Famille Spurinna
Les Spurinna ou Spurinas sont une famille de l'aristocratie étrusque originaire de Tarquinia qui a probablement vécu aux VIe et IVe siècles av. J.-C.
- « Larth Spurinna » père de « Velthur »[1],[2]
- « Velthur Spurinna » dit Velthur le Grand, époux de Ravnthu Thefrinai[3],[4],[5].
- Velthur le Jeune, son fils.
- Vélia Spurinna, sa nièce.
- « Avle Spurina » ou Aulus pour les romains, son neveu[6].
- Velthur le Jeune, son fils.
- « Velthur Spurinna » dit Velthur le Grand, époux de Ravnthu Thefrinai[3],[4],[5].
Spurinna
Type |
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La famille Spurinna (Larth, Velthur, Aulus) mena une intense activité et s’imposa dans la Ligue étrusque pour contrecarrer momentanément l’expansion de Rome.
Notes et références
modifier- (it) Ivan Di Stefano Manzella, « Il bollo dell'officina falisca «Tito Veltureno » : un inedito frammento di patera a vernice nera », dans Collectif, Epigrafia della produzione e della distribuzione : Actes de la VIIe Rencontre franco-italienne sur l'épigraphie du monde romain (Rome, 5-6 juin 1992), vol. 193, Rome, École française de Rome, coll. « Publications de l'École française de Rome », (lire en ligne), p. 251 et 252
- Giovanni Colonna, « Apollon, les Étrusques et Lipara », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 96, , p. 568 à 570 (DOI 10.3406/mefr.1984.1424, lire en ligne, consulté le )
- Élisabeth Noguerol, « Le traitement des figures du père et de la mère dans le livre VI de la Correspondance de Pline le Jeune : preuves et épreuves », Vita Latina, no 168, , p. 84 à 87 (lire en ligne, consulté le )
- (en) R. Ross Holloway, « Who Were the Tribuni Militum Consulari Potestate? », L'antiquité classique, vol. Tome 77, , p. 116 à 119 (DOI 10.3406/antiq.2008.3716, lire en ligne, consulté le )
- Yves Liébert, Regards sur la truphè étrusque, Limoges, Presses Universitaires de Limoges, , 354 p. (lire en ligne), p. 136
- Jean-René Jannot, « À propos des cavaliers de la tombe Querciola : Développement d'une nouvelle cavalerie à l'aube du IVe siècle ? », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 107, , p. 30 (DOI 10.3406/mefr.1995.1883, lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
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