Discussion:Trotski (Robert Service)

Dernier commentaire : il y a 12 ans par Sebrider dans le sujet Mensonge éhonté dans le texte
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Il est assez dommage que ce livre sur Trotski soit le seul à avoir un article sur wikipedia... Pour cet article : les sources ne comparent-elles pas ce livre avec les autres biographies ? Ce qui amènerait à avoir des liens rouges, et à renommer cet article. En bref, il faudrait a minima renommer en Trotski (Robert Service) par exemple. En profiter pour créer quelques ébauches sur les autres biographies, si possible. ---- El Caro bla 6 juillet 2012 à 19:33 (CEST)Répondre

Tu as raison. Plusieurs points cependant :
  • La seule biographique de Trotski à s'intituler « Trotski » est celle de Robert Service. Le renommage s'impose-t-il tout de même (je suis tout disposé à le faire) ?
  • Effectivement il existe des sources qui parlent des autres biographies, peu sont centrées, cela nuira-t-il à leur admissibilité ?
  • Dernière question tant que je t'ai sous la main : j'ai longuement hésité à créer un article Bertrand Patenaude mais c'est pareil, peu de sources centrées, bien que son travail soit dûment référencé. Idem pour Scott McLemee, Geoffrey Swain, Ian Thatcher, Nicolaï Vasetskii (plus dur pour moi car en russe) et Dimitri Volkogonov.
Merci ! --Critias [Aïe] 6 juillet 2012 à 21:10 (CEST)Répondre
J'ai créé l'article pour la première biographie, celle d'Isaac Deutscher, la première et la plus commentée. --Critias [Aïe] 7 juillet 2012 à 17:50 (CEST)Répondre
J'ai créé une ébauche pour celle de Pierre Broué. À mon avis, la distinction i/y est un peu légère pour le titre "Trotski (livre)" pour les lecteurs. À toi de voir. ---- El Caro bla 7 juillet 2012 à 19:47 (CEST)Répondre

Point de vue trotskyste

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Il me semble que "de façon plus anecdotique" est un jugement de valeur qui doit être sourcé ou retiré.— Racconish D 7 juillet 2012 à 20:47 (CEST)Répondre

Ce n'est pas un jugement de valeur, c'est pour dire que c'est de l'ordre du détail, à la fois dans l'article de Pignare (deux lignes) et comme utilisation de l’œuvre de Robert Service. Pour indiquer que ce n'est pas à mettre au même niveau que North qui a carrément écrit un livre entier pour développer sa thèse. Bien entendu si tu trouves une autre formulation, n'hésite pas. Dans le même ordre d'idée, je ne trouve pas que maître à penser soit dévalorisant, mais je n'insiste pas (de Gaulle, maître à penser des gaullistes, Mao des maoïstes etc.) --Critias [Aïe] 7 juillet 2012 à 21:10 (CEST)Répondre
Il me semble qu'une formulation comme « à l'inverse, l'essayiste et éditeur trotskiste Philippe Pignarre se réfère brièvement à la biographie de Service pour étayer l'affirmation que, sans Trotski, "les bolcheviques n’auraient sans doute vaincu ni en 1917 ni dans la guerre civile " » serait plus neutre. Cordialement, — Racconish D 7 juillet 2012 à 23:06 (CEST)Répondre
✔️. Et merci. --Critias [Aïe] 8 juillet 2012 à 12:49 (CEST)Répondre

Relecture par l'Atelier de lecture

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Bonjour, ci-dessous mes remarques :

Le sujet est si spécialisé que je ne peux pas me prononcer sur le fond qui me semble correct. Pour la forme tout est bon je crois. A mon avis BA, l'AdQ étant difficile à obtenir sans une analyse plus poussée. Bon courage, Prosopee (d) 8 juillet 2012 à 17:28 (CEST)Répondre


Mensonge éhonté dans le texte

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Il est de coutume que pour que cela rentre dans la bonne conscience de certain que l'on déforme la réalité. Or, il est dit que « L'accueil des historiens, chercheurs et universitaires est lui aussi tout d'abord plutôt favorable ». Or, « La sortie du livre de Robert Service est d’autant plus notable qu’elle a suscité de nombreuses réactions dans la presse anglo-saxonne et française, particulièrement élogieuses, mais encore peu dans les milieux scientifiques, dont une très critique de Bertrand M. Patenaude, justement. ». On veut imposer un POV à l'article pour éviter les aigreur d'estomac de la bonne conscience. Par ailleurs, Il est écrit plus haut que « L'accueil critique de la biographie est dans un premier temps exceptionnellement bon ». Mais pour qui ? Pas pour les historiens, chercheurs et universitaires qui ont eu peu de réaction, mais pour les média de masse. D'ailleurs, dans le titre "Un accueil critique enthousiaste", il n'y a que des exemples de journaux et de revu. DONC, il n'y a pas besoin de bavarder en ppd.

Si les changements que j'ai apporté sont indigestes comme le titre, "Un accueil critique enthousiaste de la part de la masse média", même Celette, peut en changer sans l'avis de son auteur mais en gardant le fond au lieu d'éliminer la source viable et laisser courir les mensonges.

Sebrider (d) 15 novembre 2012 à 18:06 (CET)Répondre

Il me semble que quand on parle "d'accueil critique" il est implicite qu'il s'agit de la presse. Le terme de « masse média » me semble trop flou pour être utilisé. Quand on parle de la critique d'un livre, on parle bien sûr de la presse. Il me semble par ailleurs que l'article traite aussi bien des admirateurs que des détracteurs du travail de Robert Service. Enfin même si il est bien entendu perfectible, cette article a été écrit dans un esprit ouvert très attentif à la neutralité de point de vue, à aucun moment avec la volonté de ménager qui que ce soit. C'est assez amusant d'être traité de menteur par les anti-lénine dans un article et à nouveau de menteur par les pro-troskyste dans un autre. On peut se dire les choses sans s'accuser ou se soupçonner tout de suite des pires intentions, non ? --Critias [Aïe] 15 novembre 2012 à 18:22 (CET)Répondre
Non ce n'est pas une évidence. Les magazines scientifiques font aussi parti de la presse bien que spécifique à la science. Ici pour l'enthousiasme, on a affaire a du simple POV journalistique et non d'avis scientifique. Les médias de masse ou les médias dans leur globalité (journaux, TV, radio...) pèsent plus dans l'opinion public que la méthodologie scientifique. L'affaire récente sur les rats rendu malades par l'OGM anti-Roundup le confirme parfaitement.
Lorsque l'on corrige une erreur avec tout ce qu'il faut et que cette correction est éliminée sous des prétexte non-viable tout en laissant en bonne place l'erreur, alors c'est laisser la porte ouverte aux mensonges qui peuvent ainsi s'installer tranquillement.
Remarque : Pour le titre j'ai repris une expression récurrente d'un autre membre.
Sebrider (d) 15 novembre 2012 à 18:42 (CET)Répondre
Oui, exact, Simon Sebag Montefiore, qui a applaudi le livre, n'est pas un historien, mais un vil plumitif dont le travail relève du "média de masse" et qui, par ailleurs, ne connaît rien à la période. Fermons le ban. Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 00:02 (CET)Répondre
Et puis ? Simon Sebag Montefiore représente TOUS les historiens ? Donc ma source est plus précise puisque implique tous les historiens : « La sortie du livre de Robert Service est d’autant plus notable qu’elle a suscité de nombreuses réactions dans la presse anglo-saxonne et française, particulièrement élogieuses, mais encore PEU dans les milieux scientifiques, dont une très critique de Bertrand M. Patenaude, justement. ». PEU ne veut pas dire PAS. Votre preuve est totalement noyé dans la masse.
Par ailleurs, tout le monde sait normalement qu'il y a des historiens sous influence sociologique et qui suivent parfaitement la belle ligne droite tracée par l'idéologie ambiante mis en avant par les médias de masse.
Remarque : On peut noter étonnement que ce sont généralement les intellectuels penchant à droite qui sont sous l'influence des phénomènes sociologiques (période de pax) tandis que les intellectuels penchant à gauche sont plutôt sous influence des phénomènes historiques (période de crisis). Sinon, les intellectuels de gauche, devenus peu nombreux en période de Pax, sont dans une clandestinité qui est aujourd'hui devenue apparente grâce aux radios libres, à internet, à l'édition libre qui ont généré une petite brèche dans le monopole des médias de masse. Sebrider (d) 16 novembre 2012 à 00:39 (CET)Répondre
Si vous cessiez vos obscures dissertations personnelles sur la "période de Pax", les "médias de masse", les "historiens sous influence sociologique" et sur ce qui à vos yeux est ou n'est pas "scientifique", la qualité des discussions sur wikipédia ne pourrait qu'y gagner. Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 00:59 (CET)Répondre
Rien d'obscure, c'est juste une terminologie très précise taillée au couteau .
MAIS, de toute façon votre preuve reste toujours minoritaire vis à vis de la globalité des historiens. Votre preuve devient dans ce cas le POV d'un historien. Sebrider (d) 16 novembre 2012 à 01:11 (CET)Répondre
"Une terminologie très précise taillée au couteau" : je vois que la modestie règne. J'imagine qu'il vaut mieux lire ça que d'être aveugle... "Votre preuve" : kézaco ? A mon avis il est inutile de poursuivre plus avant cet échange, du moins en ces termes. Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 01:19 (CET)Répondre

Je signale une petite maladresse de construction de cette section. Sa lecture donne à penser que l'article de Stora est antérieur à celui de Patenaude, alors que c'est le contraire. Il me semble souhaitable, pour maintenir l'économie du texte existant, de remplacer la référence à l'article de Stora par une autre, antérieure à l'article de Patenaude. Cordialement, — Racconish D 16 novembre 2012 à 10:07 (CET)Répondre

En effet, ce serait pertinent de montrer la chronologie. D'autant que cela montre bien que la recension négative de Patenaude n'empêche pas un autre historien de dire du bien de l'ouvrage... NB, j'ai déjà rajouté une autre recension, à savoir celle de Christopher Read (dont certains viendront sûrement nous dire qu'il s'agit d'un historien "sous influence sociologique" et "anti-scientifique"...) Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 10:14 (CET)Répondre
La dépendance est forte en histoire. D'ailleurs, l'histoire est politique pour reprendre Gramsci. Ce n'est pas pour rien qu'Alexandre Zinoviev a fait de la logique et non de l'histoire comme il le raconte. Des historiens s'en affolent et pas seulement la combattante Annie Lacroix-Riz, mais aussi Pierre Briant (cf wikiquote). Désolé, même en accumulant des preuves de sur vos dires, elles sont noyées dans la masse et continues à être du POV, d'autant plus minoritaire dans les science historiques vis à vis de la globalité de la masse. Une accumulation de fait n'est pas un état de la connaissance : « Des faits nouveaux rassemblés dans le cadre d'une nouvelle théorie sont rarement le prélude à une réelle évolution de la pensée. Les faits ne « parlent pas d'eux-même » ; ils sont interprétés à la lumière de la théorie. La pensée créatrice, dans les sciences autant que dans les arts, est le moteur du changement. La science est une activité essentiellement humaine, non l'accumulation mécanique, automatique d'information objectives qui conduirait, grâce aux lois de la logique, à des conclusions inévitables. »
Il reste néanmoins qu'un gonflement de l'enthousiasme demeure dans l'article, même et voir même celui du trotskiste Stora.
Qu'en est-il de la critique enthousiaste ? « Acclamé dès sa sortie dans de nombreux organes de presse, tant par des universitaires de droite que par des intellectuels ex-radicaux, la biographie du professeur d'Oxford Robert Service a été publiée en 2009 par Harvard University aux États-Unis et Macmillan au Royaume-Uni. En 2010, elle a été publiée par Ediciones B en Espagne et en Amérique latine et il y a plusieurs semaines par Perrin en France. Une prochaine édition allemande par Suhrkamp a été annoncée il y a quelque temps. »
Et en science ? : « Dans une lettre datée du 30 juillet 2011, adressée à Ulla Unseld-Berkéwicz, qui est à la tête d'une des plus importantes maisons d'édition allemandes, Suhrkamp Verlag, quatrorze historiens éminents, spécialistes des sciences politiques et journalistes de presse d'Allemagne et d'Autriche se sont opposés à la publication, prévue par cette société, de la biographie de Léon Trotsky par Robert Service. » (Wolfgang Weber, Des historiens européens s'opposent à la publication par Suhrkamp de la biographie de Trotsky par Robert Service, 14 décembre 2011)— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Sebrider (discuter)
Je ne comprends pas tout ce que vous racontez, notamment quand je lis des phrases tordues comme "même en accumulant des preuves de sur vos dires, elles sont noyées dans la masse et continues à être du POV, d'autant plus minoritaire dans les science historiques vis à vis de la globalité de la masse." J'ajoute que je trouve singulièrement lassante votre manie de vous réclamer d'une "science" (?) dont vous semblez revendiquer l'exclusivité ; lassitude encore renforcée par vos citations continuelles d'Alexandre Zinoviev, qui semble représenter pour vous l'alpha et l'omega de l'intelligence humaine dans tous les domaines imaginables. La quasi-unicité des références et la vénération religieuse des auteurs me semblent en tout cas peu compatibles avec une quelconque prétention à la scientificité. L'usage que vous faites de l'oeuvre de Zinoviev, ou d'auteurs comme Pierre Briant et Annie Lacroix-Riz, est en tout cas assez loin de m'impressionner... Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 12:41 (CET)Répondre
J'ai corrigé quelques fautes.
Il n'y a que la pensée scientifique qui permet de comprendre les véritables mouvements de l'histoire. Or, l'histoire est mise en avant par les médias de masse comme une fiction romanesque (domaine littéraire) ou idéologique (domaine politique) et non comme un domaine scientifique. Cela s'insinue irrémédiablement dans le domaine scientifique. Le même cas de figure existe dans les sciences de la nature (histoire naturel) avec les intrusions spiritualistes (cf guillaume Lecointre et les membres des éditions matériologiques). Mais, dans ce domaine, elles sont vivement combattues. Ce qui n'est pas le cas dans le domaine de l'histoire où ce sont les intrusions idéologiques qui sont mis en avant et donc plus facilement trouvable et sans effort de recherche. C'est ainsi. ~¨~
Néanmoins en Allemagne et Autriche, dans le domaine scientifique et même de la presse , cette biographie de Service n'est pas la bienvenue.
Sebrider (d) 16 novembre 2012 à 13:28 (CET)Répondre
Mais oui, bien sûr... Je me répète, mais au vu de votre attitude de vénération religieuse envers Alexandre Zinoviev et des mantras que vous ressassez inlassablement pour soutenir vos dissertations personnelles, on me permettra de penser que votre démarche ne possède rien du caractère "scientifique" dont vous vous revendiquez. Et on me permettra également de me faire ma propre opinion sur votre capacité à comprendre "les véritables mouvements de l'histoire"Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 13:32 (CET)Répondre
Sebrider, peut-être pourriez-vous préciser quelle est l'affirmation du texte qui vous pose problème et par quelle formulation vous proposez de la remplacer, au vu de quelle(s) source(s). Cordialement, — Racconish D 16 novembre 2012 à 13:35 (CET)Répondre
Les problèmes viennent de deux affirmations :
(A) « L'accueil critique de la biographie est dans un premier temps exceptionnellement bon » => Oui, surtout la presse et non par la globalité des scientifiques.
(B) « L'accueil des historiens, chercheurs et universitaires est lui aussi tout d'abord plutôt favorable » (NON, pas "l'accueil des" mais de quelques un seulement. L'article gonfle aussi l'enthousiasme comme celle du Trotskiste Stora).
Les sources (cf les citations plus hauts) qui vont à l'encontre de ces deux affirmations sont :
(1) Beuvain Christian et Lanuque Jean-Guillaume, Coda : Deutscher, Broué, Service - Essor et déclin du travail biographique sur Trotsky, Revue électronique dissidences [en ligne], Numéro 3 - Printemps 2012, 11 avril 2012
(2) (Wolfgang Weber, Des historiens européens s'opposent à la publication par Suhrkamp de la biographie de Trotsky par Robert Service, 14 décembre 2011)
En (A), il suffit juste de placer "la presse en général" mais "la masse média" est plus juste car les médias de masse sont en phase avec les phénomènes sociologiques hégémoniques c'est à dire l'idéologie ambiante d'où leurs grandes diffusions sans même faire de coup médiatique comme le font les altermondalistes.
en (B), Soit on supprime l'affirmation; soit on montre qu'il y a peu de réaction dans le domaine scientifique. Bien que peu de réaction, il existe cependant de vives oppositions comme celles du collègue de l'institut Hoover de Service qui a été dès le départ très critiques, et comme en Allemagne et en Autriche où quatorze historiens éminents, spécialistes des sciences politiques et journalistes de presse d'Allemagne et d'Autriche se sont opposés à la publication du livre. Cependant, il existe aussi des compromis à cette biographie mais en apportant tout de même certaines critiques (le trotskiste de Stora).
Les deux citations que j'ai données sont pourtant explicites.
Il n'y a pas besoin d'en discuter en PPD. Pour prendre à mon compte les propos de Melancholia contre Horowitz  : « Sur le fond, c'est assez clair, (J'ai) apporté des informations, avec sources. Si elles vous semblent stupides, à la limite on s'en moque, à partir du moment où ce POV est attribué à des personnes données (...). Le paragraphe ne s'étalant pas sur trois pages et demi, ne déséquilibrant ainsi pas la structure de l'article, (la) suppression (par Celette et Jean-Jacques Georges de ces apports justifiés), dans ces conditions m'apparaît comme totalement injustifiée. » ( Un plagiat ?, Melancholia modifié)
Sebrider (d) 16 novembre 2012 à 14:35 (CET)Répondre
Arrêtez avec vos dissertations sur le milieu "scientifique", les "masse média" et les "phénomènes sociologiques hégémoniques", ça finit par devenir pénible. Qu'il y ait des critiques négatives, je crois que l'article ne le cache aucunement, bien au contraire. Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 14:56 (CET)Répondre
Mais, ce sont les critiques enthousiastes qui sont mis en avant et de façon absolue. Sebrider (d) 16 novembre 2012 à 14:58 (CET)Répondre
Non. Les critiques positives et négatives des historiens sont rapportées de manière à mon avis plutôt équilibrée. Après, on ne va pas citer toutes les critiques, positives ou négatives : l'important est de citer les plus importantes, et celle de Patenaude me semble, de loin, la plus notoire et la plus pertinente. Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 15:01 (CET)Répondre

┌─────────────────────────────────────────────────┘

Comptez les mots et les octets, l'article laisse autant de place aux pour et aux contre. L'information sur les 14 historiens germanophones et leur lettre ouverte est bien présente. Les critiques enthousiastes ne sont pas plus mises en avant et elles sont mises avant. Et pas du tout absolue puisque suit juste après une longue section détaillée sur la remise en cause. On pourrait aussi dire que le fait que la remise en cause succède aux critiques positives lui donne plus de poids. La position des chapitres (sections), c'est ici avant tout une question de lisibilité et de de tenue. Je ne comprends pas bien la gravité du prétendu problème à dire vrai. Dans les discussions autour de la labellisation de l'article, beaucoup de contributeurs s'accordaient à le trouver équilibré. @Serbrider, pour trouver un compromis, seriez-vous (serais-tu, je ne sais plus si on se tutoie) d'accord avec la reformulation suivante : « L'accueil critique au sein de la presse grand public » ? --Critias [Aïe] 16 novembre 2012 à 17:01 (CET)Répondre
« L'accueil critique au sein de la presse grand public », suffit amplement pour la première phrase, comme d'ailleurs je l'ai dit plus haut je n'en demande pas plus.
@Critias: Le tutoiement ne me dérange pas.
Par contre, pour la seconde phrase, « L'accueil des historiens, chercheurs et universitaires est lui aussi tout d'abord plutôt favorable » rentre dans la spéculation car il y eu "PEU de réaction" selon la source datant d'Avril 2012. Par ailleurs que veut dire "plutôt favorable" ? C'est que vous préférez que cela soit ainsi ? Il y a pleins de choses qui raisonnent mal d'autant plus que cette phrase est comme un échos à la première phrase. Comme on l'a vu, il y a un fossé entre les deux. Ce second passage qui pose problème doit être supprimé. Sebrider (d) 16 novembre 2012 à 18:30 (CET)Répondre
Honnêtement, je ne vois pas où est le problème. Selon moi, il n'y a aucune raison de suivre les suggestions de Sebrider, et cette discussion est une perte de temps. On peut mettre "le film est accueilli favorablement par divers historiens" - ce qui est exact - mais la phrase est franchement fadasse et de toutes façons l'unique avantage d'une modification de ce type serait d'arrêter de gaspiller du temps en discutant sans fin. De toutes manières, on peut difficilement comptabiliser toutes les recensions. Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 18:58 (CET)Répondre
Si ! Cela change tout. Sinon, vous ne me contrediriez pas pour un petit ajout plus précis et une suppression d'une petite phrase. Je vous rappelle que c'est vous, suite aux suppressions intempestives de Celette (bien que sourcé), qui voulez discuter de tout en PPD quand bien même vous rouspétez que vous n'avez jamais le temps. Sebrider (d) 16 novembre 2012 à 19:36 (CET)Répondre
Je pense effectivement que dans la majorité des cas, il est utile de discuter en pdd. Par contre il y a des cas où cela ne sert à rien.
Je viens de réorganiser l'article en essayant de rééquilibrer un peu le tout, grâce notamment aux sources fournies plus bas par Racconish. Maintenant ce serait bien de passer à autre chose.Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 20:50 (CET)Répondre
C'est beaucoup mieux. Même si les deux phrases mises en cause existent toujours, il n'y a plus cette résonance entre les deux parties "critiques enthousiastes" et "remises en cause". Sebrider (d) 16 novembre 2012 à 23:21 (CET)Répondre
Si, puisque la critique était dans l'ensemble favorable. Celle de Sheila Fitzpatrick est mitigée (surtout sur la qualité littéraire du texte, en fait) mais pas hostile sur le fond de l'ouvrage. Donc celle de Patenaude constitue bel et bien la première attaque de fond contre le livre, portée par un autre historien. Jean-Jacques Georges (d) 17 novembre 2012 à 11:05 (CET)Répondre
Il semble en effet que malgré le peu de réaction dans le monde scientifique, l'avantage du nombre tourne cependant au favorable sur le fond. Mais, l'avantage du nombre n'est pas forcément un signe de raison. Sebrider (d) 17 novembre 2012 à 18:21 (CET)Répondre

Chronologie

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Je signale une petite maladresse de construction de cette section. Sa lecture donne à penser que l'article de Stora est antérieur à celui de Patenaude, alors que c'est le contraire. Il me semble souhaitable, pour maintenir l'économie du texte existant, de remplacer la référence à l'article de Stora par une autre, antérieure à l'article de Patenaude. Cordialement, — Racconish D 16 novembre 2012 à 10:07 (CET)Répondre

En effet, ce serait pertinent de montrer la chronologie. D'autant que cela montre bien que la recension négative de Patenaude n'empêche pas un autre historien de dire du bien de l'ouvrage... Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 01:19 (CET)Répondre
Certes mais n'oubliez pas les dates de traduction de l'ouvrage et des articles. A l'heure de l'anglais langue internationale et de l'instantanéité de l'information, les débats mettent encore parfois du temps à traverser les frontières au rythme des traductions. Même pour des universitaires aussi savants. --Critias [Aïe] 16 novembre 2012 à 14:24 (CET)Répondre
Vous avez raison. Mais c'est un peu bizarre. Cordialement, — Racconish D 16 novembre 2012 à 14:29 (CET)Répondre
Là, c'est un peu de la spéculation. On en revient à supposer que Bernard Stora ne lit pas l'anglais, ne reçoit pas les revues historiques américaines (au moins sur son lieu de travail) et n'a pas été informé de la controverse Patenaude/Service. Ce qui est peut-être le cas, mais on n'en sait rien (et quand bien même, il est a priori capable de se faire sa propre opinion). Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 15:07 (CET)Répondre
Comme Stora n'y fait absolument pas allusion... Mais je vous accorde bien volontiers que c'est spéculatif. --Critias [Aïe] 16 novembre 2012 à 17:02 (CET)Répondre
Justement, le fait qu'il n'y fasse pas allusion ne veut pas dire qu'il n'en a pas entendu parler. On n'en sait rien. Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 18:56 (CET)Répondre
Voici quelques recensions par des historiens antérieures à celle de Patenaude:
  • (en)Kees Boterbloem, « Trotsky: A Biography by Robert Service », Slavic Review, vol. 69, no 4,‎ , p. 1008-1009 (JSTOR 27896171)
    « Service's biography will be the standard in the foreseable future, for it is a lucid, well-researched, and reliable work that anyone, from lay person to full professor of Russian studies, can consult with profit. »
  • (en)Alexis Pogorelskin, « Trotsky: A Biography by Robert Service », Russian Review, vol. 69, no 4,‎ , p. 727-728 (JSTOR 40927473)
    « Leonard Schapiro admonished scholars not to condemn Old Bolsheviks caught in Stalin’s maw. Readers will have to determine for themselves the value of Service’s judgments regarding Trotsky’s character and intentions. They must also remain alert to the factual errors that mar his narrative. »
  • (en)Geoffrey Swain, « Trotsky: A Biography by Robert Service », Europe-Asia Studies, vol. 62, no 5,‎ , p. 854-856 (JSTOR 20750238)
    « According to Robert Service, this is the ‘firstfull-length biography of Trotsky written by someone outside Russia who is not a Trotskyist’ (p. xxi). Routledge, the publishers of Ian Thatcher’s Trotsky, and Pearson-Longman, the publishers of my own Trotsky, might protest, but there is a sense in which this is true. Ian Thatcher concentrated on Trotsky’s writing and the evolution of his thought, paying little attention to his personal life, while I chose to concentrate on Trotsky’s years in power, giving less detail on the long years of exile. With twice the number of pages to play with and numerous maps and photographs, Service can indeed attempt to give the full picture of ‘a life full of drama played out with the world as its stage’ [...] If there is a failing in this biography, it is that Service frequently underplays the differences between Trotsky and Lenin. »
Cordialement, — Racconish D 16 novembre 2012 à 19:23 (CET)Répondre
Très bien, ça peut aider à équilibrer le tout. Jean-Jacques Georges (d) 16 novembre 2012 à 20:40 (CET)Répondre
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