Discussion:Maison Comnène
- Admissibilité
- Neutralité
- Droit d'auteur
- Article de qualité
- Bon article
- Lumière sur
- À faire
- Archives
- Commons
Cet article est indexé par les projets Monde byzantin et Généalogie.
Les projets ont pour but d’enrichir le contenu de Wikipédia en aidant à la coordination du travail des contributeurs. Vous pouvez modifier directement cet article ou visiter les pages de projets pour prendre conseil ou consulter la liste des tâches et des objectifs.
| Avancement | Importance | pour le projet | |
|---|---|---|---|
| Bon début | Élevée |  | Monde byzantin (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) |
| Moyenne |  | Généalogie (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) | |
Cet article ne comporte pas de liste de tâches suggérées. Vous pouvez saisir une liste de tâches à accomplir (par exemple sous forme d'une liste à puces), puis sauvegarder. Vous pouvez aussi consulter la page d'aide.
Branche savoyarde
modifierUn IP a ajouté ce passage :
« Un rameau des empereurs de Constantinople s'est fixé en Savoie : Jean III Comnène, Empereur de Trébisonde, revêtit Michel, son troisième fils, de la dignité de Despote d'Enéo. C'est des Despotes d'Enéo qu'est sortie une branche de la Maison de Comnène, établie en Italie, dans le Milanais, où le dernier de cette branche, très avancé en âge, n'avait pas de postérité masculine (1784). « Alexis Drago Comnène originaire de Pera, près de Constantinople, est le chef d'une autre branche. Ce prince plusieurs années après la prise de la Capitale, où il menait une vie privée et ignorée, voulut se soustraire à l'oppression des Turcs... et passa en Savoie où il fut favorablement accueilli par le duc alors régnant. Quelques-uns de ses descendants habitent encore aujourd'hui la ville de Chambéry ; un d'entre eux vint en France longtemps après dans l'intention de s'y établir et y mérita la protection du monarque. Joseph Comnène, âgé de 60 ans (en 1784), est le dernier de cette branche. Ce prince a vécu dans le célibat, craignant de laisser des enfants qui n'auraient point eu un état et une fortune convenables à leur naissance... ». Joseph-Nicolas de Comnène; « Le prince qui a vécu dans le célibat à Chambéry » était, en 1729, pupille de Me Ballin, âgé de 60 ans en 1784, était le premier syndic de Chambéry en 1768, et en 1793 il était détenu dans les prisons de la Nation « parce qu'il était orgueilleux de sa noblesse et suspect d'aristocratie ». Il était alors âgé de 66 ans et encore célibataire. La date de sa mort n'est pas connue, mais il fut le dernier de son nom en Savoie (DE FORAS (Comte Amédée), DE MARESCHAL (Comte), DE VIRY (Comte), D’YVOIRE (Baron), Armorial et Nobiliaire de l’Ancien Duché de Savoie, Grenoble, Allier père et fils Editeurs, 1863-1938, 6 volumes dont un de supplément, inachevé, Tome 2). »
Le problème est que l'empereur Jean III de Trébizonde n'est connue comme père que d'un seul enfant, dont on ignore le prénom (source : la FMG).
Pour voir s'il y a une éventuelle confusion avec un homonyme (pas de date pour Jean III) :
- Jean Ier de Trébizonde n'a eu qu'un seul fils, sans postérité car moine,
- Jean II de Trébizonde n'a eu que deux fils, le second, Michel, n'est pas connu comme desposte d'Enéo mais brièvement comme empereur de Trébizonde et son unique fils est Jean III,
- Jean IV de Trébizonde n'a eu qu'une seule fille.
La notion de « despote d'Enéo » est inconnue de Google.
Donc le rajout n'est pas pertinent, je rétablis l'ancienne formulation :
« Une tradition veut qu'un rameau des empereurs de Constantinople se serait fixé en Savoie. »