Džoni Mandić
Džoni Mandić, né le à Zenica (Yougoslavie), est un joueur bosnien de rugby à XV évoluant au poste de troisième ligne centre.
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Naissance |
Zenica (Yougoslavie) |
---|---|
Taille | 1,95 m (6′ 5″) |
Poste | Troisième ligne centre |
Période | Équipe | M (Pts)a |
---|---|---|
1989-1991 1991-1993 1993-1995 1995-1999 |
CO Le Creusot FC Grenoble Montpellier RC RRC Nice |
Période | Équipe | M (Pts)b |
---|---|---|
Yougoslavie Bosnie-Herzégovine |
20 (?) 10 (?) |
Période | Équipe | |
---|---|---|
2011-???? | CS lédonien |
a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Dernière mise à jour le 24 octobre 2012.
Biographie
modifierDžoni Mandić joue avec l'équipe du CO Creusot lors des saisons 1989-1990 et 1990-1991, puis il s'engage avec le FC Grenoble[1].
Il fait partie de l'équipe des Mammouths de Grenoble[2] qui est vice-champion de France 1993, défait 14 à 11 par le Castres olympique sur une erreur d'arbitrage[3], dans une finale considérée comme l'un des plus gros scandales du rugby français[4].
Puis, il joue respectivement pour le Montpellier RC de 1993 à 1995 et le RRC Nice où il termine sa carrière en 1999[1],[5]. Il devient ensuite entraîneur du Cercle sportif lédonien[5],[6].
Palmarès
modifier- Championnat de France de première division :
- Vice-champion (1) : 1993[7] avec le FC Grenoble[8]
- Demi-finaliste (1) : 1992 avec le FC Grenoble
Notes et références
modifier- « Dzoni Mandic »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur rugby-guide.com (consulté le ).
- Escot et Rivière 2009, p. 268
- Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur actu.fr, (consulté le ).
- Le Journal du Rugby n°21 - Juin 2012 - Page 31, « "Merluche sort les couteaux !" », sur fr.1001mags.com, 21 de juin 2012 (consulté le ).
- « Mandic Dzoni », sur finalesrugby.fr (consulté le ).
- « Équipes Séniors », sur cslrugby.fr (consulté le ).
- Richard ESCOT, « Le Top 5 des finales les plus marquantes », sur lequipe.fr, (consulté le ).
- Réginald Mouyan, « Michel Ringeval (Part 2): « Au bout d'un quart d'heure, j'ai compris qu'on en gagnerait pas» », Le Sport Dauphinois, (lire en ligne, consulté le )
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Richard Escot et Jacques Rivière, Un siècle de rugby, Calmann-Lévy, , 13e éd., 480 p., relié (ISBN 978-2-7021-4118-2)
Liens externes
modifier- Ressources relatives au sport :