Dourdain

commune française d'Ille-et-Vilaine

Dourdain
Dourdain
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Liffré-Cormier Communauté
Maire
Mandat
Michel Maillard
2023-2026
Code postal 35450
Code commune 35101
Démographie
Population
municipale
1 224 hab. (2021 en augmentation de 6,62 % par rapport à 2015en augmentation de 6,62 % par rapport à 2015)
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 11′ 35″ nord, 1° 22′ 12″ ouest
Altitude Min. 52 m
Max. 112 m
Superficie 13,80 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Liffré
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Dourdain
Liens
Site web www.dourdain.fr

Dourdain est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, peuplée de 1 224 habitants[Note 1].

Géographie modifier

Situation modifier

Dourdain est l'une des 333 communes d'Ille-et-Vilaine. Située à 36 km au nord-est de Rennes, à 30 km au sud-ouest de Fougères et à 20 km de au nord-ouest de Vitré, la commune présente un paysage de bocages[1].

La carte de la commune.

Hydrographie modifier

La Veuvre (affluent de rive droite de la Vilaine) limite au nord le finage communal, traversé par le ruisseau de la Barbotais (affluent de la Veuvre), dont le ruisseau de Chevré forme la limite sud et le ruisseau de la Fontaine de la Cibonnière (tous deux affluents du ruisseau de la Barbotais) la limite est[1].

Relief modifier

Les altitudes varient de 111 mètres pour le point culminant (entre le bourg et le hameau de la Corblais) au centre-nord du territoire communal, et 53 mètres (à la confluence de la Veuvre et du ruisseau de la Barbotais, à l'extrême ouest du finage communal. Le bourg avoisine les 80 mètres d'altitude.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 791 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fougères à 22 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 939,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Dourdain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,2 %), terres arables (26,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,5 %), zones urbanisées (2,7 %), forêts (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Dourdan au XIe siècle et Dorden en 1136[15].

Il s'agit d'un type toponymique gaulois ou pré-gaulois basé sur un thème *dord- de sens obscur. Cette racine est identifiée dans la toponymie et l'hydronymie de la France cf. Dourdan (Essonne, Dordincum en 956) ; Dordives (Loiret, *Dordiva)[16].

Comme le montre la forme la plus ancienne de Dourdain, Dourdan au XIe siècle, il est probable qu'il s'agisse du même type toponymique que Dourdan (Essonne, Dordincum en 956), c'est-à-dire Dord-incum[17], le suffixe -incum (-inco) ayant régulièrement abouti à la terminaison -an, évoluée par la suite en -ain dans le cas de Dourdain (cf. panem > pan> pain, etc.).

En gallo, langue traditionnelle des habitants de Dourdain, la commune est appelée Dourdin[18].

La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Dourdan[19].

Histoire modifier

Premières occupations modifier

Des traces d'occupation néolithiques ont longtemps subsisté : l'inventaire du patrimoine cite un tumulus existant « au début du siècle » au Haut-Sérigné ou Haut-Ligné[20], Les mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine mentionne des menhirs à La Bédouannerie, sur le coteau de la Veuvre, détruits au XIXe siècle[21].

Moyen Âge modifier

La fiche d'inventaire du patrimoine indique que la paroisse existait au XIIe siècle, et que durant les guerres de Religion, la paroisse et le château du Plessis-Pillet (qui appartient depuis le XIIIe siècle aux Montbourcher, devenus à l'époque l'une des grandes familles protestantes bretonnes) sont pillés par les ligueurs[20].

Elle mentionne également l'existence d'une léproserie au Moyen Âge, dont l'emplacement est inconnu[20].

Époque moderne modifier

En 1639, Paul Bouan, seigneur de Châteaubourg et du Plessis-Pillet est indiqué comme étant « seigneur patron et fondateur de l'église et du presbytère de Dourdain ; il avait droit aux prières nominales après le seigneur de Sévigné »[22].

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Dourdain en 1778 :

« Dourdain, à six lieues à l'Est-Nord-Est de Rennes, son évêché, et à une lieue et ½ de Saint-Aubin-du-Cormier, sa subdélégation et son ressort. Cette paroisse, fondée (...) par les seigneurs du Bordage, compte 900 communiants[23]. La cure est à l'alternative. Son territoire est un pays plat, couvert d'arbres et de buissons, dont les terres sont assez bonnes. On y voit des prairies, des landes et des arbres qui rapportent beaucoup de fruits ; deux maisons-nobles, savoir la Normandais, moyenne justice, à M. de la Teillaye, et le Plessis-Pillet, moyenne justice à M. de la Celle de Châteaubourg[24],[25]. »

Révolution française modifier

La population de la commune, qui devient chef-lieu de canton lors de la Révolution française[20], est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[26].

La commune fut prise d'assaut par les chouans lors du mois de .

Le XIXe siècle modifier

Le comte de Châteaubourg, châtelain du Plessis-Pillet, fut lieutenant de louveterie et maire de Dourdain[27]. En 1851, le journal La Presse écrit :

« Les loups commencent à s'agiter dans les forêts enclavées entre les bourgs de La Bouëxière, Servon, Dourdain, Marpiré, Broons et Saint-Jean-sur-Vilaine, et la gendarmerie de Châteaubourg a déjà eu à constater de graves dégâts. Ces redoutables animaux paraissent jusqu'à présent sortir plus particulièrement de la forêt de la Corbière. Le 31 décembre [1850], un cheval et un poulain ont été dévorés sur le territoire de Saint-Jean, et une génisse sur celui de Broons. Les loups doivent être nombreux, car on entend beaucoup de hurlements dans les campagnes. On a rencontré, dans la commune de Broons, une louve et quatre louveteaux[28]. »

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Dourdain en 1843 :

« Dourdain (sous l'invocation de saint Pierre, 29 juin) : commune formée par l'ancienne paroisse du même nom. (...) Principaux villages : la Corblais, la Chapronais, le Plessix-Pillet, la Touche, la Robinais, la Choltais, la Bedouannerie. Superficie totale : 1318 hectares, dont (...) terres labourables 966 ha, prés et pâtures 249 ha, vergers et jardins 11 ha, bois 4 ha, landes et incultes 93 ha (...). Moulins : 2 (Ory, la Barbotais, à eau). (...) Géologie : quartzite, schiste à 1 km au sud. On parle le français [en fait le gallo][29] »

Le XXe siècle modifier

La Première Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Dourdain porte les noms de trente-et-un soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, deux au moins (François Chesnais, Eugène Riaudel) sont morts en Belgique ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français. Pierre Rocher[30] a été décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre ; Joseph Boucherie[31], Aimé Guérin[32] et Francis Lecoq[33] de la Croix de guerre[34].

Trois frères originaires de la commune sont morts pendant ce conflit : outre Pierre Rocher, déjà cité, ses frères Alfred[35] et François Rocher[36], tous les trois fils de Pierre et Jeanne Marie Monnerie.

La Seconde Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Dourdain porte les noms de deux soldats (J. Betton, F. Rabault) morts pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[34].

L'après Seconde Guerre mondiale modifier

En avril 1949, l'une des toutes premières CUMA de France, dénommée L'entraide paysanne de Dourdain fut créée de fait (la création officielle datant de 1952) par sept agriculteurs de la commune, dont Paul Havard, un jaciste, est le principal animateur. En 1958, Paul Havard devint le délégué de la Fédération nationale des CUMA pour les régions Bretagne, Basse-Normandie et Pays de la Loire[37]

Politique et administration modifier

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 1919[38] ? M. Regnault    
? ? ?    
mars 1983 mars 2001 Jean Deguillard   Agriculteur
mars 2001 3 juillet 2020 Gérard Ory DVG Retraité
3 juillet 2020 31 janvier 2023[Note 4],[39] Isabelle Courtigné[40] PS Conseillère départementale du canton de Liffré (2015 → )
Les données manquantes sont à compléter.

En 2023, des élections municipales auront lieu afin d'élire un nouveau conseil à la suite de la démission de la maire précédente. Cédric Denoual, premier adjoint, assure les fonctions de maire par intérim.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].

En 2021, la commune comptait 1 224 habitants[Note 5], en augmentation de 6,62 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8688288541 0561 0181 0251 0401 011997
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9649891 001954950962926950900
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
845870882810842807805765735
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
7026805885605947069029271 046
2015 2020 2021 - - - - - -
1 1481 2121 224------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2017, Dourdain était, selon l'INSEE, la commune d'Ille-et-Vilaine où les retraités avaient le plus faible revenu imposable (15 465 euros).

Lieux et monuments modifier

L'église Saint-Pierre.

La commune ne compte aucun monument historique mais deux monuments inventoriés :

Personnalités liées à la commune modifier

  • Gilles Fournel, poète et ancien instituteur ayant exercé à Dourdain.

Voir aussi modifier

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Archives modifier

Notes modifier

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Isabelle Courtigné, maire de la commune depuis juillet 2020, est absente totalement de la vie municipale de l'hiver 2021 jusqu'à sa démission en janvier 2023
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Page « Dourdain » sur le site web de la communauté de communes du Pays de Liffré.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Dourdain et Fougères », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Fougeres » (commune de Fougères) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Fougeres » (commune de Fougères) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 57
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 251a.
  17. ibidem
  18. le jardin graphique, « ChubEndret, Dictionnaire de noms de lieux, institu Chubri, Du galo pourr astourr », sur chubri-galo.bzh (consulté le ).
  19. Résultats concernant « Dourdain » dans la base KerOfis
  20. a b c et d Fiche de la commune sur le site patrimoine.region-bretagne.fr/
  21. Jacques Briard, Loïc Langouët, Yvan Onnée, Les Mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine, Institut culturel de Bretagne, 2004, p. 31.
  22. Émile Évellin, Excursion de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, "Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine", 1928, consultable en ligne sur Gallica.
  23. Personnes en âge de communier
  24. Paul de la Celle de Châteaubourg, né le à Rennes, décédé le à Mézières-sur-Couesnon
  25. Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome second, 1778, consultable https://archive.org/stream/dictionnairehist02og#page/78/mode/2up
  26. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », Annales de Bretagne, vol. 21, t. 4,‎ , p. 398-399.
  27. Christian Estève, Les tentatives de limitation et de régulation de la chasse, "Revue historique", janvier 1997, consultable en ligne sur Gallica.
  28. Journal La Presse, n° du 18 janvier 1851, consultable en ligne sur Gallica.
  29. A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de Bretagne", tome 1, 1843, consultable en ligne sur Google Livres.
  30. Pierre Rocher, né le à Dourdain, canonnier au 50e régiment d'artillerie de campagne, mort des suites de ses blessures le à Mourmelon-le-Grand (Marne)
  31. Joseph Boucherie, né le à Dourdain, soldat au 150e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi au Mont Sapigneul en Cormicy (Marne)
  32. Aimé Guérin, né le à Dourdain, soldat au 41e régiment d'infanterie, mort des suites de ses blessures le à l'hôpital auxiliaire de Sainte-Menehould (Marne)
  33. Francis Lecoq, né le à La Bouëxière, soldat au 41e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Vierzy (Aisne)
  34. a et b « Dourdain, Monument aux Morts », sur memorialgenweb.org.
  35. Alfred Rocher, né le à Dourdain, soldat au 47e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Neuville-Vitasse (Pas-de-Calais)
  36. François Rocher, né le à Dourdain, prêtre, soldat à la 10e section d'infirmiers militaires, mort de maladie contractée en service le à Chaumont (Haute-Marne)
  37. Robert Fort, Ils ont révolutionné le monde rural. L'aventure de la JAC en Bretagne (1930-1970), éditions Le Télégramme, 2001 [ (ISBN 2-909292-94-0)]
  38. Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
  39. « Bretagne: Une maire disparaît pendant un an avant de finalement annoncer sa démission », BFM TV,‎ (lire en ligne).
  40. « Isabelle Courtigné, première femme maire à Dourdain », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA35010552, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Chapelle Notre-Dame-de-toutes-Aides, Notre-Dame-des-sept-Douleurs (chapelle frairienne) », notice no IA35010592, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Liens externes modifier