Emmanuel Macron

25e président de la République française

Emmanuel Macron
Illustration.
Emmanuel Macron en 2023.
Fonctions
Président de la République française
En fonction depuis le
(6 ans, 11 mois et 4 jours)
Élection 7 mai 2017
Réélection 24 avril 2022
Premier ministre Édouard Philippe
Jean Castex
Élisabeth Borne
Gabriel Attal
Prédécesseur François Hollande
Président d'En marche

(1 an, 1 mois et 2 jours)
Secrétaire général Ludovic Chaker
Richard Ferrand
Prédécesseur Parti créé
Successeur Catherine Barbaroux (intérim)
Christophe Castaner (délégué général)
Ministre de l'Économie, de l'Industrie
et du Numérique

(2 ans et 4 jours)
Président François Hollande
Premier ministre Manuel Valls
Gouvernement Valls II
Prédécesseur Arnaud Montebourg[b]
Successeur Michel Sapin[c],[d]
Secrétaire général adjoint du cabinet du président de la République[a]

(2 ans et 2 mois)
Avec Nicolas Revel
Président François Hollande
Prédécesseur Jean Castex
Successeur Boris Vallaud
Biographie
Nom de naissance Emmanuel Jean-Michel Frédéric Macron[1]
Date de naissance (46 ans)
Lieu de naissance Amiens (France)
Nationalité Française
Parti politique PS (2006-2009)
EM/LREM/RE (depuis 2016)
Conjoint Brigitte Trogneux
Diplômé de Université Paris-Nanterre
IEP de Paris
ENA
Profession Haut fonctionnaire
Banquier d'affaires
Distinctions Liste
Résidence Palais de l'Élysée (Paris 8e)
La Lanterne (Versailles)
Fort de Brégançon (Bormes-les-Mimosas)

Signature de Emmanuel Macron

Emmanuel Macron
Présidents de la République française

Emmanuel Macron ([ɛmanɥɛl makʁɔ̃][e] Écouter), né le à Amiens (Somme), est un homme d'État français, vingt-cinquième président de la République française, élu en 2017 et réélu en 2022 pour un second quinquennat, après avoir été un haut fonctionnaire et un banquier d'affaires.

Sorti de l'École nationale d'administration en 2004, il devient inspecteur des finances. En 2007, il est nommé rapporteur adjoint de la commission pour la libération de la croissance française (« commission Attali »). L'année suivante, il rejoint la banque d'affaires Rothschild & Cie, dont il devient associé-gérant en 2010.

Proche du Mouvement des citoyens (MDC) puis membre du Parti socialiste (PS) de 2006 à 2009, il participe à la campagne électorale de François Hollande pour l'élection présidentielle de 2012, qui le nomme après sa victoire secrétaire général adjoint de son cabinet. En 2014, alors encore inconnu du grand public, mais réputé pour sa ligne sociale-libérale, Emmanuel Macron est nommé ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique ; en 2015, il fait adopter une loi pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques, dite « loi Macron ». Sa notoriété s'accroît alors qu'il prend progressivement ses distances avec François Hollande.

En 2016, il fonde et prend la présidence de son propre mouvement politique, baptisé En marche (EM), et démissionne du second gouvernement Manuel Valls. Il adopte un positionnement qu’il présente en dehors du clivage gauche-droite et se présente à l'élection présidentielle de 2017. Il l'emporte au second tour, bénéficiant d'un « front républicain » face à la candidate du Front national, Marine Le Pen. À 39 ans, il devient le plus jeune président français de l'histoire et le plus jeune dirigeant du G20 du moment.

Son premier mandat est marqué par une réforme du Code du travail, une loi de réforme de la SNCF, l'affaire Benalla, l'affaire McKinsey, la révélation de conflits d'intérêts via les Uber Files, le mouvement des Gilets jaunes et le grand débat national qui s'ensuit, ainsi que par un premier projet contesté de réforme des retraites, la mise en place d'une convention citoyenne pour le climat, la pandémie de Covid-19, puis la crise provoquée par l'invasion de l'Ukraine par la Russie alors que la France vient de prendre la présidence tournante du Conseil de l'Union européenne.

Candidat à sa réélection lors de l'élection présidentielle de 2022, il affronte une nouvelle fois au second tour Marine Le Pen face à qui il l'emporte grâce à un nouveau barrage républicain, toutefois plus faible que lors de leur précédent duel. Son second mandat commence par l'obtention d'une majorité relative aux élections législatives, une crise énergétique mondiale liée au conflit en Ukraine, une réforme des retraites reculant notamment l'âge du départ à 64 ans, adoptée sans vote de l'Assemblée nationale et très fortement contestée, et des émeutes urbaines à l'été 2023.

Situation personnelle

Origines

Emmanuel Jean-Michel Frédéric Macron est le fils de Jean-Michel Macron, né en 1950, médecin, professeur de neurologie au CHU d'Amiens[2] et responsable d'enseignement à la faculté de médecine de cette même ville[3], et de Françoise Noguès, médecin-conseil à la Sécurité sociale[4]. Leur premier enfant meurt à la naissance[5]. Ils ont ensuite trois enfants : Emmanuel, Laurent (né en 1979, radiologue, marié à Sabine Aimot, gynécologue-obstétricienne) et Estelle (née en 1982, néphrologue, mariée à Carl Franjou, ingénieur)[6]. Après avoir divorcé en 2010, Jean-Michel Macron épouse Hélène Joly, psychiatre au CHS Pinel-Dury[7].

La famille Macron est originaire du village d'Authie, dans la Somme. Jean-Louis Beaucarnot écrit que cette famille a des origines modestes et rurales, avec plusieurs générations d'artisans ; il remonte la généalogie du président de la République à Philippe Macron, fils de François Macron et de Catherine Authy, né en 1625 et qui exerce la profession de laboureur[8].

Son arrière-grand-père, Henri Macron, ingénieur voyer, fut maire de la commune de 1953 à 1964[9]. Ses grands-parents paternels sont André Macron, qui était cadre (chef de district) à la SNCF[10], et Jacqueline Robertson, fille de Suzanne Leblond, native d'Amiens, et du Britannique George Robertson, venu de Bristol pour combattre durant la Première Guerre mondiale et héros de la bataille de la Somme. George Robertson divorce en 1928, puis rentre à Londres, où il se remarie, en 1936[11]. Ses grands-parents maternels, Jean Noguès et Germaine Arribet sont originaires de Bagnères-de-Bigorre[12]. Il est également un lointain cousin de l'animateur Sébastien Cauet[13].

Emmanuel Macron explique sa passion pour les lettres et son engagement à gauche par l'influence de sa grand-mère maternelle Germaine Noguès, une professeure de géographie puis directrice d'école[14], qui s'est élevée grâce à l'instruction républicaine[14] et qu'il surnomme affectueusement « Manette »[14],[15].

À l’âge de 12 ans, il demande à être baptisé contre l’avis de son père en déclarant : « Je suis allé tout seul à l’église. Ce fut le début d’une période mystique qui a duré plusieurs années. Après quoi, je me suis éloigné de la religion[16]. » Par la suite, il est scolarisé au lycée jésuite de La Providence, à Amiens[17]. À l’âge adulte, il se définit comme agnostique[17] tout en déclarant : « Aujourd'hui, j'ai une réflexion permanente sur la nature de ma propre foi. Mon rapport à la spiritualité continue de nourrir ma pensée mais je n'en fais pas un élément de revendication[18]. »

Formation

De la sixième à la première, Emmanuel Macron est scolarisé au lycée La Providence, un établissement privé catholique d'Amiens fondé par la congrégation des jésuites. Il obtient une « mention régionale » au concours général de français en 1994, alors qu'il est élève en classe de première[19],[20],[21]. Il termine ses études secondaires au lycée Henri-IV, à Paris, où ses parents l'envoient pour l'éloigner de Brigitte Trogneux, sa professeur de théâtre avec laquelle il a une relation. Il réécrit avec elle la pièce de théâtre de l'auteur italien Eduardo De Filippo L'Art de la comédie[22],[23]. Il obtient le baccalauréat scientifique avec la mention « très bien » en 1995[24].

Admis en hypokhâgne et khâgne B/L au lycée Henri-IV, il échoue à deux reprises à l'écrit du concours d'entrée de l'École normale supérieure (ENS)[21],[25].

Il intègre l'Institut d'études politiques de Paris en 1998[26]. D'abord étudiant au sein de la section « Internationale », il se réoriente en troisième année au sein de la section « Service public ». Il sort diplômé de Sciences Po en 2001[27]. Il suit en parallèle un cursus en philosophie à l'université Paris-Nanterre et y obtient successivement une maîtrise en 2000 et un DEA en 2001[28] ; ses mémoires d'études sont dédiés à des penseurs politiques[27] : Machiavel[29] et Hegel[30].

De 1999 à 2001, il est assistant éditorial pour le livre La Mémoire, l'histoire, l'oubli du philosophe Paul Ricœur, qui recherchait un archiviste[25],[31],[32]. Il devient membre du comité de rédaction de la revue Esprit[33]. Certains observateurs mettront en avant l'influence de Paul Ricœur dans les modes de raisonnement d'Emmanuel Macron[34],[35].

Emmanuel Macron n'effectue pas son service national en raison de la poursuite de ses études supérieures, qui reportent sa date d'incorporation. Né en décembre 1977, il appartenait aux dernières classes d'âge encore soumises à l'obligation de la conscription. Celle-ci a, en effet, été suspendue en 1996 pour « tous les Français nés après le  ». Les derniers appelés (environ 4 380) ont quitté leur caserne en novembre 2001[36].

Il poursuit ses études à l'ENA à Strasbourg dans la promotion Léopold-Sédar-Senghor (2002-2004)[37] de laquelle il sort classé 5e[38]. Mais comme l'un des sujets de l'examen final avait déjà été abordé par certains élèves, le Conseil d'État annule le classement final de cette promotion, un recours[39] ayant été déposé par 75 élèves, dont Emmanuel Macron[40],[41]. Pour la première fois depuis la création de l'ENA, une promotion sort donc sans classement final[42], mais cette décision n'aura d'influence ni sur l'affectation d'Emmanuel Macron à l'Inspection des finances[43] ni sur les autres élèves de la promotion[40]. Il fait partie des étudiants militant pour le choix de Senghor comme nom de promotion[44]. À l'ENA, il effectue un stage de six mois à l'ambassade de France à Abuja au Nigeria[44],[45], puis un autre à la préfecture de l'Oise[46].

En 2007, il bénéficie du German Marshall Fund, qui lui permet de découvrir les États-Unis, pays où il effectuera par la suite un stage pour la banque Rothschild[47].

Des éléments de sa biographie publiés dans les médias font l'objet d'incertitudes et de contradictions[48]. Ainsi, Emmanuel Macron semble avoir entretenu pendant un certain temps l'ambiguïté sur son prétendu passage par l'École normale supérieure[49]. Par ailleurs, il indique avoir réalisé un mémoire sur l'intérêt général, en rapport avec la philosophie du droit de Hegel, sous la direction d'Étienne Balibar, mais ce dernier déclare ne pas avoir de souvenir ni de trace de cet épisode[50],[32], précisant : « Peut-être s'agit-il d'une censure inconsciente, je ne sais pas »[51]. Selon l'historien François Dosse, « dans la mesure où Balibar ne semble pas véritablement atteint par quelque pathologie mémorielle, un tel déni du réel relève bien chez lui d'une démarche volontaire de ne pas se retrouver lié au nom d'Emmanuel Macron »[52].

Vie privée

Emmanuel et Brigitte Macron en 2017.

Le , au Touquet, où il réside[53], Emmanuel Macron épouse Brigitte Trogneux[54],[55], avec pour témoins le professeur d'économie Marc Ferracci et l'homme d'affaires Henry Hermand[56],[57].

Brigitte Trogneux est une professeur de lettres classiques de vingt-quatre ans son aînée[58], qui a eu trois enfants d'une union précédente avec André-Louis Auzière (dont elle est séparée depuis 1994 et divorcée depuis 2006)[59]. Emmanuel Macron l'a rencontrée en 1993, au cours d'un atelier de théâtre qu'elle animait dans son lycée, alors qu'il était âgé de quatorze à quinze ans et en classe de seconde[60],[61],[62].

Il pratique le piano, qu'il a étudié pendant dix ans au conservatoire d'Amiens et dont il a obtenu un troisième prix[2],[63],[64], le ski[65] et le tennis[66]. Il a pratiqué la boxe française[31] et le football (il apprécie l'Olympique de Marseille) et suit le Tour de France cycliste[66].

En ce qui concerne ses goûts culturels, il apprécie beaucoup le film Les Tontons flingueurs ainsi que les écrivains André Gide — dont l'ouvrage Les Nourritures terrestres est présent dans son portrait officiel[67] —, Stendhal, Albert Camus, Arthur Rimbaud, René Char[68]. Ses chanteurs préférés sont Léo Ferré, Johnny Hallyday et Charles Aznavour[68]. Selon le sociologue Philippe Coulangeon, il y a chez Emmanuel Macron un « hyperconformisme mâtiné d’un peu de transgression et d’une certaine bienveillance à l’égard de la culture de masse »[69].

Carrière professionnelle

Inspecteur des finances

En 2004, à l'issue de ses études à l'ENA, il intègre le corps de l'Inspection générale des finances (IGF)[43],[70]. Emmanuel Macron devient l'un des protégés de Jean-Pierre Jouyet qui dirige alors l'IGF[71]. Il participe notamment à des missions sur la « valorisation de la recherche »[72],[73], la « fraude aux prélèvements obligatoires et son contrôle »[74] et « la répartition des prélèvements obligatoires entre générations et la question de l'équité intergénérationnelle »[75]. Alors qu'il est inspecteur des finances, Macron enseigne l'économie[76] durant l'été à la « prep'ENA » du groupe privé IPESUP[77],[78],[79]. Il enseigne également au sein de la classe préparatoires aux concours de la haute fonction publique de l'Institut d'études politiques de Paris, où il est chargé d'un cours de culture générale[76],[80].

Laurence Parisot lui propose en 2006, le poste de directeur général du Mouvement des entreprises de France (MEDEF), qu'elle préside, mais Emmanuel Macron décline l'offre, tout en restant en étroit contact avec celle-ci[81].

En août 2007, il est nommé rapporteur adjoint de la commission pour la libération de la croissance française (« commission Attali »)[82]. En mars 2010, il est nommé par décret membre de cette commission[83]. Il y rencontre notamment Peter Brabeck, alors PDG de Nestlé, contact qui lui a permis chez Rothschild & Cie de conseiller le rachat par Nestlé de la filiale de lait infantile de Pfizer en 2012[84].

Emmanuel Macron est co-rapporteur de la commission sur les professions du droit en 2008[85].

Il démissionne de l'Inspection des finances en 2016. En tant qu'énarque, il devait dix ans de services à l'État ; n'en ayant effectué que six (ses deux ans comme ministre n'étant pas comptés), il doit s'acquitter de la somme de 54 000 euros[86].

Banquier d'affaires

En septembre 2008, il se met en disponibilité de la fonction publique et devient banquier d'affaires chez Rothschild & Cie[87],[88]. Recruté par François Henrot sur recommandation de Jacques Attali, Serge Weinberg (président du conseil d'administration d'Accor) et Xavier Fontanet (PDG d'Essilor International), il indique que l'échec de son militantisme local dans le Pas-de-Calais, où il n'a pu obtenir une investiture socialiste, et l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, l'a poussé vers cette activité[31]. À cette époque, il a déjà pour ambition de devenir président de la République, mais, en s'engageant dans le privé, il suit les conseils d'Alain Minc, qui estime qu'il est préférable d'être fortuné pour faire de la politique[89]. L'un de ses premiers dossiers est le rachat de Cofidis, spécialiste du crédit à la consommation, par le Crédit mutuel[84].

En 2010, sous le mandat du président Nicolas Sarkozy, Emmanuel Macron offre son aide bénévole à la « Société des rédacteurs du Monde » (SRM), dans le contexte de la revente du journal Le Monde. Mais il est aussi en relation secrète avec Alain Minc, alors que celui-ci soutient une offre Perdriel-Prisa-Orange, et alors que cette offre paraissait à la SRM « particulièrement dangereuse »[90]. Découvert de manière rocambolesque par Adrien de Tricornot[91], il doit renoncer à ce double jeu[91],[92], révélateur de sa stratégie médiatique, selon les analyses de Laurent Mauduit et Julia Cagé, fin 2021 sur Off-investigation[91].

Il est promu, fin 2010, associé au sein de la banque, après avoir travaillé sur la recapitalisation du journal Le Monde et sur le rachat par Atos de Siemens IT Solutions and Services[93]. À l'âge de 33 ans seulement, Emmanuel Macron bat ainsi le record de jeunesse d'âge de Grégoire Chertok. Cette ascension rapide apparaît étonnante à certains commentateurs[89].

En , il conseille Philippe Tillous-Borde, le PDG de Sofiprotéol qui prend 41 % du capital de Lesieur Cristal[85].

La même année, il est nommé gérant et dirige l'une des plus grosses négociations de l'année, le rachat par Nestlé de la filiale « laits pour bébé » de Pfizer[84]. Cette transaction, évaluée à plus de neuf milliards d'euros, lui permet de devenir millionnaire[61],[88]. François Henrot dira de lui qu'« il aurait été, s'il était resté dans le métier, un des meilleurs en France, sans doute même en Europe »[87]. L'expression « Mozart de la finance », parfois utilisée, est cependant critiquée par certains observateurs[84]. La journaliste Martine Orange, auteur de Rothschild, une banque au pouvoir, indique qu'Emmanuel Macron avait été recruté pour son carnet d'adresses[89].

Entre , date de sa nomination comme associé-gérant, et , celle de son arrivée à l'Élysée comme secrétaire général adjoint, Emmanuel Macron indique avoir gagné 2 millions d'euros brut[94]. Selon ses déclarations de revenus et de patrimoine faites à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, il a gagné plus de 2,5 millions d'euros bruts entre 2009 et 2013.

Parcours politique

Débuts (1990-2012)

Militantisme au MDC

À la fin des années 1990, pendant près de deux ans, il milite au Mouvement des citoyens (MDC) de Jean-Pierre Chevènement[94],[95], sans pour autant que son adhésion à ce parti soit établie[95]. Alors à Sciences Po, il effectue un stage au cabinet de Georges Sarre, maire du 11e arrondissement de Paris et proche de Chevènement[96]. Il participe à la campagne de celui-ci pour les élections municipales de 2001 à Paris[97] et vote pour Jean-Pierre Chevènement au premier tour de l'élection présidentielle de 2002[95]. Il explique : « Autant la deuxième gauche m'a inspiré sur le social, autant je considère que son rapport à l'État reste très complexé. Je me suis toujours interrogé sur le rôle de l'État, et c'est pour cette raison que je me tourne, plus jeune, vers Jean-Pierre Chevènement »[95]. À la suite du , il considère que l'échec de Lionel Jospin et du Parti socialiste (PS) s'explique notamment par l'incapacité de la gauche à tenir un discours de fermeté sur les questions de sécurité[95].

Engagement au sein du Parti socialiste

Membre du PS à partir de 2006, il est à jour de cotisation jusqu'en 2009[61],[98],[99],[f], il collabore également, à partir de 2006, avec la fondation Jean-Jaurès[98], qui en est proche. Par l'intermédiaire de Jean-Pierre Jouyet, il rencontre en 2006 François Hollande, auprès duquel il s'engage à partir de 2010[61]. Lors de l'élection présidentielle de 2007, il fait partie du groupe les Gracques, composé d'anciens patrons et de hauts fonctionnaires, qui appelle à une alliance entre Ségolène Royal et François Bayrou[100],[101]. D'après Anne Fulda, « il dit [en 2016] ne pas se souvenir pour qui il a voté au premier tour mais a déposé un bulletin Ségolène Royal dans l'urne au second »[102].

En vue des élections législatives de 2007, il essaie d'obtenir du PS une investiture en Picardie[103]. Mais les adhérents socialistes de Picardie s'opposent à sa candidature[103]. Cet échec, associé à la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle de 2007, l'encourage à donner un nouveau tournant à sa carrière[103]. Alors qu'il est soutenu par une association locale et par l'opposition municipale de droite du Touquet-Paris-Plage[104], il renonce à se présenter aux élections municipales de 2008[105]. Il indique avoir « décliné une offre au cabinet Woerth en 2007 » car « cela n'était pas conforme à [ses] opinions »[106]. En 2010, il décline la proposition, portée par Antoine Gosset-Grainville et validée par le palais de l'Élysée, de devenir le directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, François Fillon[107].

Il soutient François Hollande lors de la primaire présidentielle socialiste de 2011[4] avant l'affaire du Sofitel, alors que Dominique Strauss-Kahn est en tête des sondages[108]. De juillet à décembre 2011, il anime un cénacle d'experts et d'économistes, le « groupe de la Rotonde », composé des économistes Philippe Aghion, Gilbert Cette et Élie Cohen, qui fait un rapport tous les quinze jours à François Hollande, qui gagne la primaire présidentielle[31],[109]. Ce groupe prône « un véritable choc de compétitivité », idée que Michel Sapin, chargé du projet présidentiel, ne retient pas[56].

Premières responsabilités (2012-2016)

Secrétaire général adjoint de l'Élysée

Élection de François Hollande et nomination
Emmanuel Macron (assis à l'extrême gauche) et François Hollande au sommet du G20 au Mexique, le , avec Angela Merkel, Mario Monti, David Cameron, Herman Van Rompuy, Barack Obama et José Manuel Durão Barroso.

François Hollande remporte l'élection présidentielle. Le , après avoir réintégré la fonction publique, Emmanuel Macron devient secrétaire général adjoint de l'Élysée, en tandem avec Nicolas Revel[110],[111]. Il seconde le nouveau secrétaire général, Pierre-René Lemas. Sa nomination à ce poste est suggérée à François Hollande par François Rebsamen, qui rapporte une requête formulée par plusieurs patrons, dont Bernard Attali, Gérard Mestrallet, Jean-Pierre Clamadieu, Jean-Pierre Rodier et Serge Weinberg[112],[113].

Nicolas Prissette indique : « Dès les premières semaines du quinquennat, le secrétaire général adjoint de 34 ans retient l'attention du microcosme : jeune, sémillant, atypique, pas très à gauche. Les journaux lui consacrent des articles. On s'intéresse davantage à ce personnage qu'au secrétaire général Pierre-René Lemas, qui occupe pourtant le poste clé parmi tous les autres, au cœur du pouvoir »[114].

L'été 2012, l'ancienne cellule économique de l'Élysée, dont Macron est devenu le plus haut gradé, étudie un passage temporaire aux 37 heures, jusqu'à la fin 2014, avec un bilan prévu pour voir si les Français peuvent repasser aux 35 heures, étudie une concentration des hausses d'impôts sur les plus hauts revenus, ainsi que le maintien de la défiscalisation des heures supplémentaires. Ces propositions sont déclinées par François Hollande[115].

Emmanuel Macron est notamment l'un des artisans[116],[117], voire à l'origine[118] du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi et du pacte de responsabilité et de solidarité[119]. Concernant ce dernier, il s'oppose à Nicolas Revel, chargé des questions sociales, sur l'opportunité d'inscrire le projet dans le collectif budgétaire voté avant l'été 2014[120]. La presse fait également état de dissensions avec Philippe Léglise-Costa, conseiller de François Hollande chargé des questions européennes, ce que ce dernier dément régulièrement[121] ; la revue Contexte indique notamment qu'en 2013, il perd un conflit avec celui-ci alors qu'il plaide « pour une stratégie coup-de-poing face à la Commission européenne, qui réclame à cor et à cri le respect des 3 % »[122]. Il contribue par ailleurs au choix de l'Élysée de ne pas légiférer sur les salaires des patrons et de privilégier un code de bonne conduite[123]. Il confie avoir songé à quitter son poste à l'automne 2013, estimant que la réforme des retraites présentée par l'exécutif n'était « pas à la hauteur »[100]. Il apparaît dans la liste des invités à la réunion du groupe Bilderberg de 2014[124] en sa qualité de secrétaire général adjoint de la présidence de la République.

Une candidature lui est proposée dans sa ville natale d'Amiens lors des élections municipales de 2014, mais il refuse l'offre[40]. Alors que Manuel Valls propose à François Hollande, à l'issue de ces élections, de lui confier le ministère du Budget dans son premier gouvernement, le président de la République écarte cette idée en raison de son absence de mandat électoral[56],[125],[40],[120].

Démission et projets professionnels

Le , l'Élysée annonce qu'il quitte le cabinet de François Hollande et que Laurence Boone reprend les dossiers économiques et financiers. Son titre et rang protocolaire de secrétaire général adjoint de l'Élysée ne sont en revanche pas conférés à celle-ci, qui ne reprend que le titre de chef du pôle économie et finance[126],[127]. Les observateurs expliquent son départ par ses déceptions de ne pas entrer dans le premier gouvernement de Manuel Valls et de ne pas obtenir gain de cause sur l'approfondissement des réformes engagées par le gouvernement[120], ou encore par l'arrivée comme secrétaire général de Jean-Pierre Jouyet, plus au fait des questions économiques, financières et européennes que son prédécesseur Pierre-René Lemas[125],[51]. Alors qu'il espérait récupérer le poste de secrétaire général, il est également déçu de la décision de François Hollande de nommer ce dernier à la tête de la Caisse des dépôts et consignations[51].

Jouyet indique qu'Emmanuel Macron quitte le cabinet de la présidence « pour mener des projets personnels dans les domaines de l'enseignement et de la recherche »[128]. Il cherche, selon les sources, soit à créer une société de conseil financier[129],[51], soit un système multidisciplinaire pour évaluer les élèves[130], soit un fonds d'investissement pour des projets innovants dans le domaine de l'éducation[51], soit aller dans la Silicon Valley monter une entreprise d'enseignement sur internet[131]. Il obtient un poste universitaire à l'université de Berlin au début de l'été 2014 et, avec l'aide d'Alain Minc, le titre de Senior Research fellow en économie politique à la London School of Economics pour y devenir maître de conférences en policy-mix européen ; il se rend une fois par semaine à Londres et Berlin donner des cours[132]. Il cherche également, par l'intermédiaire de Philippe Aghion, à obtenir un poste à l'université Harvard[51],[56]. Après avoir visité des start-up en Californie avec Xavier Niel[47], il s'installe quelques semaines dans les locaux de BDGS, le cabinet d'Antoine Gosset-Grainville, dont il est proche et qui affirmera plus tard : « À l’époque, il essayait de monter une start-up dans le conseil stratégique. Il nous a demandé de l’accompagner sur les aspects juridiques »[133].

Ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique

Emmanuel Macron lors de la passation de pouvoir au ministère de l'Économie.

Le , il est nommé ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique dans le gouvernement Valls II en remplacement d'Arnaud Montebourg[134], dont il conserve la moitié du cabinet[130]. Plusieurs personnalités ont été envisagées avant lui : Bertrand Delanoë, Louis Gallois, Gérard Collomb ou encore Pascal Lamy ; il est suggéré par Jean-Pierre Jouyet[51]. Alors inconnu du grand public[135],[136], il devient le plus jeune ministre de l'Économie depuis Valéry Giscard d'Estaing dans le premier gouvernement de Georges Pompidou en 1962[137]. Il est qualifié par certains médias et acteurs politiques d'« anti-Montebourg »[138] et de « symbole » d'un virage social-libéral de l'exécutif[139],[140],[141]. La passation de pouvoir entre les ministres a lieu le au ministère de Bercy[142]. Il a pour directeur de cabinet Alexis Kohler, qui fut directeur de cabinet adjoint de Pierre Moscovici de juin 2012 à mars 2014, quand celui-ci était ministre de l'Économie et des Finances[143]. Plusieurs de ses lieutenants sont issus des réseaux de Dominique Strauss-Kahn, dont Cédric O, Benjamin Griveaux et Stanislas Guerini[144].

Loi Macron

Prenant la suite du projet de « loi sur la croissance et le pouvoir d'achat » porté par Arnaud Montebourg, qui se donnait pour objectif de « restituer six milliards d'euros de pouvoir d'achat » aux Français[145], il présente au mois de décembre 2014 au Conseil des ministres, le projet de loi pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques, aussi appelé « loi Macron », qui a pour objectif de « déverrouiller l'économie française » en modifiant notamment la réglementation concernant le travail le dimanche, les professions réglementées, les transports et le permis de conduire, l'ouverture du marché autocar[146] et la vie des entreprises et des salariés. Par peur de ne pas trouver de majorité sur ce texte, le gouvernement Valls II décide de ne pas faire voter cette réforme auprès des parlementaires et d'utiliser l'article 49 alinéa 3 de la Constitution, pour la faire adopter[147]. Après son adoption le et une saisine du Conseil constitutionnel par l'opposition[148], la loi est promulguée le [149]. Pour son biographe Marc Endeweld, « c'est bien à l'Assemblée nationale [à l'occasion de l'examen du projet de loi] que le banquier de chez Rothschild s'est mué en véritable homme politique, essayant de convaincre jusqu'à ses détracteurs »[150].

L'OCDE estime que les mesures d'Emmanuel Macron généreront une hausse du PIB « de 0,3 % à un horizon de cinq ans et de 0,4 % à un horizon de 10 ans »[151]. À l'été 2016, Ludovic Subran, chef économiste de l'assureur Euler Hermes, estime à seulement un « demi-dixième de point » (soit 0,05 %) l'apport de la loi Macron à la croissance de la France[152]. Elle a pour mesure phare la libéralisation du marché des autocars longue distance, dits « autocars Macron »[153],[154].

Emmanuel Macron défend également certains articles du projet de loi relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique, dite « Sapin 2 », notamment sur le statut des autoentrepreneurs ou le seuil de qualification pour accéder à certains métiers. Face à l'opposition qui se manifeste à l'Assemblée, il doit accepter de nombreuses concessions et mobiliser ses partisans[155].

Dossiers industriels

En avril 2015, Emmanuel Macron fait passer la part de l'État dans le capital de Renault de 15 % à près de 20 %, sans en avertir le PDG, Carlos Ghosn. Il impose ensuite l'application de la nouvelle loi Florange qui permet de donner un droit de vote double aux actionnaires « historiques », ce qui confère à l'État la minorité de blocage. Devant les remontrances de Nissan qui s'inquiète de cette progression au capital, l'État s'accorde à limiter sa puissance au sein de Renault et s'interdit d'agir chez Nissan[156]. En mai 2016, Emmanuel Macron appelle Carlos Ghosn à revoir sa rémunération de 2015 à la baisse en menaçant de « légiférer »[157]. Cet épisode dégradera durablement le climat de confiance au sein de l'alliance Renault-Nissan[158].

En 2015, Emmanuel Macron autorise la privatisation partielle de 49 % du capital de l'aéroport de Toulouse-Blagnac à des acquéreurs privés étrangers. Le bilan de cette cession est sévèrement critiqué par la Cour des comptes dans un rapport publié en novembre 2018. En avril 2019, la cour administrative d'appel estime que la procédure de cession a été irrégulière[159].

Les salariés licenciés de l'usine Ecopla en Isère, cédée à un groupe italien, lui reprochent son inaction, tandis que le député Pierre Ribeaud déplore « une absence de prise de conscience » de sa part[160]. Interrogé sur ce sujet, Emmanuel Macron reconnaît « des échecs » et « des limites à l'action publique » : « le rôle des responsables politiques, ce n'est pas de démontrer en toutes circonstances des capacités, des protections que parfois ils n'ont plus »[160].

Selon l'enquête Uber Files menée par un consortium de médias, les communications internes de la start-up Uber montrent qu'elle a déployé entre 2014 et 2016 une activité intense et en grande partie secrète de lobbying pour faire évoluer favorablement la réglementation et la législation en sa faveur. Emmanuel Macron est en relation directe avec le PDG Travis Kalanick et les lobbyistes de Uber, qu'il rencontre à de nombreuses reprises et en secret, et intervient à la grande satisfaction de la start-up[g] en court-circuitant les décisions de ses collègues du gouvernement et des députés socialistes[161],[162]. En 2017, le lobbyiste qui avait quitté l'entreprise était devenu conseiller senior de son conseil d’administration quand il prend part à la campagne d'Emmanuel Macron et à la création de LREM avec d'autres personnes impliquées dans les discussions avec Uber : Astrid Panosyan-Bouvet (cofondatrice de LREM), Julie Bonamy (ancienne spécialiste du numérique de LREM) ou Fabrice Comptour (considéré par Uber comme l'un de ses meilleurs soutiens au sein de l'exécutif européen)[163].

Selon une enquête de Médiapart, un lobbyiste d'Amazon a participé à des groupes de travail pour préparer la campagne d'Emmanuel Macron[164].

Emmanuel Macron en juillet 2015 lors d'un sommet franco-chinois.

En novembre 2014, Emmanuel Macron autorise l'achat de la branche énergie d'Alstom par l'entreprise américaine General Electric (GE). Plus tôt, l'entreprise avait promis au gouvernement de créer environ un millier d'emplois en France, d'ici fin 2018[165],[166].

Dès janvier 2016, le groupe annonce pourtant la suppression de 765 emplois en France, au siège de Levallois et dans les activités réseaux électriques[167]. Lorsque fin août 2016, GE annonce la fermeture du site d'Alstom à Belfort, Emmanuel Macron commence à s'attirer des critiques, y compris de la part de l'Élysée, de son prédécesseur Arnaud Montebourg et de Michel Sapin, son successeur et ancien collègue à Bercy, qui déclare qu'il « avait levé le pied depuis un an »[168],[169],[160]. Emmanuel Macron quant à lui condamne la décision d'Alstom de fermer le site, affirmant que la question d'une fermeture à Belfort n'avait jamais fait partie des discussions de 2015 entre Alstom et le Gouvernement et qu'il a agi sur le dossier en 2015 pour « éviter un plan social et des licenciements »[170]. Mediapart souligne qu'à Bercy, Emmanuel Macron s'est « privé de plusieurs moyens d'influencer les décisions stratégiques du groupe Alstom, surtout lors du rachat par le groupe américain General Electric de ses activités énergie — il a notamment refusé de se servir d'un décret, adopté en mai 2014, permettant à l'État de s'opposer à une prise de contrôle d'une entreprise française par un groupe étranger. Il a également donné à General Electric un avantage décisif dans les coentreprises détenues par les deux groupes »[160].

En 2016, Emmanuel Macron met en cause « une surcapacité du secteur ferroviaire français » et affirme que l'idée de sauver Alstom « uniquement par la commande publique, c'est une fausse piste sur le moyen et long terme »[171].

General Electric annonce en octobre 2017 la suppression de 350 postes à Grenoble, en juin 2018 un renoncement définitif à sa promesse de création de 1000 postes[166] et en mai 2019 la suppression de 1 050 emplois en France[165]. La gestion du dossier par Emmanuel Macron est alors régulièrement l'objet de critiques[172], reliant notamment l'affaire Alstom avec la désindustrialisation de la France et un déficit de stratégie à long terme[173],[174],[175],[176]. Emmanuel Macron est accusé par le député Pierre Lellouche d'avoir « présidé » la destruction d'un fleuron de l'industrie française en tant que secrétaire général adjoint de l'Élysée puis ministre de l'économie. Emmanuel Macron affirme cependant n'avoir appris le projet de vente à General Electric qu'en avril 2014 lors d'une fuite dans la presse[177],[178],[179], et il déclare le lors d'une audition à l'Assemblée nationale : « Le gouvernement a été mis devant le fait accompli. Les entreprises discutaient depuis plusieurs mois dans le plus grand secret. […] Le gouvernement s'est trouvé face à un projet totalement ficelé »[177],[180],[179]. En 2019, Alain Marleix, député LR et ancien président de la commission d'enquête parlementaire sur les décisions de politique industrielle de l'État, saisit le parquet de Paris en mettant en cause Emmanuel Macron[181]. En 2022, Emmanuel Macron soutient le rachat par EDF à General Electric des anciennes activités nucléaires d'Alstom, dont la turbine Arabelle, composant essentiel des centrales nucléaires et considérée comme un « joyau » technologique français[172],[182],[183].

Visibilité médiatique

Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion de l'Ifop, relève qu'« en quelques mois à peine, d' à , la proportion de Français qui ne le connaissent pas passe de 47 % à 18 %. Gagner trente points de notoriété en quelques mois, c'est tout à fait exceptionnel »[184]. Il organise son premier meeting en mars 2015, dans le Val-de-Marne[185].

Tout en donnant l'apparence de la loyauté envers le président de la République, il prend régulièrement ses distances avec celui-ci à partir de son entretien à l'hebdomadaire Le 1 du [186]. En avril 2015, Le Monde estime qu'à travers ses prises de parole, Emmanuel Macron « assume désormais son social-libéralisme en pleine lumière, même si son cabinet réfute tout changement d'attitude ou de discours »[187]. Fin 2015, il hésite à quitter le gouvernement en raison du projet de réforme sur la déchéance de la nationalité, avec lequel il exprime son désaccord ; il y renonce car celui-ci « ne fait pas partie de [son] périmètre ministériel »[188].

En janvier 2016, il dépose à l'Élysée et à Matignon un projet de loi, dit « Macron 2 » ou « nouvelles opportunités économiques » (NOÉ), qui est annulé par un arbitrage de l'exécutif[189],[152],[190]. Manuel Valls s'oppose tout particulièrement à ce qu'il présente ce nouveau projet de loi, dont le contenu est confié à d'autres ministères[189]. En février 2016, dans le cadre d'une réunion au palais de l'Élysée visant à arbitrer le contenu du projet de loi El Khomri, il accepte de s'effacer au profit de la ministre du Travail, à condition que le projet de loi comprenne deux dispositions qu'il avait prévu d'inclure dans le sien : la réécriture du licenciement économique et le plafonnement des indemnités prud'homales. Si Myriam El Khomri proteste et obtient alors gain de cause selon plusieurs témoignages, ces mesures sont finalement intégrées peu après dans le texte[190],[189]. Selon son conseiller en communication Gaspard Gantzer, qui lui fait cette proposition, François Hollande envisage de le nommer Premier ministre en février 2016[191],[192]. Dans Les Leçons du pouvoir, François Hollande indique à ce sujet : « J’écarte d’emblée ce scénario, non par défiance envers lui mais parce que j’estime que Manuel Valls remplit loyalement son rôle et que je ne dois pas bouleverser l’équipe qui avait tenu le choc du terrorisme »[192]. Au contraire, il est rétrogradé dans l'ordre protocolaire du gouvernement à l'occasion du remaniement réduit de février 2016, à l'initiative de Manuel Valls[193],[194]. Alors que Manuel Valls entre en situation de concurrence directe avec lui dès la fin de l'année 2015, les deux hommes occupant un espace politique similaire, un sondage Odoxa teste pour la première fois les intentions de vote en sa faveur pour l'élection présidentielle en janvier 2016[186].

Le 6 avril 2016, à Amiens, il fonde le parti En marche (qui reprend ses propres initiales, « E.M. »), qu'il veut « transpartisan » et qu'il définit comme étant à la fois de droite et de gauche[195],[196]. Avec cette initiative, il assume pour la première fois son ambition de se présenter à une élection présidentielle[197]. Plusieurs députés lui apportent alors leur soutien[198]. Il est alors entouré d'anciens collaborateurs et soutiens de Dominique Strauss-Kahn, qui trouvent en lui « un honorable produit de substitution » et le suivront sous sa présidence[199]. Ce lancement s'accompagne de tensions avec François Hollande sur la question de la loyauté d'Emmanuel Macron à son égard[196], et d'une dégradation de ses relations avec le Premier ministre Manuel Valls[200]. Emmanuel Macron entretient également de mauvais rapports avec Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics[56],[130],[201], mais aussi avec les secrétaires d'État Axelle Lemaire (numérique), dont il a la tutelle, et Christian Eckert (budget)[202]. Bénéficiant alors d'une très bonne image dans l'opinion, il voit celle-ci se dégrader en juin 2016, après une altercation filmée avec des syndicalistes et une polémique autour de son paiement de l'impôt sur la fortune (ISF)[203],[204]. Plusieurs journaux (L'Express, Les Échos, Le 1, L'Opinion) soutiennent plus ou moins ouvertement son action[57].

Le 8 mai 2016, il est invité par le maire d'Orléans, Olivier Carré, à présider les fêtes johanniques, organisées chaque année pour célébrer la libération de la ville par Jeanne d'Arc[205]. Dans son discours, il établit un parallèle implicite entre la vie de Jeanne d'Arc et sa propre trajectoire[206],[207]. En août 2016, il devient le premier ministre d'un gouvernement socialiste à se rendre au Puy du Fou, où il déclare qu'il n'est « pas socialiste »[208].

Démission

Son départ du gouvernement de Manuel Valls est évoqué à plusieurs reprises par la presse à partir de l'été 2015[209]. Il aurait envisagé de démissionner en janvier 2016, après l'annulation de son nouveau projet de loi, puis après le meeting qu'il organise le , au lendemain duquel Manuel Valls demande son renvoi à François Hollande[189],[210]. Lors de son entretien du , François Hollande déclare qu'Emmanuel Macron est tenu à la « solidarité » gouvernementale et à la nécessité de « servir jusqu'au bout » sans « démarche personnelle et encore moins présidentielle »[209]. Le , il démissionne de ses fonctions de ministre pour se consacrer à En marche[211],[212]. Il est remplacé par Michel Sapin[213]. François Hollande confie alors qu'Emmanuel Macron l'a « trahi avec méthode »[214]. Quelques jours plus tard, Emmanuel Macron déplore le fait que le gouvernement ait « fait beaucoup de choses à moitié », contrairement à ce qu'il préconisait[215]. D'après un sondage de l'Ifop, 84 % des Français approuvent alors le choix d'Emmanuel Macron de quitter ses fonctions ministérielles[216].

Selon Les Décodeurs du Monde, le résultat des réformes lancées par Emmanuel Macron pour « libérer la croissance » est difficilement perceptible[h],[152]. Le produit intérieur brut (PIB) a ainsi « connu des variations irrégulières », avec du « mieux » — 0,6 % de croissance au premier trimestre 2015 et 0,8 % de croissance au premier trimestre 2016 — et du « moins bon » — 0 % de croissance aux deuxièmes trimestres des années 2015 et 2016[152]. Par ailleurs, le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A est passé de 3,41 millions lors de sa prise de fonction à 3,51 millions lors de son départ du gouvernement[152].

Élection présidentielle de 2017

En , Emmanuel Macron fait part de sa volonté de se présenter à l'élection présidentielle[217],[218],[219] et commence à organiser des meetings[220],[221],[222],[223],[224],[225]. En novembre, il annonce officiellement sa candidature puis publie son livre-programme, Révolution[226],[227].

Le , au terme d'une campagne active, onéreuse[228],[229],[230],[231], particulièrement médiatisée[232],[233] et tourmentée par une fuite de documents[234],[235],[236], Macron arrive en tête du premier tour de l'élection avec 24,01 % des voix[237], puis bat Marine Le Pen au second tour deux semaines plus tard avec 66,1 % des voix[238].

Président de la République (depuis 2017)

Emmanuel Macron en mai 2017.

Premier mandat (2017-2022)

Investiture et débuts

Le 14 mai 2017, Emmanuel Macron est investi président de la République française[239]. Il est le 8e président de la Cinquième République et le 25e président de la République française. Lors de son entrée en fonction, il est, à 39 ans, le plus jeune président français de l'histoire[i], le plus jeune dirigeant du G20 et le plus jeune chef d'État élu démocratiquement, exception faite du micro-État de Saint-Marin[j].

Il confie la fonction de Premier ministre à Édouard Philippe, maire du Havre et membre des Républicains (LR)[242]. Celui-ci forme un gouvernement comprenant des personnalités de gauche, de droite, du MoDem et des indépendants, présentés comme des membres de la « société civile »[243].

Emmanuel Macron ayant déclaré en octobre 2016 que la France a besoin d'un chef de l'État « jupitérien »[244] sur le modèle de Charles de Gaulle et François Mitterrand (par opposition au « président normal » que François Hollande entendait incarner), les médias reprennent largement cette métaphore — en le qualifiant de président jupitérien, voire en le surnommant « Jupiter » —[245] pour évoquer le début de sa présidence et les symboles auxquels il recourt (marche vers la pyramide du Louvre le soir de son élection, remontée des Champs-Élysées en véhicule militaire, tentative de sélectionner la presse accréditée pour les voyages officiels, invitation de Vladimir Poutine à Versailles[246]). Le chercheur Alexandre Eyries estime qu'Emmanuel Macron « affiche un retour aux sources de la Ve avec un pouvoir exécutif absolu »[247],[248].

Le début du quinquennat d'Emmanuel Macron est marqué par l'affaire Richard Ferrand, du nom du ministre de la Cohésion des territoires, accusé de conflits d'intérêts, et par des accusations d'emplois fictifs visant le MoDem, parti de François Bayrou, tout juste nommé ministre de la Justice[249]. Ces révélations interviennent en pleine préparation d'une loi sur la « moralisation » de la vie politique portée par François Bayrou[250]. Sous le feu des critiques, celui-ci, Sylvie Goulard et Marielle de Sarnez ne sont pas reconduits lors de la formation du second gouvernement Philippe, à la suite des élections législatives[251],[252].

Mesures économiques
Emmanuel Macron en 2017.

Au début de sa présidence, il fait principalement voter des réformes en matière fiscale et en droit du travail[253]. Le quotidien Le Monde indique que si Emmanuel Macron souhaitait à la fois « libérer » l'économie et « protéger » les Français, le premier objectif a « pris le pas » sur le second[254].

Il fait également sortir les valeurs mobilières et les placements (actions, assurance-vie…) de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), qu'il remplace par l'impôt sur la fortune immobilière (IFI), au périmètre plus limité[255]. Cette mesure, qui coûte 3,2 milliards d'euros au budget français alors qu'elle profite à seulement 300 000 personnes, contribue à sa perception dans l'opinion comme le « président des riches »[256]. Il annonce également la suppression de la taxe visant les Français transférant leur domicile fiscal hors de France (exit tax)[257]. D'après une étude réalisée en 2018 par l'OFCE, les mesures économiques d'Emmanuel Macron auront un effet quasi-nul sur le pouvoir d'achat des classes moyennes et les ménages les plus pauvres verront leur niveau de vie se réduire, alors que les 2 % des Français les plus aisés gagneront 42 % de l'augmentation attendue par l'exécutif[258],[259].

Dans son rapport publié en décembre 2020, le comité d’évaluation des réformes de la fiscalité du Sénat indique que les réformes du début du quinquennat sur la fiscalité du capital « ont eu comme corollaire un enrichissement très marqué des 0,1 % les plus fortunés ». Les dividendes ont augmenté de 60 % en 2018, et cette tendance à la hausse se poursuit en 2019. La fortune des 0,1 % de Français les plus riches s'est ainsi accrue de 25 % entre 2017 et 2019[260].

La Cour des comptes fait part de son scepticisme sur la politique budgétaire menée par l'exécutif, qui suscite en outre l'hostilité d'une majorité de la population[261],[262],[263],[264],[265]. En 2019, le Fonds monétaire international (FMI) exprime son inquiétude sur le mécontentement social et sur le niveau d'endettement de la France (98 % du PIB), indiquant que « la dette française a augmenté au cours des dernières années et [que] le pays dispose de peu de marge de manœuvre en cas de crise »[266],[267]. Cependant, le déficit de 2017 à 2019 se maintient sous les 3 % du PIB, avant une brusque dégradation avec la pandémie de Covid-19[268]. En tout, durant son premier mandat, le poids de la dette publique s’accroit de 600 milliards d’euros en cinq ans pour atteindre 2 950 milliards, soit 44 000 euros par Français. L’endettement de l’État franchit la barre symbolique des 100 % du PIB[269],[270].

Selon les chiffres officiels, le chômage au sens du BIT a baissé jusqu’à 7,8 % de la population active (hors Mayotte) au premier trimestre 2020, soit son niveau le plus bas depuis la crise économique de 2008[271]. Emmanuel Macron voit dans cette baisse « l’efficacité des politiques conduites » notamment pour « réduire la peur d'embaucher » (« flexi-sécurité », réforme de l'assurance-chômage, « investissement dans les compétences » ou développement de l’apprentissage et l’alternance)[272]. Cependant, des commentateurs avancent un simple reflet de conjoncture mondiale, ou l’effet des mesures prises par son prédécesseur François Hollande[273]. Enfin, certaines théories, parfois soutenues par des opposants politiques, prétendent que cette baisse est due à des chiffres manipulés, ou à une hausse des radiations, ce que dément l’INSEE[274]. Pendant la crise du Covid-19, le taux de chômage remonte légèrement[271].

En dépit d’une baisse moins marquée que sur la période précédente, le déclin industriel de la France se poursuit avec la perte de 16 000 emplois salariés entre début 2017 et fin septembre 2021[275]. Pour le quotidien conservateur The Daily Telegraph, « gonflé par ses politiques fiscales confiscatoires et malgré ses politiques commerciales protectionnistes, l'État français n'a pas réussi à empêcher la descente de ses régions industrielles vers un déclin terminal. »[276].

Réformes de l'Éducation nationale

En matière d'éducation, Emmanuel Macron met en place un programme prévoyant des classes de CP à douze élèves dans les écoles défavorisées[k],[277],[278], fait voter l'interdiction des téléphones portables dans les écoles et les collèges[279],[280], ainsi qu'une nouvelle formule du baccalauréat, qui doit comprendre une part de contrôle continu à partir de 2021[281],[282], malgré l'opposition du Conseil supérieur de l'éducation du [283]. Après le grand débat national, il annonce qu'aucune nouvelle fermeture d'école n'aura lieu pendant son quinquennat sans l'accord des maires[284],[285].

Politique d'administration de la justice

Sa présidence est marquée par plusieurs polémiques sur l'indépendance de la justice. Il propose, dans un discours prononcé devant le Conseil constitutionnel le , une réforme de la justice[286]. En novembre 2018, des magistrats dénoncent une « reprise en main politique du ministère public » avec son choix de nommer Rémy Heitz comme procureur de Paris, contre les candidats retenus par la ministre de la Justice Nicole Belloubet[287],[288]. Sa décision de suspendre le volet sur l'indépendance du parquet de la révision constitutionnelle ainsi que les perquisitions médiatisées au siège de La France insoumise interrogent l'opposition[289]. En octobre 2019, il est interpellé après la diffusion d'une note confidentielle du ministère de la Justice envisageant de maintenir ou supprimer des postes de juges d'instruction en fonction des résultats allant être obtenus par La République en marche aux élections municipales de 2020[289],[290].

En juin 2021, il lance des « États généraux de la justice ». Ceux-ci sont secoués par l'affaire Éric Dupond-Moretti, du nom du ministre de la Justice, mis en examen en juillet 2021 pour « prise illégale d’intérêts » par la Cour de justice de la République, une situation inédite dans l’histoire de France pour un garde des Sceaux en fonction[291].

Élections intermédiaires

Les élections sénatoriales de 2017 constituent la première défaite électorale d'Emmanuel Macron[292]. Initialement, La République en marche espérait doubler son nombre de sénateurs, mais ses espérances sont progressivement revues à la baisse, notamment en raison de l'annonce par le gouvernement de coupes budgétaires aux collectivités territoriales[293]. Le scrutin, auquel participent essentiellement des grands électeurs élus lors des municipales de 2014, est un sévère échec pour le parti présidentiel, qui ne parvient pas à remporter de sièges supplémentaires[294],[295]. Ce résultat complique le projet de réforme constitutionnelle d'Emmanuel Macron, car, pour réviser la Constitution, il faut que les deux chambres approuvent le même texte, et que le projet soit appuyé par une majorité de trois cinquièmes des parlementaires (députés et sénateurs)[296].

Aux élections européennes de 2019 — dans la campagne desquelles Emmanuel Macron s'implique fortement[297] —, la liste de la majorité présidentielle arrive en deuxième position avec 22 % des voix, un point derrière celle du Rassemblement national, mais parvient à rallier une part significative de l’électorat Les Républicains[298]. Lors des élections municipales de 2020, la majorité ne remporte aucune métropole : à Paris, pourtant longtemps jugée gagnable, Agnès Buzyn n’arrive qu’en troisième position, tandis que dans d’autres grandes communes les candidats LREM perdent en dépit de nombreuses alliances avec la droite, notamment face à Europe Écologie Les Verts[299],[300]. Cet échec de l’implantation territoriale du parti présidentiel se poursuit à l’occasion des élections régionales et départementales de 2021, LREM et ses alliés n’obtenant aucune région et ne jouant pas de rôle décisif au second tour[301].

Crise sociale des Gilets jaunes
« Acte III » des Gilets jaunes manifestant contre la politique de l'exécutif (Belfort, ).

À partir de novembre 2018, il est au centre de la contestation des Gilets jaunes, qui commence de façon spontanée après l'annonce par l'exécutif d'une augmentation des taxes sur le prix des carburants au [302],[303]. Alors que le mouvement fait de nombreux blessés, Emmanuel Macron revient sur la hausse des taxes et annonce notamment l'augmentation du SMIC de 100 euros par mois en 2019[304],[305]. Il lance en décembre un grand débat national et publie le mois suivant une Lettre aux Français[306]. Le , à la suite de ce débat — critiqué par l’opposition pour son manque de représentativité supposé, sa longueur et sa proximité avec les élections européennes —, il annonce son intention de réformer le référendum d'initiative partagée, d'intégrer des citoyens tirés au sort au Conseil économique social et environnemental, de réorganiser l'administration publique, de créer un Conseil de défense écologique, d'augmenter la durée du travail et de réduire l'impôt sur le revenu[307],[308]. Environ trois millions de Français auraient pris part à au moins une manifestation du mouvement des Gilets jaunes[309].

Projet contesté de réforme des retraites

Lors de la campagne présidentielle de 2017, la réforme des retraites est l’un des sujets du programme d’Emmanuel Macron[310], qui souhaite réformer le système par répartition en place. Lancé à la fin de l’année 2019, le projet de réforme fait face à un important mouvement social et se voit repoussé sine die en mars 2020 du fait de la pandémie de Covid-19[311]. En juillet 2021, Emmanuel Macron annonce qu'il souhaite que la réforme puisse garantir un minimum de 1 000 euros par mois, tout en prenant en compte la difficulté des métiers, mais aussi qu’il faut allonger le temps de travail « parce que nous vivons plus longtemps » et mettre fin aux « 42 régimes différents », facteur selon lui d'inégalités majeures[312],[313].

Évolution de sa cote de popularité
Évolution de la popularité d'Emmanuel Macron de à .

Emmanuel Macron voit sa cote de popularité de début de mandat s'établir à un niveau compris entre 45 % (selon Elabe) et 62 % (selon l'Ifop) de satisfaction[314]. Sa popularité est ainsi sensiblement inférieure à celles de ses prédécesseurs au début de leur mandat[315],[316].

À l'été 2017, les instituts de sondage font état d'une baisse de sa popularité dans une proportion jamais vue depuis Jacques Chirac en 1995[317],[318]. Selon l'Ifop, sa cote de satisfaction connaît une baisse de 24 points de pourcentage en trois mois[319],[320]. Plusieurs éléments sont avancés par les sondeurs pour expliquer ce phénomène quasi inédit sous la Ve République[321] : mise en place par l'exécutif d'une politique de rigueur ; difficulté à satisfaire sur la durée son électorat, composé à la fois de sympathisants de droite et de gauche ; déclarations jugées humiliantes envers le chef d'État-Major des armées, Pierre de Villiers[320],[322]. Dans une tribune publiée par le New York Times, Chris Bickerton, maître de conférences à l'université de Cambridge, désigne son « attitude arrogante à l'égard du pouvoir » et le « vide de son projet politique » comme raisons de sa perte de popularité[323],[324].

Sa chute de popularité est particulièrement marquée chez les catégories populaires (ouvriers et employés), alors qu'il avait déjà réalisé ses moins bons résultats chez celles-ci au premier tour de la présidentielle ; Jérôme Fourquet de l'Ifop et Chloé Morin de la fondation Jean-Jaurès considèrent que « pour l’essentiel, c’est l’insécurité économique, que la politique menée est perçue comme aggravant davantage, ainsi que le sentiment d’injustice sociale, nourri par un certain nombre d’annonces fiscales récentes, qui sont à l’origine de la fracture qui se dessine entre le représentant d’une France « en marche » et celle qui se sent de moins en moins prise en compte voire, aux dires de certains, méprisée »[325].

Emmanuel Macron aux cérémonies du .

De novembre 2017 à janvier 2018, les sondages indiquent une hausse continue de sa popularité[326],[327],. Selon Brice Teinturier, ce regain donne une « grande originalité » à la courbe de popularité d'Emmanuel Macron au regard de celles de ses prédécesseurs ; il l'explique par les réformes qu'il mène, le respect de la plupart de ses promesses de campagne et la faible structuration de l'opposition à son égard[328]. Un sondage Odoxa de décembre 2017 indique que la proportion d'opinions favorables à son égard s'établit à 54 %, mais qu'il reste considéré à 67 % comme le « président des riches »[329],[330] ; le même institut indique en février 2018 que 69 % des Français le considèrent comme éloigné des intérêts de la France rurale[331].

Cependant, à l'été-automne 2018, il atteint ses plus faibles cotes de popularité, étant crédité de 21 à 34 % d'opinions favorables, soit un niveau plus faible que celui du Premier ministre, Édouard Philippe, et souvent inférieur à celui de ses prédécesseurs au même moment de leur présidence[332]. Selon Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l'Ifop, l'affaire Benalla a été un « déclic pour déclencher une vague de jugements négatifs » mais c'est la politique économique d'Emmanuel Macron qui serait la principale source de mécontentement : d'après lui, « Macron n'est plus seulement dénoncé comme le président des riches mais comme celui qui s'attaquerait aux pauvres, celui dont la politique nuirait aux classes moyennes »[332]. Il souffre également de l'usage d'expressions qui passent pour arrogantes ou traduisant un mépris de classe[l] et de ses critiques envers les Français lors de déplacements à l'étranger[333],[334].

En mai 2020, l'universitaire Bruno Cautrès, sur la base d'un sondage BVA, identifie quatre groupes de Français dont les attitudes diffèrent à l'égard d'Emmanuel Macron[335] :

  • un premier qui « partage une forte adhésion à sa personne » en valorisant principalement sa « stature présidentielle », mais qui « ne pèse que 6 % des électeurs », réunissant « davantage des hommes que de femmes, des électeurs jeunes (18-24 ans) ou des seniors (plus de 65 ans), des retraités, des cadres supérieurs ou des travailleurs indépendants » ;
  • un deuxième qui « est celui d’un soutien positif mais plus modéré à Emmanuel Macron », représente 26 % des Français interrogés par BVA et « partage plusieurs traits avec le groupe des « macronistes convaincus » » en étant « plus diversifié » ;
  • un troisième présenté comme celui des « opposants modérés », se situant « plutôt à gauche », regroupant « 41 % des personnes interrogées, soit le groupe le plus nombreux », « avant tout composé de catégories sociales intermédiaires ou populaires (ouvriers), de chômeurs, plutôt des femmes que des hommes, des 35-49 ans ou des étudiants » ;
  • un quatrième présenté comme celui des « opposants convaincus », plutôt proches du RN, de LFI, plus rarement d'autres partis de gauche, représentant 27 % des personnes interrogées, « composé de classes moyennes plutôt basses, de catégories populaires (ouvriers, employés), ou de petits indépendants, généralement âgés ou retraités » et peu favorables à l'intégration européenne.

La pandémie de Covid-19 et le confinement qui s’ensuit lui permettent dans un premier temps de connaître une hausse de popularité inédite sous sa présidence, même s’il reste en deçà du niveau d'opinions favorables de ses débuts. Cependant, peu avant le déconfinement, en mai 2020, sa cote s’érode à nouveau alors que celle d’Édouard Philippe continue de croître, dépassant celle du chef de l’État de façon encore plus nette qu’auparavant. Pascal Perrineau, directeur du CEVIPOF, explique cette situation par son « hyperprésidence » et une « dimension personnelle » : alors que le président est avant tout perçu comme « arrogant », « autoritaire » et « changeant », le chef du gouvernement est vu davantage comme « rassurant », « tenace » et « authentique »[336].

En avril 2022, une nette majorité de Français se dit insatisfaite du bilan d'Emmanuel Macron, selon un sondage YouGov[337]. En mars 2024, Emmanuel Macron satisfait 28 % des Français et en mécontente 72 %. Selon Frédéric Dabi, directeur de l'Ifop, « le mécontentement très vif à l'égard du président se concentre principalement sur l'Ukraine et la question de l'envoi de troupes » occidentales au sol[338].

Gestion de la pandémie de Covid-19

Le , trois premiers cas de maladie à coronavirus 2019 (Covid-19), un virus découvert le mois précédent dans la ville de Wuhan (Chine), sont recensés en France[339]. Alors que le nombre de malades se multiplie, Emmanuel Macron, en concertation avec l’opposition, décide de maintenir le premier tour des élections municipales au . Au lendemain d'un vote marqué par un taux d’abstention record, Emmanuel Macron annonce, afin de stopper la diffusion exponentielle du virus, que la population sera confinée à domicile à partir du lendemain et que tous les lieux recevant du public considérés comme non indispensables à la vie seront fermés ; il déclare à plusieurs reprises que le pays est « en guerre » et fait savoir que le second tour des municipales est repoussé sine die.

Emmanuel Macron portant un masque de protection en novembre 2020.

Le , l'Élysée annonce qu'Emmanuel Macron a été testé positif à la Covid-19[340]. Un dîner ayant eu lieu la veille du diagnostic fait polémique pour avoir réuni plus de six convives, seuil maximal recommandé par le président lui-même, bien que les règles de distanciation physique aient été respectées selon l'Élysée[341]. Le président de la République s'isole alors à La Lanterne, à Versailles, où il continue de travailler. Après sept jours d'isolement, la présidence annonce qu’il ne présente plus de symptômes, ce qui lui permet de regagner le palais de l'Élysée[342],[343].

En novembre 2020, face à une nouvelle augmentation du nombre de cas, un second confinement national est décrété par Emmanuel Macron.

Une campagne de vaccination se met en place, mais l’Union européenne souffre de lenteurs administratives importantes. Le , en raison d’effets secondaires aigus sur plusieurs personnes dans le monde et à la suite d’une décision similaire de l'Allemagne, le président de la République annonce que la France suspend la vaccination par le vaccin AstraZeneca en attendant la recommandation officielle de l'Agence européenne des médicaments (AEM)[344], qui émet finalement une recommandation en faveur du vaccin[345].

Le , alors qu’il avait refusé un troisième confinement national à la fin du mois de janvier précédent contre notamment l’avis du Conseil scientifique Covid-19[346],[347], Emmanuel Macron annonce l'extension des mesures de confinement déjà en vigueur dans seize départements à tout le territoire métropolitain, ainsi que la fermeture des crèches, écoles, collèges et lycées[348]. Il fait lever progressivement les restrictions sanitaires à compter du suivant. Selon Le Monde, son choix de reporter les mesures réclamées dès janvier par des scientifiques a généré plus de 14 000 décès et 112 000 hospitalisations supplémentaires[349].

Les mesures décidées par l’exécutif, similaires à celles prises dans de nombreux pays, ont des conséquences économiques, sociales et environnementales importantes et font peser des incertitudes sur les droits fondamentaux de la population. En contrepartie, Emmanuel Macron multiplie les aides publiques aux entreprises et aux particuliers, sa formule du « quoi qu'il en coûte » — qui s’absout du principe d’équilibre des finances publiques — devenant le leitmotiv du gouvernement[350]. Elle se traduit notamment par des déficits et une dégradation des finances publiques[275].

Le 12 juillet 2021, souhaitant rendre maximale l'incitation de la vaccination contre la Covid, Emmanuel Macron annonce l’extension de l’obligation de présentation d’un « passe sanitaire » à de nombreux lieux de la vie quotidienne (bars, restaurants, hôpitaux, trains et bus pour les trajets de longue distance, etc.)[351]. Ces annonces, considérées comme un moyen de rendre la vaccination obligatoire de fait et réduisant la liberté de chacun, entraînent de nombreuses manifestations dans le pays[352],[353]. La Défenseure des droits, Claire Hédon, émet des réserves concernant le projet de loi et pointe de nombreux points allant à l'encontre des libertés publiques[354],[355]. Le projet suscite de nouveau de vives réactions et nombreuses manifestations d’opposition[356],[357]. Le 5 août, après adoption par le Parlement, le Conseil constitutionnel ne juge pas inconstitutionnelles l'extension du passe sanitaire et la vaccination obligatoire pour le personnel soignant, mais censure l'isolement obligatoire des malades, de même que la rupture anticipée d'un CDD ou d'un contrat d'intérim en cas de non-présentation du passe[358].

Relations avec l'Union européenne
Emmanuel Macron avec Vladimir Poutine et Angela Merkel en 2017.
Angela Merkel, Emmanuel Macron et Petro Porochenko en 2018.

Emmanuel Macron suscite une crise diplomatique avec la Pologne en août 2017, alors qu'il souhaite modifier le statut des travailleurs détachés contre la volonté du gouvernement polonais : il déclare que « la Pologne n'est en rien ce qui définit le cap de l'Europe » et que « le peuple polonais mérite mieux » que la position adoptée par sa présidente du Conseil des ministres, Beata Szydło[359],[360],[361] ; en retour, celle-ci dénonce l'« arrogance » du président français, ajoutant qu'il devrait essayer d'« avoir les mêmes résultats économiques et le même niveau de sécurité de ses citoyens que ceux garantis par la Pologne »[361].

En avril 2018, Angela Merkel, présentée comme sa principale alliée, s'oppose publiquement à son souhait de doter la zone euro d'une capacité budgétaire. La chancelière allemande voit dans ce projet le risque que les pays du Sud de la zone relâchent leur effort budgétaire[362].

Sur la crise migratoire, Emmanuel Macron fait face à l'opposition de plusieurs pays européens hostiles à l'accueil de migrants, dont la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et l'Autriche[363],[364]. Fin 2018, il qualifie les dirigeants hongrois et polonais d'« esprits fous » qui « mentent à leur peuple »[365]. L'opposition entre Emmanuel Macron et Viktor Orbán est soulignée par les médias, qui indiquent qu'ils essaient de reconfigurer la vie politique européenne autour de leurs figures respectives[366].

En vue des élections européennes de 2019, il fait publier une tribune dans les 28 pays de l'UE, mais celle-ci reçoit un accueil mitigé : la Commission européenne rappelle que plusieurs des propositions du président français sont déjà en place tandis que plusieurs États jugent ses mesures confuses ou irréalistes[367],[368].

En 2019, Le Figaro relève que le budget de la zone euro reste très mince, qu'aucun mécanisme de stabilisation en cas de crise économique n'a été mis en place, que le projet français de taxe sur les géants du numérique n'a pas abouti et que la France est isolée sur la question du Brexit[369]. En effet, Emmanuel Macron se montre parmi les plus intransigeants sur la question du retrait du Royaume-Uni, ce qui l'isole au sein des dirigeants européens et fait dire à la presse britannique qu'il est le principal responsable de l'enlisement des négociations entre le Royaume-Uni et l'UE[370],[371],[372].

Il échoue à établir des listes transnationales aux élections européennes de 2019[373]. En juin et juillet 2019, alors que l'influence française se trouve réduite au sein de la neuvième législature du Parlement européen, il fait en sorte d'écarter de la course à la présidence de la Commission européenne la candidature de Manfred Weber, pourtant désigné spitzenkandidat par le PPE, arrivé en tête du scrutin. Cette attitude lui vaut des critiques[Qui ?] sur sa conception de la démocratie européenne et les reproches de plusieurs de ses partenaires européens, notamment de l'Allemagne et de la Belgique, sur une gestion jugée peu diplomatique et solitaire[369]. Il suggère à Angela Merkel le nom d'Ursula von der Leyen, finalement désignée[374]. En octobre 2019, fait inédit pour la France, le Parlement européen rejette la candidature de Sylvie Goulard car elle faisait l'objet de deux enquêtes pour des soupçons d'emplois fictifs. Emmanuel Macron l'avait proposée pour devenir commissaire européenne dans la commission Von der Leyen[375],[376].

Longtemps réticent à un nouvel élargissement de l'Union européenne, préférant « approfondir » l’UE à 27, il acte son changement de position lors du sommet de Bratislava du forum Globsec le 31 mai 2023 : il soutient les candidatures des pays des Balkans occidentaux, ainsi que l’ouverture de négociations officielles en vue d’une adhésion de l’Ukraine et de la Moldavie[377].

Politique étrangère et diplomatie
Emmanuel Macron et Donald Trump lors d'un sommet de l'OTAN, en 2018.

Le , il s'élève contre la décision de Donald Trump de retirer les États-Unis de l'accord de Paris sur le climat, lors d'une allocution télévisée qu'il prononce en français puis en anglais[m],[378],[379]. Il conclut son intervention en paraphrasant le slogan de campagne du président américain Trump (« Make America Great Again », également slogan de la campagne victorieuse de Ronald Reagan en 1980) par « Make our Planet Great Again », une formule qui fait le tour du monde[380] et bat le record de partages sur Twitter pour un compte français[381].

En novembre 2018, Emmanuel Macron évoque l'idée d'une armée européenne, ce qui lui attire les critiques du président américain alors que l'entente entre les deux hommes était jusqu'ici soulignée[382],[383].

En novembre 2017, il s'investit dans la crise au Liban, où le Premier ministre Saad Hariri avait démissionné, sous la pression de l'Arabie saoudite selon certains[384].

Dans le cadre de la guerre civile syrienne, Emmanuel Macron reste sur une ligne proche de celle de François Hollande[385],[386] : il réaffirme son soutien à l'opposition syrienne[387],[388] mais change cependant de rhétorique en affirmant ouvertement ne pas vouloir faire de « la destitution de Bachar el-Assad une condition préalable à des discussions. […] Daech est notre ennemi, Bachar est l'ennemi du peuple syrien »[389],[390],[391],[385],[392].

Élu peu après l'attaque chimique de Khan Cheikhoun, Emmanuel Macron déclare, le , qu'une nouvelle utilisation d'armes chimiques en Syrie serait une « ligne rouge » qui, si elle était franchie, ferait l'objet d'une « riposte immédiate »[393]. Une semaine après l'attaque chimique de Douma du , la France participe à des bombardements contre des sites liés au programme d'armement chimique syrien[394]. Emmanuel Macron affirme alors que la France détient des « preuves » de l'usage d'armes chimiques contre des civils par le régime de Bachar el-Assad[395]. Cette riposte est soutenue par le Parti socialiste, mais condamnée par le Front national et La France insoumise, tandis que Les Républicains sont divisés[396],[397],[398]. Parmi eux, plusieurs personnalités appellent à la divulgation des « preuves » évoquées par Emmanuel Macron et dénoncent une intervention sans mandat de l'ONU ni vote du Parlement[395],[399].

Plusieurs analystes notent la perte d'influence de la France sur le continent africain[276] en compétition notamment avec la diplomatie russe[400] ou chinoise[401]. Confrontée à des pays comme la Chine, l’Inde ou l’Allemagne, la France voit son influence s’éroder, en particulier sur les plans économique et commercial[402].

Au Mali, confronté à l’hostilité de la junte au pouvoir[403], Emmanuel Macron est contraint d’annoncer en 2022 le retrait des troupes françaises du pays[404]. Cette décision sonne la fin de l’opération Barkhane et, selon Rémi Carayol, illustre « l’échec de la France à sortir de cette guerre par le haut »[405]. Renaud Girard considère également, qu'au bout de huit ans, l'opération Barkhane n'a pas obtenu de « résultat patent »[406].

Lors de son premier discours à l'ONU, le , Emmanuel Macron défend une vision « multilatéraliste » des relations internationales[407].

En mars 2019, Michelle Bachelet, haut-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, demande une enquête sur les cas rapportés d'« usage excessif de la force » et violences policières face au mouvement des Gilets jaunes. Le Gouvernement français s'étonne de trouver la France sur une liste qui comporte des régimes autoritaires comme le Soudan, le Zimbabwe et le Venezuela qui torturent ou tuent des manifestants, affirmant qu'en France aucun mort n'est à déplorer. Michelle Bachelet invite le Gouvernement français à dialoguer avec les manifestants, et rappelle que « même dans des États prospères, des gens se sentent exclus des bénéfices du développement et privés de droits économiques et sociaux »[408],[409].

Le président Macron a plusieurs contacts avec le pape François : une première fois lors d'une audience le au Vatican[410] ; une deuxième fois par téléphone, le , à la suite de l'incendie de Notre-Dame de Paris[411] ; une troisième fois par téléphone le , dans le contexte de la pandémie de Covid-19[412].

Coprince français d'Andorre
Emmanuel Macron en 2019.

En tant que président de la République française, Emmanuel Macron est coprince d'Andorre aux côtés de l'évêque d'Urgell. Au moment de son élection, il reçoit la citoyenneté ainsi qu'un passeport andorrans[413],[414]. En juillet 2017, il rencontre à Paris le chef du gouvernement, Antoni Martí, et le président du Parlement, Vicenç Mateu. Les trois hommes discutent des réformes économiques et sociales de la principauté, dont l'introduction récente d'une nouvelle législation fiscale. Emmanuel Macron promet de soutenir l'Andorre dans ses négociations pour l'obtention d'un statut d'association avec l'Union européenne[415],[416].

En septembre 2019, il effectue une visite officielle dans les sept paroisses de la principauté, suivant la « règle non écrite » qui veut que les présidents français se rendent toujours une fois en Andorre au cours de leur mandat[417],[413]. Il est le premier président français à avoir un portrait officiel spécifique à sa fonction de co-prince[418].

Pendant la pandémie de Covid-19, le gouvernement andorran sollicite auprès de lui une aide économique, mais Emmanuel Macron oppose une fin de non-recevoir à cette demande, estimant que « la France est plongée elle aussi dans une situation économique fort délicate et que, par ailleurs, la Banque de France ne saurait octroyer un crédit à un pays tiers sans l’aval de la Banque centrale européenne »[419].

Élection présidentielle de 2022

Emmanuel Macron au Parlement européen en janvier 2022. L’élection présidentielle doit se tenir alors que la France assure la présidence du Conseil de l'Union européenne.

Durant sa présidence, les sondages le donnent quasi-systématiquement en tête du premier tour et réélu au second mais avec une avance plus faible qu’en 2017[420].

Selon les médias, il prépare sa candidature à un second mandat à partir du début de l'année 2021[421],[422]. Alors qu’il défend son bilan dans des allocutions télévisées consacrées à la pandémie de Covid-19 et formule des promesses de réformes, l’opposition demande le décompte de son temps de parole en vue de l’élection présidentielle à venir[423]. Le contexte électoral est marqué par un débat grandissant sur la concentration des médias, qui lui serait favorable[424],[425],[426]. En outre, la campagne intervient en pleine présidence française du Conseil de l'Union européenne[427],[428].

Dans un entretien au Parisien en janvier 2022, il dit avoir « envie » d'être candidat[429]. Son entourage fait savoir qu'il ne participera pas aux débats organisés entre les candidats au premier tour de l’élection[430].

Le , Emmanuel Macron annonce dans une Lettre aux Français sa candidature à un second mandat de président de la République, à la veille de la clôture des candidatures par le Conseil constitutionnel où il rassemble 2 098 parrainages d'élus. Le slogan de sa campagne est « Avec vous », selon le site préfigurant sa candidature lancé discrètement le [431]. La Commission nationale de contrôle de la campagne électorale en vue de l’élection présidentielle (CNCCEP) lui reproche d’utiliser son compte officiel de chef de l’État sur Twitter pour faire campagne[432].

Au soir du , il arrive en tête du premier tour avec 27,85 % soit une progression de 3,8 % par rapport à 2017. Il devance une nouvelle fois la candidate du RN Marine Le Pen (23,15 %). Il bénéficie d'un appel au report de voix d'une partie des candidats de gauche (Yannick Jadot, Fabien Roussel et Anne Hidalgo) face à sa concurrente soutenue par la droite souverainiste (Éric Zemmour, Nicolas Dupont-Aignan).

Le débat d'entre-deux-tours opposant Emmanuel Macron et Marine Le Pen a lieu le mercredi sur TF1, France 2, BFM TV, France Info, LCI et CNews, dans des conditions très proches de celles du débat d'entre-deux-tours de 2017[433]. Auparavant, le président par intérim du Rassemblement national Jordan Bardella, avait déjà débattu des principaux sujets de l'entre-deux-tours avec le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin sur BFM TV le 13 avril et avec le ministre de la Santé Olivier Véran sur LCI le 18 avril[434]

Le , au soir du second tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron est réélu président de la République face à Marine Le Pen, avec un score annoncé de 58% des voix[435]. Il reçoit les félicitations de chefs de gouvernement étrangers, tels que Boris Johnson, Olaf Scholz, et de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen[436]. Le Conseil constitutionnel proclame un résultat de 58,55 %, soit 18 768 639 voix, contre 41,45 % et 13 288 686 voix pour Marine Le Pen[437]. Emmanuel Macron est ainsi le premier président de la Ve République à être réélu depuis l'instauration de l'élection présidentielle au suffrage universel, hors période de cohabitation[438],[n].

Second mandat (depuis 2022)

Cérémonie d'investiture

La deuxième cérémonie d'investiture d'Emmanuel Macron a lieu le samedi 7 mai 2022 au palais de l'Élysée, en présence du gouvernement et de nombreux invités. Son second mandat débute officiellement le 14 mai suivant, à 0 heure[439].

Il reçoit la démission du premier ministre Jean Castex et nomme Élisabeth Borne comme nouveau chef du gouvernement, qui devient la deuxième femme à occuper ce poste après Édith Cresson.

Échec à reconduire une majorité absolue à l'Assemblée nationale

Les élections législatives qui suivent son élection voient l'opposition de gauche s'unir au sein de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale avec l'objectif de pousser Emmanuel Macron à une cohabitation avec Jean-Luc Mélenchon[440]. Lors du premier tour du scrutin, la NUPES fait jeu égal avec la majorité du président regroupée dans la coalition Ensemble[441], avec un score d'environ 26%. Le Rassemblement national obtient de son côté son meilleur score à un scrutin législatif avec 18,68% des suffrages[442].

Les projections en sièges des sondages de l'entre-deux tours laissent entrevoir la possibilité qu'Emmanuel Macron puisse perdre sa majorité. Le président et les membres de sa coalition concentrent dès lors toutes leurs attaques sur la NUPES et son programme de gouvernement[443],[444]. Emmanuel Macron rompt finalement avec le front républicain lors d'une prise de parole improvisée sur le tarmac d'Orly[445] au cours de laquelle il refuse de donner une consigne de vote dans les circonscriptions où le second tour oppose un candidat de la NUPES à un candidat RN, réclamant plutôt « une majorité solide » au nom de « l'intérêt supérieur de la nation »[446]. Cette déclaration est vivement critiquée par les membres de la NUPES qui appellent à faire barrage en sa faveur lors du scrutin présidentiel deux mois auparavant[447].

Aucune des deux coalitions ne parvient à obtenir la majorité absolue mais Emmanuel Macron dispose d'une majorité relative de députés[448], une situation similaire à celle de François Mitterrand lors de sa propre réélection. Toutefois, l'élection de 89 députés du Rassemblement national, dans un mode de scrutin historiquement défavorable à l'extrême droite, questionne certains observateurs sur sa responsabilité dans ce score historique en refusant clairement d'appeler à voter pour les candidats de la gauche face aux candidats nationalistes, alors qu'il affirmait que son premier mandat ne donnerait plus aucune raison de « voter pour les extrêmes »[449],[450],[451].

Difficultés de gouvernance

Après les élections législatives, Élisabeth Borne présente la démission de son gouvernement à Emmanuel Macron — démission traditionnelle à la suite d'un scrutin législatif — mais celui-ci la refuse « afin que le gouvernement puisse demeurer à la tâche », une première dans l'histoire de la Ve République[452]. Après avoir reçu les différents présidents de groupe de la nouvelle assemblée, le président se dit prêt à ouvrir le gouvernement aux partis d'oppositions, à l'exception du Rassemblement national mais aussi de La France insoumise, qu'il considère tous deux comme « ne s’[inscrivant] pas comme des partis de gouvernement »[453]. Cette proposition est rejetée par les différents partis.

Les débuts de la nouvelle législature sont houleux, la Première ministre refusant de solliciter la confiance des députés[454]. L'absence de majorité absolue du camp présidentiel combinée à l'absence de consensus avec les oppositions voit le gouvernement utiliser plus d'une vingtaine de fois le controversé article 49.3 de la Constitution pour valider ses projets de lois sans vote au Parlement[455]. Bien que des motions de censure soient à chaque fois déposées par la NUPES d'une part et le Rassemblement national d'autre part, le refus des Républicains de voter une quelconque motion permet au gouvernement de se maintenir[456].

Crise sociale et politique du début de 2023

La presse et les observateurs évoquent dès la mi-mars 2023 une « crise sociale et politique » liée à la longueur et la dureté du mouvement social contestant la réforme des retraites et la décision de déclencher pour la onzième fois en moins d'un an l'article 49.3 pour la faire adopter sans vote, ce qui est sans précédent pour une réforme des retraites[457],[458]. Emmanuel Macron refuse notamment de rencontrer les syndicats, qui demandent à être reçus par le président[459].

Pour tenter de « reprendre la main », il laisse sa Première ministre les recevoir début avril mais ceux-ci ne restent qu'une petite heure avec elle. Laurent Berger, le numéro un de la CFDT affirme alors que cette « crise sociale est en train de se transformer en crise démocratique ». L'entourage du président a immédiatement contesté cette vision des choses[460] et mis en avant le fait que ce projet de réforme des retraites avait, lors de l'élection présidentielle, été « porté, expliqué et assumé » par le président français. Les tensions sont telles que par mesure de sécurité et pour éviter les provocations, la visite en France du nouveau roi du Royaume-Uni Charles III, prévue fin mars est reportée, en concertation avec les autorités anglaises[461].

Le 14 avril 2023, le conseil constitutionnel déclare la réforme conforme à la Constitution. Dans les heures qui suivent, Emmanuel Macron promulgue la loi, qui est aussitôt inscrite au Journal officiel[462] et annonce sa seconde allocution télévisée en un mois, pendant laquelle des concerts de casseroles ont lieu dans de nombreuses villes de France[463],[464] puis au cours de ses déplacements officiels dans les semaines qui suivent[465],[466],[467],[468].

Émeutes et violences policières de l'été 2023

Le 27 juin 2023, Nahel Merzouk, un jeune franco-algérien de 17 ans est abattu à bout portant par un policier à Nanterre. La version policière, présentant cette mort comme consécutive à un refus d'obtempérer avant de foncer sur un policier qui a alors fait usage de son arme dans un cas de légitime défense, et contredite dans les heures qui suivent par la diffusion de vidéos sur les réseaux sociaux et le témoignage des deux passagers. L'événement provoque de violentes émeutes dans les jours qui suivent, considérées comme dépassant en intensité celles de 2005[469]. Jugeant la mort de Nahel « inexplicable » et « inexcusable »[470], Emmanuel Macron évoque auprès des policiers mobilisés dans les émeutes l'idée de sanctionner financièrement les familles de délinquants « à la première connerie »[471] et de couper les réseaux sociaux lors des épisodes de violences urbaines voire de les obliger à supprimer tout contenu appelant à la révolte[472], proposition vivement critiquée par l'opposition[473].

Au cours des émeutes, de multiples signalements de violences policières ont lieu, pour lesquels la France est épinglée dans les jours qui suivent par l'ONU, le Conseil de l'Europe et Amnesty International[474]. L'un d'entre eux prend de l'ampleur au cours du mois de juillet, celui d'un jeune homme de 22 ans du nom de Hedi à Marseille, passé à tabac par des policiers et frôlant la mort. La mise en détention provisoire des policiers suspects provoque une fronde de certains de leurs collègues qui se mettent en arrêt maladie indus, réclamant un statut spécial en cas d'accusations pour des faits effectués dans le cadre de leurs missions[475]. Le directeur général de la police nationale Frédéric Veaux et le préfet de Paris Laurent Nuñez apportent leur soutien aux policiers suspectés, une position jugée comme violant le devoir de réserve[476] et que le monde judiciaire et l'opposition de gauche jugent « gravissime » voire d'atteinte à la séparation des pouvoirs[477],[478].

Lors d'une interview donnée à TF1 et France 2 le 24 juillet, le président dit vouloir « entendre l'émotion » des policiers et sans condamner les propos de Frédéric Veaux, rappelle que « nul en République n'est au-dessus de la loi »[479]. Plusieurs médias rappellent la réponse de François Mitterrand lors de la fronde des policiers contre Robert Badinter en juin 1983, avec le limogeage des responsables de la police de l'époque Paul Cousseran et Jean Périer[480],[481]. Les oppositions manifestent leur colère : les responsables LFI accusent le président « d'encourager les abus de la police » ; au contraire, les responsables LR et RN lui reprochent de ne pas soutenir les policiers[482].

Guerre entre Israël et le Hamas

Les attaques terroristes du Hamas du 7 octobre 2023 relancent les hostilités du conflit israélo-palestinien. Emmanuel Macron déclare le lendemain « [condamner] fermement les attaques des terroristes du Hamas qui frappent actuellement Israël » et « [exprimer sa] pleine solidarité avec les victimes, leurs familles et leurs proches. ». Il propose la création d'une coalition internationale contre le Hamas lors de sa visite en Israël à la fin de mois d'octobre[483], une idée qui refroidit les relations diplomatiques avec les pays arabes de la région[484] et qui ne trouve pas d'écho sur la scène internationale[485].

Il exhorte Israël à cesser les bombardements dans la bande de Gaza lors d'un entretien accordé à la BBC au mois de novembre, provoquant une vive réaction de l'état hébreu[486],[487] qui pousse Emmanuel Macron à clarifier ses propos[488]. Dans la même période, il ne participe pas à la « marche civique » contre l'antisémitisme, organisée par les présidents des deux chambres du Parlement Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, qui se tient le 12 novembre 2023 à Paris[489], marche dont la présence du Rassemblement national fait polémique à gauche et dans le camp du président[490],[491].

Il réaffirme le 15 novembre la position française d'une solution à deux États avec « la sécurité pour Israël, et un État pour les Palestiniens »[492], alors que certains ambassadeurs du Moyen-Orient pointaient un virage pro-israélien de sa part, en rupture avec la position historique de la France[493],[494]. Ses prises de positions dans le conflit suscitent également des réserves avec les diplomates du Quai d'Orsay, exclus des décisions du président[495],[496],[497].

Tensions dans la majorité sur la loi immigration de 2023

En décembre 2023, après le vote à l'Assemblée nationale d'une motion de rejet par les oppositions de la version du projet de loi immigration présenté par le gouvernement Borne, Emmanuel Macron décide de légiférer en passant par une commission mixte paritaire, qui reprend la version votée par le Sénat jugée plus répressive. Le président opte pour cette solution car ne souhaitant ni utiliser à nouveau l'impopulaire article 49.3, ni renoncer à légiférer sur l'immigration. Il refuse dans le même temps la démission de Gérald Darmanin, que les médias jugent affaibli politiquement par ce revers[498],[499]. Un accord est finalement trouvé avec les Républicains et le 19 décembre, le projet de loi issu de la commission mixte paritaire est adopté grâce aux voix des Républicains et du Rassemblement national[500] : le parti d'extrême-droite annonce en effet peu avant le vote de l'Assemblée qu'il votera finalement pour l'adoption du texte, après avoir initialement déclaré vouloir s'opposer à un texte « qui va permettre la régularisation de travailleurs clandestins »[501], provoquant l'embarras dans le camp présidentiel qui qualifie ce changement de dernière minute de « manœuvre »[500]. Marine Le Pen qualifie l'adoption du texte de « victoire idéologique » tandis que les membres de la NUPES parle d'un « naufrage » du gouvernement[502]. La presse étrangère voit cette adoption comme un échec du macronisme[503] et une absence de barrage à l'extrême-droite[504] seulement quelques mois avant le prochain scrutin européen[505], où les partis nationalistes européens pourraient remporter un nombre important de sièges[506],[507].

La majorité sort divisée de la séquence parlementaire : certains députés comme Gilles Le Gendre et Sacha Houlié votent contre le texte présenté, malgré la promesse de la part d'Emmanuel Macron d'un porte-feuille ministériel en échange d'un vote favorable pour le deuxième[508], tandis que cinq ministres du gouvernement menacent de démissionner en cas d'adoption du texte. Seul le ministre de la Santé Aurélien Rousseau tient parole après le vote. L'aile gauche de la majorité parle également de « renoncements aux valeurs du macronisme »[500]. Gérald Darmanin admet également que de nombreuses mesures votées sont contraires à la constitution[509], position que le président partage lors de son interview dans C dans l'air le 20 décembre[510] avant de saisir le Conseil constitutionnel[509]. Emmanuel Macron est alors accusé de se défausser sur le Conseil constitutionnel pour censurer les éléments inconstitutionnels du texte[511], ce que le président du Conseil des Sages Laurent Fabius ne manque pas de lui faire remarquer lors de la présentation de ses vœux au début de l'année 2024, en affirmant qu'ils ne sont pas « une chambre d’appel des choix du Parlement »[512],[513].

Ligne politique

Positionnement

Lors de son émergence sur la scène politique française, Emmanuel Macron est alternativement qualifié de social-libéral ou de social-démocrate[200],[514],[138],[31]. Il est alors soutenu par l'aile droite du Parti socialiste[515] et par une partie de la droite[516].

Alors qu'il l'assume en 2014, il renie à partir de 2016 la qualification de socialiste, tout comme celle de centriste[517],[518],[519]. Dans son ouvrage Révolution de 2016, il se présente à la fois comme un « homme de gauche » et un « libéral », « si par libéralisme on entend confiance en l'homme »[520].

Avec En marche, il affirme souhaiter dépasser le clivage existant entre la gauche et la droite au profit de celui entre « progressistes » et « conservateurs »[521],[522]. Lors de la campagne présidentielle de 2017, ses propositions mêlent des mesures considérées comme étant de gauche et d'autres de droite[523],[524],[525],[526]. Pour en faire part dans une même phrase, il a régulièrement recours à l'expression « en même temps »[35]. Avec le lancement d'En marche et le recours à une rhétorique antisystème, il est parfois qualifié de populiste, terme qu'il rejette et revendique alternativement en fonction du sens qui lui est donné[525],[527],[528],[529]. Dans le même temps, il est décrit comme un représentant des élites et accusé de servir leurs intérêts[530],[531].

Proche de Michel Rocard[o], il revendique une filiation politique avec Pierre Mendès France et François Mitterrand[532],[533],[31],[534],[535],[536]. Mediapart relève au cours de sa campagne de 2017 qu'il « mobilise dans ses discours et entretiens un panthéon hétéroclite de figures politiques et intellectuelles » (« plus de 80 auteurs et intellectuels, philosophes, artistes et écrivains, souvent des classiques »), avec Charles de Gaulle comme « référence favorite »[537].

Le 18 avril 2022, sur France Culture, entre l'entre-deux tours des élections présidentielles de 2022, il qualifie son projet politique « d'extrême centre » en comparaison de ceux de Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen[538],[539].

Économie et social

Emmanuel Macron au Forum économique mondial de 2018.

Emmanuel Macron est souvent dit proche du paradigme schumpétérien et de la théorie de la destruction créatrice[540],[541], quoiqu'il est parfois accusé de mal comprendre la pensée économique[542],[543] et qu'il tente lui-même de s'écarter du mouvement pour adopter une position plus pragmatique[540].

Questions économiques et fiscales

Durant la campagne présidentielle de 2012, il s'oppose à la suppression de niches fiscales[31],[544]. Lorsque Arnaud Montebourg tente de sauver les emplois menacés du site ArcelorMittal de Florange, il affirme que la « gauche romantique » doit « ouvrir les yeux »[545]. En février 2017, il annonce vouloir supprimer 120 000 postes de fonctionnaires en ne renouvelant pas certains postes[546].

À quelques mois de distance, il tient des propos contradictoires ou opposés : c'est le cas notamment pour les 35 heures, le droit du travail, l'indemnisation dégressive du chômage, le diesel, le cannabis, la colonisation ou le mariage pour les couples de même sexe[547],[548]. En vue de la présidentielle de 2017, il déclare vouloir exonérer 80 % des Français de la taxe d'habitation, l'État prenant en charge le déficit de ressources pour les communes[549],[550].

En septembre 2022, Jean-Bernard Lévy, PDG du groupe Électricité de France, met en cause la stratégie du gouvernement et pointe du doigt les erreurs en matière de nucléaire indiquant que sa stratégie avait été basée sur la loi réduisant la part du nucléaire dans le mix électrique à 50 %. Il explique ainsi avoir recruté des employés pour fermer douze centrales et non pour en créer. Ces propos sont tenus alors que 32 réacteurs sont à l'arrêt et qu'EDF affiche une disponibilité de son parc historiquement faible, alourdissant la crise énergétique qui touche le pays[551]. Peu après, Emmanuel Macron condamne fermement les propos de Jean-Bernard Lévy, défendant la politique nucléaire de son gouvernement, notamment la fermeture de la centrale de Fessenheim[551].

Social

Selon Alternatives économiques (2020)[552], Emmanuel Macron pratique un jacobinisme social allant à rebours de la politique visant à social-démocratiser la France à travers la « refondation sociale » telle qu'elle a été suivie en France depuis les années 2000, notamment à travers la loi Larcher de 2007. Le magazine cite ainsi la loi Macron, la loi travail de 2016 et la réforme des retraites en France en 2020[552]. L'article relève d'un autre côté que la refondation sociale n'a pas atteint ses objectifs : les syndicats, loin de se regrouper, se sont divisés, et le patronat a préféré exercer des pressions sur les gouvernements successifs plutôt que de négocier[552].[incompréhensible]

Santé

En matière de santé, il ne remet pas en cause le dispositif du tiers payant mais estime qu'il faut revenir sur le paiement des médecins à l'acte « pour faire face à la surcharge de travail » ainsi qu'à « une nouvelle sociologie de médecins qui veulent travailler autrement », mais aussi pour « un problème d'efficacité »[553]. Il propose de « prendre en charge à 100 % l'optique, l'audition et le dentaire »[554], une mesure qui, selon le quotidien Les Échos, coûterait 4,4 milliards sans que le candidat précise si ce surcoût sera payé par la Sécurité sociale ou par les mutuelles[555].

Éducation

Pour L'Obs, les propositions d'Emmanuel Macron s'inscrivent « dans l'esprit de la loi de refondation de l'école de l'ex-ministre de l'Éducation Vincent Peillon (priorité au primaire), avec un soupçon de libéralisme de droite (plus d'autonomie aux écoles) et un message rassurant envoyé aux élites sociales (maintien des classes prépas et des grandes écoles puisque le système marche) »[556].

Il propose que les réseaux d'éducation prioritaire (ex-ZEP) enrôlent des professeurs expérimentés, mieux payés, et disposant d'une plus grande liberté pédagogique[556]. Il propose d'enrichir l'offre scolaire dans les collèges de quartiers populaires pour qu'ils attirent les bons élèves du secteur, voire des élèves venus d'ailleurs par dérogation ; ces mesures font l'objet d'une expérimentation du gouvernement à la rentrée 2016[556]. Il conforte le besoin d'un collège unique et propose une réforme de la carte scolaire[557].

Selon lui, l'enseignement professionnel « doit devenir une priorité de l'Éducation nationale » mais il évoque une réforme organisationnelle proche de celle mise en place en Allemagne, avec la proposition d'une décentralisation. Il déclare : « L'État doit définir les programmes et le cadre de l'enseignement professionnel, et la gestion de ces filières doit être transférée aux régions »[558].

Logement

En 2016, Emmanuel Macron propose de relancer « de manière brutale » la production de logements par « une politique de l'offre », quitte à « réduire » des « normes », « certains droits et certaines capacités de recours » pour « accélérer les opérations » immobilières[559]. Il réitère ces propositions en mai 2023[560] mais son action politique dans le domaine lors de son premier quinquennat est critiqué[561], notamment par la fondation Abbé Pierre[562],[563] et les acteurs du logement[564].

Institutions

En 2011, dans la revue Esprit, Emmanuel Macron écrit que l'élection présidentielle « n’apportera pas plus qu’auparavant le démiurge », et appelle à retrouver le temps long de la « délibération permanente », cette « double vertu du parlementarisme et de la démocratie sociale que notre République a encore trop souvent tendance à négliger »[565].

Il regrette en 2015, l'absence de la figure symbolique du roi, qui crée selon lui un vide dans la vie politique française[566], et affirme qu'il ne croit pas au « président normal », image sur laquelle François Hollande avait fait campagne[536].

Pendant sa campagne de 2017, il propose d'introduire le scrutin proportionnel à l'Assemblée nationale et, « de façon massive », au Sénat, de limiter le cumul des mandats, de mettre en place des incitations financières pour l'introduction des personnes non encartées sur les listes électorales, d'instaurer des formations pour aider les citoyens à accéder aux fonctions d'élus et pour aider les responsables politiques à revenir à la vie « normale », d'obliger le président de la République à rendre des comptes chaque année de son mandat devant une commission de citoyens tirés au sort et de « subordonner l'accès à la vie élective à un casier judiciaire vierge »[567],[568].

Enjeux sociétaux

« La fête à Macron », manifestation organisée par la gauche radicale contre la politique d'Emmanuel Macron (Paris, mai 2018).

Immigration

En 2015, Emmanuel Macron se dit confiant sur la capacité de la France à accueillir davantage d'immigrés[569]. En janvier 2017, contrairement à plusieurs socialistes, il apporte son soutien à la politique d'accueil des migrants conduite par Angela Merkel en Allemagne[570],[p],[571].

Lors de la commémoration internationale de l'armistice de 1918, il déclare que le nationalisme est « l'exact contraire » du patriotisme[572],[573] et que donner la priorité aux intérêts nationaux sans tenir compte des autres revient à sacrifier ce que la nation a de « plus précieux », à savoir selon lui ses « valeurs morales »[574],[575]. Il se prononce pour le pacte mondial sur les migrations, dit « pacte de Marrakech »[576].

Si la politique migratoire d'Emmanuel Macron est jugée ferme par quelques médias[577],[578] et par Amnesty International[579], la loi asile et immigration de septembre 2018 est qualifiée de « laxiste » par la droite et l'extrême droite[580]. Une enquête Elabe réalisée en juin 2018 indique également que 61 % des Français jugent sa politique migratoire « trop laxiste »[581]. Selon la Cimade, cette loi a eu « très peu d'effet en termes d'expulsions » alors que des associations craignaient leur augmentation[582].

Laïcité et religions

En juillet 2016, il annonce être contre l'interdiction du voile à l'université[583]. Réagissant à des propos tenus par Manuel Valls et Jean-Pierre Chevènement sur la pratique de l'islam, il « dénonce les considérations qui demandent à des citoyens d'être « discrets », parce que les précédents historiques où l'on a demandé la discrétion en matière de religion ne sont pas à l'honneur de la République »[584]. En avril 2018, il déclare devant la Conférence des évêques de France au Collège des Bernardins : « Nous partageons confusément le sentiment que le lien entre l’Église et l’État s’est abîmé, et qu’il nous importe à vous comme à moi de le réparer. » En octobre 2019, il déclare que « le port du voile islamique dans l’espace public n’est pas [s]on affaire »[585].

Environnement

Image twittée par Emmanuel Macron le 1er juin 2017 en réponse au retrait américain des accords de Paris sur le climat[586].

Dans la perspective de la conférence de Paris de 2015 sur le climat, il appelle à « accélérer la transition écologique » et prône un « équilibre entre impératif écologique et exigence économique ». Durant l'été 2016, il prend la défense du diesel, auquel il estime qu'il ne faut « pas faire la chasse » car il « reste au cœur de la politique industrielle française ». Cette prise de position pour ce carburant polluant s'inscrit dans les suites de l'affaire Volkswagen et lui vaut les foudres de son camp politique[587],[588]. Macron s'exprime également en faveur de la filière nucléaire, qui est selon lui « un choix français et un choix d'avenir »[589].

Concernant le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, il estime d'abord qu'il « relève d'un modèle qui n'a plus cours aujourd'hui » mais « qu'il faut lancer la construction parce que la consultation a eu lieu »[590]. Il indique ensuite qu'il se donnerait six mois, s'il était élu président, pour statuer sur ce projet après un examen comparatif avec l'alternative d'un aménagement de l'aéroport de Nantes-Atlantique, sous l'autorité d'un « médiateur indépendant »[591]. Il dit également refuser toute « évacuation de la ZAD par la violence »[591].

Début 2019, il renonce à sa promesse d'interdire le glyphosate en 2021[592].

Au cours de l'année 2019, Les Décodeurs du Monde jugent le bilan de la politique écologique et environnementale de sa présidence comme peu positif[593],[594]. La Commission européenne considère que la France n'atteindra pas ses objectifs en matière d'énergies renouvelables et qu'il n'y a pas d'accélération de la rénovation des logements anciens. Des subventions élevées aux énergies fossiles subsistent. Il y a encore trop de dérogations pour l'utilisation de pesticides défavorables aux pollinisateurs et des avantages aux agrocarburants sont maintenus malgré leur impact sur la déforestation. En parallèle, de nombreuses mesures favorables aux chasseurs ont été prises. L'État investit peu dans les transports en commun ou la mobilité vélo. Néanmoins, Emmanuel Macron est perçu à l'international comme un « héraut de la lutte pour le climat » pour avoir organisé le One Planet Summit en décembre 2017, et avoir remporté le prix « Champion of the Earth » de l'ONU en septembre 2018. Il échoue cependant à convaincre les États-Unis de respecter les accords de Paris sur le climat[595]. Consécutivement au One Planet Summit, il participe au lancement du Fashion Pact en 2019[réf. souhaitée].

En 2021, un an et un mois après l'arrêt du second réacteur de la centrale nucléaire de Fessenheim, il renouvelle son soutien à l'énergie nucléaire contre le réchauffement climatique : « La France a une chance, quand on parle d'émission de gaz à effet de serre, c'est le nucléaire ». Il souhaite également développer le renouvelable et souhaite un « cas par cas » pour les projets éoliens[596].

Proche de la Fédération nationale des chasseurs (FNC) et de son dirigeant Willy Schraen, il accède durant son quinquennat à la plupart de leurs revendications : division par deux du prix du permis de chasse, pas d'interdiction de la chasse à courre, dérogations pour la chasse de certaines espèces protégées, possibilité pour les préfets d'organiser des chasses entre collaborateurs des forces de l'ordre, autorisation donnée aux chasseurs d'employer des dispositifs silencieux sur leurs armes à feu, restriction de la possibilité pour les ONG de déposer des recours, etc. Il choisit également de prendre part à des chasses présidentielles[597]. Au cours de son quinquennat, les subventions annuelles allouées à la FNC sont passées de 27 000 à 6,3 millions d'euros[598].

Sujets régaliens

Sécurité

Emmanuel Macron estime que le projet de réforme avorté sur la déchéance de la nationalité n'était pas une « solution concrète » et juge que « la prolongation sans fin de l'état d'urgence pose des questions, et des questions légitimes » ; il prône des moyens accrus pour les services de renseignement[559]. Il appelle de ses vœux un rétablissement de la police de proximité et considère que « sur la gestion de certains grands risques il faut déléguer aux associations », voire au secteur privé[559],[567]. Lors de sa campagne pour l'élection présidentielle de 2022, il propose la privation des droits civiques pour les personnes s'en prenant aux dépositaires de l'autorité publique[599].

Défense

En 2017, il se prononce pour un service national universel et obligatoire d'un mois[600]. Il reproche au chef d'État-Major des armées, Pierre de Villiers, d'avoir fait part de son inquiétude quant aux 850 millions d'euros de coupes budgétaires annoncées dans le budget de la Défense. Après avoir déclaré être le « chef », il contraint Pierre de Villiers à la démission[601]. Le président français se voit alors reprocher une attitude autoritaire et humiliante[602].

En déplacement au Proche-Orient début 2017, il se définit dans une position médiane « à mi-chemin de la politique d'ostracisation du régime Assad et de soutien exclusif à la rébellion » suivie par la France depuis 2011[603],[604]. Toutefois en avril 2017, Emmanuel Macron a proposé une intervention militaire contre le régime d'Assad[605].

Politique internationale

Emmanuel Macron avec le président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, en 2018.

Emmanuel Macron est présenté comme europhile et fédéraliste[606],[607]. Il se réclame de Jacques Delors, et se prononce pour l'accord économique et commercial global (CETA)[608],[609],[610]. Il est l'un des rares candidats à l'élection présidentielle à ne pas remettre en cause l'engagement pris par la France de respecter le critère de convergence d'un déficit public inférieur à 3 % de son PIB[611]. Il prône la création d'un poste de « commissaire responsable de la zone euro, ainsi qu'un Parlement de la zone euro » et un budget commun pour celle-ci[612],[559].

Opposé au mouvement Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS), il refuse de se prononcer sur la reconnaissance de l'État de Palestine[603].

Stratégies de communication

L’universitaire Arnaud Benedetti écrit : « Emmanuel Macron est, de loin, le président qui maîtrise le mieux sa stratégie d’intervention médiatique. Contrairement à François Hollande, qui laissait les médias faire l’opinion, ou à Nicolas Sarkozy, qui saturait l’espace médiatique, il a une vision très managériale. Il fonctionne comme un chef d’entreprise. Il veut tout contrôler. Il joue de la rareté de sa parole, mais il suit de très près les réseaux sociaux, sur lesquels il intervient très fréquemment[613]. »

Ainsi, le président Macron intervient avec des youtubeurs et très régulièrement sur Twitter (où il compte quelque sept millions d’abonnés en 2021), Instagram ou TikTok, notamment pour rallier les jeunes ou d’autres cibles identifiées à ses projets politiques[614],[615],[616].

Il met en place une communication publicitaire en créant la lettre d'information Cocorico pour mettre en avant les initiatives de Français[617],[618]. Il ouvre également le palais de l'Élysée à une exposition, Le Fabriqué en France, dont la première édition se tient en juillet 2020[619].

Affaires et controverses

Polémiques

Le parcours politique d'Emmanuel Macron est jalonné de déclarations qui déclenchent des polémiques et se voient parfois baptisées du nom générique de « macronade » dans les médias[620]. Ceux-ci se demandent dans quelle mesure ces propos peuvent être spontanés ou, au contraire, participer d'une stratégie de communication[621],[622]. Le terme plus péjoratif de « macronerie » est également utilisé[623].

En tant que ministre de l'Économie

Emmanuel Macron crée la polémique le en déclarant au sujet des employées de Gad qu'elles sont « pour beaucoup illettrées », avant de regretter ses propos[624],[625].

Alors ministre de l'Économie, il se rend à Lunel et s'emporte face à des grévistes en lançant : « Vous n'allez pas me faire peur avec votre tee-shirt. La meilleure façon de se payer un costard, c'est de travailler »[626].

La députée socialiste des Hautes-Alpes Karine Berger, soutien de Benoît Hamon[627], rapporte que lors du débat sur la loi de séparation des banques de dépôt et d'investissement, Emmanuel Macron, alors secrétaire général adjoint de l'Élysée, l'a appelée à plusieurs reprises « pour lui demander de retirer deux amendements non favorables à ses amis banquiers »[628].

Période électorale de 2017

Le , en déplacement à Nœux-les-Mines (Pas-de-Calais), l'ancien ministre de l'Économie est accusé par certains élus de tout bord politique de « mépriser » les habitants du bassin pour avoir affirmé que l'alcoolisme et le tabagisme se sont peu à peu installés dans le bassin minier[629].

Il déclare le  : « Il n'y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse »[630]. Le suivant, à Londres, il réitère ces propos en affirmant qu'« il n'y a pas de culture française » et qu'il n'a jamais vu l'« art français »[631]. Ces déclarations lui attirent des critiques du monde politique et culturel français[632].

Le , il déclare regretter « l'humiliation » qu'auraient subie les opposants au mariage entre personnes de même sexe, suscitant de nombreuses réactions, notamment de la part d'organisations LGBT et de Christiane Taubira[633],[634].

Lors de l'« affaire » Mohamed Saou, Macron apporte son soutien à ce dernier sur Beur FM alors qu'il se pense hors antenne : « Il a fait un ou deux trucs un peu plus radicaux, c'est ça qui est compliqué. Mais à côté de ça, c'est un type qui est très bien Mohamed en plus ». Il est alors accusé de complaisance à l'égard de l'islamisme[635],[636].

Dépénalisation du cannabis

Dans son livre Révolution, publié en novembre 2016, il « plaide pour une dépénalisation de la détention en petite quantité du cannabis afin de désengorger les tribunaux ». Toutefois, dans un entretien accordé au Figaro en février 2017, il réfute totalement l'idée en déclarant qu'il « ne croit pas à la dépénalisation des petites doses ni aux peines symboliques, cela ne règle rien[637] ». La semaine suivante, son soutien Gérard Collomb explique que Macron préfère sanctionner par une amende directe de 100 euros un délit lié au cannabis au lieu de convocations au tribunal pour des rappels à la loi et des peines symboliques. Il précise donc tenir une position de dépénalisation mais pas de légalisation[638].

Condamnation de la colonisation de l'Algérie par la France

Il est critiqué pour évoquer « des éléments de civilisation » dans la colonisation de l'Algérie : « Oui, en Algérie, il y a eu la torture, mais aussi l'émergence d'un État, de richesses, de classes moyennes, c'est la réalité de la colonisation. Il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie[639]. » En février 2017, précise à la chaîne algérienne Echorouk News qu'« il est inadmissible de faire la glorification de la colonisation » et qu'il l'a « toujours condamnée ». Il ajoute également : « La colonisation fait partie de l'histoire française. C'est un crime contre l'humanité[640]. » Cette sortie est abondamment commentée dans la presse[641],[642]. Pour l'historienne Sylvie Thénault, « le contexte suggère que ses déclarations visent à chercher des voix dans un électorat qui serait sensible à une condamnation de la colonisation »[643].

En tant que président de la République

Emmanuel Macron est critiqué après une plaisanterie lancée le en marge d'un déplacement en Bretagne : « le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du Comorien, c'est différent ». Celle-ci suscite de vives réactions dans le monde politique et au sein de la communauté comorienne[644]. Quelques jours plus tard, Emmanuel Macron s'entretient avec le président comorien Azali Assoumani, avec lequel il affirme vouloir « travailler dans un esprit d'apaisement et de confiance mutuelle »[645].

Le , il suscite une polémique en affirmant, à l'occasion de l'inauguration de la Station F, qu'« une gare, c'est un lieu où on croise des gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien ». Ces propos sont condamnés par de nombreuses personnalités politiques et par une partie de l'opinion publique[646].

Le , en marge du sommet du G20, il suscite une autre polémique auprès de journalistes de L'Humanité et Libération en affirmant : « Le défi de l'Afrique, il est civilisationnel. Quand des pays ont encore aujourd'hui sept à huit enfants par femme, vous pouvez décider d'y dépenser des milliards d'euros, vous ne stabiliserez rien »[647].

Le , lors d'une visite en Corrèze pour l'inauguration d'un campus à Égletons, il prononce en aparté[648], au sujet des salariés de l'usine GM&S venus s'inviter pour manifester leur mécontentement à la suite de la suppression de 150 emplois : « Il y en a certains, au lieu de foutre le bordel, ils feraient mieux d’aller regarder s’ils ne peuvent pas avoir des postes là-bas, parce qu’il y en a qui ont les qualifications pour le faire »[649], ce qui est considéré comme une forme d'arrogance par ses opposants[650]. Plusieurs personnes, dont Ugo Bernalicis, député de la France Insoumise, retournent même les propos du président de la République contre lui en disant que « l'expression pourrait très bien être réutilisée contre son auteur »[651]. En réaction à la polémique, Emmanuel Macron déclare aux journalistes : « C'est vous qui le mettez [le bordel] »[652],[653].

Le , la conseillère de presse de l'Élysée publie une vidéo sur son compte Twitter montrant Emmanuel Macron en train de critiquer le « pognon de dingue » dépensé dans les aides sociales sans efficacité. La vidéo est critiquée par des personnalités politiques de gauche, comme Jean-Luc Mélenchon (« Ce qui coûte un pognon de dingue, c'est vous et vos cadeaux aux ultra-riches »), et de droite, comme Bruno Retailleau (« On est dans la continuité du sans-dents de François Hollande avec la théâtralisation en plus »)[654].

Le 4 janvier 2022, dans un entretien accordé au Parisien dans le cadre du débat sur le passe vaccinal, il fait part d’une stratégie de communication par laquelle il assume vouloir « emmerder les non-vaccinés » et déclare à ce propos qu’« un irresponsable n'est plus un citoyen », ce qui déclenche une vive polémique[655],[656],[657].

Conflit d'intérêts lors du rachat du journal Le Monde

En 2010, en butte à des difficultés financières, le journal Le Monde cherche de nouveaux investisseurs[92]. Emmanuel Macron, alors banquier chez Rothschild, se propose de conseiller à titre gracieux la Société des rédacteurs du Monde, actionnaire majoritaire du journal avec les autres salariés du groupe et les lecteurs[658]. Le , alors que les journalistes du Monde rencontrent les conseillers de Pierre Bergé, l'un des futurs repreneurs de l'entreprise[659],[660], Adrien de Tricornot, spécialiste pour Le Monde des questions économiques et financières et vice-président de la Société des rédacteurs du Monde, rencontre Emmanuel Macron dans le sillage d'Alain Minc[92],[658],[659]. Ce dernier a ses bureaux dans le même immeuble et conseille le groupe Prisa, qui fait une offre de rachat du Monde concurrente à celle de Pierre Bergé[92],[659]. En 2015, Adrien de Tricornot obtient une autre preuve du « double jeu » d'Emmanuel Macron lors de la publication du livre L'ambigu Monsieur Macron : un courrier proposé par Emmanuel Macron et rédigé à l'origine par la société d'Alain Minc[92],[661].

Allégations de sous-estimation de patrimoine

Dans son édition du , Le Canard enchaîné affirme qu'Emmanuel Macron sous-évalue son patrimoine de 253 255  par rapport à l'évaluation faite par l'administration fiscale, qui vérifie les déclarations réalisées auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP)[662]. Cette sous-évaluation concerne la valeur de sa maison du Touquet, que l'intéressé affirme avoir fait estimer en 2012 par un expert auprès de la Cour de cassation qui l'aurait évalué 1 200 000 , alors que l'administration fiscale considère qu'elle vaut 1 453 255 . Cette réévaluation par l'administration fiscale fait passer le patrimoine des époux Macron mécaniquement au-dessus du seuil d'imposition à l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), entraînant un retard d'impôt de 4 174  pour 2013 et de 2 264  pour 2014.

Emmanuel Macron échappe à un redressement fiscal au moyen d'une déclaration rectificative conforme à l'évaluation que le fisc a retenue, « après un an et demi de discussions »[663]. Invoquant son état de ministre, il nie toutefois publiquement que cette évaluation reflète la réalité, déclarant le  : « Si j'avais été un citoyen normal, j'aurais discuté. Mais il n'était pas sain que, ministre à Bercy, je m'engage dans une discussion, même si je n'ai pas l'administration fiscale sous mon autorité. »[664].

Par ailleurs, le Canard enchaîné révèle également que Macron n'a réévalué son appartement du 15e arrondissement de Paris que de 5 % entre 2007 et 2013, alors que l'indice des prix dans cet arrondissement a augmenté de 33 % sur la même période. L'intéressé déclare à ce sujet : « J'ai acheté cher »[665].

Le , Paul Mumbach, candidat des Maires en colère, Jean-Philippe Allenbach, président du Mouvement Franche-Comté, et Serge Grass, président de l'Union civique des contribuables citoyens (U3C), demandent à la HATVP de diligenter une enquête concernant les déclarations financières et patrimoniales d'Emmanuel Macron, s'étonnant que ses revenus n'aient pas été entièrement déclarés. Ils déclarent notamment qu'« Il [leur] paraît surprenant que M. Macron ayant perçu plus de 3 000 000  de revenu entre 2010 et 2013 sa fortune nette déclarée le , lors de son arrivée au gouvernement, n'ait été que de 156 000 , pour ensuite n'être plus que de 63 048  quand il en est parti (cf. sa déclaration du 28/10/2016) ». Sans réponse, ils saisissent le Parquet national financier le [666].

Indépendamment de ce premier épisode, le journal La Croix publie le un entretien avec Emmanuel Macron durant lequel il est questionné sur le décalage apparent entre ses très hauts revenus chez Rothschild et une déclaration de « patrimoine financier limité à 200 000 euros »[667]. Au vu des réponses données, l'association Anticor, engagée depuis 2002 dans la défense de l'éthique en politique, saisit le la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, lui demandant de vérifier le caractère « exhaustif, exact et sincère » de la déclaration du candidat à la présidentielle. Elle s'interroge, en effet, sur un « manque de cohérence entre les revenus et le patrimoine déclarés » d'Emmanuel Macron[668]. Les données, reprises largement dans la presse, sont qu'Emmanuel Macron a déclaré 3,3 millions d'euros de revenus entre 2009 et 2014, dont 2,8 millions d'euros perçus entre 2009 et 2012 comme banquier d'affaires à la banque Rothschild, et un patrimoine net (patrimoine brut réduit des dettes) de seulement 200 000 euros dans sa déclaration officielle de patrimoine en novembre 2014[669],[670].

Sa déclaration de situation patrimoniale au [671] ne fait apparaître aucun bien immobilier que ce soient des biens propres, des biens de la communauté (son régime matrimonial étant la communauté légale) ou des biens indivis. Ne possédant aucun bien immobilier depuis qu'il a revendu son appartement parisien, Emmanuel Macron déclare avoir encore à rembourser près de 246 000  au titre d'un emprunt pour financer des travaux dans la résidence secondaire de son épouse Brigitte au Touquet[672]. Le , la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique répond à Anticor, après investigations, que cette déclaration de patrimoine paraît exhaustive et sincère[673]. Anticor n'envisage alors pas de recours[réf. nécessaire]. En 2022, la question du décalage entre les revenus supposés d'Emmanuel Macron chez Rothschild liés notamment au rachat par Nestlé de la filiale de lait infantile de Pfizer et sa déclaration d'intérêts à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique est à nouveau évoquée par la presse[674],[675].

Enquête sur les soupçons de favoritisme de Business France

Le 13 mars 2017, le parquet de Paris ouvre une enquête préliminaire sur des soupçons de « favoritisme, complicité et recel de favoritisme » à l'encontre de Business France, organisme de promotion dépendant du ministère de l'Économie. Cette enquête, confiée à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), fait suite à un rapport de l'Inspection générale des finances qui soupçonne des irrégularités lors d'un déplacement d'Emmanuel Macron, alors ministre de l'Économie, au Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas en janvier 2016. L'organisation du déplacement, décidé en urgence par Emmanuel Macron, est confiée sans appel d'offres à Havas par Business France. Selon Le Canard enchaîné, qui révèle l'affaire, le coût de la soirée atteint 381 759 euros. Emmanuel Macron y est ovationné par plus de 500 personnalités et dirigeants de start-up françaises[676].

Cependant, pour le ministre de l'Économie et des Finances Michel Sapin, Emmanuel Macron, son cabinet et le ministère de l'Économie « sont totalement hors de cause »[677]. « C'est un dysfonctionnement de Business France. Il lui appartenait, si elle considérait que les délais étaient trop courts, de dire qu'elle ne pouvait pas organiser l'événement selon les règles, ce qui n'a pas été fait », ajoute-t-il, précisant avoir « naturellement missionné l'IGF » lorsqu'il est « informé de ces dysfonctionnements ». « Si l'inspection concluait à l'existence d'un non-respect des règles, elle devrait saisir la justice, mais cette saisine ne concerne en aucun cas Emmanuel Macron, son cabinet ou le ministère », insiste-t-il.

En juin 2017, Muriel Pénicaud, administratrice de Business France au moment des faits et ministre du Travail sous la présidence Macron, admet « une erreur de procédure »[678].

Affaire Benalla

En juillet 2018, Alexandre Benalla, coordinateur de différents services lors des déplacements d'Emmanuel Macron, est accusé d'avoir usurpé la fonction de policier, et d'avoir interpellé et violenté des manifestants le . L'opposition et les médias mettent en doute la réalité des sanctions infligées par l'Élysée à Benalla et soulignent la communication controversée de l'exécutif. L'affaire met en lumière plusieurs dysfonctionnements au sein de la présidence de la République. Une enquête préliminaire est ouverte par la justice, tandis que le Parlement constitue une commission d'enquête. En novembre 2021, Alexandre Benalla est condamné à trois ans de prison, dont un ferme, et fait appel[679]. Les répercussions médiatiques de l'affaire ont pendant longtemps posé problème à Emmanuel Macron[680].

Affaire Kohler

Début mai 2018, le site Mediapart affirme que le secrétaire général de l'Élysée, Alexis Kohler, « bras droit d'Emmanuel Macron » selon L'Express[681] et « numéro 2 » de sa campagne présidentielle de 2017[682], a des liens familiaux avec l'armateur italo-suisse MSC[681],[682]. D'après les documents révélés par Mediapart, Alexis Kohler est intervenu entre 2010 et 2012 sur des contrats entre une filiale de MSC et le Grand port maritime du Havre (GPMH), alors qu'il était sous-directeur de l'Agence des participations de l'État (APE) et siégeait au conseil de surveillance de GPMH[683]. L'association Anticor dépose une plainte fin mai 2018 auprès du Parquet national financier pour « prise illégale d'intérêts », « trafic d'influence » et « corruption passive »[684],[683]. Selon l'Élysée, cette plainte repose sur « des soupçons totalement infondés jetés sur lui à l'évidence en raison de ses fonctions »[681]. Alexis Kohler n'a aucune fonction chez MSC[681],[685], et selon l'Élysée, Alexis Kohler a toujours déclaré ses liens familiaux avec MSC, évitant de participer aux décisions concernant cette société, et sa hiérarchie a veillé à un éventuel conflit d'intérêts dans « toutes les fonctions qu'il a occupées à l'Agence des participations de l'État, à Bercy et à l'Élysée »[686].

Liens avec le cabinet de conseil McKinsey

En 2007, Macron rencontre dans la commission Attali le président de McKinsey France, Éric Labaye, et Karim Tadjeddine, alors chef des consultants de McKinsey[687]. En 2010, Emmanuel Macron entre avec Karim Tadjeddine dans le think tank En temps réel. Les deux hommes y font la connaissance de Thomas Cazenave avec lequel ils travailleront sur son livre L'État en mode start-up publié en 2016. En 2017, Emmanuel Macron, devenu président de la République, place Thomas Cazenave à la tête de la Direction interministérielle de la transformation publique qui supervise notamment toutes les missions attribuées par l’État aux cabinets de conseil privés comme McKinsey[687],[688].

Par ailleurs, les MacronLeaks montrent qu'une dizaine de membres de McKinsey a travaillé à l'élaboration du programme politique d'Emmanuel Macron pour sa campagne à l'élection présidentielle de 2017. Le parti politique d'Emmanuel Macron, LREM, affirme ne faire appel à aucun cabinet de conseil et le journal Le Monde a vérifié qu'aucune facture de la campagne pour la présidentielle ne concerne McKinsey. Interrogé par Le Monde début 2021, McKinsey préfère ne pas préciser si ses membres se sont engagés dans cette campagne « à titre personnel, bénévolement et sur leur temps libre »[688],[687]. En 2022, Les Décodeurs affirment que les consultants de McKinsey se sont investis sur leur temps libre[689]. Le Journal du dimanche signale que Karim Tadjeddine apparaît dans les MacronLeaks avec son adresse mail de McKinsey et que, interrogé par le Sénat à ce sujet, il a plaidé une erreur[690].

Après l'accession d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, certains des consultants ayant participé à la campagne rejoignent des postes d'influence au sein de la « Macronie »[689], notamment au parti LREM. En 2018, Emmanuel Macron nomme Éric Labaye président de Polytechnique[688],[689].

En , le Parquet national financier ouvre deux nouvelles enquêtes sur les « conditions d'intervention [de McKinsey] dans les campagnes de 2017 et 2022 » d'Emmanuel Macron, la première sur les chefs de « tenue non conforme de comptes de campagne » et « minoration d'éléments comptables dans un compte de campagne » ; et la seconde sur des chefs de « favoritisme » et « recel de favoritisme[691],[692]. Le siège français de McKinsey est perquisitionné le dans le cadre de cette enquête[693] ». En de la même année, des perquisitions sont menées par les gendarmes au siège du parti Renaissance et dans les locaux parisiens du cabinet de conseil dans le cadre des enquêtes judiciaires visant le recours au cabinet de conseil pendant la campagne présidentielle d'Emmanuel Macron en 2017[694],[695].

Autres engagements

Il est membre de la promotion 2012 des « Young Leaders » de la French-American Foundation[696]. Il est membre de la promotion 2013 des « Young Leaders » de la France China Foundation[697].

Il est également administrateur du théâtre de la Ville (Paris)[88] et trésorier de Bibliothèques sans frontières de 2007 à 2012[51].

En 2016, il est nommé « Young Global Leader » par le Forum économique mondial[698].

Jusqu'en 2017, il est administrateur du think tank « En temps réel », où il « a noué de solides amitiés et recruté de puissants soutiens, comme le financier Stéphane Boujnah, le responsable de son programme Jean Pisani-Ferry, son conseiller en politique étrangère François Heisbourg, le patron de la BPI Nicolas Dufourcq, l'assureur et chef de file des Gracques Bernard Spitz, le patron de McKinsey France Karim Tadjeddine ou l'ancienne syndicaliste CFDT Nicole Notat »[185].

Dans la culture populaire

Emmanuel Macron exultant dans les tribunes du stade Loujniki de Moscou, le , après un but français lors de la finale de la Coupe du monde de football de 2018.
Emmanuel Macron représenté comme un roi lors de la manifestation « La fête à Macron », le .

Dans Les Guignols de l'info, Emmanuel Macron est présenté, peu après sa nomination en tant que ministre de l'Économie en août 2014, sous les traits d'un bébé capricieux en costume cravate, opposé au programme politique de François Hollande et proche de Pierre Gattaz[699],[700]. Une marionnette d'adolescent est utilisée par la suite[701] avant de faire place à un double en latex plus ressemblant[702]. L'imitateur Marc-Antoine Le Bret lui prête sa voix. Dans Groland, il est surnommé « Emmanuel Micron » et est interprété par Raphaël Jimenez[703]. Dans les chroniques des humoristes Nicolas Canteloup et Laurent Gerra, Macron est respectivement caricaturé en jeune homme huppé et en protégé de sa femme, qui lui prépare son agenda. Emmanuel Macron est aussi couramment caricaturé sous la forme d'un roi ou d'un empereur napoléonien[704],[705],[706].

La série de bande dessinée La Présidente, de François Durpaire et Farid Boudjellal, s'achève au tome 3 (paru en mars 2017) par la victoire d'Emmanuel Macron — soutenu par Christiane Taubira — contre Marion Maréchal lors d'une élection présidentielle organisée en 2024[707].

Emmanuel Macron est le protagoniste du roman de Marc Welinski Dossier Wasselot (paru en avril 2018). Il y apparaît sous les aspects d'un président-philosophe citant du Marcel Proust et du Marc Aurèle.

Les vidéos de l'humoriste Anne-Sophie Bajon, dite La Bajon, critique d'Emmanuel Macron, totalisent plusieurs millions de vues sur les réseaux sociaux, notamment durant le mouvement des Gilets jaunes[708],[709],[710]. En 2019, Damien Saez sort, à l'occasion de l'anniversaire du début du mouvement des Gilets jaunes, la chanson Manu dans l'cul, où il incarne un Gilet jaune s'adressant au président et fait référence au tag « Macron on veut ton cul », inscrit sur l'arc de triomphe de l'Étoile le [711].

Le personnage d'Emmanuel Macron, alors ministre de l'économie, apparaît brièvement dans le film Adults in the Room de Costa-Gavras sorti en 2019. L'intrigue se déroule en 2015, lors de la crise de la dette grecque. Lors d'une scène, il s'entretient avec son homologue grec Yánis Varoufákis, venu à Bercy pour obtenir le soutien de la France dans ses négociations avec l'Eurogroupe.

Le groupe punk Les Sales Majestés a une chanson intitulée Macron dans son album Overdose (2017). HK fait allusion à Emmanuel Macron dans sa chanson Danser encore, sortie en 2020, lorsqu'il évoque « Monsieur le Bon Roi ».

De nombreux internautes trouvent une ressemblance physique troublante d'Emmanuel Macron avec l'artiste et écrivain français Boris Vian[712].

Il est lauréat 2022 de l'Académie de la Carpette anglaise et déroge à la règle selon laquelle le jury ne décerne jamais son prix à un président en exercice. Selon Philippe de Saint Robert, « Emmanuel Macron a tellement fait étalage de son anglophilie que nous n’avons pas eu le choix »[713],[714],[715].

À l'occasion de la guerre russo-ukrainienne, les Ukrainiens inventent le verbe macroner (forme française de « макронити », makronyty, un néologisme par antonomase), pour désigner le fait de se montrer très inquiet d'une situation, de le dire haut et fort, mais de ne pas agir pour autant[q]. Il est initialement utilisé par les soldats au front : « Entre combattants, on l’utilise à chaque fois que quelqu’un parle pour ne rien dire. »[717]. Puis il apparait sur les réseaux sociaux en Ukraine et y devient très populaire[718],[719],[720],[721],[722]. Rapidement il prend un caractère plus général et l'expression « Arrête de Macroner ! » sert, en Ukraine, à reprocher à quelqu'un qu'il fait semblant d'agir, quel que soit le contexte[723].

Résultats aux élections présidentielles

Année Parti 1er tour 2d tour Issue
Voix % Rang Voix % Rang
2017[724] LREM 8 656 346 24,01 1er 20 743 128 66,10 1er Élu
2022[725] 9 783 058 27,85 1er 18 768 639 58,55 1er Élu

Distinctions

Titres ex officio en tant que président de la République

Décorations françaises

Décorations étrangères

Prix Internationaux

Prix de la presse française

Publications

Ouvrages

  • Emmanuel Macron, Révolution, Paris, XO, , 270 p. (ISBN 978-2-84563-966-9). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    • Revolution: Wir kämpfen für Frankreich, éd. Morstadt, 2017. Traduction en allemand.
    • Rivoluzione, éd. La Nave di Teseo, 2017. Traduction en italien.
    • Revolutie!, éd. Xander Uitgevers, 2017. Traduction en néerlandais.
    • Revolution, éd. Scribe Publications, 2017. Traduction en anglais.
  • Macron par Macron, éditions de l'Aube, 2017.
  • Alain Chardonnens, Emmanuel Macron : Discours de la campagne présidentielle, Paris, L'Harmattan, 2017.

Articles

  • Emmanuel Macron, « La lumière blanche du passé : Lecture de La Mémoire, l'histoire, l'oubli, de Paul Ricœur », Esprit, vol. 8/9, nos 266/267,‎ , p. 16-31 (lire en ligne, consulté le ).
  • Emmanuel Macron, « Christian Delacroix, François Dosse, Patrick Garcia : les Courants historiques en France, XIXe – XXe siècles », Esprit, vol. 8/9, nos 266/267,‎ , p. 238-240 (lire en ligne, consulté le ).
  • Emmanuel Macron, « François Dosse : l'Histoire », Esprit, vol. 8/9, nos 266/267,‎ , p. 238-240 (lire en ligne, consulté le ).
  • Yves Lichtenberger, Emmanuel Macron et Marc-Olivier Padis, « La réhabilitation inattendue de l'université au sein de l'enseignement supérieur », Esprit, vol. 12,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Henri Guillaume et Emmanuel Macron, « Enseignement supérieur, recherche, innovation. Quels acteurs ? », Esprit, vol. 12,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Emmanuel Macron, « Les labyrinthes du politique. Que peut-on attendre pour 2012 et après ? », Esprit,‎ , p. 106-115 (lire en ligne, consulté le ).
  • Emmanuel Macron, « La France a toutes ses chances, pour peu qu'elle reprenne confiance », Les Echos,‎ (lire en ligne).
  • Emmanuel Macron, « Croire aux chances de la France », Les Echos,‎ (lire en ligne).
  • Emmanuel Macron, « Construire une « alliance de Paris pour le climat » », Annales des Mines - Responsabilité et Environnement, vol. 2, no 78,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
  • Emmanuel Macron, « Avant-propos », Annales des Mines - Responsabilité et Environnement, vol. 2, no 82,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
  • Emmanuel Macron, « La France doit être en première ligne », Inventer demain : 20 projets pour un avenir meilleur,‎ , p. 89-91.
  • Emmanuel Macron, « La réforme, c'est une méthode, de la clarté, pas une saignée », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  • Emmanuel Macron, « Pour une renaissance européenne », tribune publiée le par plusieurs médias français et européens[750],[751].
  • (en) Emmanuel Macron, « France is against ‘Islamist separatism’ — never Islam », Financial Times,‎ (lire en ligne).
  • Emmanuel Macron, « Réenchanter le monde », L'Express,‎ (lire en ligne).

Préfaces

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Chargé du pôle de l'économie et de la finance.
  2. Ministre de l'Économie, du Redressement productif et du Numérique.
  3. Ministre de l'Économie et des Finances.
  4. Christophe Sirugue devient secrétaire d'État à l'Industrie sous la direction de Michel Sapin.
  5. Prononciation en français de France retranscrite selon la norme API.
  6. Le responsable des fédérations au PS Alain Fontanel indique quelques jours après sa nomination à Bercy qu'Emmanuel Macron n'est pas à jour de cotisation. Source : Macron, militant PS depuis 2006, n'est plus à jour de cotisation depuis 5 ans, Le Nouvel Observateur, .
  7. Le 1er octobre 2014, peu après que le service UberPop est devenu illégal, un lobbyiste de Uber sort d'une rencontre avec M. Macron et écrit à ses collègues « En un mot : spectaculaire. Du jamais-vu. Beaucoup de boulot à venir, mais on va bientôt danser ;) […] Meeting méga top avec Emmanuel Macron ce matin. La France nous aime après tout. »
  8. De façon générale, Les Décodeurs estiment que tirer des conclusions complètes sur l'efficacité des réformes est prématuré.
  9. Devant Louis-Napoléon Bonaparte, élu à 40 ans en 1848. Il est aussi le plus jeune chef d'État français depuis la désignation en 1799 de Napoléon Bonaparte comme Premier consul à 30 ans.
  10. Et le cinquième plus jeune dans le monde, derrière la capitaine-régente de Saint-Marin Vanessa D'Ambrosio (29 ans), le dictateur nord-coréen Kim Jong-un (34 ans), l'émir du Qatar Tamim ben Hamad Al Thani (36 ans), le roi du Bhoutan Jigme Khesar Namgyel Wangchuck (37 ans)[240],[241] et le président du Conseil politique suprême du Yémen Saleh Ali al-Sammad (38 ans).
  11. En septembre 2017, 2 500 classes de CP sont dédoublées ou bien renforcées avec un instituteur supplémentaire dans les zones REP +.
  12. « On met un pognon de dingue dans les minima sociaux » ; « Je traverse la rue, je vous trouve [un emploi] », lors d'un échange avec un chômeur.
  13. Il explique que Donald Trump a commis « une faute pour l'avenir de notre planète » et qu'il « n'y a pas de plan B car il n'y a pas de planète B », et réaffirme « l'implication totale » de la France et de beaucoup d'autres pays pour pleinement respecter cet accord.
  14. Le premier président de la Cinquième République, Charles de Gaulle, a été réélu en 1965, mais il s'agissait de la première élection présidentielle au suffrage universel direct. Sortant d'une période de cohabitation, avec Jacques Chirac comme Premier ministre, François Mitterrand a été réélu en 1988, alors que Chirac, qui cohabitait depuis 1997 avec le Premier ministre Lionel Jospin, a conservé ses fonctions en remportant l'élection présidentielle de 2002. En revanche, Georges Pompidou (mort en 1974 en cours de mandat), Valery Giscard d'Estaing, Nicolas Sarkozy et François Hollande, qui n'ont pas connu la cohabitation, n'ont effectué qu'un seul mandat
  15. Il affirme que Michel Rocard « est celui qui [l]'a fait venir à l'action politique », tout en s'en distinguant par ailleurs
  16. Le doctorant Josselin Dravigny met en avant la continuité de ses propositions « concernant les négociations européennes autour des questions migratoires, qui s’inscrivent dans ce qui a été décidé depuis plusieurs années ». Il précise : « En effet, sa volonté d’aboutir à un « Schengen renforcé » en augmentant le nombre de garde-côtes de Frontex, d’accentuer la lutte contre les passeurs, d’externaliser les contrôles aux frontières au sein des pays voisins non membres de l’UE, de multiplier les accords de réadmission signés entre l’Union européenne et les pays tiers (de transit ou d’origine des flux migratoires) et de conditionner l’aide au développement débloquée par Bruxelles à l’adoption de mesures de lutte contre l’immigration irrégulière par les pays tiers sont autant d’éléments qui figurent sur la feuille de route européenne. ».
  17. Ne pas confondre avec la définition humoristique créée par Bernard Pivot en 2016 : « Macroner. Verbe irrégulier. Déf.: marcher, marcher surtout de gauche à droite. Syn.: zigzaguer. Ex.: sur l'eau Jésus macronait-il ? »[716].

Références

  1. (de) Biografie - Emmanuel Macron, sur whoswho.de, consulté le 26 avril 2018.
  2. a et b Georges Charrières, « Emmanuel Macron, un Amiénois à l'Élysée », sur Le Courrier picard, .
  3. Vincent Delorme, « Emmanuel Macron ministre : un Amiénois à Bercy », sur France Bleu Picardie, (consulté le ).
  4. a et b Anne Fulda, « Emmanuel Macron - Le cerveau droit de Hollande », Le Figaro Magazine, semaine du , p. 32-35.
  5. Christian Jouvenot, Macron tombé du ciel !, Paris/14-Condé-sur-Noireau, L'Harmattan, , 142 p. (ISBN 978-2343173948, lire en ligne).
  6. Qui sont le frère et la sœur d’Emmanuel Macron ?, Gala, .
  7. Samya Yakoubaly, « Emmanuel Macron "précoce" avec Brigitte : Son père se confie sur ses relations avec sa belle-fille », sur purepeople.com, .
  8. Jean-Louis Beaucarnot, « Les origines d’Emmanuel Macron », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  9. « Le prieuré, l’une des priorités de l’année à Authie (…) L’arrière-grand-père d’Emmanuel Macron, Henri Macron, a été maire du village », Le Courrier picard, .
  10. « Le grand-père de Macron était cheminot », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. Antoine Flandrin, « Centenaire du 11-Novembre : Macron et ses ancêtres les poilus », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. « Emmanuel Macron s'offre un bain de foule à Bagnères-de-Bigorre », sur Franceinfo, (consulté le ).
  13. « Sébastien Cauet: «J’ai récemment découvert que j’étais cousin avec Emmanuel Macron» », sur TV Magazine, (consulté le ).
  14. a b et c « Germaine Noguès: influence majeure de la vie d'Emmanuel Macron », sur RMC (consulté le ).
  15. Marc Fourny, « Françoise, Manette et "Bibi" : les trois femmes d'Emmanuel Macron », sur Le Point, (consulté le ).
  16. « Emmanuel Macron baptisé contre l'avis de son père », sur Femme Actuelle (consulté le ).
  17. a et b « Emmanuel Macron a-t-il la foi ? », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  18. « Quel catholique est Emmanuel Macron ? », sur TF1 INFO, (consulté le ).
  19. Mathilde Roche et Luc Peillon, « Emmanuel Macron a-t-il vraiment été «lauréat» du concours général de français en 1994 ? », sur liberation.fr, (consulté le ).
  20. VDM, Cinq choses à savoir sur Emmanuel Macron, Europe 1, .
  21. a et b « Macron, mon copain d'avant », sur Le Parisien, (consulté le ).
  22. « Au lycée Henri-IV, les infortunes du jeune Macron », sur Le Monde, (consulté le ).
  23. Dionysios Dervis-Bournias, « Emmanuel et Brigitte Macron et le Théâtre », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  24. Émilie Cabot, « Quels étaient les résultats du bac de l’élève Emmanuel Macron? », Paris Match,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. a et b « Emmanuel Macron, ancien conseiller du prince aux manettes de Bercy », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  26. Natacha Lefauconnier, « Sciences po et l'université de Nanterre mettent en avant l'étudiant Macron », l'Etudiant,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. a et b « Emmanuel Macron, promotion 2001 », sur Sciences Po, (consulté le ).
  28. Jean-Marc De Jaeger, « L’université de Nanterre félicite Emmanuel Macron, son ancien étudiant en philosophie », Le Figaro Etudiant,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Mémoire : Le Fait politique et la Représentation de l'histoire chez Machiavel.
  30. Mémoire : L'Intérêt général : lecture et principes de la philosophie du droit de Hegel.
  31. a b c d e f et g Odile Benyahia-Kouider, Ils ont marqué 2012 : Emmanuel Macron, l'enfant prodige de l'Élysée, Le Nouvel Observateur, 28 décembre 2012.
  32. a et b Charlotte Cieslinski, « Macron philosophe: ces intellectuels qui n'y croient pas », sur L'Express, (consulté le ).
  33. « Emmanuel Macron, de la philosophie au ministère de l'Économie », sur philomag.com, (consulté le ).
  34. Nicolas Truong, « Petite philosophie du macronisme », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  35. a et b « Paul Ricœur, le mentor du jeune Macron », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Emmanuel Macron, premier Président qui n’a pas fait son service militaire, lopinion.fr, 9 mai 2017, consulté le 26 avril 2018.
  37. Arrêté du 14 février 2002 portant nomination des élèves de la promotion 2002-2004 de l’École nationale d'administration (lire en ligne).
  38. « La promotion Voltaire (1980), l'une des plus prestigieuses de l'ENA », sur gqmagazine.fr (consulté le ).
  39. « Conseil d'Etat, 10-9 sous-sect. réun., 10 janvier 2007, M. Etienne Grass et autres, n°279864, Rec. Lebon 8 », sur Legifrance.gouv.fr, (consulté le ).
  40. a b c et d Charlotte Chabas, « Emmanuel Macron, de « Mozart de l'Élysée » à ministre de l'économie », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  41. « Présidentielle : dix choses que vous ignorez peut-être sur Emmanuel Macron », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. « D’où vient Emmanuel Macron ? », sur lesechos.fr (consulté le ).
  43. a et b Arrêté du 9 avril 2004 portant affectation aux carrières des élèves de la promotion 2002-2004 « Léopold Sédar Senghor » de l'École nationale d'administration sur le site Légifrance.
  44. a et b François Clemenenceau, « Pourquoi Emmanuel Macron s'intéresse à l'Afrique », sur Journal du Dimanche, (consulté le ).
  45. Alain Faujas, Emmanuel Macron, le coup droit de Hollande, Jeune Afrique, le .
  46. Gaël Rivallain, « Ce banquier énarque amiénois qui remplace Montebourg », sur courrier-picard.fr, (consulté le ).
  47. a et b François Clemenceau, « Quand Emmanuel Macron découvrait l'Amérique à 29 ans », sur Journal du Dimanche, (consulté le ).
  48. Nicolas Truong, « Emmanuel Macron, un intellectuel en politique ? », sur Le Monde, (consulté le ).
  49. « Le roman d'un ambitieux », sur Marianne, (consulté le ).
  50. Challenges, no 450, p. 63.
  51. a b c d e f g et h Endeweld 2015.
  52. François Dosse, Le philosophe et le président, Stock, , 256 p. (ISBN 978-2-234-08465-0, lire en ligne).
  53. Fabrice Leviel, « Emmanuel Macron, le nouveau ministre de l'Économie, réside au Touquet », La Voix du Nord, .
  54. Marie Boscher, « Emmanuel Macron vous présente sa femme, Brigitte », Femme actuelle, .
  55. « Vidéo. Les images du mariage d'Emmanuel Macron et de Brigitte Trogneux diffusées », sur Le Parisien, .
  56. a b c d et e David Bensoussan, « Les redoutables réseaux de Macron », sur Challenges, (consulté le ).
  57. a et b Jérôme Lefilliâtre, « Ces journaux qui en pincent pour Macron », sur liberation.fr, (consulté le ).
  58. Olivier Faye et Solenn de Royer, « Brigitte Macron, la coach de l’Elysée », sur Le Monde, .
  59. Matheiu Lecerf, « Brigitte Macron et André-Louis Auzière : une séparation houleuse », sur Gala, .
  60. « Les dessous de la rencontre entre Brigitte et Emmanuel Macron dévoilés », sur RMC (consulté le ).
  61. a b c et d Grégoire Biseau, « Avec Macron, l'Élysée décroche le poupon », Libération,‎ (lire en ligne).
  62. « Vidéo : rencontre, mariage, les films souvenirs du couple Macron », Femme actuelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. Claire Guélaud, « Emmanuel Macron, monsieur superlatif », sur Le Monde, (consulté le ).
  64. Jean-Pierre Thiollet, 88 notes pour piano solo, Neva Éditions, 2015 (ISBN 978-2-35055-192-0) (BNF 44332668), p. 193.
  65. « Pyrénées : Emmanuel Macron en marche sur les terres de son enfance - France 3 Occitanie », France 3 Occitanie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  66. a et b « Stade Bleu Présidentiel : JO 2024, politique sportive, l'OM… ce qu'il faut retenir de l'interview d'Emmanuel Macron », France Bleu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  67. Luc Vinogradoff, « Le portrait officiel d’Emmanuel Macron donné en exclusivité aux réseaux sociaux », billet du blog Big Browser, sur Le Monde, (consulté le ).
  68. a et b « Le Pen, Hamon, Macron, Fillon et les autres : quels sont leurs films, chanteurs et séries préférés? », sur Le Journal du dimanche, (consulté le ). Emmanuel Macron parle de ses découvertes littéraires dans une interview à La Nouvelle Revue française () reproduite par Le Monde : « Emmanuel Macron : « Paradoxalement, ce qui me rend optimiste, c’est que l’histoire en Europe redevient tragique » », sur Le Monde, (consulté le ).
  69. Jean-Laurent Cassely, « Le grand écart culturel d'Emmanuel Macron », sur Slate, (consulté le ).
  70. Claire Guélaud, Emmanuel Macron, un banquier d'affaires nommé secrétaire général adjoint de l'Élysée, Le Monde, .
  71. Sophie Coignard, « Coignard - Derrière Macron, l'ombre de Jouyet », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  72. « Rapport sur la valorisation de la recherche - Inspection générale des finances / Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche - Janvier 2007 » [PDF], sur Vie-publique.fr, (consulté le ).
  73. Maxence Langlois-Berthelot, Emmanuel Macron et Pierre-Alain de Malleray, « L'avenir de la recherche mérite mieux que des polémiques », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  74. [PDF] « Rapport sur la fraude aux prélèvements obligatoires et son contrôle - Mars 2007 », sur le site de la Cour des comptes.
  75. [PDF] « Rapport sur la répartition des prélèvements obligatoires entre générations et la question de l'équité intergénérationnelle - Novembre 2008 », sur le site de Vie-publique.fr.
  76. a et b « Pays basque : Emmanuel Macron a été son professeur », sur SudOuest.fr, (consulté le ).
  77. Kira Mitrofanoff, « Ipesup change de main pour grandir », sur Challenges, (consulté le ).
  78. Kira Mitrofanoff, « Ipesup, la prépa chérie des CSP+, est à vendre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Challenges, (consulté le ).
  79. « Prépa ENA »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Groupe Ipesup, (consulté le ).
  80. François-Xavier Bourmaud, Macron, l'invité surprise, l'Archipel, (ISBN 978-2-8098-2191-8)
  81. « Laurence Parisot se dit «prête» pour Matignon », sur Le Figaro, (consulté le ).
  82. Décret no 2007-1272 du instituant une commission pour la libération de la croissance française sur le site Légifrance.
  83. Décret no 2010-223 du relatif à la commission pour la libération de la croissance française sur le site Légifrance.
  84. a b c et d Isabelle Chaperon, « Les années Rothschild d’Emmanuel Macron », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  85. a et b Elsa Freyssenet et Nathalie Silbert, « Aux origines du phénomène Macron », sur lesechos.fr, .
  86. Mariana Grépinet, « Brigitte et Emmanuel Macron, ensemble dans la même direction », Paris Match, semaine du 24 au 30 novembre 2016, p. 64-71.
  87. a et b Rémi Noyon, « Au fait, il faisait quoi chez Rothschild, Emmanuel Macron ? », sur le site Rue89 du groupe L'Obs, (consulté le ).
  88. a b et c David Bensoussan, « Macron, ce chouchou des patrons qui succède à Montebourg », Challenges,‎ (lire en ligne).
  89. a b et c Anne Brigaudeau, Quand Emmanuel Macron était banquier d'affaires : « Un élément prometteur, mais sans plus », sur francetvinfo.fr, consulté le .
  90. « Comment Macron m’a séduit puis trahi », sur StreetPress, (consulté le ).
  91. a b et c "Des révélations sur Emmanuel Macron menacées de censure", par Théophile Kouamouo sur Le Média, avec Jean-Baptiste Rivoire, cofondateur de "Off-investigation" et Jean-Christophe Parant, président de Dot Dot Media [1], site=youtube.
  92. a b c d et e Rédaction de Mediapart, « Médias: quand Macron était l'agent double de Minc dans la bataille du «Monde» », Mediapart,‎ (lire en ligne).
  93. Elsa Conesa, « Rothschild & Cie coopte trois nouveaux associés », sur Les Échos, (consulté le ).
  94. a et b Corinne Lhaïk, Marcelo Wesfreid et Marie Simon, « La bombe Macron », L'Express, 2 septembre 2014.
  95. a b c d et e Marc Endeweld, « Macron, ce jeune chevènementiste »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur marianne.net, (consulté le ).
  96. Prissette 2016b, p. 79.
  97. Corinne Lhaïk, Président cambrioleur, Fayard, , 342 p., p. 65.
  98. a et b AFP, « Macron, militant PS depuis 2006, n'est plus à jour de cotisation depuis 5 ans », L'Obs, (consulté le ).
  99. Le scan politique, « Emmanuel Macron n'est plus encarté au Parti socialiste », sur Le Figaro, (consulté le ).
  100. a et b Grégoire Biseau, « Le symbole de la Macron-économie », sur liberation.fr, (consulté le ).
  101. Grégoire Biseau, Les Gracques pris en flagrant délit de déni, Libération, .
  102. Fulda 2017, p. 193.
  103. a b et c « Emmanuel Macron : l'homme du Président », sur Visions Mag, (consulté le ).
  104. Julien Rebucci, « Les Inrocks - Quand Emmanuel Macron voulait être de droite », sur Les Inrocks (consulté le ).
  105. David Le Bailly, Julien Martin et Caroline Michel, « Le candidat, l'argent et les fantasmes », L'Obs, no 2722,‎ , p. 30 (lire en ligne, consulté le ).
  106. Prissette 2016b, p. 38.
  107. Bourmaud 2016.
  108. « La première biographie consacrée à Emmanuel Macron », Paris Match, semaine du 3 au 9 décembre 2015, page 50.
  109. Corinne Lhaïk, Élysée: Emmanuel Macron, l'ex-banquier qui murmure à l'oreille de François Hollande, L'Express, .
  110. Arrêté du 15 mai 2012 portant nomination à la présidence de la République publié au Journal officiel du .
  111. « Le cabinet du Président de la République »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), elysee.fr, .
  112. Gérard Davet et Fabrice Lhomme, « La dévorante ambition d’Emmanuel Macron », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  113. Daniel Schneidermann, « Président des riches, enfin la preuve ! », sur arrêt sur images.net, (consulté le ).
  114. Prissette 2016b, p. 142-143.
  115. Prissette 2016b, p. 144-145.
  116. AFP, « Macron propose d'élargir les dérogations aux 35 heures », sur liberation.fr, (consulté le ).
  117. « Macron, nouveau patron surprise de Bercy, en rupture avec Montebourg »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur L'Expansion, (consulté le ).
  118. Emmanuel Berretta, Pacte de responsabilité : haro sur Emmanuel Macron !, Le Point, .
  119. N.G. et Isabelle Gollentz, « Emmanuel Macron à Bercy, un « beau symbole » », sur BFM Business, (consulté le ).
  120. a b et c Emmanuel Berretta, « Hollande remanie l'Élysée et recrute Laurence Boone », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  121. Jean-Sébastien Lefebvre et Clémentine Forissier, « Le retour de Philippe Léglise-Costa à Bruxelles ou le grand chelem d’un diplomate », sur contexte.com, (consulté le ).
  122. Marie Herbet, « Cacophonie au sommet de l’État sur la gestion des affaires européennes », sur contexte.com, (consulté le ).
  123. Fanny Guinochet, « Pourquoi le gouvernement a cédé sur le salaire des patrons : les dessous d'un deal », sur L'Opinion.fr, (consulté le ).
  124. « Bilderberg Copenhagen 2014: Full list of official attendees », sur Metro.co.uk, (consulté le ).
  125. a et b Sophie Fay, « INFO OBS. Emmanuel Macron prépare son départ de l'Élysée », sur tempsreel.nouvelobs.com, (consulté le ).
  126. Marie Visot, « Laurence Boone, une forte tête à l'Élysée », Le Figaro, encart « Culture », 11 juin 2014, page 38.
  127. Solenn de Royer, « Plusieurs conseillers de François Hollande quittent l'Élysée », Le Figaro, 11 juin 2014, page 2.
  128. « Élysée : Hollande chamboule son cabinet », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  129. Nicolas Daniel, Philippe Lagnier et Romain Marchal, « Le roman d'une ambition », sur Envoyé spécial, (consulté le ). À partir de 26:40
  130. a b et c Sophie Lécluse, « Emmanuel Macron : ses réseaux, ses amis, ses adversaires, ses camarades du peuple… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur capital.fr, (consulté le ).
  131. « Macron ou l’américanisation de la vie politique », France Inter,‎ (lire en ligne, consulté le )
  132. « La bombe Macron », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  133. Laurent Mauduit, « Les échanges de bons procédés entre Macron et son ami Gosset-Grainville » (consulté le ).
  134. Emmanuel Macron remplace Arnaud Montebourg comme ministre de l'Économie, Le Figaro, .
  135. Thibaut Pezerat, « Qui est Emmanuel Macron, le nouveau ministre de l'Economie », sur Le Lab, (consulté le ).
  136. Claire Cambier, « La popularité de Macron, une tendance de fond ? », sur LCI, (consulté le ).
  137. Christophe Carmarans, Emmanuel Macron: son adversaire, c'est la défiance, RFI, .
  138. a et b V.V. (avec Nicolas Prissette), « Macron, l'anti-Montebourg », leJDD.fr, 26 août 2014.
  139. Lénaïg Bredoux et Martine Orange, « Emmanuel Macron, symbole de la dérive libérale de l'exécutif », Mediapart, .
  140. « Emmanuel Macron, la « sauce libérale » du gouvernement ? », sur Le Monde, (consulté le ).
  141. Guillaume Stoll, « A gauche, le "Macron-bashing" bat son plein », sur L'Obs, (consulté le ).
  142. [vidéo] Ministère de l'Économie et des Finances, « Passation de pouvoirs entre Arnaud Montebourg et Emmanuel Macron, à Bercy, le 27 août 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  143. « Alexis Kohler nommé directeur de cabinet d'Emmanuel Macron », sur Le Monde, (consulté le ).
  144. Prissette 2016b, p. 83.
  145. Samuel Laurent, « Travail du dimanche, pouvoir d'achat… ce que prévoit (ou pas) la future loi Macron », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  146. « Loi Macron : 200 nouvelles lignes d'ici fin 2016 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur busetcar.com (consulté le ).
  147. Jean-Marc Vittori, « Pourquoi le marteau du 49-3 est un outil indispensable ? », sur Les Échos, (consulté le ).
  148. Décision du conseil constitutionnel no 2015-715, DC du .
  149. Loi Macron no 2015-990 du 6 août 2015 pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques.
  150. Endeweld 2018, p. 270.
  151. Marie Visot, « La Loi Macron ne devrait créer que peu de croissance », sur Le Figaro, (consulté le ).
  152. a b c d et e Anne-Aël Durand, Alexandre Pouchard, « Quel est le bilan d'Emmanuel Macron au gouvernement ? », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  153. Simon Blin, « Les «cars Macron» connaissent leur première suppression d'emplois », sur liberation.fr, (consulté le ).
  154. Philippe Jacqué, « « Autocars Macron » : 1,9 million de passagers en huit mois », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  155. Patrick Roger, « Emmanuel Macron, malmené à l’Assemblée nationale », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  156. Claude Soula, « Renault : la bataille entre Ghosn et Macron prend fin », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  157. Guillaume Errard, « Comment Macron va permettre au salaire des grands patrons de grossir », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  158. BFM BUSINESS, « Emmanuel Macron à l’origine de la guerre entre Renault et Nissan », sur BFM BUSINESS (consulté le ).
  159. Laurent Mauduit, « Toulouse: la privatisation de l’aéroport annulée », sur mediapart.fr, (consulté le ).
  160. a b c et d Mathieu Magnaudeix, « Macron rattrapé par son bilan à Bercy », Mediapart, (consulté le ).
  161. « « Uber Files » : révélations sur le deal secret entre Uber et Emmanuel Macron à Bercy », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  162. Sacha Nelken, « Comment Emmanuel Macron a fait l’agent d’Uber », sur Libération (consulté le ).
  163. « « Uber Files » : en 2017, une forte proximité idéologique entre Uber et la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  164. LIBERATION, « Après celui d’Uber, un lobbyiste d’Amazon aurait aussi participé à la campagne d’Emmanuel Macron en 2017 », sur Libération (consulté le ).
  165. a et b « Plan social chez General Electric : pourquoi les critiques pleuvent sur Emmanuel Macron », sur France 24, (consulté le ).
  166. a et b « 1000 emplois supprimés par General Electric : l’histoire d’un piège américain et d’une trahison française », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  167. Le Point magazine, « Les syndicats dénoncent des licenciements boursiers chez GE », sur Le Point, (consulté le ).
  168. « Alstom : Montebourg épingle Macron », sur lefigaro.fr, .
  169. Cédric Pietralunga et Patrick Roger, « Emmanuel Macron se défend d'avoir laissé tomber Alstom », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  170. Philippe Piot, « Macron et Alstom : décision « condamnable » », sur estrepublicain.fr, (consulté le ).
  171. David Malle, « Exclu - Emmanuel Macron sur Alstom : « Il faut regarder la réalité en face pour ne pas faire de fausses promesses » », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  172. a et b « Chevènement vole au secours de Macron après les critiques sur le dossier Alstom », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  173. Alexandre Devecchio et Jean-Michel Quatrepoint, « Vente d'Alstom : le dessous des cartes », sur Le Figaro (FigaroVox), (consulté le ).
  174. Elie Cohen, « Alstom, l'histoire d'une longue descente aux enfers », sur Slate.fr, (consulté le ).
  175. Natacha Polony, « Alexis Kohler, le « ministre de la désindustrialisation » », sur France inter, (consulté le ).
  176. Bruno Amable, « Réindustrialisation, qui a confiance en Emmanuel Macron? », sur Libération, (consulté le ).
  177. a et b « Le vrai du faux. "Emmanuel Macron a présidé le dépeçage d'Alstom" », sur Franceinfo, (consulté le ).
  178. « Emmanuel Macron et Alstom, une longue histoire », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  179. a et b « Affaire Alstom-GE : la justice saisie par l’ancien président de la commission d’enquête parlementaire », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  180. « Vente, mensonges et auditions : ces 5 questions au cœur de l'affaire Alstom », sur Les Echos, (consulté le ).
  181. Emmanuel Jarry, Danielle Rouquié, Jean-Baptiste Vey et Yves Clarisse, « Lead 2-France-Un député vise Macron dans un signalement sur Alstom », sur Reuters, (consulté le ).
  182. « Le rachat par EDF des anciennes turbines d’Alstom répare un « péché originel » d’Emmanuel Macron », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  183. « Nucléaire: EDF rachète à GE un joyau technologique français, les turbines Arabelle, les plus puissantes du monde », sur La Tribune, (consulté le ).
  184. Bourmaud 2017. Cité dans Fulda 2017, p. 175.
  185. a et b Mathieu Magnaudeix, « A l’Assemblée, le pouvoir installe ses têtes », sur Mediapart.fr, (consulté le ).
  186. a et b Vincent Martigny, « A gauche, la fin de la synthèse sociale-démocrate », dans Pascal Perrineau (dir.), Le Vote disruptif, Paris, Presses de Sciences Po, (lire en ligne), p. 48-49.
  187. Cédric Pietralunga, « Macron, un social-libéral désormais décomplexé », sur Le Monde, (consulté le ).
  188. « Macron le déloyal ? », interview d'Emmanuel Macron sur Mediapart, 2 novembre 2016. À partir de 9:50.
  189. a b c et d Fanny Guinochet, Cyrille Lachèvre, « Emmanuel Macron, le dernier maillon fort qui pourrait lâcher », sur L'Opinion.fr, (consulté le ).
  190. a et b Martine Orange, « L'ombre portée de l'Europe sur la loi travail », sur Mediapart, (consulté le ).
  191. « Emmanuel Macron aurait pu devenir Premier ministre de François Hollande en février 2016 », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  192. a et b Antoine Llorca, « Macron Premier ministre de Hollande en 2016 ? Ce remaniement qui aurait tout changé », sur LCI, (consulté le ).
  193. Prissette 2016b, p. 162.
  194. Serge Raffy, « Entre Sarkozy et Macron, l’entente secrète », L'Obs, no 2851,‎ , p. 22 (lire en ligne, consulté le ).
  195. Alexandre Boudet, « En Marche ! », le mouvement politique lancé par Emmanuel Macron », huffingtonpost.fr, .
  196. a et b Amandine Réaux, « Finalement, le parti d'Emmanuel Macron est « et de droite, et de gauche » (mais surtout progressiste) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Le Lab, (consulté le ).
  197. Thomas Wieder, « Le pari libéral d'Emmanuel Macron », sur Le Monde.fr, (consulté le ).
  198. Nicolas Prissette, « Macron et l'héritage de Jeanne d'Arc », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  199. Corinne Lhaïk, « Macron-DSK, si loin, si proches », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  200. a et b Gaël Brustier, « Macron ou la «révolution passive» des élites françaises », sur Slate, (consulté le ).
  201. Marie Visot, « Michel Sapin-Emmanuel Macron : les meilleurs ennemis de Bercy », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  202. Prissette 2016b, p. 255.
  203. Bastien Bonnefous, Patrick Roger, « La mauvaise passe d'Emmanuel Macron », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  204. Bruno Jeudy, « Macron, marche arrière toute! », sur parismatch.com, (consulté le ).
  205. « Macron à Orléans : c'est quoi les Fêtes johanniques, si prisées des politiques ? », sur lci.fr, (consulté le ).
  206. « A Orléans, Emmanuel Macron a rendu hommage à Jeanne d'Arc qui « a su rassembler la France » », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  207. Nathalie Raulin, « Avec Jeanne d'Arc, Macron attend des voix », sur liberation.fr, (consulté le ).
  208. Nathalie Raulin, « Macron: «L'honnêteté m'oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste» », sur liberation.fr, (consulté le ).
  209. a et b Jean-Marie Pottier, « Emmanuel Macron, la démission continue », sur Slate, (consulté le ).
  210. « L'histoire secrète de la démission d'Emmanuel Macron », sur France Info, (consulté le ).
  211. Sébastien Seibt, « Emmanuel Macron démissionne pour se consacrer à son mouvement En Marche », sur France 24, (consulté le ).
  212. Grégoire Poussielgue, « Macron démissionne avec l'Élysée en ligne de mire », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  213. Baptiste Legrand, « Emmanuel Macron démissionne : "C'est une nouvelle étape qui commence" », sur L'Obs, (consulté le ).
  214. David Revault d'Allonnes, « Hollande : « Emmanuel Macron m'a trahi avec méthode » », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  215. « Pour Emmanuel Macron, François Hollande a fait « les choses à moitié » », sur Le Monde, (consulté le ).
  216. « Les Français et la démission d’Emmanuel Macron du gouvernement », IFOP, (version du sur Internet Archive).
  217. « Emmanuel Macron : « il y a aujourd'hui une gauche du réel et une gauche statutaire » », sur Le Monde, (consulté le ).
  218. Marc de Boni, « 2017 : Macron calme le jeu et se range derrière Hollande », sur Le Figaro, (consulté le ).
  219. Nabil Touati, « Emmanuel Macron a une drôle de définition des mots « traître » et « loyauté » »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  220. « Macron dresse l’état de la France », sur lalsace.fr, (consulté le ).
  221. « Macron au Mans, un discours de candidat », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  222. « VIDEO - Exalté, Macron conclut son meeting en hurlant », Marianne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  223. « Replay. Présidentielle : revivez en intégralité le grand meeting d'Emmanuel Macron à Paris », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  224. « Démonstration de force d'Emmanuel Macron à Lyon », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  225. « Ce qu'il faut retenir du meeting d'Emmanuel Macron à Paris », RTL.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  226. Ludovic Vigogne, « 2016, la folle année du livre politique », sur L'Opinion.fr, (consulté le ).
  227. Anne-Charlotte Dusseaulx, « Taubira et Sarkozy en tête des ventes de livres politiques en 2016 », sur challenges.fr, (consulté le ).
  228. François Clapeau, « Comptes de campagne des candidats : Emmanuel Macron champion des dépenses », sur France Info, (consulté le ).
  229. BFMTV, « Comptes de campagne présidentielle: Macron champion de la dépense », sur BFMTV, .
  230. « Campagne présidentielle : Emmanuel Macron le plus dépensier, Jean Lassalle le plus économe », FIGARO,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  231. « Comptes de campagne : Emmanuel Macron a été le plus dépensier, Jean Lassalle le plus économe », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  232. Daniel Schneidermann, Emmanuel Macron, «candidat des médias» : autopsie d’un choix implicite, Libération, .
  233. Thomas Legrand, « Macron est-il une bulle ? », sur France Inter.fr, (consulté le ).
  234. Didier Kottelat, « Les Macron Leaks, itinéraire d'une opération de déstabilisation politique », RTS Info, Radio télévision suisse,‎ (lire en ligne [vidéo]) [html].
  235. (en) Eric Auchard et Bate Felix, « French candidate Macron claims massive hack as emails leaked », sur Reuters, .
  236. « En marche ! dénonce un piratage « massif et coordonné » de la campagne de Macron », sur Le Monde, .
  237. « Les résultats du premier tour de l’élection présidentielle 2017 », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  238. « Emmanuel Macron est élu président de la République avec 66,1 % des voix », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  239. « Protocole, hommages et discours : les premiers pas d’Emmanuel Macron président », sur Le Monde (consulté le ).
  240. Anne-Aël Durand, Eléa Pommiers et Maxime Delrue, « Élu président à l’âge de 39 ans, Emmanuel Macron sera le plus jeune chef d’État en fonction dans une démocratie », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
  241. Geoffroy Clavel, « Seuls trois chefs d'État sont plus jeunes que Macron: devinez lesquels », sur HuffPost, (consulté le ).
  242. « Édouard Philippe, le maire Les Républicains du Havre, nommé premier ministre », sur lemonde.fr (consulté le ).
  243. « Parité, équilibre gauche-droite, âge… Ce qu'il faut retenir du premier gouvernement du quinquennat Macron », sur Franceinfo (consulté le ).
  244. Hélène Combis et John Scheid, « "Président jupitérien" : comment Macron comptait régner sur l'Olympe (avant les Gilets jaunes) », sur France Culture, (consulté le ).
  245. Louis Nadau, « Hamon trouve « Jupiter » ridicule », sur BFM TV, (consulté le ).
  246. Cyril Simon, « Poutine reçu à Versailles : pourquoi Macron a-t-il fait ce choix ? », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  247. Céline Hussonnois-Alaya, « Macron: ce que signifie « président jupitérien » », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  248. Harold Hauzy, « Emmanuel Macron ou Jupiter 2.0 ? », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  249. Élodie Guéguen et Sylvain Tronchet, « Une dizaine d’employés du Modem étaient rémunérés comme assistants parlementaires européens », sur France Info, (consulté le ).
  250. Hervé Nathan, « Moralisation : une loi paratonnerre pour Macron contre l'affaire Ferrand », sur Marianne, (consulté le ).
  251. « Bayrou sous le feu des critiques pour avoir retweeté le message de défense de Sarnez », sur LCI (consulté le ).
  252. Kocila Makdeche, « Goulard, Bayrou, de Sarnez : comment expliquer la démission de tous les ministres MoDem ? », sur France Info, (consulté le ).
  253. Jean-Marc Vittori, « Bilan Macron : en un an, beaucoup de réformes, peu de révolutions », sur Les Échos, (consulté le ).
  254. Maryline Baumard, Elise Barthet, Mattea Battaglia, Sarah Belouezzane, Jean-Baptiste Jacquin, Audrey Tonnelier, Bertrand Bissuel et Camille Stromboni, « Un an après son élection, quel bilan pour les réformes d’Emmanuel Macron ? », sur Le Monde, (consulté le ).
  255. Valérie Mazuir, « IFI, le nouvel ISF version Macron », sur Les Échos, (consulté le ).
  256. Philippine Robert, « La preuve en chiffres que Macron est bien le président des riches », sur Capital, (consulté le ).
  257. Jérémie Baruch, « Qu’est-ce que « l’exit tax », que Macron souhaite supprimer ? », sur Le Monde, (consulté le ).
  258. Les premières mesures du quinquennat Macron profiteront surtout aux plus aisés en 2018 et 2019, selon une étude de l'OFCE, France Info, .
  259. Élise Barthet et Audrey Tonnelier, « Les riches, grands gagnants des premières mesures de Macron, selon l’OFCE », sur Le Monde, (consulté le ).
  260. « Second rapport sur l'ISF : « Des chiffres absolument hallucinants » », sur Public Senat, .
  261. Guillaume Guichard, « La Cour des comptes doute du plan Macron de redressement des finances publiques », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  262. Frédéric Couteau, « Revue de presse française - A la Une: la France en panne de croissance », sur RFI, (consulté le ).
  263. Grégoire Normand, « Politique économique : les Français jugent sévèrement Macron », sur La Tribune, (consulté le ).
  264. Virginie Malingre, « Ralentissement économique : Macron joue sa crédibilité politique », sur Le Monde, (consulté le ).
  265. Audrey Tonnelier et Denis Cosnard, « Déficit public en hausse pour 2019, une mauvaise nouvelle de plus pour Macron », sur Le Monde, (consulté le ).
  266. « Le FMI «inquiet» de la dette publique française, jugée «trop élevée» », sur 20 Minutes, (consulté le ).
  267. « "Gilets jaunes" : le FMI lance un avertissement à la France », sur L'Obs, (consulté le ).
  268. (en) « France Government budget deficit 2020 », sur countryeconomy.com (consulté le ).
  269. Jean-Victor Semeraro, Dette publique : le boulet du quinquennat Macron 2 ?, capital.fr, 26 avril 2022
  270. Claude Soula, 600 milliards de dettes supplémentaires : faut-il vraiment s’en inquiéter ?, nouvelobs.com, 21 avril 2022
  271. a et b « Au premier trimestre 2020, le marché du travail à l’épreuve de la crise sanitaire », sur insee.fr (consulté le ).
  272. « La baisse du chômage montre "l'efficacité des politiques conduites", juge Macron », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  273. « Forte baisse du chômage : pourquoi c'est "la réussite de François Hollande" », sur europe1.fr (consulté le ).
  274. « Chômage : les Français mentent-ils aux Français ? », sur blog.insee.fr, (consulté le ).
  275. a et b « La France a-t-elle créé un million d'emplois depuis 2017, comme l'affirme Bruno Le Maire ? », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  276. a et b (en) Daniel Johnson, « How France became trapped in a spiral of chaos and decline », sur telegraph.co.uk, (consulté le ).
  277. « Classes de CP à 12 : "Mes élèves ont jusqu'à 6 semaines d'avance sur ceux de l'année dernière" », LCI,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  278. « Un an à l’Elysée : qu’a fait Emmanuel Macron depuis le 7 mai 2017 ? », Europe 1,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  279. « De nouvelles règles pour le portable à l'école dès la rentrée », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  280. « Interdiction du téléphone portable dans les écoles et les collèges », Ministère de l'Éducation nationale,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  281. « Nouveau bac : ça passe… mais gaffe à la casse », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  282. « Réforme du bac : ce qui va changer », Service-Public.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  283. « la réforme du bac », sur le figaro, (consulté le ).
  284. « Aucune fermeture d’école et d’hôpital en France jusqu’en 2022 », sur lefigaro.fr (consulté le ).
  285. « Pourquoi 400 écoles rurales vont fermer contrairement à la promesse de Macron », sur huffingtonpost.fr (consulté le ).
  286. « Transcription du discours du Président, Emmanuel Macron au Conseil Constitutionnel », sur elysee.fr (consulté le ).
  287. « Parquet de Paris : pourquoi la nomination de Rémy Heitz fait polémique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lejdd.fr (consulté le ).
  288. François Koch, « Rémy Heitz, le nouveau visage de l'antiterrorisme », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  289. a et b Paule Gonzalès, « Carte judiciaire : Nicole Belloubet empêtrée », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  290. « Accusé de détourner la réforme de la justice à des fins électoralistes, Macron sommé de réagir », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  291. « Emmanuel Macron annonce le lancement d'Etats généraux de la justice », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  292. « Sénatoriales : pour Emmanuel Macron, une défaite annoncée difficile à relativiser », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  293. « La République en marche ne progresse pas au Sénat où Les Républicains restent largement majoritaires. », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  294. « Sénatoriales: la droite sort renforcée, Macron et La République En Marche tenus en échec », sur challenges.fr, (consulté le ).
  295. « Sénatoriales : la défaite de LREM », sur francetvinfo.fr (consulté le ).
  296. « Sénatoriales : Macron peut-il faire adopter sa grande réforme constitutionnelle ? », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  297. Mélanie Faure, « "Je ne peux pas rester spectateur" : Macron justifie son implication dans la campagne LaRem aux élections européennes », sur lci.fr, (consulté le ).
  298. « Européennes : comment les Français ont-ils voté ? », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  299. Cédric Pietralunga et Alexandre Lemarié, « Municipales 2020 : La République en marche encaisse une sévère déroute électorale », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  300. « Municipales 2020 : la République en marche penche sérieusement à droite », sur france24.com, (consulté le ).
  301. Margaux Duguet, « Résultats des élections régionales : pourquoi LREM n'arrive pas à s'implanter localement », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  302. Morgane Rubetti, « «Gilets jaunes» : Macron et Castaner au cœur des critiques », sur Le Figaro, .
  303. Jacques Klopp, « Macron et la difficile équation des "gilets jaunes" », sur Public Sénat, .
  304. Romain Brunet, « Macron annule la hausse des taxes sur le carburant mais s'oppose à tout retour de l'ISF », sur France 24, .
  305. Matthieu Jublin, « Smic, CSG, prime et heures supplémentaires défiscalisées : retrouvez toutes les mesures annoncées par Emmanuel Macron », sur LCI, (consulté le ).
  306. Christophe Barbier et Laurent Neumann, « La lettre aux Français est un fait politique totalement « inédit » et « inouï » », sur BFM TV, (consulté le ).
  307. « Face aux Français, Macron se défend d'avoir fait "fausse route" et multiplie les annonces fiscales et institutionnelles », sur AFP.com, (consulté le ).
  308. « Institutions, impôts… Macron esquisse le deuxième acte de son quinquennat », sur AFP.com, (consulté le ).
  309. Jean-Yves Dormagen & Geoffrey Pion, « « Gilets jaunes », combien de divisions ? », sur Le Monde diplomatique, .
  310. « Le programme d'Emmanuel Macron les retraites »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur en-marche.fr (consulté le ).
  311. « Emmanuel Macron temporise sur la réforme des retraites », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  312. « La réforme des retraites engagée « dès que les conditions sanitaires seront réunies », assure Macron », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  313. « La réforme des retraites "engagée dès que les conditions sanitaires seront réunies", annonce Macron », sur europe1.fr (consulté le ).
  314. « 62% des Français satisfaits du président Macron », sur LEFIGARO, (consulté le ).
  315. « Sondage : pas d’état de grâce pour le tandem Macron-Philippe », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  316. « Baromètre JDD : pas d'état de grâce pour Emmanuel Macron… mais presque », sur Le Journal du dimanche (consulté le ).
  317. Juliette Mickiewicz, « Chute d'Emmanuel Macron dans les sondages, d'une ampleur quasi inédite », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  318. « Popularité : où en étaient les présidents trois mois après leur élection ? »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur europe1.fr.
  319. « Nouvelle forte baisse de la popularité d'Emmanuel Macron », sur Le Point, (consulté le ).
  320. a et b Vianney Passot, « Cote de popularité : «Macron, élu par la droite et la gauche, les a déçues toutes les deux» », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  321. Liv Audigane, « Macron: les raisons d'une chute de popularité quasi-inédite sous la Ve », sur BFM TV, (consulté le ).
  322. « Popularité de Macron : «C’est l’une des plus grosses chutes» », sur Public Senat, (consulté le ).
  323. (en) « Emmanuel Macron Will Be Yet Another Failed French President », sur nytimes.com, .
  324. « « Président raté », « ego démesuré » : une tribune dans le New York Times assassine Macron », sur bfmtv.com, .
  325. Jérôme Fourquet et Chloé Morin, « Emmanuel Macron et les catégories populaires », Notes de la Fondation Jean Jaurès,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  326. Popularité : Emmanuel Macron rebondit et gagne 4 points, JDD, , consulté le .
  327. AFP, Sondage: légère embellie pour Macron qui gagne 4 points de popularité, L'Express, , consulté le .
  328. « Brice Teinturier : la courbe de popularité de Macron est d’une « grande originalité », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  329. Nice Matin, « Notre sondage Odoxa: spectaculaire remontée de Macron et Philippe », sur Nice-Matin, (consulté le ).
  330. « Le bilan d'Emmanuel Macron satisfaisant pour la majorité des Français, mais il reste perçu comme « le président des riches », selon un sondage », sur Franceinfo, (consulté le ).
  331. « 69% des français jugent Macron éloigné des intérêts de la France rurale », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  332. a et b Hervé Gattegno, « Sondage. La popularité de Macron chute brutalement de 5 points, à 34 % », sur Le Journal du dimanche, (consulté le ).
  333. Cyril Brioulet, « Maladresse ou arrogance : les dix phrases choc d'Emmanuel Macron », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  334. Cédric Pietralunga, « Macron au risque de l’arrogance », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  335. Bruno Cautrès, « Emmanuel Macron retrouvera-t-il sa gomme magique ? », sur bva-group.com, (consulté le ).
  336. Pascal Perrineau, « Popularité: comment expliquer l’avance de Philippe sur Macron ? », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  337. Fabien Dabert, « SONDAGE. Le bilan présidentiel d'Emmanuel Macron durement jugé par les Français », sur linternaute.com, (consulté le ).
  338. La popularité d’Attal et de Macron en baisse, d’après des enquêtes, lefigaro.fr, 17 mars 2024
  339. « Coronavirus : Agnès Buzyn a-t-elle sous-estimé le risque de propagation en France ? », sur francetvinfo.fr.
  340. « Covid-19 : Emmanuel Macron diagnostiqué positif, annonce l'Elysée », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  341. « Covid-19 : que sait-on du dîner d'Emmanuel Macron à l'Elysée mercredi soir ? », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  342. « Emmanuel Macron positif au Covid-19 », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  343. « Emmanuel Macron apparaît pour la première fois en visio après avoir été testé positif au Covid-19 », sur bfmtv.com (consulté le ).
  344. « La France suspend pour 24 heures le vaccin AstraZeneca, annonce Emmanuel Macron », sur lci.fr, .
  345. « La campagne de vaccination avec AstraZeneca relancée dès ce vendredi en France », Les Échos, .
  346. François-Xavier Bourmaud, « La calamiteuse semaine d’Emmanuel Macron », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  347. François-Xavier Bourmaud, Vincent Bordenave et Mathilde Siraud, « Emmanuel Macron pris dans la tourmente de l’épidémie », Le Figaro, (consulté le ).
  348. « Covid-19 : Les crèches, les écoles, les collèges et les lycées fermés pendant trois semaines », sur 20minutes.fr (consulté le ).
  349. Nathaniel Herzberg, « Le lourd coût humain d’un troisième confinement tardif en France », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  350. « Covid : vers la fin du « quoi qu'il en coûte » d'Emmanuel Macron », sur Europe 1, (consulté le ).
  351. « Questions et polémiques autour du pass sanitaire », sur lefigaro.fr (consulté le ).
  352. « Manifestations anti-pass sanitaire: polémique après les références au nazisme et à la Shoah », sur charentelibre.fr (consulté le ).
  353. « Covid : près de 114.000 personnes ont manifesté samedi en France contre les nouvelles mesures sanitaires », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  354. « Pass sanitaire : atteinte aux libertés, discrimination… la Défenseure des droits émet plusieurs réserves », Le Parisien, (consulté le ).
  355. « Les dix "points d'alerte" soulevée par la Défenseure des droits sur le pass sanitaire », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  356. « Opposants au pass sanitaire : plus de 200 000 manifestants dans toute la France, 72 personnes interpellées », sur France Bleu, (consulté le ).
  357. « Manifestations contre le pass sanitaire : quelque 204 090 personnes sont descendues dans la rue, selon le ministère de l'Intérieur », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  358. « Décision n° 2021-824 DC du 5 août 2021 », sur conseil-constitutionnel.fr (consulté le ).
  359. Isabelle Lasserre, Crise diplomatique entre la France et la Pologne, Le Figaro, , consulté le .
  360. Diplomatie : crise ouverte avec la Pologne, francetvinfo.fr, consulté le .
  361. a et b AFP, Travailleurs détachés : Macron déclenche une crise diplomatique avec la Pologne, Le Monde, , consulté le .
  362. « Angela Merkel lâche Emmanuel Macron sur son projet de budget de la zone euro »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur atlantico.fr.
  363. Alexandre Boudet, « Le groupe de Visegrad, ces Européens qui refusent les migrants », sur HuffPost, (consulté le ).
  364. « Au sommet de Salzbourg, l'UE est toujours divisée sur la politique migratoire », sur France 24, (consulté le ).
  365. « En visite à l'Est, Emmanuel Macron tacle Viktor Orban », sur RFI, (consulté le ).
  366. Thomas Wieder, Jérôme Gautheret, Jean-Baptiste Chastand, Jean-Pierre Stroobants, Isabelle Piquer, Jakub Iwaniuk, Blaise Gauquelin et Anne-Françoise Hivert, « L’Europe face au clivage Macron-Orban », sur Le Monde, (consulté le ).
  367. Thierry Portes, « Les partenaires européens de Macron peu enthousiastes après sa tribune », sur Le Figaro, (consulté le ).
  368. Margot Ruyter, Célia Cuordifede et Alexandra Saviana, « Européennes : de l'Italie au Royaume-Uni, la tribune de Macron accueillie avec indifférence… voire franche hostilité », sur Marianne, (consulté le ).
  369. a et b Anne Rovan, « Quand le cavalier seul d’Emmanuel Macron indispose ses homologues européens », sur Le Figaro, (consulté le ).
  370. A.G., « Emmanuel Macron, bête noire des pro-Brexit », sur parismatch.com, article du (consulté le ).
  371. David Cayla, « La France risque d'être la grande perdante du Brexit », sur lefigaro.fr, article du 24, mis à jour (consulté le ).
  372. Anne Rovan, « Macron se casse les dents sur le Brexit et s’isole sur la scène européenne », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  373. Marcelo Wesfreid, « Européennes : Macron prépare un duel avec Le Pen », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  374. Cécile Ducourtieux et Jean-Pierre Stroobants, « Postes-clés de l’Union européenne : la France et l’Allemagne sont les grandes gagnantes », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  375. « Commission européenne : Goulard désavouée, un camouflet pour Macron », sur leprogres.fr, (consulté le ).
  376. « Commission européenne : Sylvie Goulard rejetée, Macron mouché par les eurodéputés », sur marianne.net, (consulté le ).
  377. Ludovic Lamant, « Élargissement de l’UE : ce qu’en disent les partis français », sur mediapart.fr, (consulté le ).
  378. « Avec son « Make our planet great again », Macron a bien trollé Trump », sur Le Huffington Post, (consulté le ).
  379. (en) « Macron to US: Make our planet great again - CNN Video », sur CNN, (consulté le ).
  380. l'Express, « « Make our planet great again » : le coup de com' de Macron fait le tour du monde », sur LExpress.fr, (consulté le ).
  381. « « Make our planet great again » : Macron bat le record d'Hanouna sur Twitter », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  382. « Trump et Macron : le pari de l'entente », sur lesechos.fr.
  383. « Défense, vins, chômage… Donald Trump s’en prend violemment à Emmanuel Macron », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  384. « Saad Hariri et Emmanuel Macron tentent de désamorcer la crise libanaise », letemps.ch, 18 novembre 2017.
  385. a et b Hala Kodmani, Entre Bachar al-Assad et le peuple syrien, Macron choisit Poutine, Libération, 23 juin 2017.
  386. Anthony Samrani Syrie : l’ambiguë position de M. Macron, OLJ, 15 juillet 2017.
  387. Syrie : Macron confirme son soutien à l'opposition, ne mentionne pas Assad, lorientlejour.com, 5 juillet 2017.
  388. Marine Pennetier, Macron réaffirme son soutien à l'opposition syrienne, Reuters, 5 juillet 2017.
  389. Syrie : Emmanuel Macron ne voit pas de « successeur légitime » à Bachar Al-Assad, Franceinfo, 21 juin 2017.
  390. Marianne Enault, Syrie : la nouvelle position d'Emmanuel Macron crée une polémique, Europe 1 le JDD, 22 juin 2017.
  391. Antoine Ajoury, Les déclarations de Macron sur la Syrie le « décrédibilisent aux yeux d’une grande partie de ceux qui croyaient à son rôle », OLJ, 24 juin 2017.
  392. Christophe Ayad et Marc Semo, Jean-Yves Le Drian : « Avec la Russie, il y a une fenêtre d’opportunité », Le Monde, 29 juin 2017.
  393. Isabelle Lasserre, La «ligne rouge» de Macron contre Bachar el-Assad, Le Figaro, 7 février 2018.
  394. « Un an après son élection, Macron enfile le costume du chef de guerre », sur lefigaro.fr, .
  395. a et b « Syrie : «Que Macron nous dise quelles sont ses preuves» estime Longuet », sur publicsenat.fr, .
  396. En France, l’opposition critique la participation de Paris aux frappes contre le régime syrien, Le Monde, 14 avril 2018.
  397. Christophe Forcari, Rachid Laïreche et Tristan Berteloot, En France, des marchands de doute aussi à l’Assemblée, Libération, 3 mai 2018.
  398. Sophie Amsili, Frappes en Syrie : la classe politique française divisée, Les Echos, 14 avril 2018.
  399. « Macron avait-il le droit de frapper la Syrie sans l'accord du Parlement? », sur huffingtonpost.fr, .
  400. Marc Endeweld, « La France dénonce les ingérences russes en Afrique mais continue de perdre en influence », sur latribune.fr, (consulté le ).
  401. Charlotte Lalanne, Mali, Tchad, Cameroun... De Chirac à Macron, comment la France a perdu pied en Afrique, lexpress.fr, 16/08/2022
  402. « En Afrique, Macron cherche à contrer l’influence de la Russie », courrierinternational.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  403. Sarah Diffalah, « Les mêmes erreurs qu’en Afghanistan » : la France dans le piège malien, nouvelobs.com, 11 février 2022
  404. Camille Poher, Mali : Comment l’opération Barkhane s’est transformée en « opération fiasco », 20minutes.fr, 16 février 2022
  405. Rémi Carayol, Au Sahel, la défaite des idéologues, afriquexxi.info, 5 avril 2022
  406. Renaud Girard, Renaud Girard: «Barkhane, repenser notre stratégie au Sahel», lefigaro.fr, 4 janvier 2021
  407. « ONU : que vaut le « multilatéralisme » que va défendre Macron ? », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  408. «Gilets jaunes»: l'ONU réclame à Paris une enquête sur «l'usage excessif de la force», sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  409. « « Gilets jaunes » : l’ONU demande à la France d’enquêter sur « l’usage excessif de la force » », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  410. Nicolas Senèze, « Le pape François et Emmanuel Macron, une longue et chaleureuse rencontre », La Croix, 26 juin 2018, lire en ligne
  411. « Notre-Dame sauvée des flammes, Macron veut la rebâtir « d'ici cinq années » », La Croix, 16 avril 2019, lire en ligne
  412. Gauthier Vaillant, « Coronavirus : Emmanuel Macron reçoit le soutien du pape dans ses initiatives internationales », La Croix, 21 avril 2020, lire en ligne
  413. a et b Sébastien Berriot, « Emmanuel Macron en visite chez lui en Andorre le 13 septembre » Accès libre, sur France Bleu, Radio France, (consulté le ).
  414. « Andorre : Emmanuel Macron attendu ce vendredi 13 septembre », L'Indépendant, Perpignan,‎ (lire en ligne Accès libre)
  415. « Le chef du gouvernement d’Andorre Antoni Marti a rencontré à Paris avec le président de la France et co-prince d’Andorre Emmanuel Macron », Tout sur Andorre, 18 juillet 2017.
  416. « Portrait officiel du co-Prince », ambassade de France en Andorre.
  417. « Accueil princier pour Emmanuel Macron en Andorre », sur bfmtv.com, .
  418. Nicolas Fontaine, « Emmanuel Macron : Le premier coprince d’Andorre à avoir son portrait officiel », sur histoiresroyales.fr, .
  419. « Coronavirus : Face à la crise, l'Andorre demande de l'aide à la France, qui lui envoie une fin de non-recevoir », L'Indépendant,‎ (lire en ligne).
  420. « La fin du "front républicain"? Un sondage donne Macron-Le Pen à 53-47 au second tour de 2022 », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  421. Olivier Faye, « Malgré la crise, Emmanuel Macron pense déjà à 2022 » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  422. « Présidentielle 2022 : l’histoire retiendra que tout a commencé avec un accra de morue », sur nouvelobs.com (consulté le ).
  423. « Allocution d'Emmanuel Macron : une prise de parole aux accents de discours de campagne », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  424. "Concentration des médias : la France au cœur d’un grand Monopoly" par Pierre Manière, le dans La Tribune [2]
  425. "La « concentration-droitisation » des médias fausse le jeu démocratique" le dans L'Obs [3]
  426. "Concentration des médias : danger pour la démocratie ?", avec l'éclairage de François Jost, auteur de "Médias : sortir de la haine ?", à CNRS Éditions et professeur émérite à la Sorbonne-Nouvelle [4]
  427. "Emmanuel Macron au Parlement européen : le piège tendu à ses opposants politiques", article de Alexandre Chauveau sur Europe 1, le 20 janvier 2022 [5]
  428. "La campagne présidentielle française s’invite au Parlement européen" par Olivier Faye et Virginie Malingre, dans Le Monde [6]
  429. France Culture, le 5 janvier 2022
  430. « Présidentielle 2022 : Emmanuel Macron ne veut pas participer aux débats du premier tour », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  431. « « Avec vous », le site préfigurant la future campagne d’Emmanuel Macron, a été discrètement mis en ligne », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  432. « Emmanuel Macron sermonné pour son usage des réseaux sociaux, son équipe demande que les candidats élus soient soumis aux mêmes règles », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  433. Régis Soubrouillard, « L'info à la chaîne », Le Débat, vol. 181, no 4,‎ , p. 37 (ISSN 0246-2346 et 2111-4587, DOI 10.3917/deba.181.0037, lire en ligne, consulté le ).
  434. « Présidentielle: Bardella et Darmanin s'opposent sur la retraite à 65 ans », BFM TV, (consulté le ).
  435. « Emmanuel Macron est réélu président de la République », sur lejdd.fr (consulté le ).
  436. Boris Johnson, Olaf Scholz ou Ursula von der Leyen… saluent la réélection de Macron Marianne, le 24/04/2022 à 22:41
  437. « Annonce des résultats officiels du second tour de l'élection présidentielle et proclamation de l'élection du Président de la République par M. Laurent Fabius, Président du Conseil constitutionnel », (consulté le ).
  438. Malik Kebour, « Emmanuel Macron est le premier président de la Ve République réélu au suffrage universel hors cohabitation », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
  439. « Emmanuel Macron, investi pour la seconde fois, semble peu pressé d’entrer de plain-pied dans son nouveau mandat », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  440. Hadrien Mathoux, « Jean-Luc Mélenchon : "Je demande aux Français de m'élire Premier ministre" », sur marianne.net, 2022-04-20utc07:30:00+0200 (consulté le ).
  441. « Elections législatives 2022 : on vous explique pourquoi la Nupes dénonce une manipulation des résultats par le ministère de l'Intérieur », sur Franceinfo, (consulté le ).
  442. « Législatives 2022 : «Le Rassemblement national est le premier parti de France», estime Marine Le Pen », sur LEFIGARO, (consulté le ).
  443. Lilian Alemagna et Charlotte Belaïch, « Nupes: contre Mélenchon, les cinq fake news de la macronie », sur Libération (consulté le ).
  444. « Législatives 2022 : Olivier Véran en guerre contre la Nupes ! », sur Franceinfo, (consulté le ).
  445. « Discours d'Emmanuel Macron sur le tarmac : "Cela prouve l'inquiétude du camp présidentiel", analyse un politologue », sur Franceinfo, (consulté le ).
  446. « Législatives 2022 : Emmanuel Macron réclame une majorité "solide" au nom de "l'intérêt supérieur de la Nation" », sur Franceinfo, (consulté le ).
  447. « "Honte", "dangereux": le discours d'Emmanuel Macron sur les législatives fait réagir l'opposition », sur BFMTV (consulté le ).
  448. « Résultats des législatives 2022 : la coalition présidentielle, en tête, ne remporte qu’une majorité relative à l’Assemblée nationale », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  449. « Quelle responsabilité pour Emmanuel Macron dans le score historique du RN et l'essor de La France insoumise aux législatives 2022 ? », sur Franceinfo, (consulté le ).
  450. Ellen Salvi, « Emmanuel Macron, l’idiot utile de l’extrême droite », sur Mediapart (consulté le ).
  451. « Législatives : Macron est-il responsable du score historique de l'extrême droite ? », sur lejdd.fr (consulté le ).
  452. « Emmanuel Macron refuse la démission d’Elisabeth Borne « afin que le gouvernement reste à sa tâche » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  453. « Emmanuel Macron confirme Elisabeth Borne à Matignon et la charge de former un « nouveau gouvernement d’action » pour début juillet », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  454. « Olivier Véran confirme qu'Élisabeth Borne ne sollicitera pas la confiance des députés », sur BFMTV (consulté le ).
  455. « Elisabeth Borne recourt une dixième fois au 49.3 pour boucler l’adoption du projet de loi de finances », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  456. « Malgré trois motions de censure... pourquoi l'opposition ne renversera pas le gouvernement », sur TF1 INFO, (consulté le ).
  457. "Retraites : crise politique, crise sociale, et maintenant ?" latribune.fr le 17 mars 2023 [7]
  458. Face à la crise politique et sociale, Macron peut-il faire oublier Macron ?", analyse de Matthieu Goar dans Le Monde 5 avril 2023 [8]
  459. « Réforme des retraites : Emmanuel Macron refuse de recevoir les syndicats », sur Franceinfo, (consulté le ).
  460. "Retraites : il n’y a « pas de crise démocratique », répond l’entourage de Macron aux syndicats" par L'Obs avec AFP le 5 avril 2023 [9]
  461. Par M. C. et J.-M. D. Le 24 mars 2023 à 14h17 et Modifié Le 24 Mars 2023 À 14h43, « Visite de Charles III annulée : ces notes du renseignement territorial qui ont alerté l’exécutif », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  462. LIBERATION et AFP, « Emmanuel Macron a promulgué la loi sur la réforme des retraites », sur Libération (consulté le ).
  463. « VIDEOS. Toulouse, Rennes, Paris... Des "concerts de casseroles" organisés dans plusieurs villes durant l'allocution d'Emmanuel Macron », sur Franceinfo, (consulté le ).
  464. Pierre Bouvier, « Le concert de casseroles, un outil de contestation tapageur et historique », sur Le Monde, .
  465. « "Les casseroles ne feront pas avancer la France", dit Macron en Alsace », sur Le Point, .
  466. « "Ce ne sont pas les casseroles qui feront avancer la France", lance Emmanuel Macron en visite en Alsace », sur France Info, .
  467. « Macron dans l’Hérault : la préfecture interdit les « dispositifs sonores portatifs », les gendarmes confisquent les casseroles », sur L'Obs, .
  468. « Macron dans l'Hérault : l'arrêté préfectoral "anti-casserole" attaqué au tribunal par le député LFI Sébastien Rome », sur Midi Libre, .
  469. « Mort de Nahel : derrière les chiffres, des violences urbaines plus intenses que lors des émeutes de 2005 », sur LEFIGARO, (consulté le ).
  470. « Mort de Nahel à Nanterre : «Un adolescent a été tué, c’est inexplicable et inexcusable», estime Emmanuel Macron », sur CNEWS, (consulté le ).
  471. « Emeutes urbaines : Emmanuel Macron réfléchit à de nouvelles sanctions contre les parents », sur Les Echos, (consulté le ).
  472. « Emmanuel Macron suggère de bloquer les réseaux sociaux pendant les émeutes, une pratique très controversée », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  473. « Couper les réseaux sociaux en cas de crise? L'idée de Macron face aux émeutes indigne l'opposition », sur BFMTV (consulté le ).
  474. « La police française épinglée pour son « recours excessif à la force » », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  475. « Affaire Hedi à Marseille: ce que les policiers mis en cause ont dit aux enquêteurs de l'IGPN », sur BFMTV (consulté le ).
  476. « Propos de Frédéric Veaux, patron de la police : et le devoir de réserve ? », sur Libération (consulté le ).
  477. La rédaction numérique de France Inter, « "Un policier n'a pas sa place en prison" : les propos du patron de la police jugés "gravissimes" à gauche », sur France Inter, (consulté le ).
  478. « Propos de Frédéric Veaux:"C'est une sorte de remise en cause d'une séparation des pouvoirs" selon le président de la LDH » (consulté le ).
  479. « Emmanuel Macron dit vouloir « entendre l’émotion » des policiers « tout en faisant respecter l’Etat de droit » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  480. « Quand François Mitterrand limogeait le directeur général de la police en 1983 », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  481. « Quand François Mitterrand voulait «frapper» les policiers «séditieux» », sur Libération (consulté le ).
  482. Marie-Pierre Bourgeois, « Macron avance que les policiers ne "sont pas au-dessus de la loi" et suscite un tollé à gauche comme à droite », sur BFMTV, .
  483. « Emmanuel Macron surprend en proposant de mobiliser la coalition internationale contre l’EI pour « lutter contre le Hamas » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  484. « Sur la guerre Hamas-Israël, Macron face au défi du « en même temps » », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  485. « La coalition de Macron fait un flop au Proche-Orient - L'Humanité », sur humanite.fr (consulté le ).
  486. « Pourquoi Israël s’en prend à Emmanuel Macron », sur France Inter, (consulté le ).
  487. « Guerre Israël-Hamas : après l’appel d’Emmanuel Macron « à arrêter » les bombardements israéliens à Gaza, Benyamin Nétanyahou affirme que « la responsabilité de tout tort fait aux civils incombe au Hamas » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  488. « Guerre entre Israël et le Hamas : pourquoi Emmanuel Macron a dû s'expliquer après ses propos sur les bombardements de civils à Gaza », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  489. « L'humoriste controversé Yassine Belattar reçu à l’Élysée avant la marche contre l’antisémitisme », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  490. « Politique : la marche contre l'antisémitisme provoque la polémique », sur Franceinfo, (consulté le ).
  491. « Marche contre l'antisémitisme: Élisabeth Borne accuse le RN de vouloir "faire oublier d'où il vient" », sur BFMTV (consulté le ).
  492. « Au 20h, Macron réaffirme le soutien de la France à la solution à deux États », sur humanite.fr (consulté le ).
  493. « Guerre Israël-Hamas : comment le Quai d’Orsay tente de reprendre la main sur la diplomatie - L'Humanité », sur humanite.fr (consulté le ).
  494. Par Le Parisien Le 14 novembre 2023 à 11h40, « Guerre Israël-Hamas : des ambassadeurs du Moyen-Orient s’inquiètent de la position de la France dans le conflit », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  495. « La diplomatie française contrariée par les choix d’Emmanuel Macron sur le Proche-Orient », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  496. Mathilde Karsenti, « "Sa communication est illisible" : les diplomates du Quai d'Orsay déboussolés par le cavalier seul de Macron », sur marianne.net, (consulté le ).
  497. Par Henri Vernet Le 15 novembre 2023 à 20h05, « Malaise au Quai d’Orsay », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  498. « Gérald Darmanin, un ministre affaibli par la crise politique autour du projet de loi sur l’immigration », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  499. « Immigration : la motion de rejet, un camouflet pour Gérald Darmanin », sur Les Echos, (consulté le ).
  500. a b et c « Loi « immigration » : « une déflagration », le récit d’une soirée de vote houleuse à l’Assemblée nationale », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  501. « Projet de loi « immigration » : les tractations se poursuivent avant la commission mixte paritaire », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  502. « Loi « immigration » adoptée au Parlement, crise dans le camp présidentiel... Retrouvez les réponses à vos questions », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  503. « Le vote de la loi Immigration vue comme un échec du macronisme et une victoire du RN par la presse étrangère », sur France Culture, (consulté le ).
  504. (es) Marc Bassets, « Macron salva la ley migratoria tras un conato de rebelión en su Gobierno », sur El País, (consulté le ).
  505. (en) David Chazan Paris, « Marine Le Pen triumphs over Macron on France immigration bill », The Times,‎ (ISSN 0140-0460, lire en ligne, consulté le )
  506. « Européennes 2024 : l'extrême droite en embuscade - L'Humanité », sur humanite.fr, (consulté le ).
  507. « Elections européennes 2024 : l’extrême droite gagne du terrain », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  508. « Loi immigration : Emmanuel Macron a exhorté un député Renaissance à « s'abstenir » plutôt que de voter contre », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  509. a et b « Projet de loi immigration : Emmanuel Macron va saisir le Conseil constitutionnel », sur Franceinfo, (consulté le ).
  510. François Vignal, « Immigration : l’adoption du texte « est une défaite du RN », soutient Emmanuel Macron », sur Public Sénat, (consulté le ).
  511. Thomas Legrand, « Loi immigration au Conseil constitutionnel : la grande défausse de Macron », sur Libération (consulté le ).
  512. Simon Barbarit, « Loi immigration : pourquoi Laurent Fabius reproche à l’exécutif de politiser le Conseil constitutionnel ? », sur Public Sénat, (consulté le ).
  513. « Loi « immigration » : quand le président du Conseil constitutionnel, Laurent Fabius, tance Emmanuel Macron sur l’Etat de droit », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  514. Mehdi Pfeiffer, « Emmanuel Macron, un banquier social-libéral à Bercy », LeParisien.fr, 26 août 2014.
  515. Solenn de Royer et Julien Chabrout, « Emmanuel Macron, la coqueluche de l'aile droite du Parti socialiste », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  516. Paul Aveline, « Gauche, droite, centre… qui peut s'allier à Macron? », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  517. « Macron : « L'honnêteté m'oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste » », sur BFM TV (consulté le ).
  518. Nathalie Raulin, « Emmanuel Macron, ou le libéral libéré », sur liberation.fr, (consulté le ).
  519. Sébastien Maillard et Céline Rouden, « Le pari d'une nouvelle force politique », sur La Croix.com, (consulté le ).
  520. « Les premiers extraits de Révolution, le livre d'Emmanuel Macron, dévoilés »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  521. « Dépasser le clivage gauche-droite, comme le veut Macron, une idée payante ? », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  522. « Macron : « La gauche aujourd'hui ne me satisfait pas » », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  523. Adrien Sénécat, « Les propositions d'Emmanuel Macron mélangent gauche, droite, neuf et vieux », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  524. Maxime Vaudano et Agathe Dahyot, « Macron : un programme très proche de Hollande en 2012 », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  525. a et b Romaric Godin, « Emmanuel Macron ou le populisme d'extrême-centre », sur La Tribune.fr, (consulté le ).
  526. Alexis Feertchak et Jérôme Sainte-Marie, « L'offre politique d'Emmanuel Macron au défi des classes populaires », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  527. « « Populisme light » : Macron répond à Valls », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  528. Prissette 2016b, p. 175.
  529. « Emmanuel Macron accepte d’être qualifié de candidat populiste », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  530. « A Rungis, « le candidat du travail » Macron entre bienveillance et scepticisme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur France-Soir.fr, (consulté le ).
  531. Johann Chapoutot, « Les multiples sens du discours «antisystème », sur liberation.fr, (consulté le ).
  532. Françoise Fressoz, « Macron et Valls, deux façons de récupérer les rocardiens », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  533. Éric Hacquemand, Emmanuel Macron, « Emmanuel Macron : «Michel Rocard m'a beaucoup inspiré» », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  534. « Pour les Français, Macron est l'héritier de Michel Rocard », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  535. Vincent Tremolet de Villers, « Emmanuel Macron ou le philosophe manager », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  536. a et b Cédric Pietralunga, « Macron : « Je ne crois pas au président normal » », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  537. Mathieu Magnaudeix, « Le général de Gaulle trône au panthéon de Macron », sur Mediapart, (consulté le ).
  538. Guillaume Erner, « Emmanuel Macron, grand entretien sur la culture et les idées » [archive du ], sur France Culture, (consulté le ).
  539. Le Point.fr (avec AFP), « Présidentielle : « Voter est un devoir », martèle Emmanuel Macron : 09 h 15 - Macron qualifie son projet « d'extrême centre » » [archive du ], sur Le Point, (consulté le ).
  540. a et b Annick Steta, « LE MACRONISME EST-IL SCHUMPÉTÉRIEN ? », Revue des deux mondes,‎ (lire en ligne [PDF])
  541. « Industrie: la destruction créatrice de Schumpeter oppose Le Maire et Macron », sur Le Figaro, (consulté le )
  542. « Macron ne doit pas convoquer Schumpeter pour « justifier des politiques de régression sociale » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  543. Noé Roland, « Emmanuel Macron, ce pâle fantôme de Joseph Schumpeter », sur Le Comptoir, (consulté le )
  544. Marie Visot, « Emmanuel Macron, l'anti-Montebourg », Le Figaro, .
  545. « Emmanuel Macron, jeune homme pressé, brillantissime touche-à-tout », sur L'Obs, (consulté le ).
  546. Emmanuel Macron veut supprimer 120000 postes de fonctionnaires, Le Figaro, .
  547. Guillaume Poingt, « 35h, chômage, ISF… : les contradictions d'Emmanuel Macron », sur Le Figaro, (consulté le ).
  548. Macron veut réformer le droit du travail par ordonnances alors qu’il « n’y croyait pas une seule seconde » il y a 5 mois, Europe 1, , consulté le .
  549. Michel Feltin-Palas, Taxe d'habitation: ce que cache la promesse de Macron, L'Express, .
  550. Emmanuel Macron veut nous exonérer de taxe d'habitation : Simple promesse de campagne ?, capital.fr, .
  551. a et b Nicolas Rauline, Sharon Wajsbrot, « Inacceptable », « faux et irresponsable » : quand Macron attaque le PDG d'EDF, lesechos.fr
  552. a b et c Alternatives1.
  553. Daniel Rosenweg, « Macron balance sur notre système de santé « défaillant » », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  554. Éric Dupin, « On le voit dans les meetings, il est en train de se passer quelque chose autour de la candidature Macron », sur Slate, (consulté le ).
  555. Lunettes, dentaire : la mesure Macron coûterait 4,4 milliards, lesechos.fr, 11 janvier 2017.
  556. a b et c Caroline Brizard, « Emmanuel Macron sur l'éducation : un air de déjà-vu », sur tempsreel.nouvelobs.com, (consulté le ).
  557. « Emmanuel Macron : les 8 mesures « choc » de son programme présidentiel », Planet,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  558. « Les mesures chocs que Macron va annoncer, par Thierry Fabre », Challenges,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  559. a b c et d Mathieu Magnaudeix, « Macron, le réformateur orthodoxe », sur Mediapart, (consulté le ).
  560. LIBERATION et AFP, « Crise du logement : Macron annonce «un double choc» pour la construction », sur Libération (consulté le ).
  561. « Le logement, l’angle mort de la politique d’Emmanuel Macron ? », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  562. Thomas Chemel, « Logement : la Fondation Abbé Pierre dresse un bilan au vitriol du quinquennat », sur Capital.fr, (consulté le ).
  563. Romain David, « La Fondation Abbé Pierre étrille le bilan logement d’Emmanuel Macron, aux allures de « page blanche » », sur Public Sénat, (consulté le ).
  564. Eve Szeftel, « «On est essorés» : pour les acteurs du logement, Macron n’est pas à la hauteur », sur Libération (consulté le ).
  565. Edwy Plenel, « Pour une Assemblée plurielle contre le fait présidentiel », sur Mediapart, (consulté le ).
  566. Frédéric Says, « La tentation monarchique d'Emmanuel Macron », sur France Culture, frédéric says (consulté le ).
  567. a et b Sophie Brunn, « Proportionnelle, cumul des mandats… Les pistes d'Emmanuel Macron pour améliorer « l'hygiène démocratique » en France », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  568. Julien Martin, « A Strasbourg, la fusée Macron marche toujours… au diesel », sur tempsreel.nouvelobs.com, (consulté le ).
  569. Tristan Quinault-Maupoil, Macron : « L'arrivée de réfugiés est une opportunité économique », Le Figaro, , consulté le .
  570. Accueil des réfugiés : «Un devoir» pour Macron, Le Parisien, , consulté le .
  571. Josselin Dravigny, « Présidence Macron et immigration : la continuité en marche ? », Migrations Société, vol. 2, no 168,‎ , p. 3-11 (lire en ligne, consulté le ). Via Cairn.info.
  572. R. L., « 11 Novembre : «Le patriotisme est l’exact contraire du nationalisme», rappelle Macron », sur Le Parisien, (consulté le ).
  573. Kevin Liptak, Macron rebukes nationalism as Trump observes Armistice Day, CNN, .
  574. « Macron : « Les démons anciens resurgissent, l'Histoire menace de reprendre son cours tragique » », FIGARO,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  575. (en) « The French president and the alt-right both get nationalism wrong », tribune de Marc A. Thiessen, sur The Washington Post, (consulté le ).
  576. Vincent Coquaz, « Emmanuel Macron peut-il signer seul le pacte de Marrakech ? », Libération,‎ (lire en ligne).
  577. Maryline Baumard, « En France, une politique migratoire d’une dureté sans précédent », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  578. « Migrants : Emmanuel Macron adopte une ligne dure », Valeurs actuelles, (consulté le ).
  579. « Le projet de loi asile et immigration adopté », sur Amnesty International France, (consulté le ).
  580. C. P., « Loi asile et immigration: Jacob tance le « laxisme » du gouvernement », sur BFM TV, (consulté le ).
  581. « Actualités et Infos en direct & replay », sur Europe 1, (consulté le ).
  582. « Immigration: la durée moyenne de rétention reste de 12,5 jours, malgré la nouvelle loi », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  583. « Voile à l'université: Macron prend le contre-pied de Valls », sur Le Figaro (consulté le ).
  584. Émmanuel Macron, Jean-François Kahn et Renaud Dély, « Emmanuel Macron : « La République est ce lieu magique qui permet à des gens de vivre dans l'intensité de leur religion » », sur Marianne.net, (consulté le ).
  585. Arthur Berdah, « Macron: «Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire» », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  586. « Macron, roi de Twitter avec son slogan « Make our planet great again » », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  587. « Macron se pose en chantre du diesel et s'oppose à Hidalgo », Le Figaro, .
  588. « Diesel : Emmanuel Macron déclenche les foudres de son camp », sur RTL, .
  589. « « Le nucléaire est un choix français et un choix d'avenir », assure Emmanuel Macron », L'Usine nouvelle, .
  590. « En direct : pour Macron, l'état d'urgence n'est pas « la solution de manière durable » », Le Monde, (consulté le ).
  591. a et b « Notre-Dame-des-Landes : Emmanuel Macron veut étudier une alternative », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  592. Rémi Barroux, « Emmanuel Macron renonce à sa promesse d’interdire le glyphosate en 2021 », sur Le Monde, (consulté le ).
  593. Maxime Vaudano et Agathe Dahyot, « Ecologie : quel bilan pour Emmanuel Macron ? », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  594. « Écologie : le bilan pas très vert d’Emmanuel Macron », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  595. Maxime Vaudano, « Macron et l’écologie », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  596. « EXCLU FRANCEINFO. Climat : Emmanuel Macron défend le nucléaire, notre "chance", et prône le "cas par cas" pour l'éolien », sur Franceinfo, (consulté le ).
  597. Lou Fritel, « Macron et les chasseurs : cinq ans de cadeaux qui finissent par un soutien », sur marianne.net, .
  598. « Les subventions aux chasseurs sont passées de 27.000 à 6,3 millions d'euros en moins de cinq ans », sur BFMTV, .
  599. « Présidentielle 2022 : pouvoir d'achat, santé… que proposent les candidats sur les thèmes jugés prioritaires par les Français ? » Accès libre, sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  600. « Emmanuel Macron propose le rétablissement d'un « service national » d'un mois obligatoire », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  601. Claire Tervé, « "Je suis votre chef": le recadrage d'Emmanuel Macron face à la grogne des militaires », sur HuffPost, (consulté le ).
  602. « Emmanuel Macron, de Jupiter à petit chef (des armées) », sur lexpress.fr, .
  603. a et b Benjamin Barthe, « Emmanuel Macron : « Faire de la destitution d'Assad un préalable à tout a été une erreur » », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  604. (en) « France's presidential hopeful Macron pushes for Syria talks », sur FOX News.
  605. Public Sénat, « Macron souhaite une "action coordonnée" contre al-Assad, "ennemi du peuple syrien" », sur Public Sénat, (consulté le ).
  606. Laurent de Boissieu, « François Bayrou réaffirme sa prééminence au centre », sur La Croix.com, (consulté le ).
  607. Nicolas Prissette, « Macron veut une Europe à deux vitesses », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  608. Macron 2016, p. 229.
  609. William Audureau, « Emmanuel Macron, seul candidat à la présidentielle ouvertement favorable au CETA », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  610. « Macron : « Nous devons délivrer l'Europe de ce qu'elle est devenue » », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  611. Jean-Sébastien Lefebvre, Fanny Roux, Laura Kayali, Hortense Goulard, « À Bruxelles, la France de Macron marche… doucement », sur contexte.com, (consulté le ).
  612. « Emmanuel Macron : « Le libéralisme est une valeur de la gauche » », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  613. « La communication de Macron décryptée », sur letemps.ch, (consulté le ).
  614. « Vaccination, pass sanitaire… Macron s'exprime sur les réseaux sociaux », sur lci.fr, (consulté le ).
  615. « Emmanuel Macron, roi des réseaux sociaux », sur strategies.fr, (consulté le ).
  616. « Emmanuel Macron a-t-il la cote sur les réseaux sociaux ? », sur e-marketing.fr, (consulté le ).
  617. « «Cocorico», le journal des bonnes nouvelles de l’Elysée », sur lopinion.fr, (consulté le ).
  618. « Présidentielle 2022: pourquoi l'Elysée lance une newsletter très "positive attitude" », sur challenges.fr (consulté le ).
  619. « La Grande Exposition du Fabriqué en France », sur elysee.fr (consulté le ).
  620. « Les « macronades » d’Emmanuel Macron », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  621. « Photos. Provocation ou maladresse : Macron, champion des « macronades » », sur L'Obs, (consulté le ).
  622. Cécile Cornudet, « Emmanuel Macron, le gaffeur intentionnel », sur Les Échos, (consulté le ).
  623. Nathalie Raulin, « Macronite », sur liberation.fr, (consulté le ).
  624. « Macron et les « illettrés » de Gad : pour nous, ouvriers, c'est une insulte stigmatisante », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  625. « Macron et les « illettrés » de Gad : une polémique et un vrai sujet », sur europe1.fr, (consulté le ).
  626. Yohan Blavignat, « Emmanuel Macron: «Le meilleur moyen de se payer un costard, c'est de travailler» », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le ).
  627. « Pour Karine Berger, Hamon « c'est positif », Macron « ce serait un massacre » », Le Dauphiné,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  628. Sophie Lécluse, « Emmanuel Macron - Matthieu Pigasse : guerre froide entre les banquiers roses », sur capital.fr, (consulté le ).
  629. « Emmanuel Macron critiqué après avoir évoqué l'alcoolisme dans le bassin minier du nord de la France »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  630. Éric Mandonnet, « François Fillon toujours dans la tourmente », sur L'Express, .
  631. Cédric Mathiot, « Macron et l'offense à la «culture française» : l'argument qui fédère LR et le FN », sur Libération, (consulté le ).
  632. Yves Jégo, « Emmanuel Macron et le reniement de la culture française », sur lefigaro.fr, .
  633. « Pour Emmanuel Macron, les anti-mariage pour tous ont été « humiliés » par le gouvernement », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  634. « Emmanuel Macron, les humiliés ne sont pas ceux que vous désignez », sur liberation.fr, (consulté le ).
  635. « Pensant être hors antenne, Macron soutient l'islamiste sulfureux Mohamed Saou », sur valeursactuelles.com.
  636. « Emmanuel Macron : Mohamed Saou est « un type bien », malgré des « trucs plus radicaux » », sur lepoint.fr.
  637. « Macron : «Je n'ai de leçon d'amour de la République à recevoir de personne» », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  638. « On a (enfin) compris ce que veut Emmanuel Macron sur le cannabis »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Libération, 21 février 2017.
  639. Anne-Charlotte Dusseaulx, « #Présidentielle2017 Quand Emmanuel Macron évoque « des éléments de civilisation » dans la colonisation de l'Algérie », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  640. « « La colonisation est un crime contre l'humanité », déclare Emmanuel Macron à une chaîne algérienne », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  641. Bernard Domeyne, Macron en Algérie: un crime contre la vérité, Causeur, .
  642. La colonisation, « crime contre l'humanité » : Macron sous le feu des critiques, L'Express, .
  643. Marc-Olivier Bherer et Sylvie Thénault, Peut-on dire, comme Emmanuel Macron, que la colonisation est un « crime contre l'humanité » ?, Le Monde, .
  644. « Des propos de Macron sur Mayotte et les Comoriens suscitent de vives réactions », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  645. « « Kwassa-kwassa » : Macron prône « l'apaisement » avec son homologue comorien », sur Europe 1, .
  646. « Emmanuel Macron évoque les «gens qui ne sont rien» et suscite les critiques », sur Le Figaro (consulté le ).
  647. « Macron pointe les « 7 à 8 enfants par femme » en Afrique : un raccourci qui passe mal », sur L'Obs (consulté le ).
  648. Nathalie Bourrus, « En un mot. Foutre le bordel, c'est mal », sur France-Info, .
  649. « Pour Emmanuel Macron, les salariés de GM&S feraient bien de chercher du travail « au lieu de foutre le bordel » », Les Inrocks,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  650. « Macron sur « ceux qui foutent le bordel » : « Il ne connait pas la France et méprise les gens » Christian Jacob », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  651. I. El Kaladi, « « Bordel » : Ugo Bernalicis retourne la petite phrase de Macron contre lui », France 3 Hauts-de-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  652. « Macron devant des journalistes : le bordel, «c'est vous qui le mettez» », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  653. « Macron aux journalistes : le bordel, «c'est vous qui le mettez» », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  654. « Macron critique « le pognon de dingue » dépensé dans les aides sociales sans efficacité », sur lesechos.fr (consulté le ).
  655. « Covid-19 : Emmanuel Macron assume sa stratégie d’« emmerder » les non-vaccinés » Accès libre, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  656. « Covid-19 : Emmanuel Macron a «très envie d'emmerder» les non-vaccinés «jusqu'au bout» », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  657. « "Un irresponsable n'est plus un citoyen" : l'autre phrase choc de Macron sur les non-vaccinés », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  658. a et b « Quand Macron jouait à cache-cache avec des journalistes : En 2010, alors que Le Monde cherche des investisseurs, le banquier de chez Rothschild conseille bénévolement la société des journalistes. Un double jeu ? », Le Point,‎ (lire en ligne).
  659. a b et c Sophie Lécluse, « Emmanuel Macron - Matthieu Pigasse : guerre froide entre les banquiers roses : La rivalité de ces deux brillants énarques n'a jamais cessé. Ils se sont affrontés lors de la vente du «Monde», dans la banque d'affaires et maintenant sur le terrain idéologique. », Capital,‎ (lire en ligne).
  660. « Comment Macron m'a séduit puis trahi », Libération,‎ (lire en ligne).
  661. Adrien de Tricornot et Sophie Lécluse, « Comment Macron m'a séduit puis trahi », StreetPress,‎ (lire en ligne).
  662. « Ce que paie Emmanuel Macron au titre de l'ISF », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  663. « Emmanuel Macron devra payer l'impôt sur la fortune », sur abonnes.lemonde.fr, (consulté le ).
  664. « Ce que paie Emmanuel Macron au titre de l'ISF », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  665. « Le Fisc taille un costard à Macron », Le Canard enchaîné,‎ .
  666. Thomas Carbonnier, « Emmanuel Macron, sa déclaration de patrimoine et le Parquet national financier », sur Atlantico, (consulté le ).
  667. Émmanuel Macron, Guillaume Goubert, Corinne Laurent et Sébastien Maillard, « Emmanuel Macron : « Lutter contre les dérives » des conflits d’intérêts », sur La Croix, (consulté le ).
  668. « Patrimoine de Macron: Anticor saisit la Haute autorité pour la transparence », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  669. « Où sont passés les millions d'Emmanuel Macron? », sur challenges.fr, (consulté le ).
  670. « Déclaration de patrimoine de Macron: Anticor saisit la Haute autorité pour la transparence », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  671. « Déclaration de situation patrimoniale de M. Emmanuel MACRON proclamé Président de la République », sur legifrance.gouv.fr, .
  672. « Présidentielle : Emmanuel Macron, pas de bien immobilier et des comptes en pagaille », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  673. Déclaration de patrimoine de Macron : rien de problématique, selon la HATVP, sur Europe1.fr.
  674. Mathias Thépot, Mais où est passé le pognon de dingue que Macron aurait palpé chez Rothschild ?, marianne.net, 30 mars 2022
  675. Patrimoine de Macron : ce que répond la banque Rothschild and Co, lexpress.fr, 31 mars 2022
  676. Sara Ghibaudo, « Emmanuel Macron à Las Vegas: une enquête ouverte », sur France Inter, (consulté le ).
  677. « Soupçons de favoritisme : pour Michel Sapin, Emmanuel Macron est « totalement hors de cause » », Huffington Post,‎ (lire en ligne).
  678. « Déplacement de Macron à Las Vegas : Pénicaud admet «une erreur de procédure» », sur Le Parisien, .
  679. « Alexandre Benalla condamné à trois ans de prison, dont un ferme, pour les violences du 1er mai 2018 », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  680. Alexandre Benalla condamné à trois ans de prison dont un ferme, lexpress.fr, 5 novembre 2021
  681. a b c et d « Plainte d'Anticor: enquête ouverte contre Alexis Kohler », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  682. a et b « Affaire Kohler. Si vous n’avez rien suivi à la polémique sur le bras droit d’Emmanuel Macron… », sur Ouest France, .
  683. a et b « Tout comprendre à l’affaire Kohler, l’autre dossier qui menace l’Elysée », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  684. « Affaire Kohler, la lettre à Macron », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  685. « Alexis Kohler visé par une enquête pour des soupçons de conflit d'intérêts », RTL.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  686. « Enquête du Parquet national financier visant le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  687. a b et c « Covid-19 : on vous résume la polémique autour de McKinsey, le cabinet qui conseille le gouvernement sur la stratégie vaccinale », sur Franceinfo, (consulté le ).
  688. a b et c « McKinsey, un cabinet dans les pas d’Emmanuel Macron », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  689. a b et c « McKinsey et Macron : le vrai et le faux sur la polémique », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  690. « On vous explique la polémique McKinsey en sept points », sur Le JDD, (consulté le ).
  691. « Deux enquêtes sur les « conditions d’intervention des cabinets de conseil dans les campagnes de 2017 et 2022 » ouvertes par le Parquet national financier », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  692. « Affaire McKinsey : les raisons qui ont poussé le Parquet national financier à ouvrir une enquête préliminaire », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  693. « Affaire McKinsey : une perquisition au siège français du cabinet de conseil », sur europe1.fr (consulté le ).
  694. Justine Chevalier, Affaire McKinsey: des perquisitions menées au siège du parti Renaissance et dans les locaux du cabinet de conseil, bfmtv.com, 14 décembre 2022
  695. « Comptes de campagne d’Emmanuel Macron : les locaux du parti Renaissance et du cabinet de conseil McKinsey perquisitionnés », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  696. (en) « Past Classes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur French American Foundation, .
  697. « Les young leaders »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur francechinafoundation.org (consulté le ).
  698. Jean-Pierre Robin, « Emmanuel Macron consacré parmi les jeunes leaders mondiaux à Davos », sur Le Figaro, (consulté le ).
  699. « Emmanuel Macron parodié dans Les Guignols avec une marionnette représentant un bébé »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur HuffingtonPost.fr, (consulté le ).
  700. « Emmanuel Macron vu par les Guignols… », sur Zap-Télé.com, (consulté le ).
  701. « Les Guignols du 13/01 - L'Enterrement de Vie de Socialiste de Macron »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur CanalPlus.fr, (consulté le ).
  702. « Macron, nouvelle égérie de Lagerfeld - Les Guignols du 08/09 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur CanalPlus.fr, (consulté le ).
  703. « La parade du « président Micron » a fait marcher les fans de Fifigrot », sur La Dépêche, .
  704. Myriam Roche, « « Fête à Macron » : le meilleur et le pire des affiches des manifestants », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  705. Marion Gadea, « « Dessine-moi un Macron » : 77 dessinateurs de presse croquent le président en Suisse », sur Culturebox, (consulté le ).
  706. Angélique Passebosc, « Le petit Macron dessiné », sur Le Temps, (consulté le ).
  707. Jean-Michel Gouin, « La présidente : Marine Le Pen au pouvoir - Comixtrip », sur Comixtrip, (consulté le ).
  708. « La Bajon, l'humoriste préférée des gilets jaunes », sur LExpress.fr, (consulté le ).
  709. « La Bajon, nouvelle «Coluche» des Gilets jaunes ? », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  710. « JT de 13h du samedi 29 décembre 2018 », sur Franceinfo, (consulté le ).
  711. « Voilà, voilà », sur brain-magazine.fr (consulté le ).
  712. Virginie Jannière, « Centenaire de Boris Vian : Twitter s'amuse de la ressemblance avec Emmanuel Macron », sur cnews.fr, .
  713. https://www.courrierinternational.com/article/vu-du-quebec-sans-surprise-macron-et-trudeau-distingues-par-l-academie-de-la-carpette-anglaise
  714. https://www.ledevoir.com/societe/776722/langue-macron-et-trudeau-decrochent-les-prix-de-la-carpette-anglaise
  715. https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-monde-est-a-nous/emmanuel-macron-et-justin-trudeau-laureats-du-prix-de-l-indignite-linguistique_5564916.html
  716. |https://twitter.com/bernardpivot1/status/723371706379694080?lang=fr Tweet de Bernard Pivot.
  717. Thomas d'Istria, « Emmanuel Macron, allié mal aimé des Ukrainiens », sur le site du quotidien Le Monde, (consulté le ).
  718. Morgane Masson, « “Macroner”, ce néologisme très populaire en Ukraine n'est pas vraiment valorisant pour Emmanuel Macron », sur le site du quotidien Midi libre, (consulté le ).
  719. Benjamin Quénelle, « Présidentielle : le débat Macron-Le Pen suivi avec intérêt mais circonspection à Moscou », sur le site du quotidien Les Échos, (consulté le ).
  720. « Guerre en Ukraine. « Macroner », le terme utilisé par les Ukrainiens pour dénoncer l’immobilisme français », sur le site du quotidien Ouest-France, (consulté le ).
  721. Jules Fresard, « Les Ukrainiens inaugurent le verbe "macroner" pour fustiger l'immobilisme français face à l'invasion russe », sur le site de la chaîne BFM TV, (consulté le ).
  722. Xavier Martinage, « Les Ukrainiens ont inventé le verbe "macroner" », sur le site du magazine Capital, (consulté le ).
  723. Adrien Siberrol, « "Arrête de macroner !" : que signifie cette expression devenue populaire dans la langue ukrainienne ? », sur La Dépêche, (consulté le ).
  724. https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Presidentielles/elecresult__presidentielle-2017/(path)/presidentielle-2017/FE.html
  725. https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Presidentielles/elecresult__presidentielle-2022/(path)/presidentielle-2022/FE.html
  726. Audrey Morel, « Le grand collier du président gravé du nom d'Hollande », sur Le Figaro, (consulté le ).
  727. Aude Bariéty, « Les présidents français au Vatican, une longue tradition », sur Le Figaro, (consulté le ).
  728. Pauline Théveniaud, « À Bruxelles, Macron défend «son» Europe », sur Le Parisien, (consulté le ).
  729. (pt-BR) « Lula condecora Macron com a Ordem Nacional do Cruzeiro do Sul | Metrópoles », sur www.metropoles.com, (consulté le )
  730. (pt) « Decreto s/nº, de 09/12/2012 - dou 19/12/2012 ».
  731. « Emmanuel Macron reçoit le président sud-coréen », sur lechiquiersocial.com, (consulté le ).
  732. Agence ivoirienne de presse, « Le président Emmanuel Macron élevé dans la dignité de grand croix de l’ordre national », sur pressecotedivoire.ci, (consulté le ).
  733. Éric Hacquemand, « À Copenhague, Macron fait chevalier de l’ordre de l’Eléphant », sur Paris Match, (consulté le ).
  734. « Légion d'honneur au président égyptien Sissi : l'écrivain italien Corrado Augias rend sa décoration », sur Franceinfo, (consulté le ).
  735. « UAE President meets with French Republic President », sur Wam.ae, (consulté le ).
  736. a b c d et e Décorations visibles au musée de la Légion d'honneur, dans le cadre de l'exposition "Décorations présidentielles & diplomatie". Lien : www.legiondhonneur.fr/fr/actualites/exposition-parcours-decorations-presidentielles-diplomatie/1930/2
  737. (fi) « Suomen Valkoisen Ruusun ritarikunnan suurristin ketjuineen ulkomaalaiset saajat » [« Récipiendaires étrangers de l'ordre de la Rose blanche de Finlande »](Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ritarikunnat.fi, (consulté le ).
  738. « Macron sur Irma: "La France toute entière est mobilisée" - Le Point », sur Le Point, (consulté le ).
  739. (it) « Pranzo di Stato offerto dal Presidente della Repubblica Francese in onore del Presidente Mattarella », sur quirinale.it (consulté le ).
  740. (ro) Ana Maria Dolghii, « DOC Sandu și Macron și-au înmânat cele mai înalte distincții de stat la Paris: „Mulțumesc, dragă Emmanuel” », sur NewsMaker, (consulté le )
  741. (en-US) Saad719, « French State Visit to The Netherlands », sur The Royal Watcher, (consulté le ).
  742. Sonia Ouadhi, « Charles III à Paris : cette grande décision prise pour protéger Brigitte Macron », Voici,‎ (lire en ligne, consulté le )
  743. (en) Government Digital Service, « 2014 Honorary Awards » [PDF], sur assets.publishing.service.gov.uk, (consulté le ), p. 5.
  744. (se) « Statsbesök från Frankrike ».
  745. https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/emmanuel-et-brigitte-macron-en-suede-ils-recoivent-une-jolie-distinction_537321
  746. « Moments forts de la visite de Macron à Tunis ».
  747. (en) « Ronald Deibert named 2017 global thinker by Foreign Policy magazine », University of Toronto News, (consulté le ).
  748. (en) Jun Ji-hye, « Moon named 'global thinker' », sur The Korea Times, (consulté le ).
  749. Édouard de Mareschal, « Macron «champion de la Terre» ? Pourquoi ce titre lui est contesté par les experts », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  750. « «Pour une Renaissance européenne» : la lettre d’Emmanuel Macron aux Européens », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  751. « "Pour une renaissance européenne" : découvrez la tribune publiée par Emmanuel Macron », sur francebleu.fr, (consulté le ).