Nicole Frisch-Pichard auteur de son deuxième livre lequel est une Saga de sa vie de jeune femme à la montagne. J'ai reçu une excellente éducation par des parents qui nous ont montré l'amour avec un grand A. Neuf ans d'école dans mon village, puis six mois d'internat ménager. Ces six mois m'ont tout appris de la vie et comment la gérer. C'est dans mon premier libre "L'Escalier Bleu". Ce premier tome de trois à paraître raconte les années après-guerre et comment une guerre peut apporter un économie florissante. En deuxième partie je raconte la vie de femme de champion.Ses attentes, ses déceptions, sa haine envers la femme qui lui a volé sa vie. Les enfants des montagnes n'ont jamais été préparé a recevoir tant de gloire. Ils ne savent pas toujours ressortir vivant d'une telle expérience. Le second tome raconte l'après gloire d'une femme détruite par les ressentiments d'une injustice notoire. « Tombée dans la Baie des Anges » se passe à Nice ou je vais découvrir le cinéma et plus tard sur Paris le théâtre, le métier de costumière. Pour la deuxième fois la torture de l'injustice, cette fois par un cancer d’Hochkin déclaré un an après mon mariage d'avec un jeune homme de 29 ans qui ne survivra pas plus de huit années à ce massacre de son jeune corps d’athlète. Je devrais créer un restaurant Suisse à Paris, « La Charbonnade » pour faire survivre mon ménage. Ce qui me vaudra énormément de problème en tous genres, allant jusque qu'a une tentative de mort. Non, le peuple Français n'est pas xénophobes contre leurs ancêtres protestants. Mon troisième Tome s'intitule "Retour dans mes pénates". Tout d'abord la direction d'une Auberge traditionnelle, maison de mon enfance. Mes chers clients de tous pays, dix-sept années passées a les chouchouter. Je leur ai donné la lie de mon sang. Puis " L'Auberge en Fête deux cents ans de son histoire" le Festival de Country Music ou j'ai découvert mon troisième mari Thomas Frisch-Pichard qui s'est suicidé à l'âge de quarante ans. Comment supporter, vivre avec ce fardeau, ne pas s'inculper, continuer à vivre sous les sarcasmes de plusieurs connaissances.

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