Fabien Pelous
Fabien Pelous, né le à Toulouse, est un joueur international français de rugby à XV, évoluant au poste de deuxième ligne.
Naissance |
Toulouse (France) |
---|---|
Taille | 1,98 m (6′ 6″) |
Surnom |
Le Pélican (débuts)[1] Lurch (anglophones) |
Poste | deuxième ligne |
Période | Équipe | |
---|---|---|
1983-1991 | UA Saverdun |
Période | Équipe | M (Pts)a |
---|---|---|
1991-1995 1995-1997 1997-2009 |
SC Graulhet US Dax Stade toulousain |
? (?) 300 (60)[2],[3] |
? (?)
Période | Équipe | M (Pts)b |
---|---|---|
1995-2007 | France | 118 (40) |
Période | Équipe | |
---|---|---|
2010 2011-2015 |
France A France -20 |
a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Formé à l'UA Saverdun en Ariège, il joue au Stade toulousain de 1997 à 2009, après des débuts avec le SC Graulhet et deux saisons à l'US Dax.
Avec le record de sélections en équipe de France (118 capes), il détient le palmarès le plus fourni du rugby français. Il remporte notamment trois championnats de France (1999, 2001 et 2008), deux coupes d'Europe (2003 et 2005) et cinq Tournoi des Cinq ou Six Nations (1997, 1998, 2002, 2004 et 2006). Jusqu'en , il détient aussi le record du nombre de capitanats avec l'équipe de France (42 brassards), finalement dépassé par Thierry Dusautoir.
Biographie
modifierNé le à Toulouse, Fabien Pelous[Note 1] grandit à Gibel (proche de Mazères et Nailloux). Ses parents sont agriculteurs et métayers chez André Trigano[4]. Pendant sa formation scolaire, il étudie notamment à l'université Toulouse-III-Paul-Sabatier[5].
Carrière
modifierFormé à Saverdun, puis passé à Graulhet et à Dax, c'est au Stade toulousain que Fabien Pelous remporte ses plus grands trophées et se forge l'un des plus beaux palmarès du rugby français. Triple champion de France en 1999, 2001 et 2008, il gagne aussi la Coupe d'Europe de rugby à XV en 2003 et 2005.
Il honore sa première cape internationale en équipe de France le 17 octobre 1995 contre l'équipe de Roumanie (victoire 52 à 8) et marque un essai à l'occasion. Souvent sélectionné comme troisième ligne centre à ses débuts, il se fixe progressivement en seconde ligne. Il participe aux tournées en Argentine en 1996, en 1998 et en 2002, en Australie en 1997 et 2002, en Nouvelle-Zélande en 1999, aux États-Unis et au Canada en 2004, et en Roumanie et Afrique du Sud en 2006.
Le , il est capitaine du Stade toulousain, associé en deuxième ligne à David Gérard, en finale de la Coupe d'Europe au Lansdowne Road de Dublin face à l'USA Perpignan. Les toulousains s'imposent 22 à 17 face aux catalans et deviennent ainsi champions d'Europe. La saison suivante, il est de nouveau le capitaine lors de la finale de la Coupe d'Europe qui se déroule cette fois au Stade de Twickenham à Londres face aux London Wasps. Il est titularisé en deuxième ligne avec Trevor Brennan. Les Anglais l'emportent 27 à 20, à la suite d'une erreur de Clément Poitrenaud, empêchant les toulousains de gagner un deuxième titre consécutif.
En 2005, ils arrivent à se qualifier une troisième fois consécutive en finale de Coupe d'Europe face au Stade français. Il est de nouveau capitaine et titulaire, associé cette fois à Romain Millo-Chluski, puis remplacé à la 44e minute par Jean Bouilhou (Trevor Brennan prend alors sa place deuxième ligne). Les haut-garonnais sont de nouveau champion d'Europe en s'imposant 12 à 18 après prolongation.
En 2003, après la retraite internationale de Fabien Galthié, il devient le capitaine du XV de France. Il honore ce capitanat en remportant le Grand Chelem lors du Tournoi des Six Nations 2004. Il compte à son actif quatre Grand Chelems (1997, 1998, 2002, 2004) ce qui constitue également un record en France. En 2007, souvent blessé, il partage son capitanat avec le talonneur Raphaël Ibañez. La Coupe du monde 2007 est sa dernière grande compétition avec le XV de France.
Il est le joueur le plus capé avec 118 sélections, record français. Il cumule 42 capitanats, ce qui est alors aussi le record pour un Français. Celui-ci, qu'il détient de 2006 à 2014, est ensuite dépassé par Thierry Dusautoir[6]. Il prend sa retraite internationale le .
En , il est invité avec les Barbarians français pour jouer un match contre le XV du président, sélection de joueurs étrangers évoluant en France, au Stade Ernest-Wallon à Toulouse[7]. Il est le capitaine de l'équipe à l'occasion de ce match. Les Baa-Baas s'inclinent 26 à 33[8].
Fabien Pelous annonce sa retraite le [9].
Activités après sa retraite sportive
modifierManager puis directeur sportif (2010-2017)
modifierEn , il gère la réserve de l'équipe nationale française, dite équipe de France A, entraînée par Olivier Magne et Philippe Agostini, et alors en lice dans la Churchill Cup[10].
En 2011, il a également passé une maîtrise de manager général de club sportif professionnel, à l'Université de Limoges (6e promotion du département Centre de droit et d'économie du sport), en ayant obtenu son mémoire de fin d'études au sein du club du Colomiers rugby[11].
De 2012 à 2015, il manage l'équipe de France des moins de 20 ans (entraîné par Didier Retière puis Olivier Magne et Gérald Bastide), et participe à la Coupe du monde au mois de juin. Sous sa direction, l'équipe remporte le Tournoi des Six Nations 2014 et réalise en 2015 son meilleur classement en Coupe du monde, quatrième (performance déjà réalisé en 2011).
En , après 3 années de pratique intensive, Fabien Pelous devient ceinture noire de judo et obtient donc son 1er dan. Il est la 100e ceinture noire de judo formée dans le Judo Club Montastruc (JCM)[12].
En 2015, à la suite du départ de Guy Novès du Stade toulousain pour rejoindre le XV de France, il est nommé directeur sportif du club. Il est associé à Ugo Mola, nommé entraîneur principal. Les deux hommes remplacent Guy Novès qui endossait lui la double casquette de manager général et entraîneur principal[13].
En 2017, il quitte son poste de directeur sportif, le nouveau président Didier Lacroix souhaitant être en lien direct avec l'encadrement de l'équipe professionnelle[14]. Il reste alors au Stade toulousain mais pour travailler sur un projet innovant pour la formation du club[15]. Il travaille en particulier sur la tranche d'âge entre le collège et le centre de formation[16].
Consultant sportif (2009-2015)
modifierDe 2009 à 2015, il est consultant rugby pour Canal+, il commente des matchs et participe régulièrement à l'émission Les Spécialistes rugby diffusé sur Canal+ Sport[17]. Lors des coupes du monde 2011 et 2015, il participe à l'émission Jour de Coupe du monde.
Comité directeur de la FFR (2008-2020)
modifierFabien Pelous est membre du comité directeur de la Fédération française de rugby de 2008 à 2020.
En 2008 et 2012, il soutient Pierre Camou et fait partie de sa liste pour intégrer le comité directeur. Lors des deux élections, la liste de Pierre Camou est la seule candidate. Fabien Pelous est donc logiquement élu en 2008 puis réélu en 2012. En 2012, il devient membre élu associé rattaché au vice-président Haut-Niveau, chargé du Haut-Niveau Jeunes.
En , il est de nouveau membre de la liste menée par Pierre Camou pour intégrer le comité directeur de la FFR[18]. Lors de l'élection du nouveau comité directeur, le , la liste menée par Bernard Laporte obtient 52,6 % des voix, soit 29 sièges, contre 35,28 % des voix pour Pierre Camou (six sièges) et 12,16 % pour Alain Doucet (deux sièges). Fabien Pelous conserve sa place au comité directeur mais c'est Bernard Laporte qui est élu à la présidence de la FFR[19]. Fabien Pelous est d'ailleurs le seul parmi les 37 membres du comité directeur à voter contre Bernard Laporte lors du choix du président au sein du comité directeur[20].
En 2019, il participe à un groupe de travail pour préparer le renouvellement du comité directeur de la Fédération française de rugby en . Celui-ci rassemble des dirigeants issues du monde amateur et d'anciens internationaux comme Serge Blanco, Jean-Claude Skrela ou Jean-Marc Lhermet. Le , ce groupe annonce que Florian Grill, président de la Ligue régionale Île-de-France de rugby, sera à la tête de la liste d'opposition qui se présentera face à la gouvernance actuelle[21]. Fabien Pelous est présent en 14e position sur la liste candidate[22]. La liste Grill obtient 9 sièges et Fabien Pelous n'est pas réélu au sein du comité directeur[23].
Palmarès
modifierJoueur
modifierEn club
modifier- Avec le Stade toulousain
- Championnat de France :
- Coupe d'Europe :
- Coupe de France :
- Vainqueur (1) : 1998
- Trophée des champions :
- Vainqueur (1) : 2001
- Avec le SC Graulhet
- Challenge de l'Espérance :
- Vainqueur (2) : 1994 et 1995
- Coupe André Moga :
- Vainqueur (1) : 1994
En équipes nationales
modifier- 118 sélections en équipe de France durant 12 ans (débuts en 1995 (coupe latine), arrêt le après sa demi-finale de coupe du monde) - 106 comme titulaire, et 12 comme remplaçant (87 victoires pour 31 défaites)
- Sélections par année : 4 en 1995, 9 en 1996, 13 en 1997, 9 en 1998, 13 en 1999, 8 en 2000, 5 en 2001, 11 en 2002, 14 en 2003, 10 en 2004, 6 en 2005, 8 en 2006, 5 en 2007
- 8 essais (40 points)
- Champion du monde universitaire : 1996[24]
- Vainqueur de la coupe Latine : 1995 (en Argentine), 1997 (en Armagnac-Bigorre)
- Vainqueur des Jeux méditerranéens de 1993 (en Languedoc-Roussillon)[25]
- Champion du monde FIRA : 1992 (amateur, à Madrid)
Tournoi
modifier- Tournoi des Cinq / Six Nations disputés : 1996, 1997, 1998, 1999, 2000, 2001, 2002 (équipe lauréate du Prix Emmanuel Rodocanacchi de Meilleure équipe sportive française pour l'année écoulée par l'Académie des sports[26]), 2003, 2004, 2005, 2006
- Vainqueur du tournoi des Cinq / Six Nations (5) : 1997, 1998, 2002, 2004, 2006
- Grand chelem (4) : 1997, 1998, 2002, 2004 (capitaine cette année-là) (4 : seul joueur avec Olivier Magne)
Édition | Rang | Résultats France | Résultats Fabien Pelous | Matchs Fabien Pelous |
---|---|---|---|---|
Cinq Nations 1996 | 3 | 2 v, 0 n, 2 d | 2 v, 0 n, 1 d | 3/4 |
Cinq Nations 1997 | 1 | 4 v, 0 n, 0 d | 4 v, 0 n, 0 d | 4/4 |
Cinq Nations 1998 | 1 | 4 v, 0 n, 0 d | 4 v, 0 n, 0 d | 4/4 |
Cinq Nations 1999 | 5 | 1 v, 0 n, 3 d | 0 v, 0 n, 3 d | 3/4 |
Six Nations 2000 | 2 | 3 v, 0 n, 2 d | 3 v, 0 n, 2 d | 5/5 |
Six Nations 2001 | 5 | 2 v, 0 n, 3 d | 2 v, 0 n, 3 d | 5/5 |
Six Nations 2002 | 1 | 5 v, 0 n, 0 d | 5 v, 0 n, 0 d | 5/5 |
Six Nations 2003 | 3 | 3 v, 0 n, 2 d | 3 v, 0 n, 2 d | 5/5 |
Six Nations 2004 | 1 | 5 v, 0 n, 0 d | 5 v, 0 n, 0 d | 5/5 |
Six Nations 2005 | 2 | 4 v, 0 n, 1 d | 4 v, 0 n, 1 d | 5/5 |
Six Nations 2006 | 1 | 4 v, 0 n, 1 d | 4 v, 0 n, 1 d | 5/5 |
Légende : v = victoire ; n = match nul ; d = défaite ; la ligne est en gras quand il y a grand chelem.
Coupe du monde
modifierÉdition | Rang | Résultats France | Résultats Fabien Pelous | Matchs Fabien Pelous |
---|---|---|---|---|
Royaume-Uni 1999 | Finaliste | 5 v, 0 n, 1 d | 4 v, 0 n, 1 d | 5/6 |
Australie 2003 | Quatrième | 5 v, 0 n, 2 d | 4 v, 0 n, 2 d | 6/7 |
France 2007 | Quatrième | 4 v, 0 n, 3 d | 3 v, 0 n, 2 d | 5/7 |
Légende : v = victoire ; n = match nul ; d = défaite.
Entraîneur
modifierStatistiques
modifierEn club
modifierEn équipe nationale
modifierDepuis sa première sélection en 1995, Fabien Pelous dispute 118 matchs avec l'équipe de France au cours desquels il marque 8 essais (40 points)[27]. Il participe notamment à dix Tournoi des Six Nations et à trois Coupes du monde (1999, 2003 et 2007) pour un total de seize rencontres disputées en trois participations[Note 2],[27].
Année | Compétition | Matchs | Points | Essais |
---|---|---|---|---|
1995 | Test matchs | 4 | - | - |
1996 | Cinq nations | 3 | - | - |
Test matchs | 6 | - | - | |
1997 | Cinq nations | 4 | - | - |
Test matchs | 9 | - | - | |
1998 | Cinq nations | 4 | - | - |
Test matchs | 5 | - | - | |
1999 | Six nations | 3 | - | - |
Test matchs | 5 | - | - | |
Coupe du monde | 5 | - | - | |
2000 | Six nations | 5 | - | - |
Test matchs | 3 | - | - | |
2001 | Six nations | 5 | - | - |
2002 | Six nations | 5 | - | - |
Test matchs | 6 | - | - | |
2003 | Six nations | 5 | - | - |
Test matchs | 3 | - | - | |
Coupe du monde | 6 | 5 | 1 | |
2004 | Six nations | 5 | - | - |
Test matchs | 5 | - | - | |
2005 | Six nations | 5 | - | - |
Test matchs | 1 | - | - | |
2006 | Six nations | 5 | - | - |
Test matchs | 3 | - | - | |
2007 | Test matchs | 3 | - | - |
Coupe du monde | 5 | - | - |
Distinctions personnelles
modifier- Recordman d'Europe du nombre de sélections nationales le (118), devant l'anglais Jason Leonard (114) (uniquement dépassé au niveau mondial par l'australien George Gregan (139))
- Recordman du nombre de sélections en équipe de France depuis le (112, alors devant Philippe Sella)
- Recordman mondial au poste de deuxième ligne
- Ancien recordman de France du nombre de capitanats (42) de 2006 à 2014 (dépassé par Thierry Dusautoir)
- Oscar du Midi olympique :
- Or : 1999, 2004
- Argent : 2003
- Bronze : 2000
- Élu meilleur joueur français de l'année par la chaîne de télévision France 2 en 1999
- Participation à 11 tournois des cinq/six nations consécutifs, de 1996 à 2006 (49 matchs)
- Participation à 12 éditions consécutives de la coupe d'Europe, de 1998 à 2009 (record européen)
- Vainqueur au moins une fois de toutes les grandes nations du rugby
- A rencontré 18 nations différentes en matches internationaux (et les a toutes battues au moins une fois, sauf les Tonga[28])
- Fait partie du XV de rêve de la Sixième Nuit du rugby en 2009.
- En 2016, le site Rugbyrama le classe cinquième parmi les 10 meilleurs joueurs de l'histoire du Stade toulousain[29].
- Membre du Temple de la renommée World Rugby depuis 2017
Reconnaissance et popularité
modifierLa nuit suivant la finale de la Coupe du monde 2007, il reçut l'IRPA Special Merit Award, lors de la soirée de gala de l'International Rugby Players' Association Special Merit Award, organisée par l'IRB.
Il fait partie, selon un article du quotidien britannique The Times publié en 2006, des dix joueurs français de rugby « les plus effrayants »[30],[Note 3].
Il a publié son autobiographie sous le titre 118 vies (éditions Prolongations, le ), l'hebdo Rugby no 3 du lui ayant également consacré un long article l'âme des guerriers.
En , il figure sur la « Dream Team » européenne de l'European Rugby Cup (ERC), à savoir la meilleure équipe-type des compétitions des clubs européens au cours des 15 dernières années[31].
Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur par décret du [32],[33].
Revenus, collaborations et activités en dehors du rugby
modifierIl est le parrain de l'association Un maillot pour la vie en faveur des enfants hospitalisés. Il s'est également engagé avec la Fondation du Sport. Il a notamment participé à la réalisation de films courts dans le cadre du programme « Bien manger, c'est bien joué », un programme d'éducation nutritionnelle et de sensibilisation à la pratique de l'activité physique pour les enfants.
Aux élections municipales de 2008 à Toulouse, intéressé par un poste de maire-adjoint chargé des sports, il est candidat sur la liste du maire sortant Jean-Luc Moudenc (UMP). La liste est battue et il n'intègre pas le conseil municipal. Il affirmera par la suite avoir intégré cette liste par l'intermédiaire du président du Stade toulousain René Bouscatel, lui aussi sur la liste.
En 2011, il obtient une licence de pilote d'hélicoptère[11]. Il est par ailleurs copropriétaire de l'hôtel Mercure de Saint-Lary-Soulan, et est propriétaire d'un restaurant, le Club 15, centré sur le thème du rugby à Nailloux (au Village des Marques -ou Nailloux Fashion Village-, inauguré le , tout proche du lieu de son enfance à Gibel).
Il apparaît dans le film Le fils à Jo de Philippe Guillard sorti en 2011 notamment lors de la scène du repas de noces avec Guy Novès.
Aux élections municipales de 2020, il est élu conseiller municipal de Garidech en Haute-Garonne, en étant candidat sur l'unique liste « Garidech Avenir » menée par le maire sortant Christian Ciercolès[34],[35].
En 2023, il interprète le rôle de Patrick Delmas, le président du club local de rugby assassiné et au passé trouble dans le téléfilm Meurtres à Montauban de Muriel Aubin[36].
Notes et références
modifierNotes
modifier- Pelous vient de l'occitan pelós, ou velu
- Dans l'ordre chronologique, il a :
- disputé cinq matchs en 1999 (contre le Canada, la Namibie, les Fidji, la Nouvelle-Zélande et l'Australie).
- disputé six matchs en 2003 (contre le Japon, l'Écosse, l'Irlande, l'Angleterre et la Nouvelle-Zélande) et marqué un essai (5 points).
- disputé quatre matchs en 2007 (contre l'Argentine, la Namibie, la Géorgie, la Nouvelle-Zélande et l'Angleterre).
- Les autres étant Gérard Cholley, Alain Estève, Pascal Ondarts, Marc Cécillon, Vincent Moscato, Armand Vaquerin, Laurent Seigne, Claude Dourthe et Michel Palmié
Références
modifier- Fabien Pelous, ce n'est qu'un au revoir sur www.lesdessousdusport.fr (consulté le 5 avril 2012).
- Philippe Lauga, « Florian Fritz au Panthéon du Stade Toulousain », sur www.ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
- « Fabien Pelous », sur www.itsrugby.fr (consulté le ).
- Fabien Pelous, 118 vies, Prolongations, , 285 p. (ISBN 978-2-916400-56-3 et 2-916400-56-7, OCLC 463284227, lire en ligne).
- Denis Peignier, « Universitaires. L'INSA et Paul-Sabatier en pôle », La Dépêche du Midi, (consulté le ).
- (en) « Player records - capitanat », sur stats.espnscrum.com, ESPN (consulté le )
- « Match de Gala le 22 mars. Onze joueurs toulousains retenus », sur www.ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le )
- « Barbarian Rugby Club vs XV du Président », sur www.barbarianrugbyclub.com, Barbarians français, (consulté le )
- « Fabien Pelous prend sa retraite sportive », Le Monde, .
- Magne: "Un rang à tenir" article de Sylvain Labbé au , consulté le sur www.sports.fr
- La Dépêche du Midi (édition Ouest), jeudi , p. 24
- « Fabien Pelous, 100e ceinture noire au club de judo », sur La Dépêche, (consulté le )
- « Stade Toulousain: Fabien Pelous nommé directeur sportif », sur www.lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le )
- Jérémy Fadat, « Fabien Pelous : "Non je ne quitte pas le Stade Toulousain" », sur www.ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le )
- « Stade Toulousain : Fabien Pelous n'est plus directeur sportif, mais va rester au club », sur www.lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le )
- Clément Mazella, « Pelous, Ntamack, Poitrenaud, Cazalbou... Lacroix compte sur les anciens du Stade toulousain », sur www.rugbyrama.fr, Rugbyrama, (consulté le )
- P. M., « Canal+ présente deux débutants : Raphaël Ibanez et Fabien Pelous », sur programme.tv, Télé 2 semaines, (consulté le ).
- « Elections FFR : Les listes des candidats », sur www.ffr.fr, FFR, (consulté le )
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- « Grill se présentera face à Laporte », sur www.rugbyrama.fr, Rugbyrama, (consulté le )
- « Élections à la FFR : Florian Grill dévoile sa liste », sur www.lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le ).
- « Comité Directeur : La composition », sur www.ffr.fr, (consulté le ).
- Lauréat du Prix François Lafon de l'Académie des sports, décerné au(x) meilleur(s) jeune(s) espoir(s) annuel(s) français
- [1] Jeux Méditerranéens de 1993 en Languedoc-Roussillon
- Prix Emmanuel Rodocanachi
- (en) « Fabien Pelous », sur www.espnscrum.com, ESPN (consulté le )
- Fabien Pelous et les supporters du XV de France
- Ivan Pedros, « Top 14 - Stade toulousain : Le Top 10 des meilleurs joueurs de l'histoire de Toulouse », sur www.rugbyrama.fr, Rugbyrama, (consulté le )
- (en) Stephen Jones, « The top 10 frightening Frenchmen », The Times, .
- Angelina Lacroix, « Annonce des lauréats des Prix ERC15 », sur ercrugby.com, ERC, (consulté le )
- Décret du 22 avril 2011 portant promotion et nomination
- « Légion d'honneur : Pelous nommé chevalier », sur www.lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le )
- Marie Tibal, « Fabien Pelous rejoint la liste "Garidech Avenir" », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
- « Haute-Garonne (31) - Garidech », sur elections.interieur.gouv.fr/municipales-2020 (consulté le )
- Thierry Dupuy, « Silence, ça tourne pendant un mois le téléfilm "Meurtres à Montauban" avec Fabien Pelous au casting », sur ladepeche.fr, (consulté le )
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Fabien Pelous, 118 vies, Éditions Prolongations, , 285 p., broché (ISBN 978-2-916400-56-3)
Liens externes
modifier
- Ressources relatives au sport :
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :