Discussion:Syndrome d'Asperger/Article de qualité

Dernier commentaire : il y a 9 ans par Christophe95
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Cet article a été promu comme Article de qualité en vertu de ce vote.
Merci de remplacer ce modèle par {{Contestation CdQ}} si le vote est remis en cause.

Article promu au terme du second tour.

  • Bilan : 16 pour, 3 bon article, 0 attendre, 0 autre(s) vote(s).
  • Commentaire : (pour) / (pour + bon article + attendre) = 84,2 % ≥ 75 %

Christophe95 (discuter) 7 octobre 2015 à 00:28 (CEST)Répondre

Article en second tour.

  • Bilan : 12 pour, 3 bon article, 0 attendre, 0 autre(s) vote(s).
  • Commentaire : Moins de 8 votes  Article de qualité et/ou (pour) / (pour + bon article + attendre) = 80 % ≤ 90 % mais au moins 8 votes et (pour + bon article) / (pour + bon article + attendre) = 100 % > 50 %

Christophe95 (discuter) 23 septembre 2015 à 00:45 (CEST)Répondre

Syndrome d'Asperger

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Proposé par : Tsaag Valren () 22 août 2015 à 11:38 (CEST)Répondre

Article en cours de travail depuis quelques mois, qui me semble désormais au niveau AdQ. Un nombre très conséquent d'ouvrages et de publications ont été épluchés, parmi lesquels les livres des spécialistes internationaux du sujet, ainsi qu'une centaine de publications scientifiques (celles de l'article anglais n'ont pas été re-consultées, mais pour les ajouts propres à celui-ci, j'ai lu au moins tous les résumés). Je pense que l'article est désormais complet sans pour autant trop entrer dans les détails ni basculer dans le hors sujet. Il y a des articles détaillés pour celà : Histoire du syndrome d'Asperger (pour aborder les théories anciennes et désormais invalidées), Diagnostic du syndrome d'Asperger (pour détailler les différentes échelles diagnostiques et les controverses sur l'individualisation de cette forme d'autisme) et Syndrome d'Asperger dans la culture populaire (qui détaille les films, séries, théories sur de nombreuses personnes célèbres atteintes ou non du SA), créés entre autres pour éviter de noyer cet article là dans les détails. J'ai équilibré les sections au mieux, je ne pense pas avoir oublié la moindre info importante... cet article est d'ailleurs beaucoup plus fourni (et à jour) que son homologue anglais. Bonne lecture, et, ben... bon vote.

PS : Par avance merci de lire l'article avant de tirer une quelconque conclusion à la simple lecture de ma PU !

Format : Motivation, signature.

Article de qualité

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  1.  Article de qualité Clair, accessible et complet. --Rocherd (discuter) 23 août 2015 à 15:01 (CEST)Répondre
  2.  Article de qualité Article passionnant! Psemdel (discuter) 29 août 2015 à 00:24 (CEST)Répondre
  3.  Article de qualité Après quelque hésitation entre bon article et AdQ, convaincu par l'amélioration globale de l'article, la rédaction générale le sourçage et l'argumentation présentée, qui plus est sur un sujet ardu. Il reste quelques liens rouges à bleuir mais ce n'est à mon avis pas du tout un obstacle. --——d—n—f (discuter) 2 septembre 2015 à 19:18 (CEST)Répondre
  4.  Article de qualité Loin d'être un expert du sujet, mais l'ensemble me semble correctement équilibré. Coté forme, c'est irréprochable, bien sûr. Borvan53 (discuter) 4 septembre 2015 à 22:10 (CEST)Répondre
  5.  Article de qualité Merci d'avoir si bien traité le sujet. Gtaf (discuter) 5 septembre 2015 à 23:19 (CEST)Répondre
  6.  Article de qualité Article limpide et très instructif. Bémol mineur, encore 4 liens rouges. Dsgn (discuter) 10 septembre 2015 à 22:40 (CEST)Répondre
  7.  Article de qualité Article qui me semble complet, clair, avec des paragraphes bien équilibrés. Bravo pour ce travail ! InfraRouge77 (discuter) 14 septembre 2015 à 13:50 (CEST)Répondre
  8.  Article de qualité Bien rédigé, suffisamment de sources. Il y a quelques trucs à corriger (je prévois le faire d'ici quelques jours). — Cantons-de-l'Est discuter 16 septembre 2015 à 03:27 (CEST)Répondre
  9.  Article de qualité Article de qualité qui a beaucoup été amélioré ces derniers mois. Il traite désormais le sujet dans son entièreté Stéphanedelourdes (discuter) 19 Septembre 01:22 (CEST)
  10.  Article de qualité Merci pour ce travail poussé et aux finitions irréprochables ! --Frédéric (discuter) 19 septembre 2015 à 17:58 (CEST)Répondre
  11.  Article de qualité Excellente synthèse sur un sujet assez vaste, bravo pour le travail. Bibo le magicien (discuter) 22 septembre 2015 à 11:39 (CEST)Répondre
  12. Pour bon je crois que ce bel article est prêt à recevoir ce petit label Goombiis (Discuter) 26 septembre 2015 à 19:44 (CEST)Répondre
  13. Pour bien joué, Mme la licorne ! Archibald Tuttle (discuter) 1 octobre 2015 à 22:09 (CEST)Répondre
  14.  Article de qualité Très bel article sur un syndrome toujours dur à expliquer, quand on en est atteint... ça m'est arrivé d'orienter les gens ici --Le grand Célinien (un râle ?) 2 octobre 2015 à 18:52 (CEST)Répondre
  15.  Article de qualité Très bel article, soigné et complet. Abaca (discuter) 2 octobre 2015 à 22:33 (CEST)Répondre

Bon article

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  1.  Bon article FrankyLeRoutier % Appelez-moi sur mon CB 29 août 2015 à 01:31 (CEST)Répondre
  2.  Bon article Très bon travail. Néanmoins pour moi des études portant sur un nombre très faible de personnes (celles citées concernant le suicide, la schizophrénie,les addictions) n'ont pas à être intégrées à l'article car elles ne sont pas encore confirmées par des études de plus grande ampleur. Cela peut te paraître un détail mais pas pr moi. Si cela est modifié mon vote est susceptible d'évoluer. Lushie (discuter) 6 septembre 2015 à 12:01 (CEST)Répondre
  3.  Bon article Gros travail, très réussi sur le plan formel. Bon, on trouve quelques liens rouges, ce qui devrait se résoudre facilement. Quelques courtes phrases, me semble-t-il, restent non sourcées. En revanche, à mes yeux, trop d’affirmations restent non attribuées. Par ailleurs, je trouve que la question du statut de ce syndrome, c'est-à-dire son histoire et son aspect récent, la question de sa place dans les classifications, de la rupture ou de la continuité avec l'autisme, du neurotypisme et de l'« intelligence autre » auraient méritées d'être traitées plus en profondeur. Enfin, tout un pan des théories psychanalytiques — quoi qu'on en pense personnellement, vu que des sources solides existent — aurait pu être développé dans les sections « Caractéristiques », voire « Causes et mécanismes ». Cordialement, — JoleK [discuter] 16 septembre 2015 à 16:57 (CEST)Répondre

Attendre

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! Attendre Sympa de lancer la procédure alors qu'une discussion est en cours et que certaines choses ne sont pas stabilisées parce que non consensuelles. — JoleK [discuter] 22 août 2015 à 13:14 (CEST)Répondre

Neutre / autres

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Discussions

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Remarque de JoleK

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Sympa de lancer la procédure alors qu'une discussion est en cours et que certaines choses ne sont pas stabilisées parce que non consensuelles. — JoleK [discuter] 22 août 2015 à 13:14 (CEST)Répondre

La procédure prend un mois, ça laisse largement le temps de recueillir d'autres avis en ce qui concerne ce débat sur la psychanalyse... Ensuite, j'estime qu'il n'y a pas de discussion en cours, mais plutôt une temporisation volontaire et des tentatives pour noyer le poisson. L'article a fait l'objet de plusieurs relectures de spécialistes qui l'ont tous analysé comme étant neutre et complet. Il n'y a guère qu'un avis dans le sens contraire. -- Tsaag Valren () 22 août 2015 à 13:18 (CEST)Répondre
Donc mon avis ne vaut rien ? Oh !JoleK [discuter] 22 août 2015 à 13:28 (CEST)Répondre
Votre avis vous venez de le donner, il n'a pas plus ni moins de valeur que celui des autres personnes appelées à voter sur cette page... Depuis des semaines, dans la discussion sur la page discussion:Syndrome d'Asperger, vous parlez de sources au sujet de la psychanalyse, qui ne viennent pas. On a actuellement deux paragraphe de taille relativement équivalente sur les TCC et la psychanalyse. Cela paraît suffisant pour proposer au label. Voyons l'avis des autres membres de la communauté WP, si vous le voulez bien ? -- Tsaag Valren () 22 août 2015 à 13:32 (CEST)Répondre
Je viens de terminer de lire un ouvrage consacré au sujet, j'ai un travail en dehors de Wikipédia, et une discussion est en cours. Des sources j’en ai apportées plusieurs, certaines dans l’article, d'autres en PDD. Et je ne suis toujours pas d’accord, et ne l’ai jamais été, avec certaines formulations. Mais visiblement, ça ne vous dérange pas. Je ne partage pas du tout cette conception de Wikipédia. — JoleK [discuter] 22 août 2015 à 13:53 (CEST)Répondre
La conception de Wikipédia que je ne partage pas, c'est celle des groupes de pression (pro-psychanalyse ou quels qu'ils soient) qui tentent par tous les moyens d'orienter l'information encyclopédique. J'ai pris en compte les sources que vous avez ajoutées il y a quelques temps. Il y a une communauté prête à aider pour reporter les sources dont vous avez parlé, il suffit de les mettre à disposition. Ou même de les envoyer par mail pour qu'un autre contributeur s'en occupe. Enfin, vous ne me ferez pas croire qu'en un mois que dure la procédure, vous n'avez pas le temps d'ajouter trois sources à l'article ? Vous auriez le temps de débattre pendant trois semaines sur une page de discussion et pas celui de contribuer ? J'ai demandé deux fois, très clairement il me semble, s'il existait la moindre évaluation scientifique de l'efficacité des prises en charges psychanalytiques du S.A. Vous ne répondez pas à ma question, vous dites que les évaluations scientifiques ne sont pas pertinentes... Bien. WP doit présenter une information neutre, factuelle et vérifiée. Je pense que les publications scientifiques sur l'efficacité des TCC entrent dans ce cas de figure, et que les publications de psychanalystes rédigées pour un public de psychanalystes n'ont pas leur place au sein de cet article. -- Tsaag Valren () 22 août 2015 à 14:02 (CEST)Répondre
Ah oui, des évaluations de TCC, construite selon le paradigme des TCC, et qui évaluent les souffrances d’un être humain comme on évalue l'état d’un foie, ça a toute sa place sur Wikipédia, y le mot magique de science dedans. Par contre d'envisager qu'il y a quelque chose d'irréductible à la "science", de profondément singulier chez chaque être humain, et peut-être de manière encore plus sensible dans le cas des personnes avec Asperger, ça ça n’a pas sa place sur Wikipédia Pleure. Au passage, merci de ne pas m’assimiler à un groupe de pression, c'est très limite sur le plan des règles de savoir-vivre. Enfin, d'ici un mois, oui, j'aurais le temps de proposer quelque chose, mais lancer la procédure avant qu'un consensus ne soit acté me semble une très mauvaise idée. — JoleK [discuter] 22 août 2015 à 14:18 (CEST)Répondre
Si on va par là, la méditation est une approche "irréductible à la science", qui a pourtant fait l'objet d'évaluations scientifiques pour les bénéfices qu'elle apporte aux patients, et d'une approbation dans ces mêmes revues scientifiques en tant que pratique bénéfique aux personnes autistes. Ce qui n'est pas le cas de la psychanalyse. D'où une partie de mon interrogation quant à un groupe de pression. -- Tsaag Valren () 22 août 2015 à 15:19 (CEST)Répondre
Oui, oui, évidemment si on considère la méditation comme une forme de technique cognitive et qu'on lui applique une grille d'analyse construite sur un paradigme cognitif, il n'y là rien d'étonnant à ce qu'on lui trouve de l'efficacité (ceci dit c'est bon pour plein de choses la méditation, j’ai d'ailleurs une amie qui fait du yoga et qui ne saurait vivre sans). Ces histoires d'évaluation sont aussi liées outre-Atlantique, ai-je lu, à la demande de reconnaissance par des caisses d’assurance. Il n'est au passage pas si évident que les TCC aient fait la preuve de leur efficacité, ai-je pu lire ici ou là.

La psychanalyse n'est de toute façon pas dans la même optique, c’est un autre paradigme que le cognitivisme, qui considère non pas les êtres humains comme des objets à faire correspondre à une norme, ou un « neurotypisme », mais comme des sujets uniques, comme le dit Myriam Noëlle-Winderling « c'est en conservant et protégeant ce centre névralgique que l'Asperger pourra trouver par rapport aux autres, sa propre et juste position, et qu’il pourra [...] trouver la racine de sa joie de vivre et apporter, à qui voudra bien les considérer, ses éclairages sur une réalité qui lui fait souvent le privilège de se révéler à lui légèrement autrement » ou encore Henri Rey-Flaud citant Jim Sinclair, autiste de haut-niveau : « approchez respectueusement, sans préjugés et ouverts à l'idée d’apprendre de nouvelles choses, et vous trouverez un monde que jamais vous n’auriez pu imaginer ». De ce fait, la plupart des psychanalystes ne rentrent pas des logiques statistiques d’évaluation, chaque cas, chaque relation thérapeutique est unique, et souvent longue même si certains psychanalystes commencent à construire des grilles d'évaluation adaptées à son cadre, et qui semblent témoigner de bon résultats, j'ai ainsi une étude sur l'autisme mais l'Asperger n’y est pas mentionné.

Quoi qu'il en soit, je n’ai jamais tenu à écrire dans l’article qu'elles étaient efficaces ou non, je tiens juste à ce que son point de vue, y soit un peu mentionné, là où elle est mentionnée à partir du point de vue concurrent. Et je ne sache pas que Wikipedia soumette telle ou telle théorie aux dites évaluations scientifiques pour en faire état dans l’encyclopédie, du moment que les sources sont de qualité. Cordialement, — JoleK [discuter] 22 août 2015 à 18:37 (CEST)Répondre
On a déjà eu cette discussion... En l'absence de sources scientifiques, il faut se reporter aux témoignages de personnes suivies par une prise en charge psychanalytique et aux recommandations des spécialistes du sujet. Attwood déconseille la prise en charge psychanalytique dans son propre ouvrage, ainsi que dans cet ouvrage de référence européen. Mottron et Juhel disent que la mainmise des psychanalystes en France empêche des prises en charge efficaces. La HAS a été confortée dans le rapport rendu en 2012 par le conseil d'état, malgré le recours intenté. Josef Schovanec raconte son suivi pendant cinq ans par différents psychanalystes réputés, dont pas un n'a été capable de le diagnostiquer, et dit que c'est surtout très lucratif pour les cabinets proposant cette prise en charge coûteuse. Celà fait quand même beaucoup d'avis concordants. En face, pour défendre la psychanalyse, on trouve quelques sources rédigées par des psychanalystes eux-mêmes, dont aucune n'évalue le potentiel bénéfice apporté par cette approche. Désolée, mais « trouver la racine de sa joie de vivre et apporter, à qui voudra bien les considérer, ses éclairages sur une réalité qui lui fait souvent le privilège de se révéler à lui légèrement autrement » ou encore « approchez respectueusement, sans préjugés et ouverts à l'idée d’apprendre de nouvelles choses, et vous trouverez un monde que jamais vous n’auriez pu imaginer » sont des déclarations très vagues. On peut trouver le même genre de témoignages de la part d'Aspies pratiquant la méditation ou se soignant par l'homéopathie, deux approches que l'article ne détaille pas. « Il n'est au passage pas si évident que les TCC aient fait la preuve de leur efficacité, ai-je pu lire ici ou là » ? Pourtant, une dizaine d'études scientifiques citées dans une revue de littérature publiée en libre accès évaluent l'efficacité des TCC. Zéro évaluent celle de la psychanalyse. -- Tsaag Valren () 23 août 2015 à 01:59 (CEST)Répondre
  • Attwood, Mottron, et alii sont d'orientation cognitiviste, quoi d'étonnant à ce qu'ils la recommandent et critiquent l'orientation psychanalytique ?
  • Le rapport de la HAS a été très sévèrement critiqué par la revue Prescrire : « Ce guide privilégie les méthodes cognitivo-comportementales, et écarte les autres approches sans arguments solides. Ce choix exclusif est non ou mal étayé. Il n’aide pas les soignants de premiers recours ni les familles à faire un choix éclairé » [1].
  • Comme le dit très bien la sociologue et historienne des sciences Brigitte Chamak à propos des évaluations : «  les publications « scientifiques » rédigées par ceux qui prônent et appliquent ces méthodes ? » [2]
  • Même Mottron a l’air de dire que «  « Il n'existe actuellement à notre sens aucune méthode qui soit construite pour prendre en compte les particularités cognitives de l’autisme et qui en modifie le cours - favorable ou défavorable - de manière significative et spécifique. ceci place les activistes de la thérapeutique de l'autisme devant un vide insupportable, vide qu'ils comblent par une utilisation religieuse de dogmes, dont la cohésion est maintenue par le combat contre les services de santé gouvernementaux ou contre la psychanalyse » p. 199-200 [3]
  • Alan J. Levy, formé en psychiatrie à Harvard : « As a consequence, interventions for children with Asperger's syndrome have focused upon educative and behavioral approaches (Solomon, Goodlin-Jones, & Anders, 2004). However, there is inconsistent evidence pertaining to their effectiveness (Rao, Beidel, & Murray, 2007; Reynhout & Carter, 2006; Tantam, 2000; Tse, Strulovitch, Tagalakis, Meng, & Fombonne, 2007; Williams White, Keonig, & Scahill, 2006). These approaches are designed to improve skills related to symptomatic behaviors, such as the capacity to read and draw inferences from social cues and to enact scripts to facilitate social interaction. However, the phenomenology of Asperger's syndrome is not well addressed by these approaches (Tantam, 2000) [4].
  • Selon le professeur Fred R. Volkmar, grand spécialiste de l’autisme : « In the decade and a half that have passed since Asperger’s was officially recognized a number of books, chapters, and papers focused on educational, behavioral, and psychotherapeutic implications of Asperger’s have appeared (e.g., Myles and Simpson, 1997; Atwood, 1998; Howlin, 1999; Ozonoff, Dawson, and McPartland, 2002; Powers and Poland, 2002). Some of these reports have had an explicit psychoanalytic focus/orientation (Shuttleworth, 1999; Cassidy, 2004; Nesic-Vuckovic, 2004; Polmear, 2004; Rhode and Klauber, 2004; Haramaki and Bondy, 2007). [...] Although, overall, the scientific literature on Asperger’s has expanded dramatically over the past 15 years work focused specifically on psychotherapy is sparse and that even more directly focused on psychoanalytic treatment or therapy is even more limited. Much of it consists of single case reports with one volume (edited by Rhode and Klauber, 2004) containing most of the relevant papers. Additionally it should be noted that, at times, issues of diagnosis are not clear or are, at best, ambiguous. Also, as noted subsequently, various modifications in technique are often needed so that comparison across cases is somewhat complicated. With these provisos kept in mind, however, it is interesting that the available literature does consistently point to several themes in more psychodynamically oriented work and provides important perspectives on long term treatment for individuals with Asperger’s disorder. For example, Shuttleworth (1999) provides a detailed report on a long period of psychodynamically informed psychotherapy with a child and adolescent. [...] Many similar issues are reported in other reports of long term clinical engagement (e.g., Morgan, 2004; Nesiv-Vuckovic, 2004; Cudmore, 2004; Stern, 2004; Cassidy, 2004; Truckle, 2004; all contained in the Rhode and Klauber, 2004, volume). [...] In summary, work with patients with Asperger’s provides important opportunities as well as challenges. Modifications in usual methods are essential both to ensure long-term therapeutic engagement and benefit. Research based on this work is critically needed ». [5]
Cordialement, — JoleK [discuter] 23 août 2015 à 18:08 (CEST)Répondre

L'article actuel n'est pas « à charge » contre la psychanalyse. Il mentionne des points de vue variés, certains pour, d'autres contre, et cite déjà Chamak. L'idée n'étant bien sûr pas de truffer l'article de longues citations hors-sujet.

  • Attwood n'est pas dans la défense à tous prix des TCC et se montre nuancé vis-à-vis des autres approches que la sienne. Il estime que la psychologie analytique a démontré son efficacité et ne donne aucune recommandation générale quand aux psychothérapies. Il déconseille uniquement la psychanalyse mère-enfant, citant le cas français comme problématique en raison (2006) de la présence de psychanalystes continuant à culpabiliser les parents. J'ai résumé son avis en « Attwood déconseille la psychanalyse mère-enfant, pour éviter une culpabilisation inutile des mères » sans préciser la raison car les données (2006) sont un peu datées. Un article à charge serait formulé comme suit : « Attwood déconseille la psychanalyse mère-enfant pour éviter une culpabilisation inutile des mères, car dans des pays comme la France, les psychanalystes continuent à défendre une vision obsolète des causes de l'autisme ».
  • Le rapport de la HAS très sévèrement critiqué par la revue Prescrire : on tombe dans le hors-sujet... Que la HAS recommande les TCC et pas la psychanalyse pour les enfants Asperger, c'est une information utile au lecteur. S'il veut se documenter davantage sur les critiques du rapport de la HAS, il peut consulter un article comme Plan Autisme (France), qui n'a plus rien à voir avec le SA spécifiquement.
  • « Les publications « scientifiques » rédigées par ceux qui prônent et appliquent ces méthodes » : même quand il s'agit de publications dans des revues à comité de lecture ? Et... les publications de psychanalystes ne sont pas rédigées par ceux qui prônent et appliquent la psychanalyse, peut-être ? Pour les mêmes raisons, j'ai viré l'ajout selon lequel l'opposition entre parents et psychiatrie profite aux cabinets de comportementalistes, « prise en charge coûteuse ». Ça n'a rien à faire dans cet article car c'est très clairement hors sujet, et d'autre part, la psychanalyse est tout autant voire plus coûteuse qu'une thérapie comportementale (on peut lire entre autres l'autobio de Josef Schovanec, où il raconte ses 5 ans de psychanalyse inutiles). Si vous tenez absolument à ajouter cette info, on peut jouer longtemps...
  • Même Mottron a l’air de dire que « Il n'existe actuellement à notre sens aucune méthode qui soit construite pour prendre en compte les particularités cognitives de l’autisme et qui en modifie le cours - favorable ou défavorable - de manière significative et spécifique. ceci place les activistes de la thérapeutique de l'autisme devant un vide insupportable, vide qu'ils comblent par une utilisation religieuse de dogmes, dont la cohésion est maintenue par le combat contre les services de santé gouvernementaux ou contre la psychanalyse » p. 199-200 [6] : l'idée est de garder des sections de taille équilibrée centrées un maximum sur le SA, sans tomber dans l'anecdotique. Cette info trouvera parfaitement sa place dans l'article Méthodes de prise en charge de l'autisme.
  • Alan J. Levy : pas de problème pour l'ajouter. C'est centré. J'ai d'ailleurs ajouté une phrase sur cet article de Levy dans l'article. Mais nul besoin de placer de longues citations là où les points de vue divergents n'en ont aucune.
  • Fred R. Volkmar : ça a sa place aussi. Merci de le résumer en une phrase (comme cela a été fait pour tous les autres points de vue), sinon, je m'en occuperai.
  • Cordialement. -- Tsaag Valren () 23 août 2015 à 19:13 (CEST)Répondre

Remarques de Goombiis

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Houlalala, ça se fâche en dessus, c'est moi ou il y aurait un petit différent, voire règlement de compte sur un simple "détail" de l'article, pas de quoi s'énerver, calmons nous. @JoleK pouvez-vous m'éclairer sur ce dont vous parlez? si j'ai bien compris, vous nous dites que la psychanalyse pourrait permettre de lutter contre le SA? — Goombiis (Discuter) 22 août 2015 à 19:41 (CEST)Répondre

De mon point de vue, ce n'est pas vraiment un détail, vu l'histoire. La psychanalyse a été la prise en charge principale de l'autisme en général en France pendant des années, sans résultats positifs, elle a même fait beaucoup de mal aux personnes autistes. Les associations y sont hostiles. Les autorités sanitaires, et les scientifiques reconnus dans ce domaine, considèrent cette prise en charge comme non pertinente. Personnellement pour moi il s'agit de la défense d'un point de vue non valide.--Lushie (discuter) 23 août 2015 à 10:58 (CEST)Répondre
@Goombiis : la discussion est éparpillée entre la PDD de l’article et celle-ci (voir aussi mon commentaire plus bas). Mais en résumé : il existe une clinique psychanalytique de l’autisme, ancienne, variée, renouvelée, celle-ci est souvent caricaturée en un unique point de vue culpabilisant pour les parents et rendue responsable de la mauvaise prise en charge de l’autisme, ce qui est réducteur, inexact, fédérateur pour les associations, et appuyé sur des intérêts bien compris (ce que Chamak explique fort bien). La clinique psychanalytique de l’Asperger est récente mais elle existe (diverses sources apportées ici et en PDD). Les évaluations dites scientifiques sont construites selon le paradigme du cognitivisme, (pour certaines sources cette efficacité n’est d'ailleurs pas non plus avérée), la psychanalyse, elle, n'est pas du tout dans cette logique d'évaluation statisticienne et comptable, pour elle chaque cas est unique, et il existe différents types d’approches psychanalytiques même si certains psychanalystes commencent à produire un cadre d'évaluation (en partenariat avec l’INSERM elle donne de bon résultats mais concernant seulement l’autisme, l’Asperger n’y étant pas mentionné) qui puisse prendre en compte les spécificités de la psychanalyse (voir aussi Volkmar qui dit qu'on a beaucoup de single case study et que la recherche doit être développée).
Partant de là, je ne tiens pas à écrire dans l'article que la psychanalyse est efficace. Je tiens juste à ne pas produire uniquement un article à charge pour elle et à équilibrer certains points de vue en particulier dans la section France. Enfin, l'article est entièrement écrit d’un point de vue cognitiviste. Soit. C'est le point de vue dominant outre-Atlantique. Il me semble que ce n'est pas trop demander que de pouvoir faire état dans l'article, en modeste proportion, et au nom de la WP:NPOV du point de vue de la psychanalyse sur la question.
@Lushie : selon la sociologue et historienne des sciences Brigitte Chamak : « Aujourd'hui commencent aussi à témoigner des parents qui dénoncent les mauvais traitements subis par leurs enfants dans des centres comportementalistes , et même certaines structures expérimentales financées dans le cadre du Plan autisme sont sévèrement critiquées. [...] L'influence des associations de parents d'enfants autistes se fait sentir à différents niveaux. Elles contribuent à façonner les politiques publiques et jouent un rôle crucial dans les changements de représentations de l'autisme, l'orientation de la recherche, des financements, et des thérapies, et font la promotion de professionnels qui adoptent les orientations qu'elles préconisent. Des députés relaient leurs revendications. Des représentants d'associations sont présents dans différents comités de travail sur l'autisme, aussi bien dans les instituts de recherche que dans les instances comme la Haute Autorité de santé. Leurs initiatives donnent lieu souvent à de belles réalisations. Mais le milieu associatif est très hétérogène et les orientations actuelles conduisent à faire en sorte que ce qui était pris en charge par la collectivité devienne un marché privé qui profite de la détresse des parents. Et, comme nous le rappelle Claude Lefort et Érik Neveu, « les mouvements sociaux peuvent aussi être porteurs de mythes simplificateurs » [7]. Même Mottron, cognitiviste et ne recommandant certes pas la psychanalyse dit à sa manière quelque chose de semblable : « Il n'existe actuellement à notre sens aucune méthode qui soit construite pour prendre en compte les particularités cognitives de l’autisme et qui en modifie le cours - favorable ou défavorable - de manière significative et spécifique. ceci place les activistes de la thérapeutique de l'autisme devant un vide insupportable, vide qu'ils comblent par une utilisation religieuse de dogmes, dont la cohésion est maintenue par le combat contre les services de santé gouvernementaux ou contre la psychanalyse » p. 199-200 [8]
Cordialement, — JoleK [discuter] 23 août 2015 à 18:08 (CEST)Répondre
Je n'ai jamais dit que les méthodes comportementales étaient la panacée,c'est un outil intéressant voilà tout, vs détournez le sujet. Par contre, l'échec de la psychanalyse est réel.--Lushie (discuter) 29 août 2015 à 19:09 (CEST)Répondre
Si vous le dites. — JoleK [discuter] 16 septembre 2015 à 16:37 (CEST)Répondre

Chipotage de Critias

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  • Très bel article, un travail impressionnant. Je comprends les craintes de JoleK mais l'article a su bien exploiter les sources et rester neutre (au sens wikipédien) sur un sujet sensible.
  • Je trouve que la première phrase est rude. N'oublions pas que l'introduction s'adresse au plus grand nombre et doit rester la plus accessible et la plus facile à comprendre possible. Je propose de remplacer "Le syndrome d'Asperger (prononcé /aspɛʁgəʁ/, en allemand /aspɛʁɡɐ/) est un trouble du spectre autistique ou trouble envahissant du développement qui se caractérise, comme les autres formes d'autisme, par des difficultés significatives dans les interactions sociales, associées à des intérêts restreints et/ou des comportements répétitifs." par "Le syndrome d'Asperger (prononcé /aspɛʁgəʁ/, en allemand /aspɛʁɡɐ/) est une forme d'autisme".
  • Pour info il est aussi question d'asperger dans millénium 4 (un peu cliché : un mathématicien génial aurait pu être diagnostiqué ainsi durant son enfant, son fils est autiste et réalise des dessins spectaculaires qui permettront de trouver l'assassin etc.)
  • Petite remarque : beaucoup de caractéristiques propres aux enfants Asperger semblent rejoindre celles de beaucoup d'enfants. A la lecture de l'article et de la section dédiée, on l'impression que le diagnostic n'est vraiment pas fiable et cela fait penser aux critiques sur l'inflation des troubles mentaux et autres possibles dérives du DSM. Quand est-il des risques de surdiagnostic ?
  • L'emploi récurrents du terme "Neurotypique" pour désigner les non-autistes me gêne, il a été forgé par une communauté de personnes atteintes d'autisme, cela ne me semble pas neutre du tout car dans l'article il est employé sans être attribué, comme une évidence. Le terme fait plus gadjo/goy/zoreilles/moldu qu'encyclopédique.
  • Qui sont Mohammad Ghaziuddin ? Maria Rhodes ? Fred R. Volkmar ?
  • Une personne diagnostiquée raconte les changements bénéfiques que lui ont apporté la méditation inspirée du bouddhisme theravāda. C'est une source primaire pas très fiable et possiblement "publicitaire". --Critias [Aïe] 29 août 2015 à 17:23 (CEST)Répondre
    Bonsoir Notification Critias :. Je te répond dans l'ordre :
    Je ne vois pas trop ce que tu proposes exactement pour la première phrase. On peut remplacer la première phrase pas "est une forme d'autisme", mais il me semble très important de garder les informations sur le diagnostic (interactions sociales, intérêts "restreints" ou spéciaux, comportements répétitifs) dans l'intro, c'est ce qui caractérise le SA.
    Les mentions dans la culture pop. sont dans l'article détaillé Syndrome d'Asperger dans la culture populaire, mais sinon cet article là cite brièvement la saga Millenium dans le dernier chap.
    Oui, il y a effectivement eu des critiques des critères diagnostiques (voire Diagnostic du syndrome d'Asperger pour les détails), ce qui a notamment motivé la création de l'article détaillé séparé, comme pour le modèle anglophone. Il existe de nombreux critères diagnostiques différents, c'est l'une des raisons pour lesquelles le SA n'est plus individualisé dans le DSM-V. Comme je ne voulais pas privilégier une description plus qu'une autre, j'ai tout mis dans les sections du chapitre "Caractéristiques".
    Pour le mot neurotypique, je comprends bien que celà puisse gêner, mais il n'existe aucun mot équivalent à "personne dont les caractéristiques neurologiques sont typiques", et c'est vraiment dans ce sens là que je l'ai employé, pas du tout par militantisme. Il me semble impossible de le remplacer dans les phrase où il figure.
    Pour Mohammad Ghaziuddin, Maria Rhodes et Fred R. Volkmar : je regarde ça. (✔️)
    Une personne diagnostiquée raconte les changements bénéfiques que lui ont apporté la méditation inspirée du bouddhisme theravāda : je peux le retirer si ça pose vraiment problème. Je ne le citais qu'à titre d'exemple de témoignage sur la méditation - qui pour le reste a été évaluée scientifiquement comme pratique bénéfique aux personnes autistes.
    Merci pour tes remarques. -- Tsaag Valren () 30 août 2015 à 17:07 (CEST)Répondre

Remarques de FrankyLeRoutier

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Notification FrankyLeRoutier : pourquoi ce vote ? -- Tsaag Valren () 30 août 2015 à 17:56 (CEST)Répondre

C'est dû à la section géographique qui n'est pas assez détaillé à mon humble avis. Cordialement. FrankyLeRoutier % Appelez-moi sur mon CB 30 août 2015 à 18:07 (CEST)Répondre
Notification FrankyLeRoutier : C'est largement plus détaillé que dans l'équivalent anglais, qui est complètement "anglo-saxon-centré". Il y a notamment des infos concernant la Chine, l'Inde et le Japon. -- Tsaag Valren () 30 août 2015 à 18:12 (CEST)Répondre

Question de Gtaf

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Bravo pour cette page dont je n'ai pas fini la lecture mais qui augure d'un article de très grande qualité.
Je ne comprends pas cette phrase : « Ce rapport à l'imaginaire peut évoluer à travers la lecture d’œuvres de science-fiction et de fantastique, une passion pour l'astronomie et la géographie de pays lointains et inconnus, et par l'écriture, ce qui a l'avantage de permettre à la personne Asperger d'explorer les pensées des autres. » Pourriez-vous s'il vous plaît et si possible, la préciser. Que la lecture permette d'explorer la pensée de l'auteur, que la géographie permette de découvrir des modes de vie, de pensées différents, mais je ne vois pas en quoi l'astronomie ou l'écriture permettent d'explorer les pensées des autres.
D'avance merci. Cordialement. Gtaf (discuter) 2 septembre 2015 à 05:31 (CEST)Répondre

C'est effectivement formulé de manière un peu maladroite. Je corrige ça. -- Tsaag Valren () 3 septembre 2015 à 23:39 (CEST)Répondre

Typographie

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D'après les conventions, toute phrase même nominale se termine par un point sauf pour les titres d'oeuvres. Autre chose, ne serait-il pas également préférable de remplacer les liens google books par des liens pointant vers les site web des éditeurs ? 90.22.9.67 (discuter) 6 septembre 2015 à 07:33 (CEST)Répondre

Les sites des éditeurs ne permettent généralement pas de lire de longs extraits des ouvrages, alors que Google le permet. Ce n'est pas du militantisme pro-google, juste une question d'accès aux sources pour le lecteur curieux d'aller vérifier en ligne ce qui est affirmé. Pour les points à la fin... je refais une demande de modification des modèles article, ouvrage et lien web pour qu'ils ajoutent automatiquement ce @!*§tain de point à la fin. Je ne suis pas un bot, demander à un contributeur de repasser à la main sur plus de 300 refs, c'est de l'esclavage. -- Tsaag Valren () 6 septembre 2015 à 12:21 (CEST)Répondre
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