Discussion:Système Séré de Rivières

Dernier commentaire : il y a 3 ans par Wboure dans le sujet Mais où est donc passé la quatrième trouée ?
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Au cas où le rédacteur de l'article lise ceci, je tiens tout de même à préciser que Serré de Rivière commence son travail à Metz sans l'achever, puisque les Allemands terminerons cette première ceinture de forts détachées pour la renforcer des fameux Festen.

Il ne commence pas son travail en France, car en fin de compte, le "Mur de Fer" errigé de Verdun à Toul n'est qu'un moyen de se protèger contre Metz, allemande depuis 1871 et notement contre les fortifications... qu'il a lui-même errigé !

Cela vaut le coup d'être précisé car l'escalade technologique fit que la réponse architecturale à la puissance des nouveaux canons et obus n'a même pas pû être aboutie à Metz avant que la ville ne soit prise, et le même système réemployé à Verdun est quasiment obsolète lors de la guerre 14-18.

L'histoire de France a souvent tendance à oublier que Metz n'est française que depuis peu, et qu'elle fut abandonnée à l'Allemagne en 1871 suite à une cuisante défaite !

N'oublions donc pas que la ville "Défends l'Etat" selon Vauban, et qu'elle fut le lieu de nombreuses nouveautées dans le domaine militaire (artillerie en 1324,"Guerre des Quatres Seigneurs", avant 1346-Crecy) et... le premier lieu d'apparition du système de Serré de Rivière, et la "soeur énemie" de Verdun de 1871 à 1918.


Hum, j'avoue que là j'ai un peu de mal à vous suivre, selon vous Séré de Rivières ne commence pas son travail en France ? Cela me paraît fort surprenant car étant officier du Génie Français, il était chargé de la construction de fortifications autour de la ville de Metz avant la guerre de 1870 qui était française à cette époque ainsi que l'Alsace et la Moselle, donc je ne vois pas ce qui vous permet de dire qu'il n'aurait pas travaillé en France. Deplus, les travaux qu'il mena à Metz sont restés à un stade très primaire et étaient très loin d'être fonctionnel. En fait les Allemands ont repris ces bases mais durent quand même repartir de zéro pour la construction de leurs festen.
Pour ce qui est du système obsolète, je trouve que vous porter un jugement un peu trop hatif sur ce point, il faut tout de même se rappeler que les forts avaient été désarmés par un Haut-Commandement Français qui n'ont pas jugé utile d'utiliser cet outils qui était mis à leur disposition. Si on regarde de plus près les combats où les forts on dut intervenir, on remarque tout de suite que leur aide fut précieuse et que leur mission originelle parfaitement remplie. Je tiens tout de même à rappeler qu'une ligne de fortification n'a jamais était construite dans le but de former une barrière infranchissable.
Duomaxw 19 décembre 2005 à 20:23 (CET)Répondre

Illustrations

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Bonjour, Je desirerais savoir si comptez enrichir cet article de cartes situant le système des forts détachés par-rapport à la France, voire un comparatif chronologique des différents systèmes employés sur le territoire. Cela serait un bon moyen de rendre hommage aux fortificateurs français à mon goût. Merci !

Je compte faire une carte dans le même esprit que celle que j'ai fait pour la Ligne Maginot et ajouter quelques photos, quand j'aurai plus de temps devant moi ...
Duomaxw 2 janvier 2006 à 16:44 (CET)Répondre

Je suis moi même membre d'une association qui restaure une fortification Séré de Rivières, je peux vous apporter quelques renseignement (didthesoldier[at]hotmail.com), ce serait bien d'y ajouter une liste des fortifications visitables et un peu plus d'images.

La fortification en 1874

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Je ne comprend pas la dernière phrase concernant une bande rouge sur les murs des endroits protégés. Protégés de qui, de quoi, par qui, pourquoi ? Pour avertir l'ennemi qu'il ne faut pas envoyer de bombes sur la réserve de gnôle ? Un fort est par vocation un endroit protégé, donc tous les murs devraient être barrés de rouge.--91.181.83.209 (d) 23 mars 2010 à 11:52 (CET)Répondre

Les bandes rouges indiquaient les endroits renforcés lors d'amélioration (béton spécial notamment), par opposition aux endroits en pierres de taille simples.--Mique88 (discuter) 25 mars 2014 à 13:38 (CET)Répondre
J'ai en effet remarqué de telles indications dans les couloirs du fort de Vaux et/ou de Douaumont lors de ma dernière visite de Verdun. Elles étaient bien destinées à marquer les couvertures renforcées de certains segments souterrains où il étaient recommandé de se réfugier lors des bombardements. Wilfrid. (discuter) 11 juin 2014 à 10:54 (CEST)Répondre

Mais où est donc passé la quatrième trouée ?

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Chapitre ouvert ici, suite à une interogation postées sur ma page de discussion perso. Bonjour,
Merci pour votre contribution sur cet article, qui était nécessaire vu la formulation annonçant une 4e trouée. Mais un autre contributeur, spécialisé sur Séré de Rivières, avait précédemment retiré la trouée de Belfort (diff), ne la considérant pas comme une des ouvertures volontaires du système défensif. Il faut avouer que la « trouée de Belfort » est largement colmatée avec la place de Belfort et les forts de Montbéliard. J'avoue ne plus suivre l'article depuis longtemps et manquer de documentation : auriez-vous une source sur cette notion de 4e trouée ? Cordialement --Lvcvlvs (discuter) 10 juin 2014 à 16:31 (CEST)Répondre

Hier dans cet article, le chapitre "2.1.3 Trouées" annonçait quatre trouées mais n'en listait que trois (!). Vous remarquerez que j'ai située hier la quatrième à Belfort. Je me suis basé sur le chapitre "4.1.3 Jura et Alpes" de l'article et sur la carte du site "fortiffsere.fr" [[1]] pour nommer cette trouée mystère. Cela ne constitue certes pas des sources primaires, mais donne plus de cohérence à l'article.
Seconde question : est-ce que cette trouée en est-elle vraiment une ? En effet, la place de Belfort semble la combler, alors je laisse plutôt l'initatives à ceux qui se pensent experts sur ce sujet pour réduire le nombre de trouées à trois, ou à conforter l'existance de celle de Belfort. Merci, Wilfrid. (discuter) 11 juin 2014 à 10:54 (CEST)Répondre
Guy Le Hallé l'indique comme « trouée d'invasion » sur les cartes publiées dans Le système Séré de Rivières ou le témoignage des pierres, p. 27, avec le Lomont indiqué comme fort d'arrêt. --Lvcvlvs (discuter) 11 juin 2014 à 12:01 (CEST)Répondre
Le numéro 63 de Guerre et Histoire (oct 21), carte page 79, liste quatre trouées ː Chimay (à la place de Oise), Stenay, Charmes et Belfort. En page 63, l'article présente 4 ouvrages en référence. — Wilfrid. (discuter) 16 octobre 2021 à 22:50 (CEST)Répondre
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