Kai Fr
[Que la Paix soit sur ceux qui suivent la Guidée]
Site maison-islam
modifierBonjour. ce site ne fait pas référence : l'auteur n'a ni qualification ni reconnaissance académique et rédige des articles essentiellement confessionnels qui ne relèvent pas d'explications historico-critique ou neutre. Le ton confessionnel général des articles est évident - même si il est peut être évidemment très utiles pour éclairer les croyants mais nullement l'encyclopédie : le passage de wp est sourcé grâce à des documents de chercheurs reconnus et les liaisons directes au texte coranique en guise d'exemple sont donnés pas ces chercheurs. De manière générale, les sites confessionnels ou à vocation confessionnelle sont à considérer comme une manière de prosélytisme. Si votre initiative prt certainement d'une excellent intention, l'effet mécanique de multiplier les liens dans les articles vers se site peut s'apparenter à du span. merci de bien vouloir considérer tout cela. Cordialement, Mogador ✉ 19 mars 2010 à 08:58 (CET)
Bonjour,
Je ne comprend vraiment pas votre opposition. L'auteur du site (qui n'est pas le mien) a une qualification théologique en sciences musulmanes donc je trouve pertinent de donner ce lien qui explicite le point de vue musulman sur la question de Jésus en islam, d'autant plus que les sites bien rédigés et de qualité traitant de l'islam d'un point de vue interne manque cruellement sur le web francophone. Il n'y a aucune intention de spam derrière mes interventions mais tant que la question est abordée du point de vue musulman de façon détaillée (à la différence de ce qui est écrit grossièrement dans wikipédia dans la section) n'est-ce pas enrichir l'encyclopédie et informer les curieux, d'autant plus que mon lien était inséré dans la partie "Jésus en Islam" et non en introduction? Si les sites exposaient de façon détaillée les positions de l'islam il n'y aurait pas lieu de mettre ces liens je suis d'accord (Wikipedia ayant pour but à terme d'être auto-suffisante), mais avant que cela ne se réalise est-ce qu'on doit nécessairement considéré mon type d'intervention comme du prosélytisme ou autre?
J'exprime ainsi mon étonnement car je note une franche différence avec les wikipedia anglophones (d'où je viens) où ce type de liens externe est permis alors que tous lien à caractère religieux semble prohibé ici à vos dires (juste mon point de vue).
- Je ne doute pas de vos intentions mais il se trouve que ce monsieur n'est pas une personne de référence : aucun ouvrage scientifique ou de référence publié et reconnu sur des problématiques générales ou spécifiques. Je me réjouis que l'article bénéficie de vos lumières et des sources qui pourront améliorer cette partie grossière que dont je suis le fauteur. Néanmoins, elle a été écrite sur base du Dictionnaire du Coran dont les auteurs ne passent pas a priori pour des ignares mais dont vous pourrez peut-être produire une critique compétente et reconnue qui affirme le contraire. Il se pourrait aussi que j'en aie mal répercuté le contenu mais il faudrait vérifier avec l'ouvrage, si vous le voulez bien. Le site de Mehdi Azaiez, pointé plus haut, est un outil intéressant, ceci dit en passant. Il convient quand même de ne pas mélanger le confessionnel, fut-il savant - avec l'historien : ce ne sont pas les mêmes niveaux de discours.
- Évidemment, en terme de vulgarisation, on peut toujours faire mieux en n'oubliant pas que le problème qui se pose alors est d'apporter toutes nuances ou explications nécessaires pour montrer la diversité des points de vues internes à l'islam (ce que le site pointé ne fait assurément pas ou de manière plutôt - disons - largement brossée)... dans des paragraphes qui traitent spécifiquement de théologie. Je vous signale par ailleurs l'existence de l'article spécifique Îsâ qui ne demande pas mieux qu'à être développé de manière référencée. Je ne sais pas comment font les anglophones mais je dois vous avouer que beaucoup d'articles religieux y sont extrêmement décevant voire désappointant par leur manque de rigueur scientifique. Enfin, en gros, sur wp.fr, si les sites ou blogs ne sont pas le faits de personnalités de référence connues et reconnues dans leur spécialité et n'apportent pas des informations manquantes, ils sont à éviter, pour ne pas dire plus. Cordialement, Mogador ✉ 19 mars 2010 à 18:39 (CET)
- Je me permet d'intervenir dans la discussion. Si un site externe est confessionnel, je ne vois pas où est le problème. Par définition, il est externe et ne peut donc être soumis aux normes de neutralité que Wikipédia s'impose. Et ce n'est pas une raison pour l'exclure, même s'il expose un point de vue partisan. Les liens externes ne peuvent être soumis aux normes qui régissent le corps d'un article, cela même un administrateur de Wikipédia en conviendrait. Mais il y a une raison culturelle à cela. La version anglaise est imprégnée par l'idée de liberté religieuse qui est aussi fondamentale dans la constitution américaine. La version française est plus attachée à l'idée de laïcité, fondamentale en France depuis la Troisième république. Dans la version française, le principe de neutralité, qui a incontestablement une origine anglo-saxonne, est donc mis au service de cette imprégnation culturelle de la laïcité. Un site confessionnel est alors considéré comme non-neutre par définition et plus ou moins interdit de séjour sur Wikipédia. Dans la version anglaise, on considère simplement un site confessionnel comme exposant un point de vue parmi d'autres. Mais, si la démarche ne vous rebute pas, vous pouvez toujours faire une requête auprès d'un administrateur, car au-delà du prétexte de mon intervention, il y a un problème de fond à traiter. 89.88.187.61 (d) 24 mars 2010 à 10:09 (CET)
Sahaba
modifierBaralallahou fik akhy pour ta contribution sur l'article "Sahaba" concernant "Les 10 compagnons promis au Paradis". Salam alaykoum - Skandar 24 mars 2010 à 09:40 (CET)
- Wa fika; Je fais de mon mieux avec le peu que j'ai.
Bonjour,
Je viens vous informer que j'ai apposé un bandeau "contenu trop allusif" sur votre article car on ne comprend pas réellement de quoi il parle (gardez à l'esprit que les lecteurs de l'encyclopédie ne sont pas forcément connaisseur de la religion musulmane). Il faudrait donc commencer l'article par deux ou trois phrases générales précisant de quoi va parler l'article (apparemment un groupe de personne dans une religion ??), et quel est son domaine, sans utiliser de terme trop technique. Bonne continuation, Binabik (d) 24 mars 2010 à 15:49 (CET).
- j'ai bien reçu votre conseil concernant l'article, j'ai rajouté que cela concernait l'islam mais je ne peux pas faire plus à l'heure actuelle.
- Je vous remercie.
- OK, c'est vrai que c'est déjà plus explicite de citer la religion concernée. Sur la base de l'article Rashidun, j'ai légèrement reformulé la phrase d'introduction et j'ai retiré le bandeau. Je vous laisse vérifier que cela vous convienne. Bien à vous, Binabik (d) 24 mars 2010 à 16:03 (CET).
Analyse automatique de vos créations
modifierBonjour.
Je suis Badmood, un robot dressé par Phe. Je fais l'analyse quotidienne de tous les articles créés deux jours plus tôt afin de détecter les articles en impasse et les articles sans catégorie.
Un article en impasse est un article qui ne contient aucun lien interne. Pour plus de détails sur les liens internes, vous pouvez consulter cette page.
Les catégories permettent une classification des articles. Pour plus de détails sur les catégories, vous pouvez consulter cette page.
Ajouter des liens ou des catégories n'est pas obligatoire, bien sûr, mais cela augmente fortement l'accessibilité à votre article et donc ses chances d'être lu et d'être amélioré par d'autres contributeurs.
Pour tout renseignement, n'hésitez pas à passer voir mon dresseur. De même, si vous constatez que mon analyse est erronée, merci de le lui indiquer.
Si vous ne souhaitez plus recevoir mes messages, vous pouvez ajouter « * [[Utilisateur:Kai Fr]] » en bas de cette page. Badmood (d) 29 mars 2010 à 10:04 (CEST)
Analyse du 29 mars 2010
modifier- Mosquée Abou Hanîfa est :
- un article non catégorisé
De retour ?
modifierSalam 'alaykoum. Alors ça y est, de retour ? Je me demandais où tu étais passé — Skandar blabla 9 juin 2010 à 01:08 (CEST)
- 'alaykoum salam, pas vraiment :D je faisais un tour sur wiki et eus une envie soudaine d'éditer.
- Actuellement je suis en période d'examen mais, Inshâ'llâh, j'essaierai de participer d'avantage une fois mon mode zombie passé. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Kai Fr (discuter), le 10 juin 2010 à 20:44
Hamdullah, j'ai vu tes modifs sur Tabi'un et je t'en remerci, c'est mieux comme ça. J'ai aussi révoqué aujourd'hui Acharisme et tu comprendras pourquoi. Il faut surveiller de près cet article qui subit beaucoup de vandalisme. Pour finir, pourquoi tu t'inscrirais pas au projet islam ? Salam 'alaykoum — Skandar blabla 16 juin 2010 à 22:55 (CEST)
- Pour l'article du Ach`arisme j'ai bien vu que c'était pas neutre mais malheuresement je ne pense pas connaître profondément le sujet pour y intervenir. De plus je pense qu'on serait plus utiles à corriger ce que des orientalistes et pseudo-connaisseurs écrivent de faux dans les sujets de la 'aqidah, du fiqh ou sur nos a'immah, en utilisant les chroniques de Tabari par exemple (pourtant non fiables) et déformant ainsi la réalité de l'islam.
- Min Fadhlika fais du'a pour mes exams ^^
Inchallah pas de problème akhy, fais gaffe, WP c'est une drogue, quand tu tombes dedans, c'est dur de s'en sortir ! Pour les pseudos-connaisseurs comme tu dis, regardes la PdD de Salafisme tu vas rigoler comme celle-ci par exmple : « Comme le souligne Bernard Rougier, « les salafistes s'émancipent de la tradition fondée par les écoles juridiques, et inventent un nouvel islam. » » Comique hein ? Mais attention surtout restons neutre hein ! bah oui bien sûr ! Puis j'aime bien aussi qu'on me reproche de « faire dire aux auteurs ce qu'ils ne disent pas » bah oui bien sûr ! par contre si eux ils font dire ce que les musulmans ne disent pas, ça c'est pas grave hein ... enfin bon bref. Salam 'alaykoum — Skandar blabla 16 juin 2010 à 23:33 (CEST)
Règles de translittération
modifierSalam alaykoum, j'ai vu tes déplacements et je voulais te dire que je n'étais pas trop d'accord pour phonétiser le "ta marbouta" lorsqu'il n'y a rien derrière, je trouve plus fidèle de mettre un "h" à la fin d'un mot lorsque celui-ci se termine par un "Ha" (fortement expiré), tout ceci en attendant de trouver un consensus sur le sujet. Tu peux voir dans livres et sur internet que tantôt on met un "t", un "h" ou rien. De plus, je trouve personnellement que cela est moins esthétique. Salam 'alaykoum — Skandar blabla 17 juin 2010 à 17:05 (CEST)
'Alaykum salam, En effet j'ai rajouté un "h" pour le ta' marbuta. Par exemple on avait sahaba je trouve que ça fait mieux avec un h pour marquer. C'est comme ça qu'ils font sur le wiki anglophone et personnellement c'est ce que je rencontre le plus sur le net. Il faudrait en effet un consensus car défois il y a des accents circonflexes, de l'arabe non-littéraire (maghreben),etc.
- Salam 'alaykoum, il y a plein de problèmes pour la translittération, j'ai un peu imposé mon style dans l'article Sahaba mais je n'ai pas pollué les autres articles le temps de que le sujet soit soulevé de façon sérieuse pour les gens que ça intéresse, il faudra que l'on discute de ça mais à plusieurs, pas qu'à 2. De plus, la Wikipédia anglaise n'est pas du tout une référence pour moi, c'est le bordel chez eux et je parle même pas de la version arabe... Salam 'alaykoum — Skandar blabla 17 juin 2010 à 17:17 (CEST)
Bonjour, J'ai retiré votre demande de référence car les conventions de Wiki recommandent de ne pas en mettre dans l'introduction, celle-ci étant développée et référencée dans le corps de l'article. Si les sources vous semblent insuffisantes dans les chapitres traitant des 2 paragraphes visés, vous pouvez y mettre des demandes de référence, j'essaierai d'y remédier. Cordialement, Edoli (d) 18 juin 2010 à 18:02 (CEST)
Muawiya Ier
modifierLe mot "obsolète" qui figurait dans votre suppression était pour le moins employé improprement. Vous avez écrit:
« j'ai enlevé des passages qui sont issues des sources non fiables tels que les Chroniques de Tabari, qui est juste un repère de citations sans forcément être authentiques. Si vous pouvez apporter d'autres sources pour étayer là c'est autre chose. »
C'est précisément ce que je conteste puisque vous n'apportez aucune source à l'appui de cette opinion ?
Quand au caractère non fiable de Tabari, j'en suis d'accord car je pense qu'il l'est autant que le coran lui-même c'est-à-dire largement mythique. M.B. (d) 2 juillet 2010 à 10:26 (CEST)
- Que vous considériez que le coran soit de la même authenticité que tabari est une chose, mais sachez alors les musulmans et ceux qui ont un peu de jugeote n'acceptent pas tout ce qui se dit dans tabari (voir l'article Chroniques de Tabari), sauf les newbies ou pseudo-connaisseurs, qui pensent enrichir des articles par tout ce qui leur tombe sous la main : ça fait pas trop pro.
Annonce de suppression de page
modifierBonjour, Kai Fr,
La page Oulémas Hanbalites (page supprimée) que vous avez créée vient d'être supprimée par l'administrateur Matpib avec le commentaire : « Bac à sable : Le contenu était « Catégorie:Sunnisme Catégorie:Personnalité sunnite » et l'unique contributeur en était Kai Fr ».
Ne recréez pas cette page vous-même. Si vous tentez de la recréer, elle sera automatiquement blanchie par Salebot.
RE: Logo dans une BU
modifierLes logos sous copyrights ne doivent être placés que dans les articles sous la condition du fair use. "Wikipédia" ne possède pas ces logos et ne peut donc pas autoriser les logos sur d'autres pages. Et si tu veux lire: Discussion_Wikipédia:Prise_de_décision/Limitation_de_l'usage_des_logos. Cordialement, Otourly (d) 3 août 2010 à 23:10 (CEST)
Salut Kai Fr
modifierEt une bonne fin de Ramadan . Kirca (d) 28 août 2010 à 20:26 (CEST)
Salam, Je crois que tu n'as pas très bien compris qui est ce Gallycyborg et ce qu'il cherche à faire: qu'une telle interprétation existe dans le tafsir, je le sais très bien, mais elle n'est pas du tout majoritaire et exclusive. L'interprétation actuelle d'Al Azhar est de dire qu'il s'agit des égarés et des infidèles, au sens général du terme. Le tafsir est toujours contextualisé et en "formation". De plus les chiites et le tasawuff ont une interpétation qui va dans le même sens que celle du sheikh El Elish. Quant à Gallycybord, c'est un troll pov-pusher islamophobe qui pique des interprétations hors contexte pour répandre la haine. Soies un peu conscient de qui tu soutiens... TaRaceBoulba (d) 15 septembre 2010 à 16:17 (CEST)
- ’Alaykum salam,
Mais je ne peux pas cacher ce qui est écrit, c’est en effet ce que la majorité des savants ont écris, que tu le veuilles ou non c’est un fait ; tu peux si tu veux inclure d’autres interprétations qui existent tel qu’Al-Azhar. Si le verset est destiné aux juifs et aux chrétiens ça ne signifie pas qu'on les déteste mais plutôt qu’on demande à Allah de nous épargner leurs croyances et de s’égarer comme ils l’ont fait.
Je suis sûr qu’on peut inclure tout ça sans pour autant être pov.- Bon c'est ce que j'ai fait. Mais je conteste ce que tu écris: la majorité des savants n'adhère pas à cette interprétation: exemple Ibn Arabi, entre autres. Et Sheikh Elish etait le représentant du madhab malékite à Al Azhar, ce n'est pas rien. TaRaceBoulba (d) 15 septembre 2010 à 21:25 (CEST)
- J’ai jamais dis que les opinions de Ibn Arabi ou d’un des shaykhs de Al-Azhar équivalait à de la fumée, les divergences d’opinion sont bien connues en Islam. Pour contester ce que j’ai écris, as-tu lu la majorité des écrits savants en arabe pour affirmer que ça n’est pas la position de la majorité? Si ça ne l’est pas, que disent-ils alors à ce sujet? --Kai_Fr (d) 15 septembre 2010 à 22:53 (CEST)
- Bon c'est ce que j'ai fait. Mais je conteste ce que tu écris: la majorité des savants n'adhère pas à cette interprétation: exemple Ibn Arabi, entre autres. Et Sheikh Elish etait le représentant du madhab malékite à Al Azhar, ce n'est pas rien. TaRaceBoulba (d) 15 septembre 2010 à 21:25 (CEST)
Revert de salebot
modifierSalut,
Je suis tombé par hasard sur ce diff. Je ne sais pas pourquoi tu as reverté Salebot(une fausse manip' sans doute ?) mais attention tout de même, la version vandalisée est restée en ligne 2 jours. Bonne soirée.
Puce Survitaminée (d) 13 mars 2011 à 23:26 (CET)
- Salut,
- bravo pour ta vigilance, ça doit être une erreur de clic de ma part suite à une installation d’un JavaScript. Apparemment ça a été corrigé. Bonne journée. Kai_Fr (d) 14 mars 2011 à 16:40 (CET)
Un petit coucou
modifierالسلام عليكم Comment vas-tu, ça fait un petit moment que j'étais parti :) Ca roule ? — Skandar na'am? 30 novembre 2011 à 23:25 (CET)
- السلام عليكم ورحمة الله , ça va al-hamdulillah. Oui on a des périodes où wikipédia passe forcément au second plan. J’ai vu que tu t’investis sur wikipédia ; moi je souhaite surtout apporter l’info aux musulmans francophones qui manque, le reste (organisation de wikipédia) n’est pas ma priorité, on a tellement peu de temps.
- Allez porte toi bien. --Kai_Fr (d) 3 décembre 2011 à 15:32 (CET)
Je te rassure, moi aussi c'est pour importer des infos mais rien que pour ça il faut souvent se battre. Je part du principe que l'on a absolument pas besoin de faire l'apologie de l'islam ou d'un courant de l'islam pour que la vérité éclate, il faut juste ramener la réalité. Comme tu l'as dis toi-même, avec les orientalistes pseudos-connaisseurs de l'islam, on va avoir du mal car leurs avis priment sur tout ici... Allez portes toi bien aussi السلام عليكم — Skandar na'am? 8 janvier 2012 à 13:16 (CET)
Bandeau d'avertissement ?
modifierBonsoir, et pourquoi ce magnifique avertissement ? Des explications ? Merci et bonne soirée --Lomita (d) 11 janvier 2012 à 21:14 (CET)
- Bonsoir,
- lol, loin de moi l’idée de vous titiller ^^ l’avertissement était pour 82.225.55.195 qui venait de vandaliser, mauvaise manip sur LiveRC, désolé et milles excuses ^^ --Kai_Fr (d) 11 janvier 2012 à 21:23 (CET)
- Aucun problème, je m'en suis doutée (mais c'est le premier avertissement que je recevais depuis mon inscription à Wikipédia, comme quoi, y'a un début à tout) - bonne continuation et bonne soirée --Lomita (d) 11 janvier 2012 à 21:26 (CET)
Que pensez-vous de ma dernière contribution? 108.41.50.99 (d)
- Wikipédia est une encyclopédie. La neutralité doit provenir de toute part et il faut tout remettre en question.
- Et laissez moi vous dire que vous avez un joli drapeau sur votre Page utilisateur... ;)
- A bientôt! 108.41.50.99 (d) 19 janvier 2012 à 15:02 (CET)
Bonjour, regarde Wikipédia:WikiFantôme, tu peux maintenant t'ajouter l'icône de titre WikiFantôme en insérant dans ta page user : {{WikiFantôme mop}}.
Un WikiFantôme est un contributeur de Wikipédia qui fait de toutes petites interventions extrêmement espacées dans le temps, à tel point qu'on les prend parfois pour des WikiGnomes ou des comptes morts. Un WikiFantôme est un utilisateur de Wikipédia qui fait de toutes petites interventions extrêmement espacées. Comme les WikiFées et les WikiGnomes, les WikiFantômes sont généralement considérés comme amicaux. AffiliationmodifierSi vous le voulez, vous pouvez annoncer votre qualité de WikiFantôme sur votre page utilisateur en ajoutant la boîte utilisateur Voir aussimodifier
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Bataille des Quatre Bras
modifierSalut Kai,
Je viens de poster une modif de l'article sur la Bataille des Quatre Bras et vois que tu en demandes (?) la suppression.
Je suis à la fois très heureux de voir que quelqu'un réagit dans la minute au sujet et déprimé de ce msg.
Pour ton info, je suis un nouvel utilisateur qui a pensé, en lisant l'article existant précédemment ([Ereunetes]), qu'il était indispensable de le corriger, au moins sur le plan formel, tant il me semblait illisible et incompréhensible.
J'ai expliqué sur ma page, dans un § crée spécialement, pourquoi je n'ai pas expliqué les modifications (je pensais qu'accéder au résumé annulerait ces modif.).
Merci de tes observations et de ton concours, qui nous permettront à tous de gagner du temps et de fournir aux lecteurs de l'article un texte digne de Wiki.
patrouille
modifierBonjour, je vois que tu as beaucoup patrouillé toute la journée. Tu peux rejoindre les patrouilleurs si tu le souhaites à cette adresse : #wikipedia-fr-liverc Cela permet de discuter sur certains reverts, signaler facilement des copyvios à purger etc. Cdt. Enrevseluj (d) 12 mai 2013 à 18:08 (CEST)
- Bonjour et merci de ta proposition. C'était un épisode occasionnel, mais je garde l'adresse du chan irc dans un coin pour plus tard. Cordialement, -- Abdoullah (d) 12 mai 2013 à 18:21 (CEST)
Révocation trop rapide
modifierBonsoir,
Quand on voit ce genre de diff, il faut tâcher de réfléchir avant de révoquer, d'autant plus que l'IP avait introduit auparavant le vrai synopsis du film -et pour cause, c’était un copyvio. Il suffisait du reste de jeter un œikl à la version anglaise pour s'en rendre compte. Grâce à toi et tes révocations brutales, on a donc perdu un contributeur potentiel, merci. Litlok (m'écrire) 15 mai 2013 à 01:37 (CEST)
- Bonjour, est-ce qu'un "PS :..." peut être laissé dans un article de wikipédia ? Si le synopsis ne correspondait pas au film, pourquoi ne pas le modifier au lieu de rajouter ce commentaire dans l’article ?--Abdoullah (d) 15 mai 2013 à 14:34 (CEST)
- Il faut toujours regarder l’historique avant de révoquer. L'IP avait introduit le bon synopsis, révoqué car copyvio. Voyant cela, elle a introduit ce PS. Certes, un PS n'a pas sa place sur un article. Mais avant de le révoquer, il fallait regarder pourquoi il était là ! Ce n'est pas un simple pipi-caca : il faut toujours se poser des questions. LiveRC n'est pas un stand de tir. Litlok (m'écrire) 15 mai 2013 à 16:34 (CEST)
- Je suis bien conscient que ce n'est pas un stand de tir, merci de me le rappeler ; seulement sa contribution reste un commentaire, et donc n'avait pas sa place peu importe les raisons. N'importe qui aurait enlevé son commentaire de l’article, liveRC ou pas. Après pour corriger/rectifier le contenu, d'autres seraient intervenus. -- Abdoullah (d) 15 mai 2013 à 21:26 (CEST)
- L'IP était simplement maladroite, ce n'était pas un vandale. Certes, un commentaire n’a pas sa place dans l'article mais dans tous les cas, avant de révoquer sèchement, on lit le commentaire, on ne se contente pas de survoler. Ici, ce n'était clairement pas du vandalisme, surtout après lecture de la modification précédente. Dans ce genre de cas, on ne révoque pas sèchement avec un bandeau automatique en page de discussion. Je vois que tu t'es mis récemment à faire pas mal de RC, c'est bien et c'est utile (j'y ai passé des heures, mais je ne le fais plus depuis quelques années) mais il faut le faire comme si à chaque modification défaite, c'était la première de la journée et qu'on avait le temps de passer 10 minutes à expliquer en détail, et à reprendre dans le détail exactement les mêmes explications qu'on répète depuis une heure. Ton comportement était ici inadapté et a fait fuir un contributeur débutant de bonne foi ; j'espère que tu as compris ces deux points. C'est ton revert sec qui l'a fait basculer dans le vandalisme. Imagine la situation : tu es nouveau, tu arrives sur un article consacré à un film que tu viens de voir, tu constates que le résumé n'est pas du tout le bon. Comme tu ne connais pas les problèmes de droits d'auteur, tu prends le résumé officiel et tu remplaces. Révocation. OK, on te dit de ne pas recopier du texte qui vient d'un autre site. Comme tu n'es pas un bon rédacteur et que tu ne veux pas te lancer dans la rédaction d'un nouveau résumé, tu laisses un mot sur l’article pour dire que le résumé n'est pas le bon. Nouvelle révocation, et avertissement dans ta page de discussion qui te demande d'arrêter de vandaliser Wikipédia. Zut quoi ! Tu viens de passer du temps à essayer de corriger quelque chose, et on vient t'insulter ! Résultat : tu pètes un câble sur l’article, nouvelle révocation, adieu. C'est ce qui s'est passé. Il fallait retirer le commentaire, on est d'accord, mais en aucun cas mettre un message automatique en page de discussion. Litlok (m'écrire) 16 mai 2013 à 00:16 (CEST)
- On est d'accord qu'il fallait enlever le commentaire, donc le revert est justifié et sur les faits on pourrait en rester là. Ensuite puisque c'est mon attitude qui est en question, si tu regardes de plus près j'ai d'abord dit "non encyclopédique en l'état" pour le commentaire qu'il/elle a ajouté. Je pense que là tu es d'accord avec moi ? C'est seulement par la suite quand il a sciemment ajouté dans l'article "demmerdez-vous" que j'ai considéré qu'il/elle faisait preuve de vandalisme. Je ne pense pas qu'on insère ce genre de propos "de bonne foi", même maladroitement. Et s'il ne connaissait pas les règles je me suis permis de les lui rappeler par message automatique expliquant ce qu'est un article d'encyclopédie et ce que signifie un style approprié car j'entend bien qu'on est tous maladroits à nos débuts et qu'on souhaite bien faire. Où est donc l'attitude "sèche" ici ? De plus je ne sais pas où tu vois un message d'insulte ou d'intimidation, le message en question ne fait qu'expliciter les règles, je ne lui ai pas non plus balancé de "dernier avertissement !" ; là oui c'eût été sec. Voilà j'espère que tu as bien compris mon attitude qui était au contraire plus bien veillante que brutale. J'admire ta sollicitude envers les débutants et leurs faux pas mais ici je pense que tu surinterprètes mon action en excusant l'IP un peu vite, bien qu'objectivement c'est bien elle qui était en tort, peu importe ses intentions. Je pense donc m'être clairement expliqué sur mon action aussi est-ce mon dernier message sur le sujet, ayant mieux à faire. Cordialement, --Abdoullah (d) 16 mai 2013 à 01:09 (CEST)
- On dirait que tu n'as pas compris ce que Litlok prend la peine de t'expliquer longuement, alors peut-être qu'un message bref sera plus efficace : encore un coup comme ça et je te bloque. Cordialement • Chaoborus 16 mai 2013 à 09:16 (CEST)
- On s'est passé le mot à ce que je vois, c'est plutôt toi qui n'a rien comprit on dirait, je me suis aussi expliquer longuement et malheureusement pour moi je n'ai pas de pote admin qui viendrait se la jouer comme toi sans prendre la peine de comprendre mon intervention, qui reste légale. Donc tes menaces, tu te les gardes car je n'ai rien fait de mal. Mais si tu souhaites me bloquer pour épater la gallerie, vas-y, on verra ce que d'autres admins en disent. -- Abdoullah (d) 1 juin 2013 à 23:08 (CEST)
- Cela me semblerait excessif quand même... En deux mots, ce que je veux dire c'est que pour les vandalismes évidents « classiques », on peut y aller à coups de messages automatiques. Pour les interventions de bonne foi, il faut laisser tomber les messages automatiques et s'adresser directement à la personne. Cela prend plus de temps (le temps nécessaire pour consulter l'historique de ce qui s'est passé, et le temps pour rédiger le message), mais est plus respectueux, et en plus on peut y gagner à terme une personne ayant une bonne image de la communauté. Litlok (m'écrire) 16 mai 2013 à 09:43 (CEST)
- On dirait que tu n'as pas compris ce que Litlok prend la peine de t'expliquer longuement, alors peut-être qu'un message bref sera plus efficace : encore un coup comme ça et je te bloque. Cordialement • Chaoborus 16 mai 2013 à 09:16 (CEST)
- On est d'accord qu'il fallait enlever le commentaire, donc le revert est justifié et sur les faits on pourrait en rester là. Ensuite puisque c'est mon attitude qui est en question, si tu regardes de plus près j'ai d'abord dit "non encyclopédique en l'état" pour le commentaire qu'il/elle a ajouté. Je pense que là tu es d'accord avec moi ? C'est seulement par la suite quand il a sciemment ajouté dans l'article "demmerdez-vous" que j'ai considéré qu'il/elle faisait preuve de vandalisme. Je ne pense pas qu'on insère ce genre de propos "de bonne foi", même maladroitement. Et s'il ne connaissait pas les règles je me suis permis de les lui rappeler par message automatique expliquant ce qu'est un article d'encyclopédie et ce que signifie un style approprié car j'entend bien qu'on est tous maladroits à nos débuts et qu'on souhaite bien faire. Où est donc l'attitude "sèche" ici ? De plus je ne sais pas où tu vois un message d'insulte ou d'intimidation, le message en question ne fait qu'expliciter les règles, je ne lui ai pas non plus balancé de "dernier avertissement !" ; là oui c'eût été sec. Voilà j'espère que tu as bien compris mon attitude qui était au contraire plus bien veillante que brutale. J'admire ta sollicitude envers les débutants et leurs faux pas mais ici je pense que tu surinterprètes mon action en excusant l'IP un peu vite, bien qu'objectivement c'est bien elle qui était en tort, peu importe ses intentions. Je pense donc m'être clairement expliqué sur mon action aussi est-ce mon dernier message sur le sujet, ayant mieux à faire. Cordialement, --Abdoullah (d) 16 mai 2013 à 01:09 (CEST)
- L'IP était simplement maladroite, ce n'était pas un vandale. Certes, un commentaire n’a pas sa place dans l'article mais dans tous les cas, avant de révoquer sèchement, on lit le commentaire, on ne se contente pas de survoler. Ici, ce n'était clairement pas du vandalisme, surtout après lecture de la modification précédente. Dans ce genre de cas, on ne révoque pas sèchement avec un bandeau automatique en page de discussion. Je vois que tu t'es mis récemment à faire pas mal de RC, c'est bien et c'est utile (j'y ai passé des heures, mais je ne le fais plus depuis quelques années) mais il faut le faire comme si à chaque modification défaite, c'était la première de la journée et qu'on avait le temps de passer 10 minutes à expliquer en détail, et à reprendre dans le détail exactement les mêmes explications qu'on répète depuis une heure. Ton comportement était ici inadapté et a fait fuir un contributeur débutant de bonne foi ; j'espère que tu as compris ces deux points. C'est ton revert sec qui l'a fait basculer dans le vandalisme. Imagine la situation : tu es nouveau, tu arrives sur un article consacré à un film que tu viens de voir, tu constates que le résumé n'est pas du tout le bon. Comme tu ne connais pas les problèmes de droits d'auteur, tu prends le résumé officiel et tu remplaces. Révocation. OK, on te dit de ne pas recopier du texte qui vient d'un autre site. Comme tu n'es pas un bon rédacteur et que tu ne veux pas te lancer dans la rédaction d'un nouveau résumé, tu laisses un mot sur l’article pour dire que le résumé n'est pas le bon. Nouvelle révocation, et avertissement dans ta page de discussion qui te demande d'arrêter de vandaliser Wikipédia. Zut quoi ! Tu viens de passer du temps à essayer de corriger quelque chose, et on vient t'insulter ! Résultat : tu pètes un câble sur l’article, nouvelle révocation, adieu. C'est ce qui s'est passé. Il fallait retirer le commentaire, on est d'accord, mais en aucun cas mettre un message automatique en page de discussion. Litlok (m'écrire) 16 mai 2013 à 00:16 (CEST)
- Je suis bien conscient que ce n'est pas un stand de tir, merci de me le rappeler ; seulement sa contribution reste un commentaire, et donc n'avait pas sa place peu importe les raisons. N'importe qui aurait enlevé son commentaire de l’article, liveRC ou pas. Après pour corriger/rectifier le contenu, d'autres seraient intervenus. -- Abdoullah (d) 15 mai 2013 à 21:26 (CEST)
- Il faut toujours regarder l’historique avant de révoquer. L'IP avait introduit le bon synopsis, révoqué car copyvio. Voyant cela, elle a introduit ce PS. Certes, un PS n'a pas sa place sur un article. Mais avant de le révoquer, il fallait regarder pourquoi il était là ! Ce n'est pas un simple pipi-caca : il faut toujours se poser des questions. LiveRC n'est pas un stand de tir. Litlok (m'écrire) 15 mai 2013 à 16:34 (CEST)
(LiveRC : Révocation des modifications de 119.224.135.137 (retour à la dernière version de 217.128.164.96) ; Retrait d'information non expliqué) (défaire)
modifierhttp://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Coupe_de_France_de_robotique&oldid=93001178
Bonjour , c'est moi qui est supprimer la photo. J'avais mis en commentaire :
→Édition 1998 - Le Football : suppression de la photo, elle date de 2012et non98 : l'ile au trèsor
En gros , le terrain est celui de 2012, ça m'étonnerai qu'une équipe ne change rien de son robot en 4 ans ... ( en général les 3/4 des pièces sont changé )
Voila, comme tu dois faire pas mal de modif , je comprend tu as du voir suppression sans ajout et tu t'ai dit c'est une dégradation ...
Merci d'aider a garder un wiki propre . --Mattpatt59 (d) 16 mai 2013 à 14:08 (CEST)
Convention typographique pour l'arabe
modifierBonjour. Voyant que vous avez participé au Projet:Islam, je me suis permis de vous envoyer ce message. Suite à différentes discussions, il s'est avéré qu'il serait vraiment temps de choisir une norme internationale pour la transcription/translittération de l'arabe sur Wikipédia. Le problème revient régulièrement et fixer une convention typographique permettrait de régler une bonne fois pour toutes la question. Plusieurs langues utilisant des caractères non latins ont déjà leur règle fixée. Je vous invite à venir participer au débat sur Discussion Projet:Monde arabo-musulman afin de l'enrichir et, je l'espère, terminer avec une prise de décision aboutissant à une règle ou une recommandation sur Wikipédia. Cordialement. Zaydie (discuter) 15 janvier 2015 à 23:36 (CET)
Drapeau noir
modifierBonjour, je vois que vous mettez un drapeau noire sur votre page utilisateur. Si je ne me trompe pas c'est un drapeau djihadiste non ? Cordialement Iosif (discuter) 13 février 2015 à 06:38 (CET)
- Bonjour, il s'agit avant tout de l'attestation de foi de tout musulman : la Chahada. Cela ne renvoie pas nécessairement au "djihad", terme qui en lui-même n'est d'ailleurs pas un gros mot (le djihad étant l'effort à déployer pour maîtriser les mauvaises pulsions de chaque être humain aussi appelé "égo"). Cordialement, --Abdoullah (discuter) 13 février 2015 à 19:30 (CET).
Tarawih/ référence souhaitée annulée
modifierBonjour Kai Fr, je souhaite que vous m'indiquiez les raisons qui vous ont amené à supprimer ma demande de référence. Cordialement--Faqscl (discuter) 12 juillet 2015 à 17:42 (CEST)
L'article Les Veilleurs (mouvement) a été restauré
modifierBonjour,
L’article « Les Veilleurs (mouvement) » a été restauré à la suite d'une demande de restauration argumentée, tout en étant soumis à une procédure communautaire de suppression (cf. Wikipédia:Pages à supprimer).
En tant que participant à la demande de restauration, à l'article ou au précédent débat ou en tant que projet associé, vous êtes invités à donner votre avis à l’aune de l’existence de sources secondaires fiables et indépendantes et des critères généraux et spécifiques d'admissibilité. Les liens sur les éléments pertinents sont les bienvenus. N’oubliez pas que les principes fondateurs de Wikipédia ne garantissent aucun droit à avoir un article sur Wikipédia.
Message déposé par Turb (discuter) le 10 avril 2016 à 20:52 (CEST)
L'article Hit-Office est proposé à la suppression
modifierBonjour,
L’article « Hit-Office (page supprimée) » est proposé à la suppression (cf. Wikipédia:Pages à supprimer). Après avoir pris connaissance des critères généraux d’admissibilité des articles et des critères spécifiques, vous pourrez donner votre avis sur la page de discussion Discussion:Hit-Office/Suppression. Le meilleur moyen d’obtenir un consensus pour la conservation de l’article est de fournir des sources secondaires fiables et indépendantes. Si vous ne pouvez trouver de telles sources, c’est que l’article n’est probablement pas admissible. N’oubliez pas que les principes fondateurs de Wikipédia ne garantissent aucun droit à avoir un article sur Wikipédia. |
Avertissement suppression « Ibn Qayyim al-Jawziyya »
modifierBonjour,
L’article « Ibn Qayyim al-Jawziyya » est proposé à la suppression (cf. Wikipédia:Pages à supprimer). En tant que participant à l'article ou projet associé, vous êtes invité à donner votre avis à l’aune de l’existence de sources secondaires fiables et indépendantes et des critères généraux et spécifiques d'admissibilité.
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Avertissement suppression « Abou al-Layth As Samarqandî »
modifierBonjour,
L’article « Abou al-Layth As Samarqandî » est proposé à la suppression (cf. Wikipédia:Pages à supprimer). En tant que participant à l'article ou projet associé, vous êtes invité à donner votre avis à l’aune de l’existence de sources secondaires fiables et indépendantes et des critères généraux et spécifiques d'admissibilité.
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Quelques questions
modifierSalam alaïkom, possible de discuter, svp ? Bismillah (discuter) 13 décembre 2018 à 22:21 (CET)
Avertissement suppression « Savant musulman »
modifierBonjour,
L’article « Savant musulman (page supprimée) » est proposé à la suppression (cf. Wikipédia:Pages à supprimer). En tant que participant à l'article ou projet associé, vous êtes invité à donner votre avis à l’aune de l’existence de sources secondaires fiables et indépendantes et des critères généraux et spécifiques d'admissibilité.
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Avertissement suppression « Enfance de Mahomet »
modifierBonjour,
L’article « Enfance de Mahomet » est proposé à la suppression (cf. Wikipédia:Pages à supprimer). En tant que participant à l'article ou projet associé, vous êtes invité à donner votre avis à l’aune de l’existence de sources secondaires fiables et indépendantes et des critères généraux et spécifiques d'admissibilité.
N’oubliez pas que les principes fondateurs de Wikipédia ne garantissent aucun droit à avoir un article sur Wikipédia.
AB Louis [?] 25 janvier 2020 à 18:39 (CET)
== Démonstration du Tawhid : Unité et Unicité divine ==--Idriss El Khatib (discuter) 5 janvier 2022 à 12:27 (CET)idriss
Le postulat de départ pose le problème de cette manière : • Il n’y a aucun Dieu • Il y a un Dieu unique • Il y a plus d’un Dieu (et le nombre n’importe pas)
Comprenons bien une chose il n’y a pas de quatrième voie. Autrement dit ces trois positions existantes sont exhaustives par rapport à l’idée de la divinité. Une seule proposition est vraie à l’exclusion des deux autres. Il n’y a pas de quatrième voie ces trois positions sont mutuellement exclusives, et dans l’exhaustivité seule une posture tient pour garant la Vérité. Avancer qu’il existe un quatrième cas sera totalement absurde.
Peut-on dire qu’il n’y a aucune divinité ? Renier la divinité implique de dire que toute chose qui est portée à la connaissance n’est pas créée, et par conséquent serait issue du hasard. En effet,, il n’y a aucune divinité il n’y a donc, de facto, aucun Créateur. Toute chose est le produit du dit hasard. Le hasard est la seule alternative à Dieu, il n’y a pas une autre. Donnons une définition au hasard qui puisse inclure toute perception du hasard et conviendrait à cet énoncé :
Si on trouve un début à un événement alors on sait d’où il vient et cette connaissance essuie toute considération qui porte le hasard au rang d’explication. Pareillement si on connaît la fin d’une action, on sait où elle va de ce fait le hasard ne peut être considéré comme la source légitime de l’explication du phénomène observé. Enfin si un événement suit une loi scientifique (que la logique peut appréhender) ou que la raison peut saisir alors toute considération qui fait du hasard l’explication maîtresse s’essuie face à la capacité intellectuelle de l’Homme. De ce fait le hasard doit se calquer sur la définition encadrée, en cela le hasard serait un phénomène quasi métaphysique qui se manifesterait d’une façon qui échappe complètement à la raison humaine. Le hasard n’a ni origine ni fin et la raison ne peut traiter l’information saisie par le phénomène du hasard. Sinon ce n’est qu’une connaissance incomplète. On ne peut absolument pas déduire une loi du hasard, il n’obéit à aucune règle. Le hasard est-il le moteur de la réalité ou serait-il qu’une manifestation d’une ignorance latente à tout Homme ? Examinons le hasard, recherchons le dans l’Homme, dans la Nature et enfin dans le Cosmos. Et essayons de tirer les choses au clair.
1. Le hasard face à l’Homme.
L’Homme vit et meurt, ainsi tout homme à un début et une fin. Et les bébés n’apparaissent nullement par le fruit du hasard, les règles de reproduction et de conception sont connues depuis la nuit des temps, si connues que l’on peut y déroger à travers la contraception. L’Homme vient de ce qu’il connait : un sperme éjaculé. Et les étapes qui suivent sont méthodiquement reproduites pour chaque nouveau-né, quel que soit son image. Aussi, la morphologie de l’humain montre que ce dernier est limité. Dans les mesures anatomiques de l’Homme on retrouve régulièrement le nombre d’or, un nombre qui est synonyme de perfection, de beauté et d’harmonie. Pourquoi n’y a-t-il jamais de hasard en cela ? D’autre part la raison humaine est une réalité partagée par la grande majorité des êtres humains. Le principe de la raison permet à l’homme de réfléchir, d’acquérir des connaissances et donc de dissiper toute manifestation qui pourrait être confondues avec l’erreur et la transformer en science, autant que faire se peut.
A l’extrême certains Hommes font preuve de folie, mais les manifestations de la folie sont énoncées par la science et la science est issue du travail de la raison. Par conséquent on ne peut pas témoigner raisonnablement que le hasard a produit l’Homme car tout en l’Homme est ordonné et raisonnable. C'est-à-dire tout l’opposé du hasard. Et en pratique, nulle justice lorsque le hasard est invoqué. Cela revient du devoir de responsabilité ! Qui saurait se justifier par le hasard devant une Cour de Justice ? Qui saurait y répondre favorablement si ce n’est l’Homme injuste. Qui témoignerait du contraire, si non le faible d’esprit ? La Justice n’enveloppe-t-elle pas l’injustice ? Il n’y a aucun recours contre la Justice mais ce n’est pas le cas de l’injustice. Et la Vérité est le socle indispensable à une Justice. Ne vous rappelez-vous donc pas ? On ne saurait exercer la Justice à travers de faux arguments ou des mensonges, en cela la vérité est la face cachée de la Justice. Aucune personne sensée et raisonnable ne pense que la Justice doit se baser sur le mensonge sinon le criminel, ni peut-on croire que le hasard doit dicter la conduite juste. Au contraire, la conduite juste s’applique par le respect de règles claires et s’oppose à la conduite hasardeuse qui n’est que le reflet d’une ivresse ou d’une démence. Et la foi en le hasard n’est jamais mise en pratique, ce n’est qu’un énoncé vide de toute propriété pratique et acceptable. Nul n’applique pratiquement les principes du hasard. On peut le dire, voire y croire, mais dans la vie courante personnelle et en société, il n’a pas sa place et est donc absent totalement. Si le hasard était aussi puissant que l’on prétend, il aurait une place privilégiée dans la vie de tous les jours, mais en réalité il n’en est rien. Nul ne vit par hasard ou pour le hasard, il n’y a aucun lien mutuel entre le hasard et les Hommes.
2. Le hasard face à la Nature
A. De la faune et de la flore. La faune et la flore sont les composantes essentielles de toute vie dans la nature, ce sontles constituants vivants qui habitent sur Terre. Tous deux peuvent tomber malades et être soignés par des moyens médicaux. Il y a donc une loi médicale qui régit ces vies sur Terre. Aucun médecin ne procède à un diagnostic au hasard, n’est-ce pas ? On pourrait penser que si le hasard est maitre de l’univers cela devrait être le cas, selon le principe de cause à effet.
Au-delà, de la médecine, d’autres domaines scientifiques peuvent interférer avec ces derniers. On peut citer la génétique qui peut changer la constitution de ces vies et les rendre plus fortes face à certains dangers ou altérer leur apparence « naturelle ». On peut aussi citer les habitudes alimentaires de la faune et de la flore qui sont une discipline scientifique. Par exemple les plantes ont besoin d’eau et de soleil pour croître et leur croissance est prédéterminée. Il en va de même pour la faune dont les habitudes alimentaires sont différentes, selon qu’on observe un carnivore ou un herbivore, par exemple. Ainsi que l’Homme qui est soumis à toutes ces lois scientifiques, car elles le caractérisent, l’identifient et le déterminent, permettant de le différencier de la faune et de la flore sauvage. Aussi lorsque l’on s’interroge sur l’origine de la Vie imputer cette dernière au hasard reviendrait à dire que le Hasard est vivant. Car la biologie tient pour principe fondamental la biogénèse. La vie vient de la Vie. Il n’y a aucune preuve factuelle que la Vie provienne de la mort ou l’inerte. Mais si le hasard est vivant et qu’il donne la Vie alors ce hasard n’est en réalité pas un hasard et le nom de hasard serait qu’une connaissance incomplète de cette entité. La vie sur terre obéit strictement aux lois du Vivant. De plus le code génétique dans sa complexité et son ordre montre une intelligence. Et les lois du Vivant sont codées dans l’ADN. Les généticiens qui observent le fonctionnement de l’ADN le décrivent comme complexe et comme un programme qui répond à un code intelligent, la génétique a elle aussi ces lois, auquel tout être vivant obéit. Tout comme pour un programme informatique il y a un informaticien, il en va ainsi pour le code génétique. Le monde du vivant partage le même ADN car est issu du même Créateur qui a établi la biodiversité e utilisant le même langage, selon des codages différents. Un codage qui ne relève en rien du hasard.
En effet, il est mathématiquement impossible que les chaines de protéines se soient fixées au gré d’un hasard plus qu’improbable, mathématiquement impossible.
Comment le hasard qui n’a aucun sens en soi peut-il être à l’origine des êtres dont la composition génétique est absolument ordonnée ? Il y a une contradiction ou on veut imposer un avis en tant qu’argument par la force, sans réelle justification rationnelle. La Vie telle que l’on la connait est l’expression d’une volonté nul n’est amené à la Vie par hasard. Le hasard s’il est doté d’une volonté et qu’il donne la Vie n’est plus un hasard car la volonté est intelligible alors que le hasard non. Comment un hasard inintelligible a produit une Nature intelligible et harmonieuse ?
Ce phénomène, rendez-vous compte, qui est Vivant et qui a l’entière Liberté de produire la biodiversité à travers sa volonté ne saurait être un hasard. C’est contradictoire et mal connaitre le phénomène pensé. Par ailleurs, l’Homme trouve dans la Terre toutes les ressources nécessaires à sa vie, quel que soit le degré de civilisation auquel il aspire, qu’elle soit primitive, moderne, ou technologiquement avancée. Le hasard ne porte pas en lui cette science permettant le développement humain. Qui défend que le hasard est aussi Savant ? On s’éloigne de la définition du hasard à proprement parler. Et la Nature est belle, la Beauté s’inscrit dans une approche esthétique et l’esthétique obéit à des règles. Un artiste qui peint un tableau au hasard ne produira pas un beau tableau, par contre lorsqu’il s’applique et soigne son art et établit des règles dans le trait alors le produit de son œuvre se rapprochera du Beau. Ainsi le fameux tableau de la Joconde est considéré comme un chef d’œuvre de la peinture. Peut-on imputer cela au hasard ? Non Léonard da Vinci a peint le tableau selon des proportions et des règles précises qui ont permis la production d’une œuvre reconnue comme belle et harmonieuse. C’est issu du travail de la volonté du peintre. La Nature est similaire comment peut-on logiquement conclure qu’elle n’est pas l’œuvre d’une Volonté intelligente ? Toutes nos règles pratiques sont inspirées de la Nature, si le hasard régnait dans la nature nous ne pourrions pas user de notre raison ni faire preuve de bons sens car il ne pourrait pas s’appliquer face au hasard. Il n’y aurait aucune réciprocité intellectuelle ! Notre raison est adaptée à la nature et le nature est adaptée à notre raison. Puisque la raison s’oppose radicalement au hasard, comment la nature peut-elle le défendre, alors que l’Homme se tient au milieu de la Nature et contemple, réfléchit, transforme et produit ? On ne peut défendre le hasard dans ce cas avec des arguments de bonne foi, valable et universels. De plus, il suffit d’analyser le principe du bio mimétisme pour se rendre compte que la Nature recèle de la haute technologie. Il suffit d’en faire la recherche. Ce qui discrédite davantage le hasard comme source d’explication. A la racine de la nature se trouve dans la haute technologie qui est copiée par les Hommes pour leurs fins de subsistance. Cette science au début dans la Nature et à la fin auprès de l’Homme ne laisse aucune place au hasard. On peut forcer l’idée, à travers une propagande idéologique mais cela relève plus de l’arbitraire que de l’argumentation saine dans un dialogue mutuel.
B. De la Terre La Terre elle aussi est soumise à différentes lois qui la caractérisent et la font vivre. La Terre a une structure propre, elle est nivelée sur plusieurs couches chacune ayant une fonction propre. Et la magnétosphère protège la Terre des irradiations du Soleil. La Terre se caractérise par d’autres lois.
La géologie en est une, caractérisée par l’isostasie entre autres. La vulcanologie en est une autre pour ne citer qu’elles. Chacune se basant sur des faits intelligibles rentrant dans le cadre d’une théorie homogène.
La pluviométrie dépend des océans dont l’eau est vaporisée et absorbée par les nuages afin d’être disséminée vers d’autres régions. Et tout cela selon un calcul qu’ont pu réaliser les spécialistes, du Ciel la Terre permet de descendre la pluie selon une mesure et de façon ordonnée.
C. Du Ciel Les manifestations du Ciel bien que difficiles à prévoir restent ancrées d’une science qui permet de les comprendre et de les analyser. On peut citer les phénomènes pluviométriques, ainsi que les tempêtes dont les naissances peuvent être entendues ainsi que leur disparition. Les scientifiques n’ont-ils pas alerté les populations qui ont vu « Irma » détruire une partie de leurs biens ? Si. Par conséquent, et loin d’avoir fait un exposé détaillé de tous les phénomènes naturels, j’ai tout même réussi à mettre la lumière sur le caractère intelligible de ces phénomènes, et ainsi j’ai montré l’inexistence du hasard absolu dans la Nature. Aurions-nous pu construire, avancer dans la civilisation bâtie entre Terre et Ciel si la Nature faisait preuve de hasard dans ses manifestations ? Aurions-nous pu acquérir des connaissances sur la Nature si le hasard régnait dans la Nature ? Bien sûr que non. En effet, le hasard est le contraire du parfait or le Ciel est parfait, sans fissure, homogène partout. Le hasard n’aurait- il pas laissé un espace identifiable imparfait comme trace de son passage ? En principe si mais ce n’est pas le cas du tout.
3. Le hasard face au Cosmos
L’univers a de tout temps fasciné les Hommes. Ils y trouvèrent une mécanique routinière qui les rassura quant à leur vie sur Terre. En effet du fait de la rotation de la Terre on voit les étoiles tourner dans un sens inexorable alors qu’en réalité elles ne changent pas de place. Ces « mouvements » célestes annonçaient tantôt des célébrations, changement de saison, ou le moment propice pour des événements importants. En effet le Cosmos connaît une certaine régularité et présente certains enseignements. D’une part, l’orbite des planètes qui malgré l’immensité du Cosmos ne dévient nullement de leur route, si ce n’est par l’attraction d’un astre de taille supérieur ou sous l’effet de la loi de relativité. D’ailleurs c’est à travers des observations similaires que certaines planètes ont été découvertes. D’autre part la position du Soleil par rapport à l’axe de la Terre est si précise que tout changement ne serait-ce que minime (au niveau des grandeurs humaines) pourrait brûler la Terre ou la jeter dans le grand froid. Sans parler du réglage fin de l’Univers dont la précision est telle qu’un infime changement au niveau des paramètres n’aurait pas faire aboutir à un Univers avec la Vie. Même dans le cas où il y aurait un multivers, « la machine » produisant devrait contenir un programme inscrit en elle pour produire le réglage fin Depuis quand le hasard se fait-il aussi précis ? Il est plutôt notre part d’ignorance … Défendre le hasard est intenable, c’est de l’idéologie ou une foi aveugle dénuée de toute raison justifiable. On l’impose dogmatiquement. L’Univers est en expansion d’après les observations de Hubble, car les galaxies s’ éloignent les unes des autres. Il a donc un commencement. En effet, d’après le théorème de Borde Guth Vilanker (BGV ) : tout univers (cela inclut la possibilité de multivers) admet un début absolu du moment où il y a une expansion positive de cet univers. La science physique a donc prouvé qu’il n’y a pas de passé infini, il y a un début absolu. Ce début n’est ni temporel, ni spatial ni matériel. Toutes les théories tentant d’expliquer l’Univers comme étant infini dans le passé se sont écroulées face à l’analyse et aujourd’hui aucune n’existe qui soit satisfaisante. L’univers a un début. Il a certainement une fin comme cela a été démontré par Stephen Hawking dans une autre singularité. Au milieu des années 1960, alors qu'il poursuit ses études de physicien en vue d'obtenir son doctorat, Hawking démontre que la théorie de la relativité générale d'Einstein implique que l'espace et le temps ont un commencement, le Big Bang, et une fin, les trous noirs. Ces conclusions le conduisent à découvrir dès 1963 que les trous seraient capables d'émettre un rayonnement, depuis lors appelé le rayonnement de Hawking. L’espace-temps et la matière étant liés intrinsèquement alors l’Univers disparaitra dans un trou noir et cela confirme la deuxième Loi de la thermodynamique qui assoit le principe d’entropie du système, qui implique que tout système finit par se détruire, sans parler de la mort thermique de l’univers qui est inéluctable. L’Univers n’est pas éternel : il a un début et une fin, le hasard ne saurait pas expliquer l’existence de l’Univers. Avant la création de l’Univers, il y avait le néant, et l’Univers a surgi du néant, où il y a absence de temps, de matière et d’espace. Il a donc une création ex nihilo de l’Univers. Le hasard ne peut pas produire un tel phénomène sinon il n’est plus hasard. Puisque l’univers ne s’est pas formé tout seul, il a une cause dont sa naissance et expansion sont l’effet. Le hasard pour qu’il ait du sens requiert un univers éternel. Mais l’Univers ne l’est pas. Sinon d’où viendrait le hasard si ce n’est d’une volonté transcendante, divine dont la portée nous échappe ? Ceci étant l’Univers avance au diapason, les lois physiques sont là pour le prouver. La multiplicité des lois de l’univers ainsi que son immensité provoquent des interactions, qui observées par l’Homme dans son infériorité, ressemblent au hasard. Mais la recherche scientifique transforme bon an mal an ce hasard en lois intelligibles selon la compétence du chercheur. Aussi, si on prouve le hasard on ne fait que transformer ce phénomène en loi à laquelle il appartient, donc le hasard porte en lui les motifs de sa propre destruction et l’Homme porte en lui les moyens de transformer le hasard en Loi. Nul hasard dans la loi. Par conséquent le hasard n’a aucune place dans ce que l’Homme connaît. Il n’y a nullement de hasard, dans l’Homme, ni dans la Nature ni dans le Cosmos. En montrant que le hasard n’existe pas dans les grandeurs naturelles, on déduit par l’absurde qu’il y a au moins un Dieu qui a créé l’Univers et qui fixe les règles, lois et constantes. Cependant dans l’infiniment petit, au niveau quantique, l’Ecole de Copenhague interprète les phénomènes quantiques comme étant probabilistes et imputent une incertitude quantique à cela. Mais celui qui a établi la règle est aussi en mesure d’y apporter une exception. Le principe d’incertitude quantique n’est autre que le signe de notre libre arbitre réel est isolé dans un océan de déterminisme. Le hasard de la mécanique quantique implique en rien que Dieu ignore la loi à laquelle obéit l’Homme. Mais il accorde un espace de liberté dans lequel l’Homme et la particule évolue afin de déterminer par la suite l’ensemble de règles auxquelles obéissent ces derniers. Cela ne se traduit pas non plus par une absolue intervention divine. Il y a en effet physiquement la preuve de liberté. Le hasard relatif qui ouvre la voie à la Liberté, selon la mécanique quantique, indique que l’on agit dans un cadre déterminé. Notre liberté est relative à ce dernier. Il n’y a pas de hasard absolu, mais un domaine de liberté qui est indéterminé qui produit un hasard relatif. En effet, ce hasard au niveau quantique qui n’est déterminé par aucune règle permet à l’Homme de choisir librement une voie sans être contraint par un déterminisme quelconque. Et ce hasard quantique est aussi visible en biologie par ailleurs, ce qui confirme qu’il y a un espace de liberté ouvert à l’Homme, cet espace ouvert est néanmoins entouré d’une barrière que sont les autres règles déterministes de l’Univers. Nous sommes en effet des individus libres mais contraints à agir dans un espace fermé, et selon des lois préétablies. Le degré de liberté n’est pas infini. Telle est la synthèse de ces connaissances scientifiques. Les détails et les subtilités sont découvertes au fur et à mesure de la recherche. Le hasard n’est autre que le résultat d’une dynamique qui reflète la liberté intrinsèque à la particule et par translation à l’Homme. Sans liberté nulle Justice effective. Par ailleurs, je ne renie pas la théorie de l'évolution, par contre j'avance qu'elle ne se n’applique pas à l'Homme, qui n'est pas un « animal ». Et j'avance même que la preuve formelle du passage d’un "homme sans raison " à un Homme doué de raison n'aboutira pas. Par contre il y a, certes, un phénomène d’adaptation pour d’autres créatures. La raison provient de la raison. L'évolution peut être expliqué sans hasard car Dieu y aurait établi un cadre "évolutif" qui obéit à une loi qui reste encore à découvrir. En effet la Vérité se distingue de l'erreur, mais je ne baserai pas ma science sur de la spéculation.
La spéculation ne nourrit pas de la science, et la science doit être prouvée.
On peut sereinement penser que Dieu a inscrit les règles de l’évolution au sein de sa création. Je pense que l’Homme descend d’Adam et Eve qui furent chassés du Jardin d’Eden. L'Homme a été créé et le premier Homme n'a pas d’ancêtre il n'a ni père ni mère, mais des descendants. Voilà ma position. Et la science expérimentale n'a pas prouvé le contraire, mais spécule que non. La spéculation ne nourrit pas de la science. Le langage qui permet le discours et la connaissance vraie n’est issu de la Vérité et cet Être est un Dieu. D’autre part, si le hasard avait produit un quelconque élément de ceux sus cités ou si le hasard était intervenu dans une quelconque manifestation soit de l’Homme, soit de la Nature soit du Cosmos, certaines traces auraient été décelées. Or toutes les catégories mentionnées sont visiblement parfaites et précises. Les anomalies obéissent à une loi d’exception déterminables, elles aussi. Et on ne connait pas le futur. Les mathématiques calculent les aléas mais ce n’est que conjecturer sur l’incertitude, jusqu'à ce que le phénomène soit stipulé sous forme de loi certaine. Si le hasard était absolu il n’y aurait pas de lois déterministes. Or il y en a et elles dominent le hasard relatif, donc le hasard ne peut être élevé au rang d’explication ultime.
On peut rétorquer que parfois certains éléments ne font pas preuve d’autant de perfection que les autres, quand bien même des anomalies persisteraient pour contredire ce discours, elles peuvent être classées dans une sous-catégorie intelligible par la raison.
Mais si la raison ne suffit pas à l’expliquer, cela serait, suite à la démonstration, qu’une preuve de l’ignorance humaine, latente à tout Homme. Si l’homme savait tout, il n’aurait nullement besoin de chercher à savoir. Mais induire le hasard comme palliatif à l’ignorance demeure un comportement d’une grande paresse intellectuelle pour celui qui a lu jusqu’ici, voire de la mauvaise foi. Plus on essaie de défendre le hasard moins crédible est le discours. Mais jusqu’ici, il n’y a aucune preuve d’un hasard fondamental en dehors de la liberté humaine et au niveau microscopique qui relève d’un hasard relatif. Quiconque renie cela doit prouver l’existence du hasard fondamental afin de discréditer ce discours mais c’est fondamentalement l’ignorance, je le rappelle, qui permet d'invoquer le hasard. Il ne suffit pas d’invoquer le hasard pour qu’il soit vrai. Le hasard fondamental est une superstition qui n’a aucune validité scientifique, selon la rigueur qui sied à la méthode scientifique. Comme il a été montré ci-dessus, le hasard fondamental, s’il avait existé ne permettrait nullement l’acquisition de science ni même l’énonciation de Lois fussent-elles scientifiques ou non. Un univers issu du hasard n’aurait aucune loi le structurant. Toute explication serait hasardeuse. Or ce n’est pas le cas. Alors il faut reconnaître que l’univers et tout ce qu’il comporte est régi par une loi ou plusieurs. Le hasard est donc une fausse explication que nul ne peut prouver car la création est visible et le créateur est caché. Ce n’est pas parce que Dieu est invisible qu’il n’est pas vrai, sinon on renierait le temps aussi ou notre conscience, or le temps est précieux et impossible à renier. Donc, au moins un Dieu a créé l’Univers avec des lois, constantes et règles dans son aspect macroscopique et à laisser un domaine de liberté au niveau microscopique pour permettre l’épanouissement de la création. Les Cieux et la Terre sont une plus grande création que l’Homme, mais peu le savent. C’est pourquoi dans l’interrogation sur ces derniers on peut tomber sur des conclusions invraisemblables mais en vérité cela ne témoigne que de notre faible connaissance face à l’immensité. Mais la théorie de la connaissance affirme avec non contradiction que l’innovation pure est impossible car on ne peut sortir réellement une chose du vide. La création pure ne nous appartient pas, en effet on ne peut imaginer une chose qui n’ait des bases sensibles dans notre monde. Donc l’idée de la divinité ne peut venir que de Dieu lui-même. On ne peut renier la Loi qui dissout le hasard au rang des absurdités. Avoir foi en le hasard revient à s’aveugler de la vérité évidente. La reconnaissance de son ignorance est le début de la recherche de science, chercher à savoir commence par dire je ne sais pas. Sinon, quelle règle utile avez-vous déduite du hasard ? Dans les cieux et la terre ainsi que dans l’Homme il y a des signes pour ceux qui raisonnent et qui sont doués d’intelligence. En effet les Cieux et la Terre ont été créés avec la Vérité car la Nature est rigoureusement cohérente, intelligible, et cela se manifeste à travers les lois qui régissent toute chose connaissable. Et il est évident de voir que si les Cieux et la Terre étaient conformes aux passions des Hommes ils seraient corrompus et non parfaits. Certains Hommes pensent que puisqu’ils ne trouvent pas la règle déterministe ou qu’il y a des anomalies revient à comprendre que le hasard y est pour quelque chose… Toute règle, issue du Législateur, peut en vertu de son pouvoir régulateur, avoir des exceptions. Ce n’est pas en soi une chose extraordinaire, cela relève de la liberté de légiférer et est signe d’une sagesse et d’une puissance. Donc, par l’absurde, et à travers l’analyse simple et ordonnée d’une Création on arrive à prouver la présence d’au moins un Créateur qui a créé selon une Loi intelligible à l’Homme, le Créateur est donc aussi Législateur. Dieu gouverne l’Univers à travers ses Lois, constantes et règles. Par conséquent la seule alternative qui reste au hasard n’est autre que l’idée de Dieu. La reconnaissance de Dieu explique pourquoi les choses sont : elles sont issues d’une puissance créatrice, cette même puissance créatrice permet à l’Homme qui est doué de raison de se rendre compte de la réalité divine à travers l’existence des lois qui traduisent la science et la volonté. L’harmonie qui règne dans la Nature est la preuve de la Sagesse de ce Créateur par l’acte. Que l’on renie ou que l’on admette cela ne change rien à la réalité métaphysique. On ne rend pas une chose fausse en la reniant, mais on renie avec des arguments valides qui permettent d’identifier l’objet comme faux.
Mais, grâce à la conscience de Dieu, l’âme change vers un ordre plus grand et se libère de la condition matérielle humaine vide de sens, et peut aspirer vers l’idéal, seul concept positif qui permet l’amélioration réelle. Comment s’améliorer si l’on n’a pas un idéal vers lequel tendre ? Et comment atteindre cet idéal si l’on le confond avec la réalité. L’idée même de l’idéal appelle à un mouvement perpétuel vers le meilleur qui mène au Parfait.
Ainsi ceux qui renient souhaitent la médiocrité, invoquant le hasard comme explication mais cette invocation est une affirmation sans preuve. Ceux-là ne font pas de réel effort de compréhension et d’analyse, sinon ils auraient remarqué que le hasard ne tient pas fondamentalement. Et ce comportement appelle au rabaissement explicite de la condition humaine. L’Homme est avant tout distinguable par sa raison, s’il ne l’utilise pas alors non seulement il reniera Dieu sans droit mais se reniera lui-même. La création est basée sur des règles générales et des exceptions signes réelles de Puissance. A moins de perdre son temps, nul ne peut renier la création, donc qui pourrait renier, en toute bonne foi et avec raison, le Créateur ? L’espace universel est déterministe et il existe un ilot indéterministe qui appelle l’acteur à choisir une voie. Cette possibilité de choix est le signe du libre arbitre qui permet de juger avec justice. Sinon on est certain de l’injustice de la sentence, car le justiciable aurait été irresponsable, et donc à mettre hors de cause. Celui qui n’est pas libre de ses actions ne peut pas en être responsable. Allez au hasard et vous vous perdrez, étudiez la création et vous serez intuitivement guidés vers le Créateur. Sa Vérité est montrée par sa Création, car celui qui est appelé Créateur l’est parce qu’il a réalisé quelque chose et qu’il en est l’Artisan. La perception de Dieu dépend du rapport entre l’Homme et Lui, c’est une question de foi. Ne pas avoir la foi est une chose, déclarer que Dieu est une erreur conceptuelle de l’Homme en est une autre. Sans Dieu il n’y aurait rien car le hasard n’est pas vivant pour donner la vie, et il n’est pas ordonné pour être apte à la reprendre. Le hasard est une imagination que l’ignorant croit vrai naïvement, et dans l’absence de preuve ce dernier y croit par pure foi. Alors que celui qui étudie et pousse la réflexion aboutit à l’idée de Dieu. Mais il faut interpréter la science expérimentale pour cela, et chercher à comprendre ce qu’elle implique en tant qu’elle est une source de connaissance. Et s’interroger sur la raison que la connaissance est possible. Le savoir ne peut venir que du Savant qui est Dieu. L’Homme ne crée pas le théorème, il le découvre. Dieu crée le théorème. Celui qui cherche à prouver le hasard tombera nécessairement sur des contradictions qui feront que sa prétendue démonstration soit fallacieuse et captieuse. Il en va ainsi car tout est déterminé par une loi qu’elle soit connue ou inconnue. Par exemple, comment rationnellement expliquer le réglage fin de l’Univers, ou la complexité du Vivant, sans patauger dans des théories peu crédibles et réfutables par des chiffres qui rendent le hasard très hautement improbable. La seule issue est la fuite en avant. Et la connaissance se décline dans une loi claire, toujours. Et la connaissance s'oppose au hasard. Savoir c’est annihiler le hasard, le soumettre et le dominer en tant que savant, tel est l’éthique de la recherche de science, maitriser son ignorance qui est l’avatar du hasard. Invoquer le savoir sans le profaner revient à détruire le hasard, car c’est une volonté de sacraliser le Savant, au-dessus de l’étudiant. Et toute bonne foi on arrive à la conclusion que toutes les lois scientifiques tendent à indiquer la présence de Dieu. C’est le paradigme dans lequel on se place qui empêche d’invoquer Dieu à travers la reconnaissance. En cela non seulement le hasard est non scientifique mais il est irrationnel. Vivons-nous dans un monde qui obéit à la rationalité ? Si ce n’est pas le cas il ne pourrait pas y avoir de progrès scientifique. Sinon on s’arrêterait à chaque recherche, en disant tout simplement « c’est le produit du hasard », sans pouvoir décrire davantage et que cela soit toujours considéré comme la connaissance vraie. Un univers issu du hasard est un univers sans lois ! Mais ce n’est pas le cas. Le hasard fondamental est la mythologie des temps modernes. Dites : « je ne sais pas » plutôt que d’invoquer futilement le hasard par pédanterie scientiste. Avoir foi en le hasard c’est ignorer et se perdre. Aucune personne avertie ne se fie au hasard pour prendre une décision importante et qui ne relève pas du divertissement, et face au danger de mort on a tendance à revenir vers Dieu et jamais au hasard. Tantôt cette volonté contraint dans un déterminisme qui se traduit par des lois, tantôt elle accorde une liberté relative. Toutes les récentes découvertes scientifiques tendent à montrer qu’il y a un Dieu : le début et la fin de l’univers, le réglage fin et la complexité du vivant en sont des exemples très éloquents. Et le hasard absolu n’est pas une réalité physique car des lois viennent le contredire. Le hasard ne peut produire que du hasard et non des lois déterministes.
Le hasard ne saurait être à l’origine des lois déterministes. Le hasard n’a donc pas produit l’Univers. Mais ce hasard a une cause première qui lui permet d’exister : c’est Dieu.
Allez-vous croire au faux et renier le Vrai ? Les lois naturelles de Dieu sont exécutées dans l’Univers et il y a un domaine de liberté clair. Qu’un membre de la communauté scientifique avance un fait réfutable est possible mais cela ne jette en rien l’opprobre sur le Savant en vérité qui sait. La science dit et la sagesse donne un sens. La science nourrit l’âme mais la sagesse lui donne un goût. La science sculpte l’âme mais sans sagesse, la conscience éteinte s’illustre tel un objet inanimé, insensible à l’alternance du jour et de la nuit. La science consiste à reconnaître que l'on ne sait pas, la sagesse consiste à admettre et comprendre que l'on ne peut pas tout savoir. Nul n'est savant ni sage mais détient une part de science ou sagesse. Reconnaître cela est une forme de sagesse. La différence entre la science et la sagesse est équivalente à celle entre la quantité et la qualité. Le sage apporte l’explication et la science décrit. Pour peu que l’on soit bien intentionné (sincère), humble et qu’on y mette de la réflexion, on arrive accepter l’idée de Dieu, par contre si on se rebelle contre cette idée il va de soi, que l’on trouvera des motifs de renier car c’est la volonté de l’opposant. Ce n’est pas sa maturité intellectuelle qui le dicte. Mais ces motifs n’auront rien de fondé ni cohérent, ils seront juste l’expression d’une passion chaotique. Par exemple prêter à Dieu sa propre impuissance ou déifier sa personne pour connaitre Dieu dans son intimité provoquera le déni de Dieu sans façon. Sans parler de la déception de l’échec intrinsèque et des conséquences. Ici il n’est pas question de religion mais juste de savoir si la théologie est fondée en soi. On invoque le hasard sans preuve et l’on considère cela comme une interprétation à valeur métaphysique, mais la philosophie des sciences réfute cette théorie vaseuse et valide la présence d’un Dieu (ou plusieurs) dont la volonté forme l’axiomatique des sciences que l’agnostique appelle hasard et que le savant décline sous forme de théories établissant des Lois dans le but de découvrir le Théorème complet autant que faire se peut.
En effet, l’énonciation de la théorie n’a pour but que la découverte du théorème en lequel le chercheur a foi, par vocation.
Enfin selon le principe de raison suffisante on avance que « jamais rien n'arrive sans qu'il y ait une cause ou du moins une raison déterminante, c'est-à-dire qui puisse servir à rendre raison a priori pourquoi cela est existant plutôt que non existant et pourquoi cela est ainsi plutôt que de toute autre façon » (Théodicée, I, 44). Une cause qui ouvre la voie à la liberté. Cette cause première détient la liberté absolue, et sa volonté ne saurait être pénétrée. Elle ne fait pas partie de la réalité et son caractère absolue transcende l’Univers. C’est une déduction naturelle réalisée à l’aide d’une part la raison et d’autre les connaissances scientifiques. La vérité n’étant pas inscrite en entier dans la réalité. On remarque donc un Etre métaphysique responsable de la création de l’Univers et certainement de choses dont on ne conçoit absolument pas l’existence.
Cet Etre détient la liberté absolue et notre connaissance est relative.
Nous avons clairement établi la présence d’au moins un Dieu dont certaines qualités ont été déduites de la démonstration que le hasard ne permet pas d’expliquer l’existence de l’Univers. Il y a donc au moins un Dieu, selon comment l’étude a été décliné. Au moins un Dieu dont l’existence n’est en rien tiré de son concept, en effet les concepts ont été tirés après la détermination de son existence
Apprenons maintenant à connaître cet Être :
• Par l’absurde le principe de la divinité est la vérité. La Divinité n’est pas un phénomène s’inscrivant dans la Réalité créée : Dieu est transcendant. Elle accorde une liberté relative et non absolue. Cette relativité est appelée communément hasard. La liberté traduit néanmoins une volonté indéterminable mais probabiliste. Le hasard n’est autre que l’interaction des différentes libertés. La liberté accordée montre que ce Dieu qui est vérité et aussi justice. • La vie vient de la vie, on n'extraie aucune vie par la mort, ceci d'un point de vue empirique c’est la biogénèse. La science biologique nous explique que la vie provient de la vie. Alors ce Créateur est forcément vivant, par la force des choses. L’abiogenèse n’est pas un fait, mais une hypothèse non prouvée. • Vu les capacités que le monde naturel détient cela témoigne d'une omnipotence puisque l'on décrit un tout connaissable. Alors ce Créateur quel qu'il soit est forcément omnipotent. En l’occurrence Dieu donne la vie et la mort. Il détient l’entière liberté. La Création est réputée visible sinon considérée comme invisible. Toute loi et toute liberté relative émane de la puissance créatrice d’une Divinité. • Puisque la science peut décrire toute chose alors toute chose décrit une science. Alors ce Créateur omnipotent est forcément omniscient. Le Créateur a conscience de sa création. La science que détient l’Homme est découverte par ce dernier et est créée par la Divinité. • Et, de par l'absurdité du hasard absolu, on peut dire que cette Divinité n’a ni début ni fin et réalise des actions logiques. Dieu est infini et il est cohérent c'est-à-dire qu’il fait preuve de sagesse et il est éternel. La volonté Divine ressemble à un hasard absolu mais relève d’une conscience de sagesse. • Enfin ce Dieu, de par les Lois connues, est un Juge et il est Législateur, sa législation contraint la liberté physique de l’Homme en le cantonnant dans un cadre préétabli. Dieu contraint et domine. Dieu exécute sa Loi. Il gouverne l’Univers. Dieu règne sur l’Univers.
La question qui reste à savoir est s’il y a plusieurs dieux ou non ?
Remarque-t-on un partage de la divinité entre plusieurs dieux, auquel cas chaque dieu porte une part de vérité ?
Du Polythéisme : Dieu aurait- il au moins un associé ?
Chapitre 1 : l’Inégalité
Si les divinités ne sont pas égales entre elles alors la vraie divinité reste et demeure la plus puissante, Le Maître du Trône, Dieu du Trône Sublime de facto. Si les divinités sont inégales alors elles sont classées hiérarchiquement, alors la divinité la plus puissante ne fait que partager sa puissance avec celles en qui elle a le plus confiance, qui à ce niveau de pouvoir nécessite d'obéir en tout et de désobéir en rien, le pouvoir étant à un niveau divin.
La quête du pouvoir est vue de son exercice. Son exercice est de fait. Le pouvoir est parfait.
Ce partage de puissance rend les subordonnées honorables par réputation d'où l'ornement du titre de divinité qui en réalité ne leur appartient pas. Ces êtres inferieurs détiennent un haut rang dans le Royaume de la divinité. Toutes les aptitudes des êtres inferieurs ne seraient que le produit des dons de la vraie divinité. Il y aurait donc une divinité en essence des subordonnées qui se rapprocheraient de la divinité en puissance. Les attributs des subordonnés seraient une substance. Dans le cas où les divinités sont inégales, cela implique que la plus puissante ne partage pas tout avec les subordonnées, tout ce que les autres ont acquis n'est que le produit du don divin. Il n’y a pas de sous dieux. C'est le non partage d'un seul élément qui distinguerait la divinité des êtres inférieurs. Ils ne partagent pas la même Vie. Un seul Dieu possède une Vie de Divinité et les autres qui sont autour de la Divinité ne la possèdent pas. Il suffit dans cette analyse que la vraie divinité ne partage pas sa Vie avec les êtres inférieurs pour que la subordination ait lieu causant le lien de « hiérarchie » manifeste et absolu. La transcendance est réelle. Le Dieu Suprême qui est vérité est incréé et ceux qui s’en rapprochent sont créés tout comme ceux qui s’en éloignent. Et face à Lui, qui n’avance pas recule forcément. En effet, il suffit que la même vie ne soit pas partagée pour distinguer la divinité de sa création rapprochée ou non. Dieu est riche au-delà du besoin. Si les divinités ne partagent pas la même vie entre elles, cela implique, en effet, que la divinité a créé les inférieurs (toute créature) qui eux se sont remplis du bien divin au point de semer la confusion, pour le non initié. En effet une vie différente implique une relation de Créateur à créatures, sinon ils jouissent de la même vie et sont égaux. Or ils sont inégaux, donc il n’y a aucune égalité avec Dieu. Le pouvoir divin est parfait. Le pouvoir de la créature est en quête de perfection. Ce qui résulte de cette analyse est la présence d'une divinité unique qui est divine en essence et des créatures qui lui tendent et s'en approchent dans la substance, sans jamais l’égaler. Toute chose que possède la créature est le produit du don divin, en cela tout ce que la créature reçoit depuis la vie jusqu’à la mort ne saurait lui revenir sans l’intervention préalable de Dieu. Puisque Dieu a tout crée c’est-à-dire l’Univers. Cette analyse est confortée par le fait que quiconque jouit de la vie pourrait prétendre à la divinité mais la prétention ne constitue pas une preuve, mais pourrait semer la confusion dans le cœur des gens. Le droit de vie ne permet pas de s’arroger le titre de divinité. Un être vivant animé de la pensée de Dieu ne peut, en aucun cas, être porteur du titre de divinité à cause de son sentiment, qu’il soit visible ou invisible du seul fait qu’il soit vivant, il n’y a aucun droit réel. Dieu donne la vie et la mort, Dieu fait descendre la pluie et fend le noyau laissant en l’occurrence pousser la végétation. Dieu est Souverain de facto. Car le vrai Dieu est ici Le Dominateur Suprême : il accorde un délai et un usufruit à chacun mais ne néglige rien. De par cette analyse de l’inégalité on montre que la divinité est un absolu qui ne souffre d’aucune relativité. Elle est donc Unique, il n’y a donc pas de sous dieux. Dieu règne sur l’Univers Seul. Mais la relativité serait maintenue si et seulement si les divinités sont égales entre elles. Si les divinités jouissaient de la même vie elles seraient égales entre elles. Les dieux seraient incréés et source de la création. La divinité est unique mais l’unité est-elle garantie : Dieu est unique en plusieurs ? Si les divinités sont égales entre elles, alors une autre analyse en découle.
La Divinité est–elle Une ou Multiple ? Chapitre 2 : l’Egalité Le multiple s’oppose naturellement à l’Un et vice versa.
Prolégomènes Ces divinités qui sont égales entre elles ne connaissent leur égalité qu’à travers un étalon de mesure qui leur est commun sinon elles ne se connaissent pas entre elles. Comment ont-elles choisi cet étalon de mesure ? Pour qu’il soit juste, il faut qu’il provienne d’un agent qui ne fasse pas partie du groupe. L’étalon de mesure est issu d’un être absolu et cet être est forcément unique et Un comme on l’a vu. L’idée de la multiplication des divinités est négligeable face à celle de l’absolu. Car l’absolu est ce qui permet de maintenir en place cette idée de multiplication de divinité, donc il y a de facto une subordination de tout face à l’absolu. Il n’y a donc vu le premier chapitre un seul Etre incréé. En toute droiture. Dieu n’est-il pas le plus rigoureux ? D’autre part le moyen de l’étalon montre que les divinités ont besoin d’un élément qui n’est pas d’eux pour se reconnaitre, c’est un signe d’ignorance et de pauvreté. Les divinités ne le sont pas par elles-mêmes mais grâce à cet être ineffable qui garantit l’illusion de leur état. Celles élevées en divinités se trompent en prétendant à ce titre et leur réalité est tout aussi fausse. Si l’étalon qui garantit leur égalité vient d’eux alors il y a une impartialité qui implique que ces dernières ne sont pas égales entre elles car l’inventeur de l’étalon est premier donc il y a une hiérarchie. Si elles ont eu l’idée toutes en même temps alors ces divinités font UN en vérité sinon elles sont dépendantes les unes des autres et aucune liberté ne leur est permise. La nécessité d’utiliser un étalon montre que leur condition de divinité est subordonnée à un élément non divin en essence mais divin en substance donc il y a une illusion de la condition qui est maintenue par une mesure. Sans cet étalon qui permet d’égaliser les divinités, la réalité de leur égalité est arbitraire et finalement elles n’en ont pas connaissance elles-mêmes. Or, qui dit mesure dit finitude et la finitude s’oppose à l’idée de l’infini. Il va sans dire que des divinités injustes n’auraient pas créé une nature pleine d’harmonie et d’ordre, alors qu’elles en sont incapables elles-mêmes sinon à travers un artifice.
La condition plurielle des divinités est issue d’une pensée magique qui n’est qu’une réalité travestie. Sans l’outil qui permet de garder ce statut privilégié, les divinités seraient dénuées de pouvoir, elles disposent donc d’une technologie qui garantit leur statut. Cette technologie a été acquise et donc est issue d’un don Divin qui est lui-même Un et Unique.
La nature est le signe de la création et cette création est ordonnée et stable, donc le créateur maitrise l’ordre, apparemment sans peine. Les divinités qui ne le deviennent que par un outil montre que la réalité des divinités est contradictoire : elles sont divinités et elles ne le sont pas en même temps, cela montre selon le bon sens que la condition plurielle des divinités est une absurdité, selon le principe de non contradiction. Ce que montre la condition plurielle des divinités est que cette réalité est un devenir et non un Être. Des individus se développent sur le chemin de la divinité et grandissent en Dieu. Ceux des individus avancés mais limités dans leur quête par un être unique qui est infini, absolu et qui n’a pas besoin de devenir car son Être propre est autosuffisant, le Premier et le Dernier. Ce Dieu est l’Un, l’Infini. La vraie divinité est un Etre et ses créatures sont en devenir, de fait. Si advient une civilisation plus avancée que celle qui peuple la terre et que cette civilisation avancée rencontre les terriens la première réaction face à la stupéfaction de leur existence seraient de décrier la pluralité des divinités. Mais ils ne seraient que la projection du devenir de l’humanité. Et leur nature créée apparaitrait naturellement une fois que l’humanité se mettra à s’interroger sur leur nature. Tout ce qui se trouve dans la réalité est une création. Si cette idée est vraie alors on devrait trouver des contradictions dans les implications de l’hypothèse de la condition plurielle de divinités. La vérité est ce qui détourne du faux et le faux est voué à disparaitre face à la vérité. Qui peut le plus peut le moins !
Article1 : La non reconnaissance
S’ils s’ignorent entre eux alors ils manquent cruellement de science en tout état de cause, notre étude s’arrête de facto. Il n'y a donc pas de polythéisme et un seul et unique Dieu. Car l’homme est conscient de son semblable alors il ne peut y avoir un groupe de plus grand savant qui s’ignorent entre eux, alors qu’ils sont pareils. L'homme, étant plus petit que les divinités que l'on cherche, ne peut avoir plus de science que celles qui seraient supérieurs à lui. Se croiraient- elles seules alors que leur création sait qu’ils sont plusieurs ? C’est à dires les dieux grecs connaissent- ils les dieux égyptiens ou hindous ? Il n’y a aucune preuve que les dieux des différentes cultures se connaissent, donc ils sont en science inférieurs à l’Homme, donc ne peuvent être élevées au rang de divinités. S’il y a plusieurs dieux isolés les uns des autres qui ne se connaissent pas alors que l’Homme appelle au polythéisme alors ces dieux sont moins savants que les Hommes, et donc ne méritent pas d’être des Dieux. Croyance sans science est science sans conscience. Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. Il y a une contradiction qui montre que la multiplicité est fausse. Sans Un aucun Multiple ! Les divinités ne sont pas semblables aux hommes selon le principe de non contradiction, en vérité, sinon il y a mensonge et manipulation. Le langage est explicite. Une affirmation sans preuve se réfute sans preuve. La narration des dites divinités n’est pas démontrée mais est issue d’une mythologie. C’est un mensonge qui est forgé. Les conteurs ont imaginé plusieurs dieux et ont inventé et raconté une histoire. Mais la fiction n’a rien de vraie. On peut affirmer la pluralité des dieux, mais cette affirmation est sans fondement, tout comme on peut avoir foi en le hasard. Cela n’implique pas sa validité. C’est une opinion qui n’a aucune valeur de vérité.
Article2 : Coexistence et neutralisation.
S’ils se connaissent entre eux alors il y a des rapports sociaux et un code de conduite respecté et exécuté, ils sont sous le joug de la contrainte du fait du code social. L’étalon de mesure les maintient dans une situation contraignante.
Il en est ainsi qu’ils soient finis ou infinis, et quelle pire calamité pour un être infini que d’être dérobé de sa liberté naturelle, elle devient finie dans la loi.
C’est la contrainte du conformisme. Si les dieux sont finis ils font partie de la réalité et sont de faux dieux. S’ils sont dans l’impossibilité de soutenir leur infinitude, c’est qu’un Être infini les contraint. Cet Être est Dieu l’Un et l’Unique. Avoir foi en l’infini ne suffit pas pour l’être, mais ouvre la voie au devenir. Un devenir indéfini limité par un Etre infini. Les dieux sont dépendants les uns des autres. Dans la prétention de leur infinitude elles sont prisonnières d’une réalité transcendantale qui freine leurs ambitions et cette réalité transcendantale est forcément infinie. Derrière le multiple se cache l’Un. En effet l’union fait la force mais qu’est ce qui peut lier sinon une cause plus grande ? Cette cause plus grande n’est autre que Dieu, l’Un : la Vérité qui est Une et unique, car il ne devrait pas y avoir plus grand que les dieux. Donc cette cause plus grande est un absolu qui est le Vrai et Unique Dieu dont la réalité est invisible. Par conséquent, les dieux ne le sont pas en vérité et leur réalité est une illusion. L’un est meilleur que le multiple. Il n’y a pas plusieurs dieux, mais un seul et unique Dieu.
Article 2.1. Le Joug de la Loi :
Le code qu’ils respectent signifie que le législateur n’est pas leur égal car il a dépassé la mêlée, aussi il a été premier en cette action, accordant de facto la succession aux autres. Les dieux vivent dans un ordre régi par la loi d’un plus grand qu’eux. Il n’y a pas d’indépendance et ils ne sont pas libres, donc ne sont pas maitres sur eux-mêmes. Il y a un devoir d’obéissance à une Loi qui ne provient pas d’eux. Et c’est l’obéissance à cette Loi qui permet à ses dieux de se réjouir d’une félicité qui leur parait divine. Ils sont libres par l’obéissance à la Loi. Ils ne sont donc pas omnipotents, ils n’ont pas pouvoir sur toute chose. Ainsi va la bonne entente dans la coexistence. Si un individu parmi le groupe voulait faire un acte isolé qui lui donnerait l’autorisation de quitter le groupe ? Celui qui les a rassemblés en premier lieu, mais s’il désobéit à la Loi, il perd la substance qui lui donne sa force qui vient de l’Un. Donc il est obligé de demandé la permission à l’Un. S’il n’est pas indépendant par lui-même comment pourrait-il être une divinité, il est contrôlé par une force encore plus grande. Il en va de même pour tous les autres.
Si tous les dieux s’étaient mis d’accord, alors ils sont soumis à la loi qui est au-dessus d’eux. Ici la Loi est l’étalon qui permet de les maintenir en équilibre. Cette Loi étant au-dessus d’eux ne peut que venir du Dieu Un et Unique, sinon elle est injuste et entrainera un conflit dû à l’expression des particularités égoïstes de chaque Dieu. S’il y a conflit allez à l’article 3. Si les Dieux n’ont pas d’expression particulières distinctives, alors ils ne vivent pas par eux-mêmes et sont donc dirigés par un Être Un et Unique c’est-à-dire le vrai Dieu. Or pour que la condition plurielle des divinités soit vraie il faut nécessairement que tous aient exprimé l’intention de s’unir. Aucune expression de cette union si ce n’est l’imaginaire de l’Homme désabusé, injuste envers l’idée de l’Un, donc injuste envers lui-même. Par conséquent, il n’y a pas plusieurs dieux mais un Dieu Un et Unique, qui règne sur l’Univers à travers la Loi. Et si les dieux agissent exactement de la même manière sans distinction aucune alors en réalité il n’y a qu’une divinité que l’on déclare multiple. Cela relève du principe d’identité. Cela signifie que l’on déclare le Dieu unique comme multiple : comme « mettre dieu devant plusieurs miroirs et dire qu’il y a plusieurs dieux », mais c’est une fausse croyance et une illusion, d’autre part cela montre que les dieux n’ont aucune indépendance ni personne propre, et ces deux implications révèlent l’absurdité d’une telle proposition. Sinon qu’est ce qui a empêché les divinités de s’unir avant ? Le changement d’état montre que les divinités ne sont pas une vérité immuable et donc ne peuvent pas être élevées au rang de divinité. Ce qui est mouvant est une chose de la Nature. En effet les Dieux étant omniscients ils n’ont pas à changer d’avis. Le changement d’avis montre une temporalité qui s’oppose à leur caractère absolu dans l’éternité. De plus, un Dieu qui se contredit n’est pas vérité mais la Vérité est au-dessus de lui. La vérité est cohérente entre elle et se suffit comme témoin. Si le dieu change d’état alors sa nature divine est elle-même changeante. Or Dieu est éternel donc il est immuable dans sa divinité. Seul celui qui reste mérite la demeure, les absents ont toujours tort ! Les divinités seraient donc une chose de la nature elle-même et donc ne seraient pas des divinités, ils ne sont que l’expression d’un législateur supérieur qui ne ressemble pas à ce qu’il a créé. (Cf. Chapitre 1 l’inégalité).
L’union des divinités montrent qu’elles ont besoin d’un ordre pour vivre, cet ordre est le produit d’une concertation ce qui implique que la vérité qui les anime a été découverte et était inconnue au départ. Cette vérité est le signe de l’Un la vraie divinité omnisciente. C’est Dieu l’Un qui les maintient dans leur état et qui les élève et les rabaisse, sans Dieu ils ne pourraient pas subsister par eux-mêmes.
Si les divinités se mettent d’accord : le principe qui leur était inconnu avant qu’ils ne s’allient, cette vérité qui a été découverte par les divinités, montre qu’il existe un principe supérieur à eux-mêmes. Ce principe supérieur est le Vrai Dieu Un et Unique. S’il y a concorde éternelle allez à l’article 2.3. Si elles ne se mettent pas d’accord alors allez à l’Article 3. Ce principe est donc nécessairement un et unique sinon une spirale abyssale est ouverte et cette spirale abyssale est contraire à l’ordre établi qui ne l’est pas. Et Dieu est capable de toute chose !
Article 2.2 Ordo ab Chaos :
Si lesdits dieux se sont repentis d’un chaos primordial auquel a succédé un écosystème dont l’ordre est harmonieux, alors ce nouvel Etat implique qu’ils n’en avaient pas connaissance avant, sinon ils l’auraient produit au premier essai. La découverte de cette idée implique que cette « Vérité n’émane pas des dits Dieux » (car les Cieux et la Terre sont formellement créés avec la Vérité, vu le progrès scientifique) mais leur a été suggéré par une Être subtil, qui lui est incréé alors qu’eux sont créés. Cette idée ne trouve pas son origine dans le multiple mais dans l’Un. Un Dieu ne fait pas d’erreur. Sa création est parfaite, sinon il n’est pas omniscient et a besoin d’aide pour créer. Dieu l’Un et Unique est celui qui apporte son soutien. En dehors de Lui, il n’y a aucun secoureur ni intercesseur. Le Dieu Unique et Un est la Vérité et il apporte soutien aux créatures qui sont dépendantes. Toute la science est incluse dans la vérité. L’étalon ici est l’inspiration divine qui guide les receveurs pour la fondation d’un monde meilleur. De qui d’autre que Dieu viendrait une bonne idée ? L’ordre naturel provient d’un ordonnateur, si les divinités s’inscrivent dans cette logique alors elles ne sont pas ordonnatrices mais elles-mêmes ordonnées ce qui montre qu’il existe un principe premier et universel qui les lierait. Et ce principe n’est pas eux-mêmes car il est par déduction Un et Unique. Ce qui détruit la condition plurielle de divinités. Si les divinités ne produisent pas d’ordre naturel alors les cieux et la terre seront forcément une création corrompue or les cieux et la terre sont faits avec une réelle perfection. Donc le principe d’un ordre naturel est issu d’un Dieu unique et il est Un, de facto. Si elles ne s’inscrivent pas dans cette vérité, alors la vérité et son contraire coexisteraient et nulle science ne pourrait émaner.
Pouvez-vous dire être et ne pas être simultanément ? Le dire est naturellement faux, de toute évidence ! La vérité est cohérente avec elle-même et se suffit comme témoin, la vérité ne se contredit jamais.
Si c’est un groupe alors on revient au Chapitre 1 qui traite de l’inégalité. Mais comment, alors qu’ils sont égaux peut juste un seul avoir l’idée de concevoir divinement ce que tous auraient dû avoir réalisé en même temps. (Ils ne doivent faire qu'un pour cela or l'Un s'oppose au multiple). Il ne peut y avoir asymétrie de l’information puisqu’ils sont égaux entre eux. Mais puisqu’ils se connaissent tous, alors il ne peut y avoir qu’une source ex –concile. La source ex-concile est d’autant plus confirmée, si les Dieux doivent s’unir pour créer, la cause plus grande les unissant est le Vrai Créateur, qui est Un et Unique. Dieu est omnipotent. Cette condition plurielle des divinités n’est pas métaphysique, mais décrit un état physique d’individus réels, existant dans l’Univers. Et donc, c’est un seul individu. Dieu l’Un et Unique a créé l’Univers au premier essai, et les créatures rentrent dans un processus de civilisation à mesure de leur entendement, leur science et leur sagesse. Et ce processus de civilisation est inspiré par Dieu. Ne donnez pas d’associé à Dieu c’est une terrible injustice que vous faites à vous-mêmes et par ricochet à autrui, l’associé en question.
Article 2.3 La concorde éternelle :
Si l’union des divinités a toujours été, alors le ciment de leur relation est une vérité dont elles dépendent par conséquent elles ne sont pas maitresses d’elles-mêmes. Elles vivent dans la dépendance des unes et des autres, car leur pérennité implique le respect d’un ordre, et le non-respect implique leur destruction dans le sens où la concorde disparait et donc elles avec, elles ne sont pas libres et la Liberté les dépasse en toute Justice. Les divinités s’en remettent à une vérité supérieure pour exister. Il y a un empêchement mutuel. Cette vérité est transcendantale à leurs conditions et montre leurs faiblesses et leurs instabilités intrinsèques. Il existe un élément qui n’est pas du ressort des divinités et qui permet aux divinités de survivre, cet élément provient naturellement de Dieu l’Unique, qui montre que Lui seul est Divinité. C’est l’Un l’Inébranlable, le Dominateur Suprême. L’union fait certes la force, mais le Dieu au–dessus d’elles détient la Force plus qu’elles et il n’a pas de besoin. Or le multiple a besoin de l’Un. Sans Un pas de multiple. Si les divinités ont de toute éternité été unies et qu’elles se partagent la création, alors selon cette logique, l’idée même d’unicité et d’unité ne devrait pas exister, ni leur représentation, car elle s’oppose à la réalité métaphysique. Et appeler à cette idée d’unité et d’unicité naturelle serait « dépasser » les divinités d’une part montrant à l’Homme qu’il demeure en vérité un Dieu qui est un et unique, au-delà de la multiplicité, d’autre part. Il suffit ici de le dire pour triompher au-dessus de l’idée de divinité multiple, et réduit de facto leur puissance. Cette Unité et Unicité permet à l’Homme l’expression de la fidélité en la sécurité, et qui d’autre que Dieu en serait capable ? Seule la Vraie Divinité l’est. Or la perfection est réelle et nul n’est tenu de rester dans l’indivision. Si chaque divinité est propriétaire d’une partie de la création comment se départageront elles leur bien ? Si chacune prend ce qu’il lui appartient la création éclatera sous l’effet de la volonté de chaque divinité. Cela montre que les divinités doivent s’unir et s’entraider pour créer et que de façon isolée un dieu en particulier est incapable de créer une chose parfaite, sinon il aurait créé tout seul et donc il n’y aurait qu’un seul Dieu Créateur et on reviendrait au Chapitre 1 sur l’Inégalité. Or les dieux agissent dans la concorde, on en déduit que l’harmonie est dans le groupe et le chaos dans la solitude. Les dieux ne sont Divinités que dans la concorde et chacune seule et isolée perd sa divinité. Il n’y a donc aucune condition de divinités multiple dans l’éternité, car leurs impuissances dévoilent l’usurpation et que la Vérité demeure unique. Si les dieux avaient été éternels ils seraient divins dans la solitude et le groupe. La vérité étant immuable. Donc la Nature divine de chacun dépend d’un autre vrai Dieu. Ainsi ils ne sont de faux dieux, mais s’approchent de la divinité en puissance. Ils sont des individus rapprochés de la vraie divinité. Ils ont beaucoup de pouvoir mais sont créés par l’incréé.
Le Vrai Dieu l’Unique donne à celui qui a besoin, et il est Riche et Glorieux au-delà du besoin. Ils ne sont pas éternels mais Dieu l’Un est divinité unique dans l’éternité. On en déduit donc qu’ils ne sont pas éternels et que on revient au Chapitre 1 et ensuite aux Article 2 et 2.1.
Cette idée de concorde éternelle manque de cohérence et donc d’Harmonie. Car si la concorde éternelle était vraie, chacun le serait dans la solitude et le rassemblement.
Un Homme reste Homme qu’il soit seul ou en groupe. Or la vérité ne connait aucune faille en soi, la vérité est cohérente avec elle-même et se suffit comme témoin. Et si les dieux ne peuvent être seuls, alors l’idée du groupe n’est pas vraie il n’y a qu’un seul Dieu, en vertu du principe d’identité encore une fois. Dieu jouit seul de la divinité, toute la création lui appartient seul. Notre imagination peut nous jouer des tours. Ayons l’humilité d’admettre que l’on peut se tromper mais en réfléchissant on avance vers la vérité et on trouve ce que l’on cherche. Et que signifierait pour une divinité de se contenter d’une partie plutôt que d’un tout ? Or il n’y a pas de signe d’indivision dans la création et même l’Homme ne saurait jouir et se contenter d’un bien dans l’indivision comment son créateur pourrait le faire ?
Si nous sommes des serviteurs de plusieurs dieux comment les servons-nous sans causer de peines à l’un d’entre eux. Y-aurait-il plusieurs propriétaires pour chaque Homme ? Comment vont-ils se départager ? Si chaque dieu veut prendre la décision alors naitra un conflit, si un seul se démarque les dieux cessent d’être égaux et il y en a un qui dépasse les autres, ce qui contredit le postulat de départ qui stipule qu’ils sont unis et égaux de toute l’éternité.
Ce qui contredit leur union de toute éternité, sinon on revient au Chapitre 1. S’il y a conflit allez à l’Article 3.
En effet le Dominateur Suprême reste cohérent et donc meilleur que des divinités séparées dont l’incohérence montre qu’elles ne sont issues que de l’imagination de l’Homme. L’idée du meilleur sans ex-aequo indique l’Un qui est absolu.
Le non conflit implique rigoureusement un confinement et une impossibilité de jouissance de la liberté absolue. La Liberté transcende le groupe qui obéit à la sentence judiciaire. Dieu Un et Unique est Liberté et il contrôle le groupe des dites divinités qui, en prison, ne peuvent l’être que si Le Juge le Puissant les contraint.
En effet celui qui n’est pas libre est forcément dans une prison matérielle ou immatérielle. Il n’y a donc pas de multiples dieux unis de toute éternité. Le corps capture l’âme. La pensée dépasse le corps qui ne saurait suivre tous les chemins de la pensée. On ne peut faire tout ce à quoi on pense on ne jouit pas de la Liberté absolue, mais l’imagination est infinie ce qui est le signe que l’on est issu d’un Etre infini et absolument libre qui nous contraint. Les signes sont en nous. Notre inclinaison vers la cohérence montre que ce Dieu est Un et il n’y a pas plusieurs.
Subir le joug de ce dernier implique que le titre de divinité accordée à chacun des membres est une usurpation et ce confinement en est la preuve, c’est un fait de Puissance de la vraie divinité qui marque un espace transcendantal entre elle et sa création intelligente ou pas et on revient à l’Article 2.1. On ajoute au Dieu législateur qu’il est aussi Juge et Souverain. Celui-là non seulement il ne partage pas sa vie incréée mais il ne partage pas son pouvoir. Ainsi le Vrai Dieu est l’ultime Souverain et il jouit de la Liberté Absolue. Et cette idée de multiplicité des dieux n’est en réalité qu’une création qui exécute son ordre en toute rigueur sans liberté possible. C’est le reflet de la volonté divine qui est servie dans l’obéissance totale sans aucune désobéissance. Cette idée dépeint la réalité angélique. En d'autres termes le fait que les divinités se connaissent entraînent une façon de se comporter entre elles, qui dit manière dit façon de faire qui dit façon de faire dit Loi, c’est un principe algorithmique, science utile à la droiture. L’ordre descend d’en haut. Qui dit obéissance à une loi multilatérale qui restreint la liberté dit donc ouverture pour la privation, donc dégradation de la condition divine donc dit inexistence de la condition plurielle de divinités car ces dernières s'érodent avec mon écriture, ou votre lecture. L’ordre du Souverain est Loi souveraine. Mis à part l’Un tous les multiples agissent dans le cadre préétabli par l’Un qui vit dans l’éternité seul. Pourtant on peut aisément penser à cette réalité multiple à quoi correspond-elle si ce n’est pas à des divinités ? C’est en réalité le domaine angélique qui est pensé. Les Anges sont le reflet de la volonté divine et ils sont une création. Ils sont le reflet parfait de la volonté divine et ils n’ont aucun Libre Arbitre. Ils n’ont pour rôle que de servir totalement Dieu dans l’obéissance sans lui désobéir. Pour que ce reflet soit parfait il faut qu’ils soient faits à partir de Lumière, car sans Lumière il ne peut y avoir de reflet. Cette lumière n’est pas le feu car le feu est une création de Dieu qu’on peut voir et Dieu n’est pas Feu. Sinon on pourrait voir Dieu et la question ne se poserait pas, or Dieu est invisible. Donc la Lumière de Dieu n’est pas un feu à proprement parler mais une lumière différente. C’est de cette Lumière que sont faits les Anges qui sont nombreux, et qui pourraient être confondus avec Dieu comme vu dans le Chapitre 1 l’Inégalité. Il n’y a pas de multiples divinités mais une Divinité Une et Unique qui est entourée par une pléiade d’Anges.
Article 2.4 Le Besoin de reconnaissance
Cela démontre un souci de respectabilité ce qui implique une nécessité de confirmation de son statut par autrui. C'est à dire que les divinités pour exister doivent être reconnues par leur semblable et donc demeurent incapables de vivre par elles- mêmes. C’est une preuve d’incapacité. C’est donc des dieux en apparence, de façon superficielle mais pas en vérité. Ce sont donc des faux dieux. Le vrai Dieu est riche au-delà du besoin et il est glorieux. Un vrai Dieu n’a besoin de personne et se suffit à Lui-même. L'incapacité issue du besoin démontre le caractère non divin, lorsque l’on a un besoin on le cherche auprès de celui qui peut y répondre. Et celui qui donne demeure toujours meilleur que celui prend. Donc si c’est pour élever un usurpateur au rang de divinité cela ne témoigne que de ma propre sottise et de mon caractère inférieur. Le vrai est vrai et il n’est pas faux. Un besogneux n’est en rien divinité : en vertu du luxe radieux divin. Le besoin est signe d’impuissance et implique un degré de liberté digne d’une créature ; et qui saurait exaucer si ce n’est le riche le glorieux, qui donne sans compter dont les biens ne sont diminués en rien et ne sont augmentés en rien par aucun, si ce n’est lui-même. Si riche et si suffisant qu’il n’a même pas besoin d’un associé, par contre l’Homme ou le diable qui se prendrait pour divinité a un besoin latent, gouffre béant, n’est-il pas ? L’erreur est humaine, la persévérance est diabolique. La destination des diables est les tourments du pire infernal. La damnation n’est-elle pas la rétribution de cet infidèle ? Le diable est le signe suprême de l’infidélité et qui le suit subira la même peine que lui. Le diable cherche à exciter furieusement ses suppôts à l’infidélité et à donner des associés à Dieu. Il ne fait que tromper son monde en donnant de faux espoirs et a un besoin abyssal de reconnaissance.
Il a pour mission personnelle que l’Homme délaisse sa future félicité pour la damnation, en se rebellant à l’Ordre universelle et en tuant l’esprit divin qui l’anime ce qui pousse l’âme vers la médiocrité et pire, au fur et à mesure. Quand bien même le diable soit invisible il n’en demeure pas moins réel. La Justice déclare que l’on a ce que l’on mérite en punition, ce pour lequel on est responsable, naturellement. Mais le diable n’a aucun pouvoir juridique sur l’Homme donc celui qui l’a suivi ne pourra pas le blâmer cette défense est irrecevable tant dans la Justice de l’Homme que la Justice Divine. En vertu du consentement libre.
Le respect ou obéissance implique que l’on revient à l’Article 2. Ce qui démontre la fausseté du polythéisme.
Aussi le frein à la liberté montre l’impuissance et l'impossibilité de commander et de légiférer si ce n’est relativement mais Dieu est absolu. Dieu sait et entend alors que les associés que l’on prétend à Dieu ne sauraient vous répondre ils ne sauraient entendre eux-mêmes. Donc le polythéisme est une mythologie et on revient à l’Article 1 qui stipule que c’est une invention qui ne se base sur aucune preuve. Un mensonge forgé issu de l’imagination.
Article 3. Chaos
Ces dieux n’obéissent à aucune loi qu’elle soit stipulée ou non.
Article 3.1 Jouissance totale de la liberté absolue, dans la conscience ou l’inconscience.
3.1.1 Du jeu qui fait naitre le conflit.
S’il y a pleine jouissance de la conscience, alors la liberté totale commune entraînera inéluctablement un conflit, à cause de l’anarchie, entre les divinités et par ricochet à leurs partisans. Puisque les hommes lorsqu'ils n'obéissent à aucune Loi touchent autrui, il en va de même pour les divinités qui les auraient créés.
Elles toucheront les biens et les personnes des autres divinités par le simple fait de la coexistence, car dans leur puissance et leur due gloire ainsi que sagesse infinies elles chercheront des sources de plaisir dignes de leurs rangs.
Ne pas respecter le code de conduite mène inéluctablement à un conflit. Puisque les divinités n’ont pas de règles entre elles ; elles agiraient dans le chaos et donc l’injustice. Ainsi que signifie invoquer la justice et l’ordre si ce n’est faire disparaitre le faux pour faire triompher le vrai ? Invoquer la Justice transcende les dieux et donc les réduit à néant. Et Dieu n’est pas injuste par contre ceux qui donnent des associés à Dieu commettent là une énorme injustice. La Divinité est Justice et elle est Liberté. Une divinité injuste ne va-t-elle pas mourir justement ? Si en vérité car la Justice lui ôtera sa Liberté. Par ailleurs il n’y a pour l’instant aucune preuve d’une divinité injuste, sinon des Hommes qui y prétendent et commettent de facto l’injustice. Et la Justice vit en l’homme qui en a besoin et cette Justice ne meurt pas. Donc il n’y a point de divinité multiple si ce n’est l’Un perçu par les créatures à mesure de leur création. De plus si la divinité était ainsi, alors l’injustice aurait toujours une voie de recours contre la Justice. Ce qui n’est pas le cas, car même si l’Homme ne rend pas justice on peut appeler à la Justice qui est un idéal au-dessus de l’injustice. Sinon la Justice ne serait pas un idéal de par le pouvoir de la divinité injuste. Mais l’idée de l’Injustice triomphante de la Justice en soi est un non-sens et les principes philosophiques auraient été différents et le hasard aurait régné dans la Nature au lieu de l’harmonie décrétée dans les lois découvertes. Car l’Injustice est l’agissement sans Loi et donc dans le chaos. Or l’ordre naturel témoigne du contraire, seuls les actes des Hommes produisent l’injustice. Il n’y a aucun argument contre la Justice. Nul autre n’en est responsable. Ceci positivement. Dire qu’une entité invisible en est responsable n’est pas recevable dans une cour de Justice, il n’y a aucune preuve à cela. La Justice condamne toujours l’injustice, quel que soit la profession de foi. Donc s’il y a un conflit, l’Injustice devrait dominer dans les idées et dans les faits. Or aucun Homme ne veut subir l’Injustice et cherche à se protéger contre elle. Tout Homme s’incline d’une manière ou une autre vers la Justice pour ses propres affaires, qu’il soit criminel ou innocent. Aucun Homme n’appellera à l’Injustice contre lui, à moins que sa raison soit défaillante. Et si dans les faits il y a de l’Injustice, c’est parce que la Justice des Hommes n’est pas parfaite. Donc ce conflit entre les Dieux n’est pas vrai. Et si le jeu a des règles on revient à l’Article 2 ou 2.1.
3.1.2 Du conflit vers l’impuissance.
Le conflit entraîne un risque et tout risque est un rabaissement de la puissance car la capacité à contracter s'évanouit, on ne peut pas faire la guerre et gérer ces affaires, on risque de mourir se faisant. Ces êtres vont donc se détruire eux-mêmes afin de se réapproprier ce qui leur appartient ou s’accaparer les biens d’autrui, et/ou revenir à leur niveau de puissance primordial ; ils sont dans cette condition en état de déséquilibre, c’est un signe de faiblesse. Et ils ne connaissent pas la paix et ils ne sont pas maîtres de la force, ils sont soumis à la Victoire qu’ils recherchent et donc ils ne sont pas libres car contraints par la perte et n’ont aucune certitude de vaincre. La Victoire les transcende dans la mesure où la naissance même du conflit rend caduc l’idée de multiplicité des divinités car elles ne connaissent pas l’issue de la bataille ce qui est un signe d’ignorance. Sinon ils n’auraient pas fait la guerre et seraient en l’état déjà victorieux. Le besoin de Victoire est une humiliation car le belligérant quémande la Victoire. Or Dieu ne craint pas l’humiliation et c’est Lui qui donne la Victoire. Dieu est en Paix dans l’éternité. Une divinité qui n’est pas Paix et Salut n’est que tourments et tourments du diable. Auriez- vous oublié le diable ? Le diable, cette créature invisible qui tente l’Homme afin de le fourvoyer et le pousser à rejeter Dieu. Le diable le pire ennemi de l’Homme. Le diable ne vous pense qu’à votre perte, il souhaite vous transmettre sa malédiction afin que vous la partagiez et vendiez votre félicité pour pire. Le diable est un ennemi déclaré à l’Homme, et l’autruche qui cache son visage dans la terre n’empêche en rien le lion qui rôde. Ou préférez-vous la meute ? Je prends refuge auprès du Miséricordieux contre le diable banni et honni, voué à l’ostracisme, hors de la miséricorde de Dieu le Souverain le Saint. Et je prends refuge auprès de Dieu contre l’injuste qui prend le diable pour allié et le sert dans l’infidélité. Dieu guide vers la félicité et le diable accompagne l’égaré dans sa perte. L’existence terrestre est une épreuve afin de choisir son bonheur, justement en toute liberté. Donc par cette analyse on peut tirer aussi que le conflit est un signe d’ignorance entre les parties et ignorance de soi. Donc de par le conflit il n’y a pas une condition de multiplicité de divinités, c’est une autre réalité qui est mal perçue.
3.1.3 Un conflit limité dans le temps qui fait revenir à un état d’entente.
Cela implique que l’entrée dans le conflit étaye considérablement l’ignorance des belligérants quant à l’issue de la bataille. Sinon la bataille n’aurait pas eu lieu au départ. Sinon cela démontre l’incapacité sur soi. Le retour à l’état d’entente implique le retour à l’Article 2.
3.1.4 Un conflit éternel
L’éternité du conflit implique la permanence du conflit et de la guerre. La conséquence immédiate est l’impossibilité de la création car le temps est absent, vu la nécessité de survie. Donc aucun ne peut donner la vie ni la mort à la création, en effet ils sont incapables de donner à eux-mêmes. Donc l’obéissance à cette Loi de la guerre montre la domination des divinités par la contrainte et leur fin inéluctable dans leur guerre et donc leur destruction. Or la permanence du monde d’après son existence montre que le conflit n’existe pas. Ici la multiplicité des divinités empêche les divinités de vivre et mène, in fine, à leur destruction totale. Or la permanence du monde démontre continuellement le contraire.
Ne vous ai-je pas dit que Dieu maintient les cieux et la terre sans peine : Voilà c’est la preuve que oui. La vie ne s’arrête pas et les divinités nous ont jamais demandé de choisir entre elles pour les départager ou le monde serait divisé or le monde est un. La réalité du monde qui se base sur autre chose que le polythéisme montre qu’il n’existe qu’un unique régent et souverain.
Autrement dit s’il n'existe aucune Loi transcendantale à leurs conditions alors chacune d'entre elles s'en iraient avec ce qu’elles auraient créés, c'est sage, on revient alors à l’analyse en cas d’inégalité. Or le monde est unifié dans sa perfection, même le Ciel est sans fissure. Dans le cas de l’égalité on se rend compte que cette situation est absurde et aucune manifestation de la multiplicité des divinités ne s’est jamais dévoilée dans le temps. Il faudrait qu’au moins deux divinités se soient manifestées et de façon contradictoire pour les différencier et ceci simultanément pour que le témoignage soit possible et cela pour chaque Homme. Or aucune génération d’Hommes n’a vu ne serait-ce qu’une divinité donc il n’en existe pas plusieurs. Sinon il faudrait un livre qui ne soit pas faux et qui soit un manifeste explicite de la condition multiple de la divinité. Ce livre doit tenir face à la critique et garder toute sa validité et attester sans l’ombre d’un doute de la pluralité des dieux, autrement dit il doit constituer une preuve juridique sur laquelle on peut se baser. Ce livre ne doit donc pas être un mensonge forgé sinon on revient à l’Article 1. Or ce type de livre n'existe pas si ce n’est des histoires que l’on raconte des mythologies qui sont de pures fictions qui ne résistent ni à l’analyse ni à la démonstration.
Article 3.2 Inconscience ….
S’il y a inconscience alors il y a de fait incapacité, et donc non divinité ! La personne qui ne jouit pas la conscience ne peut rien faire et est dominée par les êtres qui en sont doués et donc ne peut vivre en tant que Vrai Dieu.
De facto et de jure :
La Divinité est Unique et elle est Une
Dans le premier chapitre on a montré que Dieu est Unique, dans le second chapitre on a montré que Dieu est Un. Il n’y a pas plusieurs Dieux et à fortiori pas de sous dieux. Dieu étant la vérité et la Vérité étant cohérente avec elle-même et se suffisant comme témoin, alors Dieu est Unique en l’Un. Donc seul le Dieu Unique et Un est éternel et il n’a pas d’associé dans la divinité ni dans la souveraineté. Dieu est Unique dans l’Un et les créatures sont uniques dans le multiple.
Cela implique que Dieu est une seule et unique personne, indivisible : Un Dieu en Un et Un Seul Dieu sans associé ni partenaire. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Idriss El Khatib (discuter), le 5 janvier 2022 à 12:20 (CET)