Dun-sur-Auron
Dun-sur-Auron est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.
Dun-sur-Auron | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Cher | ||||
Arrondissement | Saint-Amand-Montrond | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Le Dunois (siège) |
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Maire Mandat |
Louis Cosyns 2020-2026 |
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Code postal | 18130 | ||||
Code commune | 18087 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
3 572 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 53′ 08″ nord, 2° 34′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 151 m Max. 188 m |
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Superficie | 50,09 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Dun-sur-Auron (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Bourges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Dun-sur-Auron (bureau centralisateur) |
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Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cher
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | dun-sur-auron.fr | ||||
modifier |
Géographie
modifierLe territoire de la commune est traversé par les rivières de l'Auron et de l'Airain.
Accès
modifierLocalisation
modifierSaint-Denis-de-Palin | Vornay | |||
Saint-Germain-des-Bois | N | Bussy | ||
O Dun-sur-Auron E | ||||
S | ||||
Contres | Parnay | Cogny |
Toponymie
modifierLe nom de Dun est probablement issu du terme d'origine gallo-romaine Dunum. Ce toponyme fait référence à la notion d'« enceinte fortifiée »[1].
Au Moyen Âge, la ville de Dun est connue sous le toponyme de « Dunensi » (en 880), et sous celui de « Duno », en 1095[1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Centre et contreforts nord du Massif Central » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central »[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 764 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 785,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,9 | 0,5 | 2,5 | 4,7 | 8,5 | 12 | 13,6 | 13,5 | 9,8 | 7,6 | 3,8 | 1,5 | 6,6 |
Température moyenne (°C) | 4,4 | 4,9 | 8,1 | 10,9 | 14,7 | 18,5 | 20,5 | 20,4 | 16,4 | 12,7 | 7,8 | 4,9 | 12 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,8 | 9,4 | 13,8 | 17,1 | 21 | 24,9 | 27,4 | 27,4 | 23 | 17,8 | 11,8 | 8,3 | 17,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−24,1 16.01.1985 |
−16 14.02.1991 |
−13,5 01.03.05 |
−5,9 04.04.22 |
−1,1 06.05.19 |
2,2 03.06.06 |
5,6 31.07.15 |
2,5 31.08.1986 |
−0,5 25.09.02 |
−8,5 30.10.1997 |
−11 24.11.1998 |
−13,9 16.12.01 |
−24,1 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,5 30.01.02 |
22,9 24.02.1990 |
25,9 16.03.12 |
29,5 20.04.18 |
33,6 27.05.05 |
40,2 27.06.19 |
41,8 25.07.19 |
42,2 05.08.03 |
36,8 07.09.23 |
32,7 02.10.23 |
26,4 07.11.15 |
21,1 02.12.1985 |
42,2 2003 |
Précipitations (mm) | 60,7 | 53,4 | 51,6 | 66 | 75,8 | 58,2 | 69,3 | 64,5 | 64,8 | 73,8 | 73,9 | 73,3 | 785,3 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Dun-sur-Auron est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dun-sur-Auron, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourges, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 111 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,3 %), prairies (17,8 %), zones urbanisées (7,2 %), forêts (4,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[12].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Dun-sur-Auron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].
Risques naturels
modifierLa commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[15]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie.
Plus de 85 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 977 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 049 sont en aléa moyen ou fort, soit 53 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national.
Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].
La commune est en outre située en aval du barrage de l'étang de Goule, de classe B[Note 2]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[19].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous la forme de Duno en 1034.
Du radical indo-européen *dhun-, associant un relief et un habitat défendu « dune », à l’origine d’une racine celtique *dhuno dont le premier sens aurait été « clôture, zone enclose », d’où le gaulois dūnum qui a pris le sens de « citadelle, enceinte fortifiée » et, par métonymie, celui de « colline, mont » puisque la plupart des citadelles étaient bâties sur des hauteurs.
Histoire
modifierÂge du fer
modifierLe site de Dun-sur-Auron fait l'objet d'une occupation celtique dès la fin de l'âge du bronze et le début du 1er âge du fer. Des fosses à incinération, recouvertes de tumuli, ont été exhumées lors de fouilles réalisées dans la seconde moitié du XXe siècle au sein de la plaine dite de « La Périsse », dans les marges de Dun.
Le viatique recueilli dans ces structures funéraires du bronze final / Hallstatt « A1 », est entre autres composé de bracelets, de lames d'épées et de torques à reliefs triangulaires[20]. À partir du Hallstatt « final », puis au cours du 2e âge du fer, le site de Dun-sur-Auron fait partie de la civitas, soit le territoire, des Bituriges Cubii[21], alliés de Vercingétorix pendant la guerre des Gaules.
Grâce aux prospections archéologiques effectuées sur les terres dunoises à partir du XIXe siècle[Note 3], des structures protohistoriques, telles que des sépultures funéraires appartenant à une nécropole, ont ainsi été mises en évidence[23]. L'ancien cimetière celte de Dun se développe à proximité de la vallée de l'Auron[22]. L'emploi de la nécropole s'amplifie à la fin de la période laténienne « finale » et connaît une phase d'utilisation qui se prolonge jusqu'au début de la romanisation de Dun[21].
D'autres investigations, opérées au sein de certaines de ces tombes au cours des années 1960[24], ont permis de dégager des mobiliers funéraires notamment constitués d'artefacts sous la forme de pièces d'armes les unes de combat, les autres dites « de parade »[21]. Les rapports archéologiques montrent qu'il s'agit de sépultures aristocratiques[21].
Antiquité
modifierAu cours de la période gallo-romaine, la cité berrichonne se pare d'un schéma urbanistique de forme rectangulaire[25]. Le centre de la ville laisse apparaître un système de voirie d'aspect quadrillé[25]. Quelques vestiges de structures domestiques et d'autres de type fortifié, attribués à cette époque, ont été signalés sur les pourtours de la ville dunoise[25]. En lisière du territoire dunois, des photographies d'archéologie aérienne ont permis d'indiquer l'existence de ruines d'un habitat domestique appartenant à une villa. Cette villa, dénommée villa « des Tourattes », est localisée à 9 kilomètres « à vol d'oiseau » au nord-ouest de la commune de Thaumiers dont le site a délivré d'importants vestiges archéologiques attribués à l'époque gallo-romaine[26].
Moyen Âge
modifierD'origine très ancienne, Dunum est un lieu fortifié gaulois. Au Moyen Âge, la seigneurie de Dun dépendait du vicomte de Bourges.
En 1100, le dernier vicomte, Eudes de Dun, surnommé Arpin, vendit sa vicomté à Philippe Ier pour pouvoir partir en croisade. Dun devint la troisième ville royale du Berry, prit le nom de Dun-le-Roi et Philippe Auguste la dota d'importantes fortifications. La carte aérienne de la ville montre que ces structures d'enceinte présentent globalement l'aspect d'un ovale[25],[27]. Toutefois, le cœur de la cité de Dun conserve un plan de quadrillage orthonormé et rectiligne, mis en place à l'époque gallo-romaine[25].
Les habitants bénéficient d’une charte communale inspirée de la charte de Lorris[28].
Durant l'été 1183, une compagnie de mercenaires (ou brabançons), commandée par Curbaran et Raymond Brun, ravage le pays. Le 20 juillet, les Capuchonnés, peut-être assistés de troupes de Philippe Auguste, les massacrent près de Dun[29],[30],[31].
Des guerres de religion à la Révolution française
modifierEn 1709, une révolte secoue la ville. L’année précédente, les récoltes ont été très mauvaises, le grain manque ou devient très cher. Réduits aux dernières extrémités, les habitants prennent d’assaut un grenier, en proclamant qu’ils « mouraient de faim », demandant « qu'on les pendît pour finir plus tôt leur vie »[32].
Révolution française et Premier Empire
modifierDurant la Révolution, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II, invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune de Dun-le-Roi change de nom pour Dun-sur-Auron[33].
À la Restauration, la commune reprend son nom d’Ancien Régime, qu’elle conserve jusqu’à la Troisième République. En 1880, la commune reprend son nom révolutionnaire qu’elle conserve jusqu’à aujourd’hui[33].
XIXe et XXe siècles
modifierEn 1892 y est installée une "colonie familiale" pour patients psychiatriques, la colonie familiale de Dun-sur-Auron[34] devenue par la suite un service hospitalier d'accueil familial thérapeutique toujours actif aujourd'hui[35].
En 1940, la 114e compagnie de travailleurs étrangers est installée à Dun-sur-Auron pour travailler pour le compte du ministère de l'Air[36].
De 1940 à 1942, le 72e régiment d’artillerie (régiment d'Île-de-France), est cantonné à Issoudun, Dun-sur-Auron et L'Isle-Jourdain (Vienne)[37].
Le , des combats ont lieu près de Dun, entre des éléments allemands de la colonne Taglischbeck, battant en retraite, et du 2e bataillon de la 33e 1/2 brigade FFI, faisant 14 victimes françaises, soldats tués au feu et civils abattus. Un monument a été élevé en 1950 à la mémoire de ces victimes de la libération de Dun[38].
-
Fortifications.
-
Fortifications.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].
En 2021, la commune comptait 3 572 habitants[Note 4], en évolution de −10,05 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Vie locale
modifierEnseignement
modifierÉvénements
modifierMusic A Dun se déroule une semaine avant le Printemps de Bourges Cinémobile[réf. nécessaire]
Médias
modifierPresse écrite
modifierRadios
modifierTélévision
modifierÉconomie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Collégiale Saint-Étienne, fondée en 1019 par le chapitre du château de Bourges, des XIIe, XIIIe et XVIe siècles[49].
- Domaine de la Périsse[50].
- Musée du canal de Berry dans le châtelet.
- Le château dit « La Salle-le-Roi », dont la construction débute en 1202 et les derniers travaux de réfection se concluent en 1856[51]. Le beffroi de l'édifice médiéval fait l'objet d'un classement sur la liste des monuments historiques français depuis le [51].
- L'enceinte de la cité dunoise, dont l'assise est réalisée à la fin du XIIe siècle (en 1189), est inscrite en tant que monument historique depuis le [52].
- Aux environs, ruines du château de Bois-Sire-Amé où vécut Agnès Sorel, favorite du roi Charles VII.
-
Beffroi.
-
Église.
-
Église.
-
Porte d'une maison ancienne.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean-Marie Heurtault de Lammerville (1740-1810), agronome et député du Cher durant la Révolution française. Il possédait la propriété de La Périsse, qui avait auparavant appartenu à Jacques Cujas.
- Jean Bidault (1796-1854), avocat, homme politique, député du Cher de 1848 à 1849 et de 1850 à 1854.
- Marie Auguste Martin (1828-1910), sculpteur.
- Émile Sauret (1852-1920), violoniste et compositeur.
- Laure Coutan (1855-1914), sculpteur, est née à Dun-sur-Auron. On lui doit, entre autres, le buste d'André Gill au cimetière du Père-Lachaise, à Paris.
- Maurice Bardèche (1907-1998), écrivain.
- Jean Guyot (1918-2000), résistant, industriel, commandeur de la Légion d'honneur, compagnon de la Libération.
- Berthe Fiévet (1930-1999), députée du Cher et maire de la commune de 1983 à 1989.
- Agnès Godard, née à Dun-sur-Auron en 1951, directrice de la photographie.
- Patrick Trotignon (1954), footballeur puis dirigeant de clubs professionnels.
Héraldique
modifierLes armes de Dun-sur-Auron se blasonnent ainsi : D'azur à la fasce cousue de gueules, accompagnée en chef de trois fleurs de lys d'or et en pointe d'un mouton d'argent[53]. |
Cadre de vie
modifierDans son palmarès 2016, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[54].
Notes
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
- Ces travaux d'investigations archéologiques sont notamment réalisés par Moreau et Martinet et leurs rapports ont été publiés en 1878[22].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Ernest Nègre, « Noms de peuples gaulois 2421 2546 », dans Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, , 708 p. (lire en ligne), page 150.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- « Station Météo-France « Dun » (commune d'Orval) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Dun » (commune d'Dun-sur-Auron) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bourges », sur insee.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Dun-sur-Auron », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- O. Buchsenschutz, M. Willaume et P. Gablin, « Le site Bronze final : Premier âge du Fer des Grandes-Chapelles à Brion (Indre) - Études et travaux », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. tome 76, nos 10 et 12, , pages 410, 418 et 419 (DOI 10.3406/bspf.1979.5164, lire en ligne, consulté le ).
- Anne Villard, « Approche des rites funéraires dans les tombes aristocratiques de la fin de l'Age de Fer et du début de l'époque romaine, à partir de l'exemple biturige. (An outline of burial practices in aristocratic graves of the Late Iron Age and Early Roman period: the example of the bituriges). », dans Anne Villard et al., Monde des morts, monde des vivants en Gaule rurale : Actes du Colloque ARCHEA/AGER (Orléans, 7-9 février 1992), vol. Supplément à la Revue archéologique du Centre de la France, 6, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, (lire en ligne), pages 319 à 321.
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- Serge Lepeltier, Olivier Buchsenschutz (dir.) et Ian Ralston (dir.), « Préface », dans Olivier Buchsenschutz (directeur d'ouvrage), Ian Ralston (directeur d'ouvrage) et al., Occupation de l'âge du Fer dans la vallée de l'Auron, vol. Supplément à la Revue archéologique du Centre de la France, 22, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, (lire en ligne), page 13.
- Buchsenschutz 2015, p. 45.
- Jacqueline Soyer, « Les fortifications circulaires isolées en France. », Annales de Normandie, vol. 15e année, no 3, , pages 330 et 331 (DOI 10.3406/annor.1965.6731, lire en ligne, consulté le ).
- Christine Bryant-Villerio, « Thaumiers. », dans Christine Bryant-Villerio et al., Agglomérations secondaires antiques en Région Centre, vol. 1, t. Supplément à la Revue archéologique du Centre de la France, 17, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, (lire en ligne), page 48.
- Cette forme ovoïde est en grande partie effacée postérieurement à l'opération de reboisement réalisée au cours des XVIIe et XVIIIe siècle[25].
- Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 15.
- Georges Duby. Les Trois Ordres, ou l’imaginaire du féodalisme, in Féodalité. Gallimard, 1996. Collection Quarto. p. 795-803. Première publication : 1978.
- La guerre au Moyen Âge – 2003 – PUF - Philippe Contamine - page 401
- Histoire du Berry: Volume 2 - 1844 - Louis Reinal - page 68-72
- Jean Nicolas, La Rébellion française : mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Paris, Gallimard, 2008, collection Folio (ISBN 978-2-07-035971-4), p. 423.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Juliette Rigondet, Un village pour aliénés tranquilles, Librairie Arthème Fayard, , 312 p. (ISBN 978-2-2137-0212-4).
- site officiel du service d'AFT de l'hôpital George Sand
- Didier Arnold, Les réfugiés de la Guerre d'Espagne dans le Cher. 1936-1946, documents disponibles aux Archives départementales du Cher, Archives départementales du Cher, mis à jour en mars 2013, consulté le 25 mars 2013, p. 2
- Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l'Occupation, Lyon, Horvath, 1993, 264 pages (ISBN 2-7171-0838-6), p. 41.
- "Paul Boisset, mort pour la France", section Histoire et généalogie de l'Association Artls et Loisirs, Saint-Laurent-Nouan, septembre 2010.
- indiquée en fonctions en 1988, Brigitte Coulon, Gérard Coulon, « Les femmes à la conquête de leurs droits : autour d'une polémique dans la presse locale en 1913 », Berry no 7, automne 1988, ISSN 0985-1569, p. 8
- Fiche Berthe Fiévet sur le site de l'Assemblée nationale
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- Notice no PA00096788.
- Notice no PA00096790.
- « Gaso »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
Bibliographie
modifier- Olivier Buchsenschutz (dir.), L'Europe celtique à l'âge du fer : VIIIe – Ier siècles, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Nouvelle Clio », , 437 p. (ISBN 978-2-13-057756-0).
- Collectif - DIREN (Direction Régionale de l'Environnement), « Fiche 9 : La vieille ville de Dun-sur-Auron », dans Direction Régionale de l'Environnement, Atlas des sites du département du Cher, Centre du développement durable, , 110 p. (lire en ligne [PDF]), pages 51 à 56.
- Michèle Dassas, « Dun-sur-Auron : la guerre des Lys », dans Michèle Dassas, Sur la Route de Jacques Cœur : Rêves et découvertes - des lieux et des contes, Romorantin, Éditions CPE, , 192 p. (ISBN 2-84503-168-8), pages 141 à 148.
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes du Cher
- Château de Dun-sur-Auron
- Fortifications de Dun-sur-Auron
- Hôtel particulier de Dun-sur-Auron
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- My-Loire Valley découvrez Dun-sur-Auron