El Hachemi Djaâboub

homme politique algérien

El Hachemi Djaâboub
Illustration.
Fonctions
Ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale

(9 mois et 8 jours)
Président Abdelmadjid Tebboune
Premier ministre Abdelaziz Djerad
Gouvernement Djerad II et III
Prédécesseur Kaouthar Krikou (intérim)
Ahmed Chawki Fouad Acheuk Youcef
Successeur Abderrahmane Lahfaya
Ministre du Commerce

(5 ans et 27 jours)
Président Abdelaziz Bouteflika
Premier ministre Ahmed Ouyahia
Chef du gouvernement Ahmed Ouyahia
Abdelaziz Belkhadem
Gouvernement Ouyahia V
Belkhadem I et II
Ouyahia VI, VII et VIII
Prédécesseur Noureddine Boukrouh
Successeur Mustapha Benbada
Ministre de l'Industrie

(2 ans, 10 mois et 14 jours)
Président Abdelaziz Bouteflika
Chef du gouvernement Ali Benflis
Ahmed Ouyahia
Gouvernement Benflis III
Ouyahia III et IV
Prédécesseur Abdelmadjid Menasra
Successeur Mahmoud Khedri
Biographie
Date de naissance (68 ans)
Lieu de naissance Mila (Algérie)
Nationalité Algérienne
Parti politique MSP

El Hachemi Djaâboub (né le à Mila), est un homme politique algérien. Il est ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale du au 8 juillet 2021[1],[2].

Biographie modifier

El Hachemi Djaâboub, est un diplômé de l’Ecole nationale d’administration (ENA) et a été député dans l’ancienne législature, sous la bannière du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Djaâboub a été successivement directeur d’hôpital (1985-1990) et chargé d’étude et de synthèse (CES) au ministère de la Jeunesse et des Sports (1990-1994). En 1994, il est chef de cabinet du ministre délégué chargé de la Solidarité nationale, avant d’occuper le poste de directeur au secrétariat général du gouvernement (SGG) de 1995 à 1997.

Le 8 avril 2021, dans le cadre d'une question qui lui est posée au Conseil de la nation en tant que Ministre du Travail et des Affaires sociales, il suscite une controverse en qualifiant la France d'« ennemi traditionnel et éternel ». Cette déclaration est interprétée, pour un ministre qui est un « cadre influent au sein du parti Hamas, comme voulant susciter de l’adhésion au sein d’une partie de l’opinion publique à deux mois des élections législatives »[6].

Références modifier