Discussion:Néosionisme
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GFDL
modifierDans sa version du 14 mars 2009, cet article est une traduction de l'article équivalent de wp:en : en:Neo-Zionism. Ceedjee contact 14 mars 2009 à 13:41 (CET)
Sources
modifierAcadémiques
- Eran Kaplan, Beyond Post-Zionism, SUNY Press, 2015, p.55.
- Jeffrey K. Olic, States of Memory Continuities, Conflicts, and Transformations in National Retrospection, Duke University Press, 2003, p.241.
- Uri Ram, Historiosophical Foundations of the Historical Strife in Israel in Anita Shapira et al. Israeli Historical Revisionism: from left to right, Routledge, Psychology Press, 2002, pp.43-59.
- Asima Ghazi-Bouillon, Understanding the Middle East Peace Process: Israeli Academia and the Struggle for Identity, Routledge, 2009.
- Uri Ram, The Future of the Past in Israel - A Sociology of Knowledge Approach, in Benny Morris, Making Israel, pp.210-211.
- Gilbert Achcar, The Arabs and the Holocaust: The Arab-Israeli War of Narratives, Macmillan, 2010, p.185.
Journalistiques
- Kobi Ben-Simhon, Neo-Zionism 101, Haaretz, 5 juin 2009.
- Dana Agmon, Neo-Zionism -- Israel's True Threat, Huffington Post, 12 octobre 2010.
- Gershon Baskin, Neo-Zionism, Religion, and Citizenship, Foreign Policy in Focus, 26 septembre 2007.
- David Breakstone, Zionism isn't what it used to be, The Jerusalem Post, 21 juin 2009.
ATTENTION
modifierAttention, en l'état (début oct. 2019) cet article n'est pas très bon car unilatéral. Il ne présente le mouvement des juifs israéliens radicaux que sous les traits que leurs adversaires de gauche leur prêtent. Lesquels, selon les habitudes verbales locales, virent rapidement à la caricature : extrême droite, raciste, fasciste voire, comme Ben Gourion disait de Begin, nazi !
En attendant que cet article soit amélioré, qui voudrait avoir une vue moins caricaturale pourra lire l'excellent livre de en:Yoram Hazony, L'État juif : sionisme, postsionisme et destins d'Israël, 2007 (large aperçu en ligne) ou, peut-être (je ne les ai pas encore lus), ceux de Pierre Lurçat.
Pour simplifier, il me semble qu'on pourrait dire que ce parti dit néo-sioniste se détermine par réaction à la tendance assimilationniste des post-sionistes ("Israël doit devenir un pays comme les autres"). Eux veulent un État, pour ainsi dire, juif-de-chez-juif, inspiré par le messianisme biblique conçu comme exigence à réaliser sur terre et non au Ciel[1] ; leur radicalité vis-à-vis des Arabes en guerre pourrait n'être que conjoncturelle : c'est Begin qui a fait la paix avec l'Égypte, c'est Netanyahou qui a opéré les plus grandes percées avec les États arabes. — Valp 5 octobre 2019 à 00:28 (CEST)
- Hazony : « Buber, Scholem et d'autres insistèrent sur le fait que le terme "messianique" devait s'appliquer uniquement à un idéal religieux, et non au sionisme, mouvement relevant de la sphère du politique. Ben Gourion rejeta catégoriquement cette conception, affirmant que le messianisme signifiait le désir de parfaire le monde, dans toute la mesure du possible, au sein même du cours naturel de l'histoire. »