle pour introduire de manière progressive le software libre et en particulier le Linux et dans lequel le réseau de Santé Publique, Infomed, a été pionnier dans son utilisation.
  3. La Chine, avec son accord avec Sun Microsystems pour distribuer millions de Java Desktop (une distribution de linux basée en GNOME et spécialement bien intégrée avec java)
  4. Le Brésil, avec une attitude généralement positive, et, par exemple, avec le développement de de ce qui est telecentros
  5. En Espagne, différents gouvernements régionaux développent leurs distributions propres non seulement pour utilisation administrative mais aussi académicien. Nous avons ainsi LinEx en Estrémadure, GuadaLinex en Andalousie, LliureX dans la Communauté de Valence, Molinux en Castilla-La Mancha et MAX dans la Communauté de Madrid, pour le moment. Toutes ces distributions ont en commun le fait d'être basées en Debian.
  6. Le Vénézuéla où le président Chávez a décrété l'utilisation prioritaire le software libre et de GNU/Linux dans toute l'administration publique, y compris des ministères et des bureaux gouvernementaux et on favorise la recherche et le développement de software libre.
  7. Le Chili, où le Ministère de l'Éducation et l'Université de la Frontière (placée en Temuco) ont créé EduLinux, une distribution qu'aujourd'hui dans plus de 1500 écoles des Chiliens et fonctionne dans plus de 90% des bibliothèques Chiliens. Actuellement les Forces Armées Chiliens planifient la création d'une distribution militaire qui interconnecte aux branches de la défense Chilien. Le gouvernement a récemment dit en effet au software libre dans l'administration publique en annulant un contrat préalable avec Microsoft pour le maintien des réseaux et des équipements dans des écoles et des biblotecas Chiliens.
  8. République dominicaine, favorise l'utilisation et la prolifération du Software libre dans le domaine éducatif et scientifique. Il dispose de deux fondations, une dans la capital de Saint-Domingue et l'autre dans la ville Santiago. Codigolibre.org
  9. l'Argentine où on soutient activement le développement non seulement de Linux, mais du software libre en général, à travers le vestibule SoftwareLibre.gov.ar
  10. Le Mexique le Gouvernement du Secteur Fédéral dans ses politiques et linéaments en matière d'Informatique donne préférence à l'utilisation du Software Libre. La Délégation Tlalpan crée la distribution Gouvernement GDF/Linux.

PAS MAL, NON ??? Michel BUZE 9 janvier 2006 à 22:16 (CET)Répondre

Stratégie dans le libre modifier

Bonjour, Je m'intéresse plutôt au côté "management", "création d'entreprise" et je regarde le libre en me demandant ce qui justifie qu'une entreprise se monte en utilisant des technologies libres. D'abord au niveau "l'avantage stratégique" de l'entreprise, j'ai cru comprendre qu'une SSLL doit laisser tomber le côté "mon entreprise est viable car j'ai un code source que personne n'a" pour prendre le côté "mon entreprise est viable car:

  1. J'ai une équipe de développeurs qui est leader d'un projet libre : Premier avantage stratégique sur mes concurrents, mais cet avantage peut se retourner contre moi dans deux cas:
    1. Si mon volume de développement passe en dessous de 10% des développeurs (variable selon les cas: parfois c'est la communauté qui grandit, parfois c'est mon équipe qui faiblit)
    2. Si mon équipe de développement fait des choix trop éloignés des besoins des autres (ou dit plus couramment "elle fait de la m..." ;-)
  2. J'ai regroupé dans mon équipe des compétences dans ce domaine.
    1. Mais ces compétences peuvent s'envoler du jour au lendemain.
    2. Mais tout-un-chacun peut développer des compétences dans le même domaine que le mien et devenir, trop facilement, un concurrent.

Moi, j'ai l'impression que ces deux avantages stratégiques sont bien faibles pour être à peu près sûr d'être vivant sur le marché dans deux ans... J'ai bien conscience que je ne suis pas dans le trip, mais ce n'est pas à force de m'être informé... Voilà, moi je sors tout juste de mon diplôme d'ingé en If et aucun de mes potes n'a pu me faire un cours de management dans ce domaine (par management, j'entends: créer un business plan, créer des richesses à partir du libre). C'est pourquoi j'aimerais que l'on présente une page, quelque part dans le portail sur le Logiciel Libre, qui explique le management dans le logiciel libre: quelles sont les contraintes, quels sont les avantages stratégiques et quel peut être mon fond de commerce. En effet, dans le portail sur le logiciel libre, on ne parle que de programmation et pas assez de l'entrepreneuriat, à mon avis.--Papagrieng 26 janvier 2006 à 11:58 (CET)Répondre

Le Libre est plutôt agnostique en matière de business, quand Richard Stallman a lancé le mouvement il agissait comme citoyen et pas comme entrepreneur, de même que Linus Torvalds n'a pas cherché à créer un nouveau Microsoft. Cela dit, si quelqu'un veut se lancer dans une section "business et management" correspondant à ta demande, il y aurait des liens utiles à faire vers les sections dédiées de sites d'info spécialisés comme ZDNet ou le Journal du Net (dans ce dernier, voir aussi le sous-dossier Informaticien en SS2L. La semaine prochaine à Paris-La Défense (pub gratuite :) il y a le salon Solutions Linux qui a l'intérêt de présenter les deux faces, associative et entreprises, du Libre. Lechat 26 janvier 2006 à 15:32 (CET)Répondre


Se lancer dans le libre modifier

Tout est dis. Où trouver un projet auquel collaborer quant on est interressé par la philosophie du logiciel libre ?

Surement sur http://sourceforge.net non ? GôTô ¬¬ 7 février 2006 à 12:35 (CET)Répondre
Commence par avoir des envies ;-) Commence par sentir un besoin ! Cherche un truc qui te plaît, par exemple pense à un jeu d'éducation, un logiciel pour mixer du son si tu es musicien... Puis cherches ce qui existe dans le domaine... Mais il faut que tusois programmeur avant... --Papagrieng 7 février 2006 à 18:59 (CET)Répondre

Open libre et logiciel source modifier

J'ai fait un peut de ménage dans l'introduction qui dévelopait un peut beaucoup et commencais même a être un lieux de débat. J'ai donc déplacé les contenu sans les effacer, et parfois allégé un peut.

J'ai surtout modifié la partie sur l'open source: L'impulsion qui a pousser ces créateur a du concept ne doit pas être confondue avec sa définition. L'open source permet a l'auteur de concerver la possibilité de contrôler légalement l'evolution de son logiciel, et donc d'interdire certaines "dérives" qu'il jugerais par éxemple préjudiciable a son commerce.

On ne doit pou autant confondre l'open source et le logiciel libre sous pretexte que le plus souvent l'auteur choisit d'autoriser la "libre évolution" de son logiciel, qui reste donc bien "son logiciel" et ça change tout ...--;-) 22 mai 2006 à 14:39 (CEST)Répondre

Méthodes d'évaluation de logiciels libres modifier

Je viens d'écrire une première version d'un rapide comparatif des méthodes existantes pour évaluer des logiciels/projets libres. Est-il possible d'ajouter un lien interne vers cette page Méthode d'évaluation de logiciels libres ?

Rsemeteys, 5 juin 2006

Je pense que oui, n'hésite pas ! --a3_nm 5 juin 2006 à 18:03 (CEST)Répondre

Lien cassé modifier

J'ai suprimé cette ligne car le site n'est plus fonctionnel, merci de la remettre si celà n'etait que provisoire.--;-) 21 juin 2006 à 16:10 (CEST)Répondre

Le lien est de nouveau fonctionnel. Je l'ai remis. JeromeJerome 3 octobre 2007 à 23:51 (CEST)Répondre

Liens internes modifier

J'ai ajouté trois liens internes : Open Source, SSLL et Edition Libre. Les deux dernier sont placés dans un sous-paragraphe "économie du libre" (candidat pour devenir une catégorie ?) et l'article Edition libre pourrait être le pendant de l'article sur les SSLL dans le monde de l'édition, en attendant d'autres articles sur ce thème. Avis ? Manny 21 juillet 2006 à 17:46 (CEST)Répondre

Ne pas confondre logiciel libre et licence gpl! modifier

  • Le logiciel libre est un principe qui existe sans loi.
  • La licence GPL et une forme légale de droit d'auteur contraignant à la conservation de ces principe.

Richard stalman (puisqu'il faut toujours passer pas lui pour être entendu) déclare avoir connu le logiciel libre au début de sa carrière (60-70). tout le monde pouvait "naturelement" utiliser, étudier, modifier, et diffuser le code des autres.

Le contexte commerciale et légale ne le permetant plus vers les annés 80, la licence GPL est une utilisation légéle du droit d'auteur, ou l'auteur fait le choix d'imposer ces libertés a ce qu'il a fait, et a ce qui en découle.

C'est a ça que ça sert les intro simple, a éviter les conneries que tout le monde veut mettre devans!--;-) 23 août 2006 à 17:24 (CEST)Répondre

Ouais, en refaisant l'article je me suis rendu compte que j'avais tendance à confondre les deux. J'ai fait attention, mais peut-être est-ce encore confondu dans l'article ? Je ne comprends pas bien le sens de ta remarque.
Concernant l'intro, elle indique que la notion a été formalisée dans les années 1980. Elle ne parle pas de la GPL, mais elle parle bien sûr de Stallman et la Free Software Foundation. Marc Mongenet 23 août 2006 à 17:37 (CEST)Répondre
C'est pas claire par ce que ma remarque était cencé faire suite aux modif que j'ai faite après.--;-) 23 août 2006 à 17:55 (CEST)Répondre
Attention, il est faux d'écrire qu'un logiciel libre peut être redistribué sans restriction. C'est le cas de certains, mais pas ceux sous GPL, dont la redistribution est accompagnée de plusieurs restrictions (notamment conservation de la licence et garantie d'accès aux sources). Dans le second point, « licence qui donne aux auteurs le droit » est insensé : une licence donne des droits aux utilisateurs, pas aux auteurs. Marc Mongenet 23 août 2006 à 19:05 (CEST)Répondre
Non, pas si on parle du principe de logiciel libre. Les trolls ancestaux dans ce genre concerne les licences et devrais ainsi pouvoir être évité.
Deuxième point: Une licence est un choix de l'auteur (sur son bien?) qu'il impose aux utilisateurs (a sens unique comme tu l'a expliqué). les termes légaux sont effectivement très restrictif et ma formulation mal approprié. C'est là qu'il faudrais en trouver une qui évite le débat sur les réstriction tu crois pas?--;-) 23 août 2006 à 22:24 (CEST)Répondre
J'ai repris l'intro sans les erreurs :-) et j'ai ôté le blabla sur les restrictions : simplement les 4 libertés (utiliser, étudier, modifier, redistribuer) et c'est tout. (La perfection est atteinte non quand il ne reste rien à ajouter, mais quand il ne reste rien à enlever.) Qu'en dis-tu ?
Je pense qu'il est mieux que l'intro n'ait pas des listes à boulettes et autres formatages élaborés. Ainsi l'intro est plus réutilisable dans des contextes variés, comme dans les pages de résultats des moteurs de recherche, dans des popups, etc.
J'ai enlevé le fait que Linux soit sous GPLv2, une intro n'est pas du tout le lieu approprié pour de tels détails.
L'auteur « donne » ou « vend » une licence plutôt qu'il ne l'« impose ». Ce qui est imposé, c'est la loi (sur le droit d'auteur).
Il me semble que l'intro cite tous les thèmes importants pour situer le logiciel libre (les 4 libertés, Richard Stallman, projet GNU, Free Software Foundation, Linux, logiciel propriétaire, succès dans les années 1990). En vois-tu qui manque ? Ou des trucs à supprimer ? Marc Mongenet 23 août 2006 à 23:27 (CEST)Répondre
Pourquoi refuser d'accepter qu'un logiciel peut être libre sans licence? Hors d'un article spécifiquement sur le droit la définition est tronqué donc fausse. Oui c'est celle qu'on trouve le plus souvent mais dans des contextes "orienté".
Ensuite ce qui m'a choqué et pousser à intervenir c'est la définition en fonction des aquéreurs. C'est non seulement une précision inutile qui rejoint le problème précedant, mais c'est complètement inaproprié, ou alors il faut rajouter ou utilisateurs, ou contributeurs, ou distrubuteurs ou n'importe qui, mais là on risque d'être d'accord sur l'absurdité de la chose. :D
Pour le reste fait comme tu le sent, si je voulais imposer une forme je serais intervenu des tes première modifications sur la forme d'intro que j'avais laissé avant que tu n'arrives.--;-) 24 août 2006 à 00:46 (CEST)Répondre
OK, là je comprends bien ce que tu veux dire. C'est vrai que l'existence d'une licence n'est pas nécessaire. Je vais reformuler. Comme la licence est en général un concept central du logiciel libre, je pense qu'il est tout de même bon de la citer dans l'intro.
Pour « aquéreur », on peut remplacer par « utilisateur », puisque c'est le mot utilisé dans http://www.gnu.org/philosophy/free-sw.fr.html. Le problème est que le mot « utilisateur » me semble aussi faux qu'acquéreur (par exemple en utilisant Google on utilise des logiciels libres et l'on a pourtant pas de droit dessus). Le problème est que sans la moindre précision, on peut aussi bien comprendre la notion de logiciel libre comme une revendication de faire ce qu'on veut avec n'importe quel logiciel, une espèce de « droit au piratage ». Or ce n'est pas ça, l'idée est que l'auteur donne les droits à l'acquéreur, et pas que l'acquéreur les prenne (j'utilise « acquéreur » dans un sens très général, sans obligation d'une transaction commerciale, il me faudrait un meilleur mot). Marc Mongenet 24 août 2006 à 09:07 (CEST)Répondre
Effectivement utilisateur c'est pas mieux, mais la difficulté (je pense) est dans le point de vue avant d'être dans les mot (utilisateur/aquereur, droit/possibilité, ...)
Le principe reste toujours vrais, mais la possibilité réel avec un protagoniste est toujours très restrainte par des contraintes technique, légale, ou même les limites du possible. Définir en situation (a travers un individu que l'on place en situation, par exemple un acquéreur) me semble tout simplement impossible.
Pour on peut pousser ton exemple en imaginant que google utilise des logiciels libres pour filtrer et censurer wikipédia en chine ... pour moi ça prouve simplement le fossé entre le principe et la mise en application.--;-) 24 août 2006 à 14:58 (CEST)Répondre
Je ne vois pas très concrêtement à quoi tu fais référence. Un texte « philosophique » comme http://www.gnu.org/philosophy/free-sw.fr.html utilise le mot « utilisateur ». Aurais-tu des sources en français ou anglais qui ont le point de vue que tu évoques ? Marc Mongenet 24 août 2006 à 15:51 (CEST)Répondre
Ce texte technique stipule justement les conditions a remplir pour qu'un logiciel soit considéré comme libre. Ca devrais être suffisement explicite, mais il précise que cette définition est maintenu pour definir clairement, (donc très concrètement).
Pour les sources c'est très simple, toutes les intervention de stallman commencent par essayer d'expliquer le principe (avec des recettes de cuisine souvent mais pas seulement).
De toute façon: on a déjà fait plusieurs fois le tour, et je ne voudrais pas risquer de cencurer de ce que je ne comprend pas. A bon entendeur ... salut.--;-) 24 août 2006 à 20:24 (CEST)Répondre

Francisation rendant l'article moins clair modifier

Cette francisation http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Logiciel_libre&diff=11614871&oldid=11508235 rend l'article moins informatif, en privant le lecteur du vocabulaire le plus courant. La traduction de Open Source en code source libre est même problématique (contresens). Marc Mongenet 10 novembre 2006 à 17:32 (CET)Répondre

On pourait le remplacer par « code source ouvert » non ? (me semble que ca se dit) sinon ya que la traduction de fork qui me choque. bayo 9 décembre 2006 à 01:17 (CET)Répondre
Mouais. Il ne faut pas perdre de vue qu'à la base, la dénomination Open Source a été conçue pour être utilisée comme une marque, donc intraduisible. Le dépôt de marque a été rejeté, mais l'idée reste liée à l'OSI plus qu'au sens littéral. Aujourd'hui encore, LWN.net considère dans l'article What is open source? que Open Source fait référence à la définition de l'OSI, qui est pratiquement identique à celle de Logiciel Libre. Bien sûr, en même temps, de très nombreuses personnes moins informées (ne connaissant probablement pas l'origine et les buts de cette dénomination), peut-être une majorité, prenne Open Source littéralement et estiment que du moment qu'on peut voir les sources, du moment que l'accès aux sources est ouvert, alors c'est Open Source (ou open source). Marc Mongenet 9 décembre 2006 à 05:27 (CET)Répondre
J'ai toujours pris open source au sens littéral, l'article (Open Source) pourtant l'explique. Mais du coup je suis très embrouillé : est ce que cet article logiciel libre est à prendre au sens de Free Software ? Dans ce cas, on peut tomber sur cette phrase ou le wikilien n'aurait pas vraiment de sens « on met plus l'accent sur les aspects du [[logiciel libre|logiciel libre Open Source]] relevant uniquement des domaines techniques ». Si tu peux jeter un coup d'œil. bayo 11 décembre 2006 à 15:05 (CET)Répondre
Je rencontre aussi beaucoup de monde qui prend open source au sens littéral et j'ai été un peu étonné de voir comme c'était peu le cas anglais. Peut-être la perception des francophones est-elle différente de celle des anglophones ? Je peux imaginer quelques causes possibles à cette différence. Concernant cet article, oui, logiciel libre = free software sans ambiguïté. Concernant l'article Open Source, euh, je l'ai modifié... :) C'est mieux ? Marc Mongenet 11 décembre 2006 à 15:43 (CET)Répondre
Merci, c'est mieux, en particulier le passage business friendly pour revenir au sujet de cette section :) bayo 12 décembre 2006 à 01:27 (CET)Répondre

De façon générale, une rédaction en bon français rend un article plus clair ... à condition d'utiliser les bons termes. Le terme gratuiciel exprime bien la chose : un logiciel gratuit, et non un logiciel libre, comme le terme freeware pourrait le laisser penser ; voir à ce sujet quelques recommandations de bons sens : http://www.gnu.org/philosophy/words-to-avoid.fr.html#Freeware. Certes l'emploi d'un terme inexact entrainera tout autant qu'une mauvaise compréhension d'un terme anglais, une inexactitude. Il est vrai que l'emploi de code source libre par désigner un code open source risque d'induire en erreur en faisant penser qu'il s'agit d'un logiciel libre et non d'un logiciel dont le code est ouvert ou disponible. En l’occurrence, en l'absence de terme français établi, le terme anglais open source me semble acceptable. Il y a tellement d'abus d'anglicismes dans Wikipédia et notamment dans les articles informatiques, qu'il n'est point besoin de faire de zèle : contentons nous de supprimer les anglicismes abusifs ; il y a déjà de quoi faire... Golfestro (d) 29 août 2012 à 09:08 (CEST)Répondre

Licence et contrainte modifier

J'ai remis « des licences qui offrent la plus grande liberté » au lieu de « des licences les moins contraignantes » [1]. En effet, c'est le droit d'auteur qui contraint, tandis que la licence lève un certain nombre de ces contraintes. Marc Mongenet 6 mars 2007 à 17:17 (CET)Répondre

C'était pour éviter le lutes façon c'est ma licence la plus libre, et la tourner dans le même sans que la phrase sur le copyleft. Peut être qu'il faut là aussi deux phrases du langage courant. BSD: qui autorise a réutiliser le plus librement GPL : Qui ne peut être réutilisé sans conserver son statut libre ou quelque chose dans l'idèe. ;-) 6 mars 2007 à 20:23 (CET)Répondre
Mais tout le monde s'accorde sur le fait que les licences BSD offrent plus de droits que les licences GPL. C'est d'ailleurs activement utilisé pour intégrer du code sous licence BSD dans les projets GPL. Marc Mongenet 7 mars 2007 à 03:10 (CET)Répondre
Oui, pour ceux qui réutilisent des bout de code sous licence BSD, elle sont moins contraignantes ... Une autre idée est que c'est une grande liberté de savoir que les évolutions de ce sur quoi on bosse seront toujours accessibles, et réutilisable, etc ... On a compris mon point de vue, on a compris le tiens, maintenant, le tout est d'en libérer l'article. ;-) 10 mars 2007 à 15:12 (CET)Répondre
Je ne me souviens pas avoir déjà rencontré le point de vue comme quoi « la GPL est plus libre que la BSD ». As-tu des sources qui le partage ? Marc Mongenet 10 mars 2007 à 15:32 (CET)Répondre
« savoir que les évolutions de ce sur quoi on bosse seront toujours accessibles » n'est pas une liberté. C'est une certitude, qui peut donner de la tranquillité à certains, et de la déception à d'autres, mais ce n'est en aucun cas une liberté pour qui que ce soit. Marc Mongenet 10 mars 2007 à 15:37 (CET)Répondre
Non je ne vais pas aller te chercher des sources pour nourrir le troll. Je me disait que c'est curieux tout ce qu'on arrive a lui faire dire a cette pauvre notion de liberté, tout et son contraire. Et comme la liberté c'est ce dont on a envie, si on peut faire ou dire sa connerie, c'est forcément une liberté. Et trêve de plaisanterie, tout les auteurs le savent, c'est le copyright qui offre la plus grande liberté. ;-) 10 mars 2007 à 22:39 (CET)Répondre

Carractéristiques des logiciels libres modifier

J'ai enlevé la répartition qualité / inconvénient pour ne laisser que les caractéristique (avec une intervention au bistro sur cette formulation a bannir à mon avis). Une meilleurs répartition de cette partie s'impose, en fonction de critère plus neutre que bien ou mal. ;-) 6 mars 2007 à 20:23 (CET)Répondre

Licences et logiciels modifier

J'ai l'impression que l'article mélange les licences libres et les logiciels libres, alors que ce sont deux concepts différents : Un logiciel est considéré libre si et seulement si sa licence est libre ; à l'inverse, une licence libre ne s'applique pas forcément qu'à un logiciel (textes, créations artistiques, etc.). Toute la partie sur les licences ne serait-elle pas plus à sa place dans licence libre ? Je signale également que pour la partie économique, il y a beaucoup plus de choses à dire sur le libre dans les administrations. En plus d'open office, les administrations françaises construisent de plus en plus d'applis fondées sur des technos libres (java, produits de publication comme lutèce, le moteur de publication de la ville de Paris, etc.) Pas mal de choses à dire donc sur cette partie, mais je n'ai pas le temps de m'y pencher en ce moment. Je peux toujours aider ceux qui seraient motivés pour écrire là-dessus, mais à petites doses pour l'instant. فاب | so‘hbət | 8 mars 2007 à 15:20 (CET)Répondre

Je suis complètement d'accord, et je me fend a essayer de séparer les notions de droit et les notions éthique ou philosophique (avec beaucoup de maladresse j'en conviens) depuis longtemps, notamment avec feu l'article les quartes libertés des logiciels libres. Malheureusement il y a comme vous pouvez le constater sur cette page quelques problèmes de communication entre moi et Marc Montgenet qui tendent a couper court a de mes interventions dans ce sens. Je suis donc bien sur près a aider ... mais je m'abstiendrais d'intervenir directement pour l'instant. ;-) 10 avril 2007 à 15:05 (CEST)Répondre
Libre n'est pas gratuit donc l'exemple Linux prête à confusion. Bonjour, Je vous invite à trouver un autre exmeple que Linux pour illustrer ce qu'est un logiciel libre. Voilà mes motivations. Je ne uis pas un expert en informatique. En revanche, je travaille à la commercialisation de logiciels propriétaires et payants basés sur des normes fixées par l'industrie du Web et l'industrie des Télécoms. La notion de Libre est souvent associée par mes clients non-informaticiens à Gratuit car l'utilisateur d'un logiciel libre ne paie pratiquement jamais de droit d'usage du logiciel. Par exemple, de nombreuses personnes savent que Linux est une alternative à Windows, que Windows est payant et que Linux est gratuit. Je pense qu'ils savent que la propriété de Windows est détenue par Microsoft mais je ne suis en revanche pas certain qu'ils savent qui détient la propriété de Linux, autrement dit que Linux est un logiciel libre ... comme ils ignorent que certraines éditions de Linux sont payantes. Donc, si vous souhaitez que l'article lève toute confusion entre libre et gratuit, je vous invite à éviter de donner Linux en exemple de logiciel libre. Ceci n'est que mon humble avis de lecteur. Cordialement. --brunodesacacias 10 avril 2007 à 15:48 (CEST)Répondre

Références à exploiter modifier

Je laisse un lien qui me semble contenir une mine de références à exploiter : Why Open Source Software / Free Software (OSS/FS, FLOSS, or FOSS)? Look at the Numbers! Marc Mongenet 14 avril 2007 à 19:03 (CEST)Répondre

Sécurité des données ? modifier

"Les logiciels libres peuvent offrir des garanties de sécurité supérieures à celles des logiciels propriétaires." Cette phrase me paraît très contestable, car on ne parle que des aspects traitements et pas des données. Les bases de données des logiciels libres atteignent des EAL qui ne sont jamais ceux des bases propriétaires (DB2, Oracle, SQLServer). Le niveau maximal atteint par des logiciels libres est de 5 au Ministère de la Défense en France, sur une échelle de 7. Les communautés de développement du logiciel libre n'ont généralement pas les moyens financiers de s'engager à faire les suivis demandés par les organismes de certification. Pautard 30 avril 2007 à 11:40 (CEST)Répondre

Bonjour. D'aucun affirme que je connais peu de choses en informatique, en particluier sur les logiciels libres. Mais fort de mon expérience, je me permets d'appuyer ta remarque : cet article est à modifier pour le rendre neutre et sourcé. Cordialement. --brunodesacacias 30 avril 2007 à 12:03 (CEST)Répondre

Sécurité modifier

"Donc, sur un projet de petite ou moyenne envergure où peu de développeurs bénévoles relisent scrupuleusement l'ensemble du code, la sécurité pour l'utilisateur peut s'en trouver amoindrie." L'information donnée par cette phrase est pour le moins curieuse : la phrase semble bien pourtant parler de la sécurité des « petits projets » de logiciels libres. En quoi, la sécurité d'un tel projet se trouverait-elle amoindrie par rapport à celle d'un projet non libre de même taille ? Dans les deux cas, les ressources étant limitées (et supposées comparables), la sécurité pourrait (en tout cas initialement) souffrir du manque de relectures scrupuleuses du code. Par contre, le logiciel libre, du fait de la publication de ses sources, aura à terme un avantage statistiquement supérieur quant au nombre de personnes susceptibles de repérer des vulnérabilités dans son code. C'est d'ailleurs exactement ce que dit la phrase d'avant « La découverte de failles de sécurité est facilitée par la publication du code source ». Si le but de la phrase était de dire que le manque de personnes compétentes pour relire du code peut influer sur la sécurité de celui-ci, cela n'est pas correct de dire cela à propos d'un des modes de développement (libre ou non libre) dans un paragraphe qui est sensé comparer les deux, alors que le problème s'applique aussi bien aux deux. Si le but de la phrase était de dire que les projets libres ont des équipes de contributeurs plus petites que les projets non libres (en moyenne ?), c'est alors une affirmation gratuite et sans fondement. Je supprime donc la phrase et la remplace par celle-ci : En effet, l'ouverture du code permet statistiquement à un plus grand nombre de personnes d'avoir la possibilité de repérer et de corriger des vulnérabilités. St Doane 27 octobre 2007 à 09:05 (CEST)Répondre

Amnésie d'une souris modifier

Bonjour,

savez-vous s'il existe un petit utilitaire (sous Fenêtres) permettant au cerveau de la souris de garder en mémoire plusieurs objets copiés, pour les coller par la suite dans l'ordre qu'on veut ? Merci Bourrichon 3 novembre 2007 à 17:31 (CET)Répondre

Rajout de lien modifier

Bonsoir,

J'ai rajouté un lien vers la définition officielle du GNU du logiciel libre.

Merci.

Droits sur l'utilisation du nom d'un logiciel libre ? modifier

Désolé pour le titre un peu long... Je me demandais si certains d'entre vous avaient quelques informations sur l'utilisation du nom d'un logiciel libre en droit français. En effet, on voit de plus en plus de sociétés sortir des logiciel libres (sous double licence) et qui ont les droits sur la marque au moins aux US. Est-il possible en France de parler de Open-Xchange, Asterisk, SugarCRM sans risque d'avoir des soucis avec la société qui édite le-dit logiciel. Peut être faut il préciser qu'on parle de la version libre... Bref, un logiciel libre l'est-il complètement ou le nom peut il être propriétaire ? Les SSLL sont spécialisées sur des logiciels dont ils font la promotion, mais ils ne peuvent pas faire autrement que d'utiliser le terme populaire désignant le logiciel dans sa version libre. Dilemme... La GPL prend elle en compte cette problématique ? Tout ça pour dire : ça serait bien d'aborder ce point dans l'article. Merci aux gens qui ont les compétences juridiques d'éclairer ma lanterne. Scandale - 23 janvier 2007 à 18:06 (CET)Répondre

Le nom d'un logiciel libre peut être une marque déposée. C'est par exemple le cas de Linux (déposé par Linus, voir http://www.linuxmark.org/), Firefox (déposé par la Mozilla Foundation, voir http://www.mozilla.org/foundation/trademarks/), Apache (déposé par The Apache Software Foundation, voir http://www.apache.org/foundation/licence-FAQ.html#Marks). A ma connaissance, les licences libres ne s'occupent pas des questions de marques. Il est tout à fait possible de parler d'une marque sans risquer de problèmes (heureusement, comment ferait les associations de consommateurs sans cela ?). Les problèmes apparaissent quand on essaie de copier, s'approprier ou dénigrer une marque. Marc Mongenet (d) 24 janvier 2008 à 00:11 (CET)Répondre
Merci pour ta réponse, je comprend bien que ce sont des marques déposées, mais comme pour le droit d'auteur, l'auteur ne renonce t-il pas à une partie de ses droits sur la marque en libérant le logiciel ? Ca voudrait dire qu'une société peut créer un logiciel, le nommer avec une marque qu'elle a déposée, libérer le code, puis attaquer les sociétés spécialisées sur ce même logiciel parcequ'elles se disent spécialiste du soft sur leur site web. Scandale - 24 janvier 2007 à 09:36 (CET)Répondre

Un article sur l'éconnomie du logiciel libre? modifier

Le ministère de la défense française annonce sa préférence pour le logiciel libre, et le passage de la gendarmerie a ubuntu. Voilà des informations intéressantes qui a mon avis ont leur place dans wikipédia, mais pas forcément dans l'article généraliste sur le logiciel libre.

Tout ça pour dire que j'ai de plus en plus l'impression que le besoin commence a se faire sentir de passer à un article traitant de la face économique du logiciel libre. (la seule catégorie dans les lien qui ne soit pas elle même un lien)

Le sujet est très sensibles, le nom économie du logiciel libre ne me semble pas géniale, la forme a donner dès le début peut vite tourner en croisade anti-tout-le-reste-du-monde, donc je préfère dans un premier temps poser l'idée ici, histoire de commencer plutôt par en discuter. ;-) 3 février 2008 à 10:53 (CET)Répondre

A propos de la sous-section Autres Licenses modifier

Bonjour à tous, Je pense que le fait de placer une section traitant des licences propriétaires, des sharewares, des freewares et de tous ces autres licences n'est pas logique tout simplement parce qu'il s'agit d'un article sur le logiciel libre qui est à peu près tout le contraire de ce type de licence.

Il me semble que ce ne soit pas le but d'un tel article de décrire (ou même de passer en revue) la globalité des licences non libres existantes, la description de ce genre de licences devrait être fait à part, dans des articles séparées et de manière facultative vous pouvez peut-être en faire une vague description (comme ce qui est fait ici) sur l'article concernant les licences de logiciel.

Je propose donc de supprimer la sous-section Autres Licences et de renommer la section licences en Les différentes licences libres.

Qu'en pensez-vous?

boss_78 (d) 9 mars 2008 à 21:46

Je suis d'accord avec ton analyse. J'étais parti pour tout supprimer. Cependant lister quelques exemples de logiciel non libre peut-être intéressant pour, par comparaison, comprendre ce qu'est le logiciel libre je pense. J'ai donc remanié cette partie pour n'en faire qu'une liste prenant moins de place dans l'article. Après si quelqu'un veut supprimer carrément toutes référence aux licences non libre je ne m'y opposerais pas. - MaxLanar[discutons] 20 décembre 2010 à 16:07 (CET)Répondre

Parts de marché modifier

Les chiffres dans la section "parts de marché" datent un peu... Si quelqu'un sait où l'on peut actualiser ces chiffres... J'ai rapidement cherché sur PAC, donné en source, mais sans résultats... Melkor73 [blabla] 30 juin 2009 à 16:41 (CEST)Répondre

oui, et le graphique ne précise pas s'il s'agit de parts françaises ou mondiales...

Question sur le LL en lui-même (A effacer par la suite car un poil HS) modifier

Afin de ne pas dire de bêtises dans les prochaines dîners, est-ce que quelqu'un pourrait m'éclairer sur un point qui me pose question depuis un bon bout de temps ? Voilà, si on suit les principes de 4 libertés du logiciel libre, chacun est libre de modifier et redistribuer un logiciel libre. Donc, là où je cherche à comprendre et donc où je m'interroge, un logiciel X, créé par M. Machin est modifié puis redistribué par M. Truc. M. Bidule modifie à nouveau, améliore deux ou trois choses, redistribue. Que devient M. Machin dans l'histoire ? Il n'est plus le "créateur" ? J'arrive pas trop à être clair parce que je pige pas ce point. Prenons un exemple précis: Par exemple un logiciel tel que Openoffice. Il est libre. Est-ce que quelqu'un peut reprendre les sources, modifier, améliorer à sa sauce et redistribuer le logiciel en disant: voilà openoffice nouvelle version ? Je sais pas si je suis compréhensible... :(Colonelsmith - 18 août 2009 à 16:00 (CET)Répondre

Les quatre principes fondamentaux ont donnés la licence GNU GPL. Ces principes n'incluent pas de reconnaissance pour l'auteur donc la GPL ne reconnait pas l'auteur d'origine. Ensuite, les autres licences libres sont plus ou moins compatibles avec GPL c'est à dire qu'elle respectent les 4 fondements, plus d'autres (la reconnaissance de l'auteur, la gratuité, ...). Donc, si la licence d'origine est la GPL, Mr Machin n'a pas d'appui juridique pour controler les futurs versions de son programme ; si c'est un licence ayant une reconnaissance de l'auteur original, Mr Machin a certains droits de propriété (généralement, toutes versions modifiées doit préciser le nom de l'auteur d'origine).
Le cas d'openoffice est un peux à part (comme firefox) car il me semble que Sun a déposé la marque "OpenOffice", donc on ne peut pas réutiliser le nom n'importe comment. En pratique, tu peux reprendre et modifier openoffice, mais pas dire que "c'est une nouvelle version" sans l'accord de Sun. Il faut faire attention car il y a bien deux droits qui s'appliquent ici : la licence pour le logiciel et la marque pour le nom du logiciel. Romainhk (QTx10) 18 août 2009 à 18:15 (CEST)Répondre
Merci pour le renseignement. Pour firefox par exemple, Debian inclut une version modifiée dans sa distribution en la renommant iceweasel, pour des questions de nom ou logo sous copyright, je crois, ou quelque chose comme ça. Je comprends mieux. Merci. Colonelsmith 19 août 2009 08:59
C'ets pas toujours simple cette histoire de licence Émoticône. Oui, pour firefox, c'est la licence du logo (qui a été déposé par Mozilla) qui le rend incompatible avec la licence de Debian. Romainhk (QTx10) 19 août 2009 à 13:57 (CEST)Répondre

"Gratuitement" modifier

J'ai révoqué l'ajout du mot « gratuitement » pour deux raisons :

  1. Les logiciels libres ne sont pas forcément gratuits : on peut les vendre ; mais dans tous les cas, il faut les distribuer gratuitement. La gratuité est indirect (qui va payer pour quelque chose de distribué gratuitement ?) : elle n'est pas dans la définition d'origine (dans les quatre libertés fondamentales).
  2. la première liberté sur l'usage s'est défini par rapport aux EULA, CLUF... (et autre licences propriétaires) où l'on n'avait pas le droit d'utiliser un logiciel sur une autre machine que celle définit par le constructeur ou le développeur, et pour un usage très précis et très cadré. Imaginons un programme de comptabilité lambda, sous licences propriétaires, on peut interdire son usage dans certains cas : usage professionnel, privé, publique... Un LL ne fait pas cette distinction. Cela n'a pas de lien avec la gratuité non plus, mais on pourrait peut être préciser cette ligne en y ajoutant un « sans restrictions » ? Romainhk (QTx10) 5 janvier 2010 à 12:49 (CET)Répondre
essayez de vous mettre un instant dans la peau de quelqu'un qui n'a jamais entendu parler de logiciel libre. C'est bien malheureux mais c'est le cas de la grande majorité des gens. Un argument massue pour une première utilisation de logiciels libres est la gratuité, mais cette information n'apparait pas du tout dans la première partie de l'article, l'accroche du message. Je pense que la gratuité indirecte dont vous parlez est beaucoup trop technique pour le commun des mortels. Je donne ma main à couper que Monsieur Toutlemonde ne le comprendra pas. Une encyclopédie doit s'adresser à Monsieur Toutlemonde et ne pas rester dans un jargon ésotérique qui ne satisfera qu'une poignée de puristes. --Wikifranz (d) 6 janvier 2010 à 15:58 (CET)Répondre
Vous avez apparemment mal compris le deuxième point de ma critique Émoticône sourire : vous aviez placé "gratuitement" dans les libertés fondamentales, ce qui est très faux. Il est vrai que la gratuité est un grand argument associé aux LL (bien qu'elle ne soit pas dans la définition de Stallman). Mais "gratuit" n'est pas "libre", ni même "open source". Faire des amalgames ne clarifiera pas plus la notion pour un néophyte (il est mal venu de dire à un débutant « les logiciels libres sont des logiciels gratuits »). Les logiciels qui sont gratuits avant toutes choses sont des freewares. Les différentes formes de LL suivent quand à eux une philosophie assez précise et apportent quelque chose de plus que les freewares.
Parler en premier lieu de gratuité (sous-entendu systématique) serait un peu fermer la porte au nez de ceux qui vendent et qui vivent du LL : Mandriva, Suse, Red Hat... (rien que pour les distributions).
La notion de gratuité est abordée, tard, dans l'introduction (au dernier paragraphe). Je vais essayer de reformuler l'intro pour placer la gratuité plus tôt mais surtout dans un autre contexte que les 4 principes fondamentaux. Romainhk (QTx10) 5 janvier 2010 à 17:20 (CET)Répondre
Voila. J'ai relégué l'historique (stallman...) à la fin et «généralement gratuit» apparaît maintenant au troisième paragraphe. (On pourrait peut-être encore retravailler le 2ème paragraphe mais je ne sais pas trop comment.) Est-ce plus claire ? Romainhk (QTx10) 5 janvier 2010 à 17:44 (CET)Répondre
C'est mieux formulé comme ça! L'ajout de "sans restrictions" à la première phrase, "généralement gratuits" et "plus que des freewares" sont très bien. Par contre, le reste est à mon avis trop technique (surtout la distinction entre "logiciel libre" et "open source" qui est très confuse pour un néophyte). Perso je dirais plutôt quelque chose du style : "Les logiciels libres sont généralement gratuits mais vont beaucoup plus loin que les freewares (gratuiciels). En effet, un logiciel libre donne un accès complet à son code source, ce qui signifie qu'on peut contrôler son contenu (notamment la présence de malware ou une atteinte à la protection de la vie privée) et le modifier. --Wikifranz (d) 6 janvier 2010 à 15:58 (CET)Répondre
Je ne suis pas si sûr que monsieur tout le monde soit aussi ignorant du sens du mot liberté. Dites a n'importe qui qu'il est libre d'utiliser un logiciel (sans restriction est un pléonasme), et vous allez très vite constater que monsieur tout le monde comprendra très vite que c'est gratuit. ;-) 6 janvier 2010 à 12:56 (CET)Répondre
« Tout le monde viendra s'il y a un buffet gratuit! » (Éric Cartman) ^^. Vous trouvez que le "sans restrictions" de la première phrase est une répétition ?
J'ai fusionné le deuxième (très technique) et le troisième paragraphe et j'ai introduit le terme "licence" (sic) dans la première phrase. Personnellement, je préfère dire que les LL «apportent quelques choses de plus», c'est plus "positivant" Émoticône. Romainhk (QTx10) 6 janvier 2010 à 14:34 (CET)Répondre
Personnellement je trouve que c'est beaucoup plus clair maintenant. Le "sans restrictions" est une répétition nécessaire, car le terme "libre" est tellement chargé d'idéologie nauséabonde qu'il a perdu une partie de sa signification originelle (pensez à "liberté de commerce", etc...) Vous connaissez aussi la confusion qui vient de la traduction "free". --Wikifranz (d) 6 janvier 2010 à 15:58 (CET)Répondre
Il ne faut pas rajouter licence dans l'intro, c'est une erreur qui traine dans wikipédia depuis déjà bien trop longtemps.
La partie supprimé était peut être trop technique, mais elle permettait de faire la distinction en la possibilité (au regard du droit) d'utiliser le logiciel en ayant la 4 liberté énoncées. Contrairement a ce qui était dit a tord un logiciel placé dans le domaine publique est un logiciel libre, et les quatres liberté ne sont pas accordé par une licence. Si je me suis permis cette partie technique en intro c'est qu'il y a un gros problème de compréhension qu'il faut bien arriver a dépasser. ;-) 7 janvier 2010 à 12:55 (CET)Répondre
Re-modif dans ce sens. A améliorer très certainement, mais en conservant la distinction entre le droit légale et la spécificité de la licence. Pour mémoire stallmann explique que dans les premiers temps les logiciels étaient toujours libre de fait, les quatre libertés étaient là par ce que ça ne dérangeait personne, et aucune licence n'était là pour les accorder ou les imposer. ;-) 7 janvier 2010 à 13:49 (CET)Répondre
Quelques micro-retouches (j'ai bien aimé le changement dans la 1er phrase de "sans restrictions" en "sans restrictions légales"). Je n'avais pas saisi le distinguo : la licence est un "moyen" (parmi d'autres) d'appliquer le libre et non sa définition propre. (Je ne connaissais pas non plus de témoignages de l'air pré-commerciale des logiciels. ^^) Romainhk (QTx10) 7 janvier 2010 à 15:00 (CET)Répondre
Oui, dans l'idée le logiciel est libre par nature (comme une recette de cuisine selon la référence habituelle).
Les restrictions sont apparue ensuite (notion de brevet appliqué au logiciel, débat sur la légitimité des droits sur les logiques de fonctionnement, etc). Et ce n'est que dans un troisième temps que le logiciel libre a été défini par opposition aux restrictions nouvelles (ou pas encore ressenties dans les faits), et les droits d'auteurs appliqués au logiciel ont été utilisés pour permettre à l'auteur d'imposer au logiciel qu'il avait conçu de rester libre (en retournant la restriction contre elle même). Si on commence par la licence, on manque les deux premières marches qui sont fondamentales a mon avis.
J'espère que cette fois ma reformulation sera assez claire pour qu'on ne revienne pas encore en arrière, en tout cas merci de l'avoir rendu plus lisible. ;-) 7 janvier 2010 à 16:00 (CET)Répondre
Oui, il serait regrettable de considérer la licence libre comme une fin en soi ^^.
De rien, je crois que nous sommes arrivé à quelque chose de claire pour tous Émoticône sourire. Romainhk (QTx10) 8 janvier 2010 à 10:10 (CET)Répondre
Je vous fais confiance au niveau technique, mais je me suis permis d'améliorer au niveau compréhension la phrase "Ces droits sont généralement accordés par une licence, dite « libre », ...." --Wikifranz (d) 8 janvier 2010 à 10:57 (CET)Répondre
Ok; par contre je ne comprends plus la phrase "En l'absence de restriction particulière, les libertés énoncées sont d'application comme c'est le cas pour..." (ce serait pas plutôt « en sont l'application, comme c'est le ... » ?) Romainhk (QTx10) 9 janvier 2010 à 10:21 (CET)Répondre
C'est que le tournure est fausse : en l'absence de restrictions particulières aux état unis c'est le copyright restrictif qui s'applique par défaut !
Les droits correspondant aux quatre libertés sont soit disponibles (rendu disponibles dans le cas du domaine publique par exemple), soit fixés par une licence qui peut les imposer aux évolutions (copyleft, licence GPL par exemple) ou pas (licente BSD par exemple).
Pourquoi la distinction de ces 3 cas distincts est-elle systématiquement tronqué? ;-) 9 janvier 2010 à 11:02 (CET)Répondre

->D'ailleurs je crois que c'est l'ordre qui rend la chose plus simple, donc je reprend mon explication pour en faire une proposition :

« Les droits correspondant aux quatre libertés peuvent être simplement disponibles (comme pour les logiciels du domaine publique [ref]) ou établis par une licence basée sur le droit d'auteur ; les licences qui imposent le maintient de ces droits aux logiciels dérivés sont dites « licences copyleft ». »

Manifestement c'est plus simplement exprimable dans l'ordre. ;-) 9 janvier 2010 à 11:58 (CET)Répondre

Effectivement :). J'ai légèrement reformulé la dernière phrase directement dans ta proposition. Romainhk (QTx10) 10 janvier 2010 à 01:19 (CET)Répondre

Définition Debian vs FSF? modifier

La définition du logiciel libre a été établie comme c'est expliqué par quelques précurseurs incarné ensuite par le FSF. La FSF a définie le logiciel libre ; http://www.gnu.org/philosophy/free-sw.fr.html

Debian est une émergence de la FSF, comme il y en a beaucoup d'autres, avec beaucoup d'acceptations particulières liés aux besoin techniques particulier de chacun des projet. Debian a défini son acceptation particulière, et donc définie "Les principes du logiciel libre selon Debian" : http://www.debian.org/social_contract#guidelines

La définition étaient établie dix ans avant l'apparition de Dedian, elle est unique. Les acceptation elles sont multiples, celle de Debian en est une parmi d'autre. ;-) 9 janvier 2010 à 12:30 (CET)Répondre

s/acceptation/acception/g ? Marc Mongenet (d) 9 janvier 2010 à 13:04 (CET)Répondre

?? ;-) 9 janvier 2010 à 15:24 (CET)Répondre

(traduction pour les non-informaticiens ;) Dans tout le texte précédent, devrait-on remplacer les occurrences de "acceptation" par "acception" ? Romainhk (QTx10) 10 janvier 2010 à 01:06 (CET)Répondre
Ha ok, merci pour la traduction. La réponse est oui.
Je connaissais pas la distinction, mais pour masquer mon ignorance je plaide l'emploie du mot acceptation « Au sens de acception » (ref ;-) 10 janvier 2010 à 12:07 (CET)Répondre

..., J'ai rectifié donc, en me basant sur l'article anglais en:The Free Software Definition. Ca permet aussi de rappeler comment la notion d'open source émerge de la définition établie par debian pour ces besoins propres.

J'ai aussi supprimé quelques considération financières, stallmann utilise volontiers le mot français « libre » pour établir la distinction que le mot « free » ne permet pas, donc c'est peut être pas la peine d'expliquer pourquoi c'est compliqué en anglais. Ensuite pour le modèle économique, c'est très important mais c'est plus du domaine de la définition, c'est à reprendre peut être en détail dans un autre paragraphe ou un autre articles ... ;-) 14 janvier 2010 à 16:56 (CET)Répondre

"Confond logiciel libre et licence libre" modifier

De quoi parlez-vous Calcineur, d'où vient cette disctinction ? 74.115.209.14 (d) 7 septembre 2010 à 15:32 (CEST)Répondre

Pour répondre a "d'où viens cette distinction", on l'a expliqué plus haut dans cette page, un logiciel sans licence aucune, du domaine publique, est libre. :-) 9 septembre 2010 à 09:48 (CEST)Répondre
Pour faire une réponse qui englobe les deux discussion ici et dans logiciel propriétaire, la liberté du logiciel distingue des possibilités d'utilisations (4 liberté), alors que les licences diverses et variées concernent ce que celui qui possède les droits (parfois les auteurs, souvent les entreprises qui les embauchent), concèdent comme possibilité d'utilisation.
En d'autre terme la notion de logiciel libre est extérieure a celle de la propriété. :-) 9 septembre 2010 à 10:01 (CEST)Répondre
Attention, en france un logiciel sans licence n'est pas dans le domaine public. Le droit d'auteur s'applique "par défaut". Pour qu'un logiciel passe dans le domaine public il faut que le droit d'auteur expire, et il faut une vraie démarche de l'auteur pour le rendre libre - c'est à dire sous licence libre,avant ce délai. Autant dire que ce n'est pas le cas de beaucoup de logiciels. D'autre part un logiciel compilé sans les sources ne rentre pas vraiment dans la définition. Ce n'est pas forcément le cas aux états unis par exemple ou un auteur peut passer son logiciel dans le domaine public si il le souhaite. TomT0m (d) 9 septembre 2010 à 14:01 (CEST)Répondre
Ok, merci pour les précisions technique, c'est important. Il n'en reste pas moins que le replacé dans une perspective souvent oublié, le droit dit "d'auteur" n'est jamais qu'une suspension provisoire du droit collectif, ici incarnées en terme de possibilités d'utilisation dite "libre". :-) 10 septembre 2010 à 12:36 (CEST)Répondre

une licence "domaine public"? modifier

Il n'y a pas de licence si c'est du domaine publique.

Toujours le même problème que ce que j'ai écrit juste au dessus : le droit dit "d'auteur" suspend une possibilité collective d'utilisation. La licence est relative à ce droit accordé. Une fois ce droit périmé ou plus en vigueur quel qu'en soit la raison, la possibilité d'utilisation n'est plus relative a ce droit provisoirement accordé.

La nuance forte, fondamentale dans cet article, c'est que les bases légales de tout ça c'est le droit collectif d'utiliser. :-) 11 septembre 2010 à 12:37 (CEST)Répondre

C'est indirectement la même problématique quant on peut lire pour définir la licence libre que l'auteur : "renonce ainsi à l'exclusivité de la plupart des droits que confère le droit de l'auteur" ... (modifié ici). Or juridiquement il utilises l'exclusivité de la plupart des droits que confère le droit de l'auteur pour imposer à sont travail les libertés définies en introduction.

C'est en tout cas pas plus faux tout en étant diamétralement opposé, simplement par ce que c'est, a mon avis, antinomique de définir ce concept de logiciel libre au travers d'un spectre exclusif du droit individuels. On est juste pas a une échelle qui permet d'exposer le sujet, et a chaque tentative de le faire quant même on retombe toujours faces aux même absurdités. S'il n'a pas été définie comme ça a l'origine, toutes les sources sont là pour le confirmer, c'est pas pour rien. :-) 23 décembre 2010 à 11:48 (CET)Répondre

Rentabilité des logiciels libres modifier

Il n'est jamais abordé le thème de la rentabilité des logiciels libres.

Je soutiens qu'un logiciel libres n'est jamais développé sans dividendes, même s'ils sont difficilement mesurables...

Un logiciel libre profite à une communauté, cela permet à tout ses utilisateurs de réduire leurs coûts de production. Et donc indirectement, si vous êtes consommateurs de leurs produits, vous avez obtenu une réduction sur son prix... C'est en ce sens que 1000 euros dépensés en temps ou en donation sur un logiciel libre peut très bien rapporter N fois plus au cours d'une vie.

Ce n'est peut-être qu'un point de vue, mais je ne cherche pas ici à rédiger une nouvelle section de la page Wiki, mais bien à discuter d'un sujet qui n'est pas traité, et pourtant bien réel.

Il y a des modèles économiques dans le logiciels libre, l'APRIL a publié un livre blanc il y a quelques années sur ce sujet. Amicalement, Comte0 (d) 9 mars 2011 à 18:04 (CET)Répondre

Open-source et debian? modifier

Je me trompe peut-être mais il me semble que l'open-source ne vient pas du tout de debian. D’ailleurs le projet debian parle de logiciel libre et non de logiciel open-source. Dans tous les cas si le lien entre debian et open-source est avéré il faudrait ajouter une référence. --Pparent (d) 30 mars 2011 à 16:43 (CEST)Répondre

Le seul lien que j'ai trouvé, c'est Bruce Perens, ancien leader de Debian, qui va fonder et quitter l'OSI au bout d'un an. Personnellement, je trouve ce lien un peu "capillo-tracté" Émoticône sourire.
Mais l'intro dans son ensemble ne me plaît pas : déjà, elle est trop longue. Je vais essayer de reformuler tout ça. Romainhk (QTx10) 30 mars 2011 à 17:17 (CEST)Répondre
Voila, on a maintenant un plan pour l'intro : définition en une phrase, un paragraphe donnant quelques précisions, un bref historique, puis les erreurs courantes ("ce que ce n'est pas").
Je crois qu'il faudra aussi revoir l'aspect historique qui est développé à deux endroit : dans la définition et au "Origines et évolution des logiciels libres" ; il faudrait voir pour les séparer. Romainhk (QTx10) 30 mars 2011 à 17:56 (CEST)Répondre

Oui c'est pas malÉmoticône. Je trouve aussi qu'il y a trop de parenthèses dans cette intro qui l'alourdissent de trop. Je penses qu'une partie de ces parenthèses sont inutiles, et qu'une partie du contenu parenthésé lui-même est inutile.

Facile!, voila un second passage de sécateur. Je crois qu'il faudra aussi déplacer ces notes dans le corps de l'article. Romainhk (QTx10) 31 mars 2011 à 13:23 (CEST)Répondre
Merci! Émoticône sourire

Réponse de l'auteur du sus-nommé capillo-tractage: J'ai essayer de rappeler que open source et logiciel libre ne sont pas deux choses tombé du ciel cote a cote. Il y a bien une filiation par l'articulation de l’expérience de mise en pratique qu'a été debian et qui a conduit Bruce Perens à la reformuler a sa façon en créant l'open source. Alors non, on ne peut peut être pas dire que l'open source viens de debian, n’empêche qu'en allant fouiller un peut on remarque que la définition de l'open source dans ces premières mouture est un quasi copié collé de la définition du logiciel libre selon debian. Faire comme si c'était complètement autre chose venus d'ailleurs c'est pas possible non plus (ni sérieux). D'ailleurs on doit même pouvoir retrouver des motivations des auteurs de l'open source qui voulait éviter de faire peur au monde commercial ou d'avoir l'aire un peut trop idéaliste, ou trop fleur bleu, au trop "communiste", c'est selon les protagonistes.

Je l'écris pour la discussion sur le sujet précis, mais j'ai (pour une fois) rien redire au boulot dans l'article, au contraire, que du mieux. :-) 17 mai 2011 à 20:10 (CEST)Répondre

Merci Émoticône sourire. Je suis d'accord que les deux notions sont liées, mais sans sources citées, sans « Untel a dit que les deux sont proches sous cette angle ci », cela reste un peu "incertain" (au sens wikipédien Émoticône). Par "raisonnement capillo-tracté", j'entendais surtout : manque de sources et insuffisamment explicité.
Et puis, en ce qui concerne la place de ce point dans l'article, je ne trouve pas que cela soit indispensable pour expliquer en peu de mots (= intro) le logiciel libre ; par contre, c'est un détail qui aurait tout à fait sa place au chapitre "« Logiciel libre » et « open source »" (On y parle absolument pas de Bruce Perens!) Romainhk (QTx10) 18 mai 2011 à 10:53 (CEST)Répondre
Il se peut qu'il y ai des ressemblance, et qu'il y ai manifestement des inspiration. Cela dit il me semble que c'est un peu du travail inédit que de l'écrire ici sans sources.
--Pparent (d) 18 mai 2011 à 11:46 (CEST)Répondre
Je suis d'accord pour la place dans l'article. Par contre pour l'inspiration c'est pas une possible ressemblance mais une filiation officielle et de notoriété publique. Maintenant c'est sûr que les sources sont drôlement absente y compris a l'échelle du wikipédia français en générale. C'est, je crois, justement dans les divers articles sur l'open source (comme Open Source Initiative ou Bruce Perens) qu'il faut travailler à amener les pièces manquante avec des références sérieuses ... par ce que je suis allé voir c'est pas franchement le cas. :-) 18 mai 2011 à 13:57 (CEST)Répondre
« The Open Source Definition was derived from the Debian Free Software Guidelines. » Source :-) 18 mai 2011 à 14:30 (CEST)Répondre
De ces propres mots Bruce Perens explique qu'il a rédigé cette définition par ce qu'il n'avait pas connaissance de la définition en quatre point établie avant source. :-) 18 mai 2011 à 14:39 (CEST)Répondre
Ok autant pour moi. Ca me semble bien comme source pourquoi ne pas l'ajouter à l'article?--Pparent (d) 18 mai 2011 à 23:06 (CEST)Répondre
On peut. Si on peut lire en toute lettre que l'open source découle du logiciel libre, je pense que ça suffit pour cet article. C'était pour le mettre en évidence que j'avais parlé de ça sans le référencer assez, mais ici c'est la complémentarité des deux sources qui est intéressantes, le fait le open source a pour définition un texte écrit par ignorance des principes fondamentaux du logiciel libre! Mais c'est je crois trop complexe voir polémique pour être utilisé dans une présentation simple. :-) 19 mai 2011 à 09:59 (CEST)Répondre

La notion de controle modifier

Bonjour, Je trouve que l'article n'insiste pas assez sur la notion de controle: avec un logiciel libre l'utilisateur peut controler ce que fait son ordinateur ce qui n'est pas possible avec un logiciel propriétaire. "la liberté de modifier un programme, que vous puissiez le contrôler plutôt qu'il vous contrôle". Le respect de la vie privée découle aussi de cette notion.

Je pense que la notion de controle est un des deux point essentiels du logiciel libre avec la possibilité de le partager librement. Il suffit d'écouter n'importe quel conférence de stallman pour s'en rendre compte.(par exemple ici) --Pparent (d) 31 mars 2011 à 19:46 (CEST)Répondre

Cette notion de contrôle me rappel un peu les idées du mouvement libertarien. Mais attention de ne pas tomber dans le travail inédit en utilisant des sources primaires comme une vidéo youtube (supprimée d'ailleurs).
Mais je pense qu'il doit y avoir une littérature, au moins anglophone, par exemple sur les rapports entre libre et libertarien. Dans sa biographie, il ne me semble pas que stallman insiste particulièrement sur l'idée du contrôle. Romainhk (QTx10) 14 avril 2011 à 14:46 (CEST)Répondre
Heu je vois pas le rapport avec libertin. Et cette notion est fondamentale pour le logiciel libre, tu ne la vois pas que sur des obscures vidéos youtube, c'est répété partout sur les sites gnu et fsf. Dans la première définition de logiciel libre par la fsf qui est cité dans ce même article tu lira "la liberté de modifier un programme, que vous puissiez le contrôler plutôt qu'il vous contrôle; pour cela, le code doit vous être accessible". Voir aussi ici:"Free software is about having control over the technology we use in our homes" ou ici: "In order for computer users to have freedom in their own computing activities, they must have control over the software they use" par exemple.--Pparent (d) 14 avril 2011 à 19:02 (CEST)Répondre
Je crois que Romainhk faisait plutôt référence au libertarianisme ^_^ Certains hacker comme Eric Raymond font le lien entre cette idéologie et l'Open Source. Je maîtrise pas vraiment toutes ces notions donc je ne prends pas part au débat, mais édite si tu peux sourcer correctement, sans faire de POV, de travail inédit ni être redondant avec le reste de l'article (partie sécurité) ;) Je pense aussi que c'est important, l'idée de transparence opposée à l'idée de la boîte noire. Scullder (d) 14 avril 2011 à 19:39 (CEST)Répondre
ok autant pour moi j'ai lu très (trop rapidement).--Pparent (d) 15 avril 2011 à 00:44 (CEST)Répondre
✔️ N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez Émoticône --Pparent (d) 15 avril 2011 à 11:27 (CEST)Répondre
Tout à fait Scullder Émoticône.
J'ai modifié un peu la mise en page, retouché deux ou trois petites choses mais cela me va. Il n'y a que le mot "attaquer" qu'il faudrait préciser : avec une pioche ? Émoticône sourire Àmha, il s'agit "d'atteindre à leurs libertés individuelles", non ?
J'en ai profité pour ajouter une petite phrase sur le libertarianisme. (edit: le peu que j'ai trouvé n'allait pas et l'idée n'est pas même exploité sur WP:en) Romainhk (QTx10) 15 avril 2011 à 15:40 (CEST)Répondre
Je viens de modifier une petite phrase qui ne voulait plus rien dire. Je ne sais pas exactement le sens du mot attaquer (c'est les propos de stallman), mais je pense qu'en général il fait références aux éventuelles backdoors. --Pparent (d) 15 avril 2011 à 17:30 (CEST)Répondre
Émoticône j'avais oublié le mot "ordinateur". Pour "attaquer", je pense qu'en l'abscence de contexte, il vaut mieux le retirer ; espionner et restreindre sont suffisamment menaçant. Romainhk (QTx10) 16 avril 2011 à 13:37 (CEST)Répondre
Réponse à la toute première intervention: De mémoire ce principe est une base de la philosophie de stallmann (il faisait déjà péter les tout premiers codes au mit pour montrer qu'un code est le meilleurs moyen de perdre le contrôle de la machine), mais si c'est une motivation de ce qui a poussé l'homme a créer le logiciel libre, c'est pas pour autant quelque chose qui défini ou le caractérise le logiciel libre.
Par exemple le développement du noyau hurd repose pas mal sur ce principe (et stallmann est dans le coup) alors que le noyau Linux pas du tout, ce qui n'empêche pas pour autant linux d'être une emblème du logiciel libre.
Le rapport avec des principes libertarien et compagnie c'est plutôt du story-telling, du genre qui dépeint un décor dépourvus de toute limites ou faudrais surtout pas laisser aller les 'tites n'enfants. AMHA biensur. :-) 18 mai 2011 à 18:49 (CEST)Répondre

Les modifications ajoutées récemment par Stallman sur la free software définition, mettent à mon sens fin à ce débat et montrent que la notion de contrôle est bien fondamentale pour le logiciel libre. Je penses que ça appellerai peut-être même par la suite à étendre encore un petit peu la place faite à cette notion dans l'article, mais je ne le ferais pas moi-même pour l'instant. --Pparent (d) 29 février 2012 à 21:13 (CET)Répondre

pour info modifier

Je signale : Dossier/mini-guide 104 logiciels libres pour la rentrée 2011 (étudiants et chercheurs), qui est l'édition de septembre 2011 du Flash Informatique, revue en ligne de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne. Encombrerait-il la bibliographie de l'article, ou est il utile de l'ajouter. Je laisse les spécialistes en juger. --Lamiot (d) 27 septembre 2011 à 12:05 (CEST)Répondre

Illustrations modifier

Je pense que la personne qui a fait le schéma conceptuel du logiciel libre a du y passer pas mal de temps. Malheureusement, je le trouve complètement incompréhensible (même pour quelqun qui connait le domaine).
Le schéma est beaucoup trop chargé avec du texte dont on ne sait parfois pas à quoi il se rapporte ("choisissent"), des parties isolées qui sont trop collées au reste et gagneraient à être cloisonnées, et des notions qui s'éloignent de la thématique ("distribution" est orthogonal à Logiciel Libre, de nombreux logiciels ne sont pas distribués dans le cadre d'une distribution [qui n'a jamais fait "./configure && make"?], de plus les utilisateurs de Microsoft Windows peuvent tout à fait utiliser des logiciels libre, et considérer ce système d'exploitation comme une distribution m'est des plus étranges).
Certaines parties sont trop verbeuses aussi (par exemple "valeur" avec une liste [trop longue] de noms dont on ne sait pas si elle est ou non exhaustive, mais dont on peut voir que certaines ne sont pas des valeurs de tous [par exemple "sécurité" n'est certainement pas une valeur de tous les logiciels libres que l'on trouve]).
La partie "est" est à mon avis complètement inutile; je pourrais très bien écrire "ce schéma" à la place d'"une façon éthique de comprendre le logiciel", et retirer le petit texte en dessous qui énumère les parties du schéma.
Bref je pense que ce schéma gagnerait à être retravaillé.
Sedrikov (d)

Je suis d'accord, je l'ai trouvé embrouillé et confus. Je l'ai supprimé, à remettre éventuellement s'il est retravaillé et rendu plus clair. 2A01:E34:EC0C:87D0:5604:A6FF:FE7E:787B (d) 24 juillet 2012 à 16:28 (CEST)Répondre

Je penses que si l'on est parti sur ce chemin les petits dessins de Stallman sont bien pire: en anglais, l'écriture est pas forcement très lisible. Je ne trouve pas non-plus le dessin très beau ni très soigné, l'écriture est pas droite et il y a même une rature. Et j'avoue que je l'interet d'avoir une bande dessinée pour expliquer ça ne me saute pas aux yeux. Enfin encore ça serait du dessin vectoriel super beau, ça rendrait l'article joli.
--Pparent (d) 24 juillet 2012 à 16:49 (CEST)Répondre
Du coup, j'ai effectivement viré les petits dessins. J'ai aussi remplacé la photo de Stallman par celle qui est utilisée sur l'article allemand, où il a moins une tête d'illuminé. 2A01:E34:EC0C:87D0:5604:A6FF:FE7E:787B (d) 24 juillet 2012 à 17:28 (CEST)Répondre
Du coup ça manque d'illustration aussi!! On peut par exemple penser à a une illustration qui regroupe les logos des logiciels libres les plus celebres. Par exemple on peut se baser sur ça pour la liste --Pparent (d) 24 juillet 2012 à 17:47 (CEST)Répondre
D'ailleurs à vrai dire je ne vois pas non-plus ce que fait le logo de open-source dans l'article d'autant plus qu'il y a une mise en garde au dessus concernant le fait qu'il ne faut pas confondre.. Mais bon on va ptet pas supprimer toutes les illustrations d'un coup. --Pparent (d) 24 juillet 2012 à 17:52 (CEST)Répondre
Ben, du coup, j'aime vraiment pas non plus cette photo. Je préférais la mienne, à défaut d'en avoir une de qualité, au moins il n'a pas une tête ahurie :P. Sinon, pour les illustrations, on pourrait ajouter des captures d'écran de logiciels libres connus : VLC, firefox, un bureau sous GNOME/KDE... 2A01:E34:EC0C:87D0:5604:A6FF:FE7E:787B (d) 24 juillet 2012 à 23:29 (CEST)Répondre

Concernant le schémas conceptuel, je ne suis pas non plus favorable à sa mise en avant comme première illustration. Je trouve qu'il est trop chargé, difficile à comprendre du premier coup d'œil, et ne reflète pas forcement l'idée du concept de logiciel libre que je me fais, mais ça ce n'est que mon point de vu.

--Pparent (discuter) 22 janvier 2014 à 17:40 (CET)Répondre

Je suis assez d'accord moi aussi, je côtoie des utilisateurs fraîchement venus sur GNU/Linux et leurs démontrer le concept du LL par le biais de ce schémas c'est de la mutilation intellectuelle, à la louche l'essentiel y est mais c'est trop complexifié. ^_^... Mimmo D.DN

De toute façon, comme actuellement dans l'introduction juste après le texte, le schéma est malgré tout mis en avant. C'est largement suffisant. Golfestro (discuter) 22 janvier 2014 à 21:03 (CET)Répondre

Esthétique Chapeau modifier

C'est pas un peu too much la dixaine de note (stallman def 1 def 2 ...) dans le chapeau de l'article ? J'aime bien l'idée de catégoriser les références quand c'est pertinent mais là je trouve que c'est quand même bien moche et que ça casse complètement le texte, voir que ça rend difficile la lecture ... Je pense qu'il faudrait soit diminuer la taille des clés de ref, genre diminuer "stallman" en "RMS" par exemple, ou au moins placer les ref en fin de phrase et pas en plein milieux ... TomT0m (d) 25 juillet 2012 à 15:48 (CEST)Répondre

c'est surtout les "notes" je trouve qui alourdissement le tout. Il faudrait les remplacer par des N1 N2 collés, mais je sais pas comment faire. --Pparent (d) 27 juillet 2012 à 10:32 (CEST)Répondre

Bonjour,
Il me semble que tout le système de notes et de références de cet article est à revoir. On trouve en effet des références dans la bibliographie et dans les liens externes. C'est assez désordonné et on s'y perd je trouve. L'utilisation des références Harvard devrait régler ça. Je m'en occupe de ce pas ! ^^
--Iperekh (d) 27 juillet 2012 à 12:29 (CEST)Répondre

Voilà, j'ai commencé par normaliser la bibliographie et les liens externes pour faciliter la tâche par la suite. J'attaque les appels de notes dans la soirée ;o)
--Iperekh (d) 27 juillet 2012 à 15:21 (CEST)Répondre
Ok Merci, pour ce travail :)! --Pparent (d) 27 juillet 2012 à 15:37 (CEST)Répondre

Re,
J'ai allégé un peu le chapeau en réintégrant certaines infos dans le corps de l'article. Ça m'a notamment conduit à retravailler la partie "Définition"... Je n'ai pas vérifié la suite pour le moment.
Bonne continuation. Cordialement,
--Iperekh (d) 27 juillet 2012 à 23:31 (CEST)Répondre

Ordre des sections 3 et 4? modifier

Bonjour,

Je me demande s'il ne serait pas judicieux d'inverser l'ordre des sections "Caractéristiques des logiciels libres" et "Licences".

En effet la section "Caractéristiques des logiciels libres" reste général et assez facilement compréhensible par un large publique. De l'autre coté "Licences" entre dans la partie du sujet un peu plus technique et détaillée.

Qu'en pensez-vous? --Pparent (d) 24 novembre 2012 à 22:28 (CET)Répondre

Bonjour Émoticône sourire. Ça aurait du sens, effectivement. Amicalement — Arkanosis 27 novembre 2012 à 00:30 (CET)Répondre
Bon j'effectue, et il sera pas trop tard pour rechanger après, si on change d'avis. --Pparent (d) 30 novembre 2012 à 13:34 (CET)Répondre

"Liberté, égalité, fraternité" modifier

Je trouve étrange que la version anglaise de l'article sur le logiciel libre n'utilise pas cette devise (Liberté, égalité, fraternité) pour définir sur quoi repose le logiciel libre. Même la version anglaise de la page "Liberté, égalité, fraternité" ne parle pas de Richard Stallmann, tandis que celle française en parle. Je pense qu'il s'agit plutôt d'une analogie, d'un moyen d'illustrer ce qu'est le logiciel libre et non sur quoi il "repose". Il n'est nullement question de cette devise dans la définition officielle du logiciel libre sur le site gnu.org. C'est pourquoi je pense qu'il faudrait reformuler le passage de l'article dont il est question de cette devise. Le verbe "reposer" porte à confusion ainsi que le lien vers la page de la devise.

Je propose de changer ce passage pour quelque chose de moins radical que "reposer". "[...] le logiciel libre, selon son initiateur, est un mouvement social qui peut être expliqué par les principes de Liberté, Égalité, Fraternité [...]"

Artyom2033 (d) 7 mai 2013 à 06:44 (CEST)Répondre

Ce passage est une citation (référencée) qui illustre le sujet. Où est le problème ? Golfestro (d) 8 mai 2013 à 22:53 (CEST)Répondre

Capture d'écran modifier

Bonjour peuple libre,

A propos de la capture de l'interface Trisquel GNU-Linux, peut-on mettre à jour et afficher la version 7 Belenos actuelle... MDDN (discuter) 29 juin 2016 à 13:20 (CEST)Répondre

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