En effeuillant la marguerite

film français de Marc Allégret, sorti en 1956

En effeuillant la marguerite est un film français réalisé par Marc Allégret en 1956

En effeuillant la marguerite
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo tiré de l'affiche
Réalisation Marc Allégret
Scénario Marc Allégret
Roger Vadim
Acteurs principaux
Sociétés de production Films EGE
Hoche Productions
Pays de production Drapeau de la France France
Genre Comédie
Durée 100 minutes
Sortie 1956

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Synopsis

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Agnès, la fille du général Dumont, a écrit et fait publier sous ses seules initiales un livre intitulé "En effeuillant la marguerite". Cette satire de sa ville de province y fait scandale et lorsque son père apprend qu'elle en est l'auteur, il décide de l'envoyer en pension. Arrivée à la gare elle s'enfuit en sautant dans un train pour Paris où elle fait la connaissance d'un sémillant journaliste, Daniel. Croyant loger chez son frère, elle s'installe au Musée Balzac et pour rembourser une édition unique qu'elle a vendue, elle s'inscrit dans un concours de strip-tease. Elle parait masquée devant le public, ce qui lui permet de berner le crédule Daniel qui souhaite l'épouser rapidement. Le tout se dénoue à Vichy, dans la bonne humeur et avec l'approbation du général Dumont.

Fiche technique

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Distribution

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Autour du film

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Le musée Balzac imaginé par Marc Allégret fait allusion à la Maison de Balzac située dans le 16e arrondissement[1]. Mais le réalisateur l'a imaginé 5 rue Fabra Paris 16e dans le film, alors que la rue Fabra n'existe pas à Paris. Cette adresse est écrite sur une enveloppe adressée au frère d’Agnès dans le musée, au début et dans la suite du film l'adresse d'Hubert, en fait le musée, sera dit situé au 3 rue Fabra. Dans le film Agnès se croyant chez son frère au musée, portera la robe de chambre de Balzac au grand dam de son frère qui faisait visiter le musée. En fait la robe de chambre avait été utilisée par Rodin pour une sculpture, trempée dans du plâtre, et ne pouvait pas être au musée [2]. D’ailleurs la robe n’aurait sans doute pas convenu à Brigitte Bardot plutôt mince et mesurant 1,68 m, alors que Balzac était de forte corpulence et ne mesurait qu’1,57 m. Mais paradoxalement la robe de chambre que porte Brigitte Bardot et censée avoir appartenu à Balzac, est certes trop ample pour elle, mais également beaucoup trop longue et forme une sorte de traîne, alors qu'elle n'aurait dû ne descendre que jusqu'aux chevilles. Celle de Balzac, une sorte de robe de moine déjà trop longue pour l'écrivain, traînait par terre. Dans le film une sculpture représente Balzac bien plus grand qu'en réalité, aujourd'hui on trouve deux Sculptures de Balzac de grande taille, l'une au boulevard Raspail, l'autre dans le jardin du musée Rodin, celles à la Maison de Balzac sont de petite taille.

Références

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Voir aussi

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Liens externes

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