Félix Labisse

peintre français

Félix Labisse, né le à Marchiennes et mort le à Neuilly-sur-Seine, est un peintre, affichiste, décorateur et scénariste français.

Félix Labisse
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Félix Louis Victor Léon Joseph LabisseVoir et modifier les données sur Wikidata
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Genre artistique
Vue de la sépulture.

Par son amitié avec Christian Dotremont, il suit le surréalisme révolutionnaire qui fait concurrence avec le groupe surréaliste emmené par André Breton.

Dès le début des années 1940, son œuvre est reconnue et soutenue par Robert Desnos, Paul Eluard, Philippe Soupault, ainsi que Jacques Prévert. En 1970, Patrick Waldberg lui consacre une monographie.

Parallèlement à sa carrière de peintre, Félix Labisse mène une carrière de décorateur pour le théâtre, pour la danse et l’opéra[1].

Biographie

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La famille de Félix Labisse est établie à Douai. Après la Première Guerre mondiale, en 1923, elle s'installe à Heist-sur-Mer en Belgique. Son père créé un armement de pêche maritime à Zeebruges. En 1924, Félix Labisse fait son service militaire à Cambrai. En 1927, l’affaire familiale périclite et la famille déménage à Ostende. Félix Labisse renonce à une carrière de marin et commence à se consacrer véritablement à la peinture. Il fonde à Ostende avec sa sœur Antoinette[2], une galerie de peinture, la galerie d'Art moderne, qui tiendra à peine deux années. Il est proche de James Ensor et entre en relations avec Constant Permeke, Léon Spilliaert, Henri Vandeputte, Jean Teugels[3] et le futur cinéaste Henri Storck.

En , il fonde avec Henri Storck, Firmin Cuypers[4], Victor de Knop[5], Alfred Courmes à cette époque à Ostende, Robert Elleboudt, Désiré Steyns, Pierre Vandervoort et Henry Van Vyve[6] le Club du cinéma d’Ostende. En , il présente à la galerie d'Art moderne sa première exposition particulière.

En 1929, il écrit l’argument de Pour vos beaux yeux[7], un court métrage réalisé par Henri Storck. En 1930, il fonde avec Henry Van Vyve une revue littéraire et artistique Tribord qui comptera cinq numéros de juin à et trois numéros de janvier à . Durant l’été 1930, il participe au scénario et au tournage d’un nouveau film d’Henri Storck, La mort de Vénus[8]. Fin 1930, il entreprend un ensemble de peintures murales représentant des portraits d’écrivains à la librairie Corman à Ostende. L'année suivante, il participe durant l’été au tournage d’Une idylle à la plage[7] d’Henri Storck sur un scénario de Jean Teugels, avec pour principaux acteurs Raymond Rouleau et Gwen Norman. Il achève d’écrire un récit intitulé La déesse[9]. En octobre, il réalise les décors de Liliom de Ferenc Molnar mis en scène par Raymond Rouleau au Théâtre royal des galeries à Bruxelles.

En 1932, débute son séjour à Paris. Il se lie d'amitié avec Jean-Louis Barrault, Robert Desnos, Antonin Artaud, Roger Vitrac et Germaine Krull. Au début de l’été, il décore le night-club du Casino d’Ostende sur le thème des « Nuits cubaines »[10]. En 1933, il tient un rôle de figurant dans Zéro de conduite de Jean Vigo. Il expose Histoire des guerres et Uniformes pour la prochaine, une série de gouaches datée de 1931, à la galerie Le Studio à Ostende. En 1934, il peint son Grand carnaval ostendais.

En 1935, il réalise les décors et costumes pour Autour d’une mère d’après Tandis que j’agonise de William Faulkner, premier spectacle monté par Jean-Louis Barrault au théâtre de l'Atelier. Il rencontre Jacques Prévert et André Masson. En 1937, il fait la connaissance de Max Ernst, puis de Raymond Queneau. En , il expose au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles. En juin, il rencontre au Zoute, Jony Herlin qui devient sa compagne. Il réside l’hiver 1938-1939 à Bruxelles dans l’entourage de René Lust. Premières rencontres avec René Magritte et avec Paul Delvaux.

Le , mobilisé, il rejoint Cambrai puis la 1re Compagnie de camouflage qui s’installera en au château d’Ermenonville. En , il revient à Paris et devient l’un des artistes majeurs de la jeune peinture française. Il peint les décors pour Noé d’André Obey représenté en à la Comédie-Française. En 1941, il peint des arbres anthropophages. Il passe l’hiver 1941-1942 au Château-Légier à Fontvieille à l’invitation de Pierre et Suzy Delbée. Il découvre les Baux de Provence et Montmajour.

En 1942, il s’installe à Montparnasse au 31 bis, rue Campagne-Première. Il fréquente Robert Desnos, Paul Éluard, Georges Hugnet, Pablo Picasso. Il réalise les décors et costumes d’Hamlet de Shakespeare monté par Christian Casadesus et la Compagnie du regain. Il peint Les malheurs de la guerre. Il entre en relations avec Paul-Gustave van Hecke[11] qui commence à s’intéresser à son travail et qui le soutiendra dans les années qui vont suivre.

Il connaît une grande activité picturale en 1943 et une importante transformation dans la forme et dans l’esprit. Il peint notamment Le Bonheur d’être aimée, La Fille prodigue, Les Courtisanes. En 1944, il illustre Le Bain avec Andromède de Robert Desnos qui lui consacre une monographie publiée en 1945. Il compose les 30 dessins de son Histoire naturelle qui sera publiée en 1949 aux Éditions Chavane. Il conçoit les décors et les costumes pour L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel monté par Christian Casadesus et la Compagnie du regain. Il expose La Matinée poétique au Salon des Tuileries et L’Aventure permanente au Salon d’automne. En 1945, il peint notamment La Parque du prince, Bonjour Marie, Le Sixième Acte de Bérénice. Il expose La Partie du roi au premier Salon de mai. Il participe également à l’exposition Surréalisme à la galerie des Éditions La Boétie à Bruxelles.

En 1946, il expose Jeune figue posant pour Léonard de Vinci une Annonciation au Salon de mai. Il décore les ballets du film Un revenant de Christian-Jaque sur un scénario d’Henri Jeanson avec Louis Jouvet dans le rôle principal. Christian Dotremont lui consacre une monographie. Il se lie d’amitié avec Boris Vian. Il passe l’été au Zoute, à proximité du Parc naturel du Zwin, au moulin Siska dont il devient pour plusieurs saisons le locataire. Il présente une toile titrée Charlotte Corday au Salon d’automne. L'année suivante, il est associé aux activités du groupe du « Surréalisme révolutionnaire » fondé à Bruxelles par Christian Dotremont et à Paris par Noël Arnaud. Ce groupe, qui ne dura que 18 mois, s'est efforcé de « concilier les nécessités d'une action révolutionnaire fondée sur le marxisme-léninisme et la liberté de recherche et d'expression spécifique du surréalisme ». La condamnation de ce groupe par André Breton a entraîné la première scission d'importance après la Seconde guerre mondiale[12]. Il réalise des sculptures objets. Une exposition particulière lui est consacrée à la galerie d’Art du Faubourg. Il dessine les décors et costumes pour Le Procès de Franz Kafka, dans une adaptation d’André Gide, mis en scène par Jean-Louis Barrault au théâtre Marigny. Alain Resnais lui consacre un court métrage. En 1948, il réalise les décors du Partage de Midi de Paul Claudel mis en scène par Jean-Louis Barrault au théâtre Marigny.

En 1949, il réalise les décors et costumes de Paris - Magie de Lise Deharme et Germaine Tailleferre à l’Opéra-Comique. Il entreprend à la demande de l’opéra de Paris un important travail de décoration pour le Faust de Gounod, projet qui n’aboutira pas. Il réalise une série d’illustrations pour La Vie secrète d’Ysabeau de Bavière du Marquis de Sade. En 1950, il accompagne la Compagnie Renaud-Barrault au Brésil, en Uruguay et en Argentine. En 1951, il s’installe à Neuilly-sur-Seine au 21, rue Saint-James. Il dessine les décors pour Le Diable et le Bon Dieu de Jean-Paul Sartre mis en scène par Louis Jouvet au théâtre Antoine. Il partage son temps entre Paris et Knokke Le Zoute.

En 1952, il participe à l’exposition « Peinture surréaliste en Europe » organisée par Edgar Jené (de) à Sarrebruck. Il réalise les décors et costumes de La Farce des ténébreux de Michel de Ghelderode mis en scène par Georges Vitaly au théâtre du Grand Guignol et les décors de Piège de lumière pour le Grand ballet du marquis de Cuevas. En 1953, il participe à l’exposition « Art fantastique » à Ostende. En 1954, il participe à la Biennale de Venise dans la section Art fantastique.

En 1955, il se marie civilement à Knokke avec Jony Herlin. En 1956, il réalise une nouvelle décoration murale avec des portraits d’écrivains pour la librairie Corman à Ostende. En 1957 il réalise les décors et costumes pour Le Martyre de Saint Sébastien de Gabriele D’Annunzio et Claude Debussy au théâtre national de l’Opéra. Il organise avec Jef de Vlieger une rétrospective de Salvador Dalí au Casino de Knokke. Il peint cette année-là de nombreux tableaux inspirés par la sorcellerie populaire et publie Le Sorcier des familles (Almanach fatidique de Félix Labisse) aux éditions À l’abeille qui butine. En 1958, Le triomphe de Protée entre dans la collection de Marie-Laure de Noailles.

En 1959, il effectue son troisième voyage au Brésil. En 1960, une rétrospective lui est consacrée au Casino de Knokke. Les organisateurs sont Paul-Gustave Van Hecke et Jacques Nellens. Il peint un premier portrait de Maria d'Apparecida[13]. En 1961, Henri Storck lui consacre deux courts métrages : Les Malheurs de la guerre et Le Bonheur d’être aimée. En 1962, il peint MCCIV et invente les « libidoscaphes » qui représentent des formes marines, toujours très compliquées, toujours sexuelles, qui surnagent au-dessus de l’eau. Il expose au musée Galliera avec Lucien Coutaud et le sculpteur Robert Couturier. En 1963 apparaissent ses premières femmes bleues dans sa peinture.

En 1964, il participe à l’exposition « Le Surréalisme » organisée par Patrick Waldberg à la galerie Charpentier à Paris. Il invente les « Grands D », une série de toiles dont tous les titres commencent par D et qui représentent des formes célestes planant dans l’espace. En 1965, il peint au château Saint-Bernard à Hyères ses premières Sélénides, qui sont pour lui les filles de la lune : des visages bleus dont les yeux, le nez, la bouche s’inscrivent dans les contours de la toile. Il effectue un sixième voyage au Brésil. En 1966, il est élu à l’Académie des beaux-arts. Il réalise le décors et les costumes pour Le Roi d’Ys au théâtre national de l’Opéra. En 1968, il participe à l’exposition « Trésors du Surréalisme » au Casino de Knokke.

En 1969, une rétrospective lui est consacrée au Palais des Beaux-Arts de Charleroi. En 1970, Patrick Waldberg lui consacre une monographie publiée par André de Rache avec le soutien de Gustave Nellens. En 1972, il expose ses Faiseuses d’Histoire, saintes, héroïnes ou perverses, à Paris à la galerie de Seine et à Bruxelles à la galerie Isy Brachot. En 1973, une rétrospective lui est consacrée au musée Boijmans Van Beuningen à Rotterdam. Il peint Le Conseil de sang, une toile qui intègre les principaux éléments de sa collection d’objets de magie noire.

En 1974, il est membre du jury de la sélection officielle du festival de Cannes. En 1975, il expose une série de peintures représentant des démons, sous l’intitulé Les 400 coups du diable, à Bruxelles à la galerie Isy Brachot. En 1976, il peint Le Rendez-vous sur le Bloksberg. La Galerie 2016 d'Hauterive, en Suisse, présente un ensemble de ses lithographies. En 1977, il expose Les 400 coups du diable à Paris à la galerie des Grands Augustins. En 1978, il peint une série de toiles inspirées par les cénobites ou pères du désert, notamment La Grande Thébaïde. En 1979 se tient une rétrospective au Casino d’Ostende. En 1981 a lieu sa dernière exposition avec Les Mystères d’Isis.

Félix Labisse meurt à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) le . Il est inhumé au cimetière de Douai (Nord), auprès de son épouse morte en 1990.

Ses premières créations sont influencées par James Ensor et l'expressionnisme flamand.

Son œuvre de maturité, placée sous le signe de la métamorphose, comme la femme nue à la tête de lionne du Bonheur d'être aimée (1943)[14], explore les frontières du fantastique, du rite, de la magie ou de l’érotisme. Ses personnages féminins aux corps lascifs, aux formes lisses et aux couleurs crues, évoluent dans un monde étrange et intemporel. « Son sadisme, servi par une facture froidement figurative, […] qui n'évite pas toujours le poncif surréaliste, est celui de cérémonies crépusculaires où le sang s'épanche lentement […] Les femmes qu'il soumet à sa rêverie sont parfois vêtues de collants fendus ou de harnais érotiques[14]. »

En 1963-1965 apparaissent les premières femmes bleues qui contribueront à sa célébrité : Yemanja, Le Soir du 8 décembre (1963) Orixa, L’implacable catéchumène (1964), Maria d’Apparecida (1965), Bain Turquoise (1968)…

Œuvres

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Cinéma

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  • Visite à Félix Labisse, 1947, court métrage d’Alain Resnais, noir et blanc, 8 min, tourné dans l’atelier de la rue Campagne Première, documentaire sur l'artiste intitulé Visite à Félix Labisse.
  • Les malheurs de la guerre, 1961, film d'Henri Storck, couleurs, 14 min, commentaires de Pierre Seghers, Tadié-Cinéma.
  • Le bonheur d’être aimé, 1961, film d'Henri Storck, couleurs, 14 min, commentaires de Pierre Seghers, Tadié-Cinéma.
  • Les matins d’Ipanema, 1967, film de Robert Hessens, couleurs, Les films du Méridien – Les films K.

Théâtre

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Scénographie

Félix Labisse a réalisé « pas moins de 65 décors de théâtre[14] ».

1931 :

1935 :

1941 :

1942 :

1943 :

  • Lorenzaccio, d'Alfred de Musset. Mise en scène de Christian Casadesus. Christian Casadesus et la Compagnie du Regain. Théâtre des Célestins, Lyon. Pièce également représentée en tournée. 6 décors. 25 costumes.

1944 :

1946 :

1947 :

1948 :

1949 :

1950 :

1951 :

1952 :

1953 :

  • Jehanne, de Michèle Angot et Guy Haurey. Mise en scène d'Yves Robert. Comédie Caumartin, Paris. 3 décors. 14 costumes.
  • Le rire de Nills Halerius. Opéra de Marcel Landowski. Grand théâtre des Champs-Élysées, Paris. 5 costumes.

1954 :

  • The Prisoner, de Bridget Boland[16]. Mise en scène de Peter Glenville. Globe theatre, Londres. Lyceum theatre, Edinburgh. 1 décor-complexe. :.1
  • La soirée des Proverbes, de Georges Schéhadé. Mise en scène de Jean-Louis Barrault. Théâtre Marigny, Paris. 3 décors.
  • La petite maison de Thé, de John Patrick[17]. Mise en scène de Marguerite Jarmois. Théâtre Montparnasse, Paris. 4 décors.
  • Le cocu magnifique, de Fernand Crommelynck. Mise en scène de Jean-Louis Barrault. Théâtre Marigny, Paris. 1 décor. 12 costumes.

1955 :

1956 :

1957 :

1958 :

  • Le Médium. Opéra de Gian Carlo Menotti. Mise en scène de Mary Powers. Palais des Beaux-Arts de Charleroi. 1 décor.
  • Le Château de Barbe-Bleue. Opéra de Béla Bartok. Mise en scène de Marcel Lamy. Palais des Beaux-Arts de Charleroi. 1 décor.
  • Francesca de Rimini. Ballet de Pierre Tchaïkovski. Chorégraphie de Serge Lifar. Théâtre des Champs-Élysées, Paris. 2 décors. 5 costumes.

1960 :

  • Le mariage de Monsieur Mississippi, de Friedrich Dürrenmatt. Mise en scène de Georges Vitaly. Théâtre La Bruyère, Paris. 1 décor. 8 costumes.
  • Studio 60. Ballet de Robert Bergmann. Chorégraphie de Claude Bessy. Opéra-Comique, Paris. 1 décor. Repris au Palais des Beaux-Arts de Charleroi le 14 novembre 1964.
  • Rosa la Rose, d'Ange Bastiani. Mise en scène de Michel de Ré. Théâtre des Capucines, Paris. 1 décor.
  • La Louve, de Théodore Aubanel. Mise en scène de Claude Vernick. Théâtre Récamier, Paris. 12 costumes.

1961

1962 :

1965 :

1966 :

  • Le Roi d'Ys. Opéra d'Édouard Lalo. Mise en scène de G. Gilles. Théâtre national de l'Opéra, Paris. 5 décors. 60 costumes.
  • Le Roi d'Ys. Opéra d'Édouard Lalo. Mise en scène de G. Gilles. Théâtre de Tours. 5 décors.

1967 :

1969 :

1970 :

  • La Nef des fous. Ballet. Musique de Marcel Quinet. Arrangement de R. Rousseau. Chorégraphie de George Skibine. Ballets de Wallonie. Palais des beaux-arts de Charleroi. 1 décor. 15 costumes.
  • Ulysse. Opéra de Luigi Dallapiccola. Mise en scène de Vitold. Théâtre des Arts, Rouen. Décors et costumes.

Notes et références

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  1. Françoise Baligand, Jean Binder, Isy Brachot, Rose Lecompte, Félix Labisse, Musée de la Chartreuse, Douai, et éditions Snoeck, 2005, Quelle page ?.
  2. Antoinette («Ninette») Labisse (Douai 1908 - Ostende 1992) sculpteur français-belge.
  3. Jean Teugels (1896/1944) poète belge.
  4. Firmin Cuypers (Tienen 1902-Bruges 1948) écrivain.
  5. Victor de Knop (Bruxelles 1883-Anderlecht1979) médecin et peintre amateur.
  6. Henry Van Vyve journaliste, écrivain.
  7. a et b Henri Storck memomeren, VUBpress, 2007.
  8. archives Félix Labisse.
  9. manuscrit dans les archives Félix Labisse.
  10. Photographies d'Antony, Ostende. Archives Félix Labisse.
  11. Paul-Gustave Van Hecke, (1887-1967) a été critique d'art, collectionneur, marchand, galeriste, couturier, poète, cinéaste, homme de théâtre et acteur politique au sein du Parti ouvrier belge. Référence : Cahier numéro 12 des Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique, Snoeck, 2012.
  12. Biro, op. cit., p. 391.
  13. Maria d’Apparecida, artiste lyrique.
  14. a b et c Biro, op. cit.
  15. David Colling, « Acquisitions du Musée Gaspar par l'Institut archéologique du Luxembourg, la Ville d'Arlon et la Fondation Roi Baudouin en 2019-2021 », Bulletin trimestriel de l'Institut archéologique du Luxembourg, vol. 97, nos 3-4,‎ , p. 142
  16. Bridget Boland (1913/†1988) metteur en scène irlando-britannique, dramaturge et romancier.
  17. John Patrick Shanley(1905/1995) dramaturge et scénariste américain.
  18. Josset André (1897-1976) auteur dramatique.

Annexes

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Bibliographie

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  • Adam Biro et René Passeron, Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, 1982, Office du Livre, Fribourg (Suisse) et Presses universitaires de France, Paris, article de R. Passeron, p. 235.
  • Robert Desnos, Félix Labisse, Séquana, Paris, 1945. Nouvelle édition, 1957 (Biro, op. cit., p. 444.).
  • Christian Dotremont, Labisse, Bruxelles, La Boétie, 1946 (Biro, op. cit., p. 444.).
  • Patrick Waldberg, Félix Labisse, Bruxelles, De Rache, 1970 (Biro, op. cit., p. 444.).
  • Catalogue 1927 - 1979 de l’œuvre peint de Labisse, Bruxelles, Isy Brachot éditeur, 1979.
  • Suite du Catalogue de l’œuvre peint 1979-1981, Bruxelles, Isy Brachot éditeur, 1986.
  • Félix Labisse, catalogue de la Rétrospective Félix Labisse, Centre d’Action Culturelle - L’Hippodrome et musée de la Chartreuse de Douai, 1986.
  • Jean Binder et Jean-Gabriel Jonin, Hommage à Félix Labisse, [catalogue d’exposition], Cordes-sur-Ciel, 2005.
  • Françoise Baligand, Jean Binder, Isy Brachot et Rose Lecompte, Félix Labisse, Douai, musée de la Chartreuse, et Éditions Snoeck, 2005.
  • Michel de Ghelderode, Lettres à Félix Labisse, correspondance de Michel de Ghelderode, établie et annotée par Roland Beyen, t. 7, vol. 2, Bruxelles, AML Éditions Labor, 2004. — De larges extraits de cette correspondance sont présentés.
  • Henri Vandeputte, Lettres à Félix Labisse. 1929-1935, édition établie par Victor Martin-Schmets, avant-propos et repères chronologiques par Jean Binder, Cordes-sur-Ciel, Éditions Rafael de Surtis, 2010.

Liens externes

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