Environnement au Ghana
L'environnement au Ghana est l'environnement du Ghana, un pays d'Afrique.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1e/SUMINA_RECYCLING.jpg/220px-SUMINA_RECYCLING.jpg)
Le Ghana est l’un des quinze pays où l’OMS a identifié la présence de décharges électroniques de grande envergure, toxiques.
La biodiversité au Ghana
modifierMilieux
modifierFaune et Flore
modifierAires protégées
modifierImpacts sur les milieux naturels
modifierActivités humaines
modifierExploitation forestière
modifierAgriculture
modifierChasse et braconnage
modifierGestion des ressources
modifierGestion de la ressource en eau
modifierPression sur les ressources non renouvelables
modifierPollutions
modifierLes émissions de gaz à effet de serre (GES)
modifierLa pollution de l'air
modifierLa pollution de l'eau
modifierLa gestion des déchets
modifierUn habitant d'Afrique sub-aharienne génère en moyenne 165 kg de déchets par an et par habitants en 2023 (soit nettement moins que dans les pays plus riches)[1].
Le Ghana s'est spécialisé dans l'importation d'e-déchets, avec 170 000 tonnes par an importés. C'est l’un des quinze pays où l’OMS a identifié la présence de décharges électroniques de grande envergure. Or les déchets électriques et électroniques contiennent « plus de 1 000 substances nocives », souligne l’OMS, c’est-à-dire des composés cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques ou perturbateurs endocriniens. A Agbogbloshie, décharge d'Accra, des fils électriques brûlés sur la décharge même pour récupérer du cuivre dégagent une fumée toxique. Par ailleurs, « Un enfant qui mange un seul œuf de poule venant d’Agbogbloshie, écrit Marie-Noel Brune Drisse, l’autrice principale du rapport, ingérera 220 fois la dose quotidienne tolérable de dioxines chlorées fixée par l’Autorité européenne de sécurité des aliments. » Il s’agit des plus grandes doses jamais relevées de par le monde[2]. En 2023, la décharge a été récemment fermée[1].
L'importation de déchets textiles est également importante, avec 58 000 tonnes par an, entrainant également des décharges et pollutions[1].
Impacts de l'urbanisation
modifierL'exposition aux risques
modifierRisques naturels
modifierRisques technologiques
modifierPolitique environnementale au Ghana
modifierAccords internationaux
modifierActeurs locaux, ONG...
modifier- Avec la plateforme Ecosia, le Ghana est engagé dans la plantation d'arbres, notamment les arbres de karité. Ce projet a pour objectif de restaurer une rivière (Daka) qui coulait autrefois toute l'année, mais qui, à l'heure actuelle, disparaît tous les ans après la saison des pluies. 900 000 arbres ont été plantés[3].
Évaluation environnementale globale
modifierNotes et références
modifierNotes
modifierRéférences
modifier- Emilie Aubry, « Le dessous des cartes - Un monde de déchets », sur www.arte.tv, (consulté le )
- Augustin Langlade, « « Un tsunami de déchets électroniques » met en danger la santé de millions d’enfants », sur lareleveetlapeste.fr, (consulté le ).
- « Pourquoi planter des arbres fruitiers au Ghana ? », sur fr.blog.ecosia.org, (consulté le ).