Eygurande
Eygurande (Eiguranda en occitan), est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
Eygurande | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Ussel | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Haute-Corrèze Communauté | ||||
Maire Mandat |
Didier Beaumont 2020-2026 |
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Code postal | 19340 | ||||
Code commune | 19080 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Eygurandais, Eygurandaises | ||||
Population municipale |
690 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 39′ 44″ nord, 2° 27′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 709 m Max. 904 m |
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Superficie | 34,37 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ussel | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Eygurandais et les Eygurandaises.
Toponymie
modifierLe nom d'Eygurande (attestation de 1300 Aygurandia[1]) vient du toponyme gaulois *egoranda (ou *equoranda[2]) dont l'évolution la plus fréquente en France est Ingrandes. Egoranda devait fondamentalement signifier "limite" et correspondait souvent à la frontière entre deux peuples gaulois.
À l'époque gauloise, Eygurande était située à la limite entre les Lémovices et les Arvernes, qui devint ensuite limite entre les diocèses de Limoges et de Clermont-Ferrand, puis entre le Limousin et l'Auvergne, enfin, entre la Corrèze et le Puy-de-Dôme lors de la création des départements en 1790.
Par mécoupure, Eiguranda a été interprété, dans l'occitan local récent, comme Las Gurandas[3].
Géographie
modifierCommune située dans le Massif central à 743 mètres d'altitude, Eygurande, parsemée des champs Corréziens est à la limite du département du Puy-de-Dôme, et de la Creuse. La commune est arrosée par le ruisseau de la Barricade.
Localisation
modifierSaint-Oradoux-de-Chirouze Creuse |
Saint-Merd-la-Breuille Creuse |
Feyt | ||
Lamazière-Haute | N | |||
O Eygurande E | ||||
S | ||||
Aix | Monestier-Merlines |
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat montagnard[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 113 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ussel à 17 km à vol d'oiseau[7], est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 156,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Eygurande est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,6 %), zones agricoles hétérogènes (33 %), prairies (29,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones urbanisées (1,7 %)[15].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Transport routier
modifierRisques majeurs
modifierLe territoire de la commune d'Eygurande est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
modifierLe retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 9,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 355 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, deux sont en aléa moyen ou fort, soit 1 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].
Concernant les feux de forêt, aucun plan de prévention des risques incendie de forêt (PPRIF) n’a été établi en Corrèze, néanmoins le code de l’urbanisme impose la prise en compte des risques dans les documents d’urbanisme. Le périmètre des servitudes d'utilité publique et des zones d'obligation légale de débroussaillement pour les particuliers est quant à lui défini pour la commune dans une carte dédiée[19].
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Eygurande est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].
Histoire
modifierSite préhistorique occupé à l'époque gallo-romaine.
Châtellenie appartenant aux seigneurs d'Ussel au Moyen Âge. Puis aux Villelume, Amable de Villelume, dame d'Eygurande vend ce fief le à Anne de Lévis duc de Ventadour.
En 1584 : construction de la "Maison de notaire" dite tour Choriol.
Lors de la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention, la commune change de nom pour La-Montagne.
En 1922 : construction de la chapelle Vierge à l'Enfant, dite Notre-Dame-d'Eygurande.
Politique et administration
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24]. En 2021, la commune comptait 690 habitants[Note 1], en évolution de +1,17 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Économie
modifierProduction du fromage : La fromagerie des Chanterelles est installée au lieu-dit les Renards sur la commune. Dans le respect des traditions, c'est là que se sont fabriqués la Fourme des Chanterelles, Meule, bleu, CorrÉzien, P'titDome...
Fourme limousine sur Monestier Merlines.
Lieux et monuments
modifierChapelle Notre-Dame d’Eygurande
modifierEn 1942 : petite chapelle se trouvant à Eygurande, elle est appelée aussi Vierge à l'Enfant qui a été un lieu de pèlerinage.
Le pèlerinage existe toujours et si les personnes présentes sont en nettement moins nombreuses d'année en année, ce pèlerinage a lieu le 1er dimanche du mois de septembre.
Église Saint-Loup-de-Limoges
modifierPetite église romane nommée Saint-Loup-de-Limoges des XIVe – XVIIe siècles. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[27].
Fontaine de dévotion de la Vierge
modifierFontaine à proximité de la chapelle de la Vierge, au bâti sommairement maçonné, elle rend toute datation impossible et est couverte d'une ancienne meule de moulin et fermée par un battant en bois portant une croix. Elle devenue fontaine de dévotion en 1720, lors de l'invention d'une statuette de la Vierge à l'Enfant dans un pré situé à proximité, la statuette aurait alors été nettoyée dans l'eau de la fontaine. C'est un lieu de pèlerinage encore important aujourd'hui.
Croix du cimetière
modifierConstruite au troisième quart du XIXe siècle, c'est une croix érigée vraisemblablement à la suite de la translation du cimetière vers 1861, 1862.
Massif des Agriers
modifierLe massif des Agriers est un ensemble forestier remarquable permettant des promenades très agréables dans une nature préservée.
Le massif des Agriers est composé de terrains provenant de la baronnie de Châteauvert, de biens de sections des communes de Couffy-sur-Arsonne, Eygurande, Lamazière-Haute et d’acquisitions plus récentes complémentaires.
Avant la Révolution, les sols Agriers, conservés à l’état naturel de bruyères et de genévriers étaient mis à disposition, exclusivement comme parcours à moutons par le tenant du fief, aux paysans, en échange de corvées.
Ce massif qui culmine à 915 m au Puy du Vareyron, bien propre d’un groupement syndical forestier, est géré par l’Office national des forêts.
D’une superficie totale de quelque 600 hectares, en majeure partie destinée à la production forestière : peuplement résineux, introduction du hêtre, le massif des Agriers réserve 130 hectares à la conservation du paysage originel, au tourisme et aux activités de plein air :
- au puy du Vareyron, table d’orientation développant 360° de panorama notamment sur les monts d’Auvergne et du Limousin
- arbre-repère, récemment réimplanté en remplacement de l’arbre des tûtes
- chalet d’accueil et aire de repos, point de départ de randonnées
- pièce d’eau
- arboretum de 4 ha, 60 espèces introduites feuillus et résineux
- carrefour de la croix des 4-Arbres
- la plaine des Filles : monument rustique à légende
- aire de détente de Chez Nanet avec « le puits à banlève »
- aire de la Pierre du Loup à Lachaud.
Fontaine abreuvoir
modifierFontaine-abreuvoir en granit située à la Vialatte.
Moulin de Puyloubec
modifierConstruit au troisième quart du XIXe, c'est le premier moulin avec parties agricoles porté sur la carte de Cassini, vendu comme bien national. Détruit, il a été deuxième moulin porté sur le cadastre de 1819. Il a ensuite été entièrement reconstruit vers 1850/1860 avec reprises et adjonction de bâtiments de ferme. Le chaume de la toiture a été remplacé par du fibro-ciment, une seule paire de meules sur deux autrefois est encore en activité aujourd'hui.
Le rez-de-chaussée du moulin est occupé par le mécanisme du moulin et le four à pain, le logement du meunier et les meules sont à l'étage.
Maison de notaire dite Tour Choriol
modifierMaison primitive construite en 1584, vraisemblablement pour le sieur Choriol, notaire royal (les Choriol sont notaires à Eygurande de la fin du XVIe siècle à 1846), sans doute composée d'une seule pièce par étage avec escalier de distribution en vis en demi-hors-œuvre, bâssière et cave voûtée en rez-de-chaussée. Escalier détruit et modification des ouvertures et de la distribution avec aménagement d'une aile en retour abritant un escalier d'accès aux étages sans doute dans la seconde moitié du XIXe siècle. La partie haute de l'ancienne tour d'escalier est refaite en brique, sans doute en même temps que la charpente. Cuve à lessive en terre déposée dans le grenier. Restauration en cours en 1989.
Plateau de la Bourgeade
modifierPlateau situé au lieu-dit la Bourgeade, à Eygurande.
Plan d’eau de l’Abeille
modifierLac artificiel de loisirs situé entre Merlines et Eygurande construit dans les années 1970.
Pont Charraud
modifierVieille substruction gallo-romaine se trouvant au pont Charraud.
Menhir du Pialou
modifierMenhir ancien se trouvant à Eygurande.
Site gallo-romain du Montcheny
modifierSite de l'époque gallo-romaine se trouvant au lieu-dit le Montcheny, à Eygurande.
La gare
modifierPersonnalités liées à la commune
modifier- Commandant Pierre Galopin
- Jean-Louis Rieupeyrout né à Eygurande en 1923, mort à La Rochelle en 1992 est un écrivain français spécialiste de l'Ouest américain.
Héraldique
modifierBlason | Écartelé : au 1er de gueules à trois bandes d'or, au 2e d'or à trois chevrons de sable, au 3e de gueules à trois étoiles d'or, au 4e d'argent au lion de gueules, sur le tout échiqueté d'or et de gueules de six tires[28]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
modifier- Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984, p. 5
- Cf. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, PUF, 1969, coll. Que sais-je ?, p. 40., et Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, Edition Errance, 1994.
- Yves Lavalade, Les Noms de lieux des Pays d'Ussel et d'Eygurande (Corrèze) : Chaveroche, Lignareix, Mestes, St-Angel, St-Etienne-aux-Clos, St-Exupéry-les-Roches, St-Fréjoux, St-Pardoux-le-Vieux, Ussel, Valiergues ; Aix, Couffy-sur-Sarsonne, Courteix, Eygurande, Feyt, Lamazière-Haute, Laroche-près-Feyt, Merlines, Monestier-Merlines, St-Pardoux-le-Neuf, Éditions de l'Esperluette, Limoges, 2019.
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Eygurande et Ussel », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ussel-Lamartine » (commune d'Ussel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ussel-Lamartine » (commune d'Ussel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune d'Eygurande », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Risque de feu de forêt près de chez moi, sur la commune d'Eygurande », sur Géorisques (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- « Les maires de Eygurande », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Eglise paroissiale Saint-Loup-de-Limoges », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Héraldique médiévale », sur worldhistory.org (consulté le ).
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- François Longy, Le Canton d'Eyguerande (Corrèze), Tulle, Imprimerie Cauffon,
- Yves Lavalade, Les Noms de lieux des Pays d'Ussel et d'Eygurande (Corrèze) : Chaveroche, Lignareix, Mestes, St-Angel, St-Etienne-aux-Clos, St-Exupéry-les-Roches, St-Fréjoux, St-Pardoux-le-Vieux, Ussel, Valiergues ; Aix, Couffy-sur-Sarsonne, Courteix, Eygurande, Feyt, Lamazière-Haute, Laroche-près-Feyt, Merlines, Monestier-Merlines, St-Pardoux-le-Neuf, Éditions de l'Esperluette, Limoges, 2019.
Articles connexes
modifier- Liste des communes de la Corrèze
- Anciennes communes de la Corrèze
- Communauté de communes Haute-Corrèze Communauté
Liens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Eygurande sur le site de l'Institut géographique national