Étant donné une fonction bornée F sur les configurations du champ, alors pour tout vecteur d'état (qui est solution de la théorie quantique des champs), il y a :
avec S la fonctionnelle d'action et l'opérateur d'ordonnation du temps.
D'une même manière, dans la formulation de la matrice densité, pour tout état (valide) , il y a :
Cet ensemble infini d'équations peut être utilisé pour résoudre les fonctions de corrélation, sans utiliser une approche perturbative.
On peut également réduire l'action S en la séparant :
Le premier terme est la composante quadratique et un tenseur covariant symétrique et réversible (antisymétrique pour les fermions) de rang 2 dans la notation de deWitt. Les équations peuvent être réécrites ainsi :
Si F est une fonctionnelle de φ, alors pour un opérateur K, F[K] est définie comme un opérateur qui remplace K par φ. Par exemple, si
et que G est une fonction de J, alors :
- .
S'il y a une fonction analytique Z (appelée fonctionnelle génératrice) de J (appelée champ source) satisfaisant l'équation :
- ,
alors l'équation de Schwinger-Dyson pour la génératrice Z est :
En développant cette équation en série de Taylor pour J proche de 0, le jeu entier des équations de Schwinger-Dyson est obtenu.
Pour donner un example, supposons
pour un champs réel φ.
Alors,
L'équation de Schwinger–Dyson pour cet exemple particulier est donc :
Il est à noté que
n'est pas correctement défini car
est une distribution en :x1, x2 and x3, cette equation doit être regularisée.
Dans cet exemple, le propagateur nu D est la fonction de Green pour et donc, le set d'équation de Schwinger–Dyson donne
et
etc.
(A moins qu'il n'y ait Brisure spontanée de symétrie, les fonctions de correlations impaires sont nulles.)