Famille de Roquefeuil-Anduze

famille de la noblesse française

La famille de Roquefeuil-Anduze, est une famille noble d'extraction féodale originaire du Languedoc.

Famille de Roquefeuil-Anduze
Image illustrative de l’article Famille de Roquefeuil-Anduze

Blasonnement Écartelé aux 1 et 4 de gueules à trois étoiles d'or, aux 2 et 3 de gueules à une cordelière d'or passée en sautoir[1].
Devise en français : Honneur me reste, il suffit !

en occitan : Honour me resta, esta me basta !

Lignées Anduze
Versols
Branches la Tour
la Roquette
Londres
Saint-Etienne
Période XIIe siècle - éteinte en ligne légitime
Pays ou province d’origine Languedoc, Rouergue
Demeures Château d'Algues
Château de Versols
Château de la Roquette
Charges Grand d'Espagne
Ambassadeur du Roi
Fonctions militaires Vice-roi du Pérou
Vice-roi de Majorque
Gouverneur de Montpellier
Adelantado de Murcie
Généraux
Fonctions ecclésiastiques Grand maitre de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem
Cardinal
Abbés et Evèques
Ministre Franciscain
Preuves de noblesse
Réformation de la noblesse 1668

Issue du marriage de Bertrand d'Anduze et d'Adélaïde de Roquefeuil en 1129, elle constitue la deuxième maison de Roquefeuil, l'une des plus importante famille de la région au XIe siècle.

Les membres de la famille Roquefeuil-Anduze ont pris part aux grands événements de la région entre le XIe et le XIIe siècle. De cette famille sont issus durant le Moyen Âge de nombreux chefs militaires en France et en Espagne ainsi que de nombreux prélats catholiques.

Histoire

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Origines

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La famille de Roquefeuil-Anduze est une branche cadette de la maison d'Anduze[2]. Elle est issue de l'union de Bertrand d'Anduze († v. /1171), seigneur du Luc, et d'Adélaïde, héritière de la première maison de Roquefeuil[2],[3]. Le contrat de mariage stipule que leurs descendants porteront le surnom maternel de Roquefeuil[4],[5].

Leur fils aîné, Raymond, est ainsi l'héritier du nom et des possessions de sa mère[4] et à l'origine de la seconde famille de Roquefeuil[6].

Successions et reprise du nom

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L'union, vers 1230, d'Isabelle/Isabeau, fille et héritière de Raymond II de Roquefeuil, de la branche aînée, à Hugues IV, Comtes de Rodez, fait passer la vicomté de Creyssel et les baronnies de Roquefeuil et de Meyrueis[7]. Arnaud Ier de Roquefeuil succède à son frère Raymond II en tant que chef de famille et continue la filiation de la famille Roquefeuil-Anduze.

Avec le mariage de Catherine, fille d'Arnaud III de Roquefeuil, les biens et les titres passent à son époux, Jean ( ), seigneur de Blanquefort et de Pujols[8]. Antoine, leur fils et héritier universel, relève le nom de Roquefeuil et donne naissance à la troisième famille de Roquefeuil, dite de Blanquefort[8].

Branche aînée

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En 1175, Raymond Ier de Roquefeuil épouse Guillemette de Montpellier établissant ainsi une parenté avec la maison de Bourbon et celle d'Aragon. Son fils, Aranud Ier épouse la fille de Constance de Toulouse, renforçant, également le lien avec les puissants comtes

Croisade des Albigeois
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En 1209, la croisade des Albigeois est proclamée par l'église et vise les territoires du Languedoc. Directement menacé Raymond II se range alors aux côtés du comte de Toulouse. Excommunié, il fait amende honorable.

Raymond II a cependant fermement interpellé le pape Innocent III, lors du concile de Latran en 1215, et s'était fait l'avocat du jeune fils de Raimond-Roger Trencavel, prisonnier des croisés de Simon de Montfort, avec ces paroles : « Seigneur, vrai père, aie merci d'un enfant orphelin d'âge tendre et banni. Aie merci pour le fils de l'honorable comte de Béziers, tué par les croisés et par Simon de Montfort quand on le lui livra. Car de tiers ou de moitié ont décliné noblesse et courtoisie, depuis que, sans tort et sans péché un tel baron a été martyrisé. Car il n'y a pas dans la Cour, cardinal ou abbé dont la croyance soit plus chrétienne que la sienne. Mais puisqu'il est mort, à son fils déshérité rends sa terre et sauve ainsi ton honneur… Rends lui tout à jour fixe et prochain, sinon je te demanderai tout : la terre, le droit, et l'héritage au jour du jugement dernier, ce jour où tu seras jugé... »

Pour son soutien envers le comte de Toulouse, Raymond II reçoit les terres de Breissac et de Ganges[4].

Obole Roquefeuil-Anduze frappée à l'atelier de Sommières - 1226

Les seigneurs de Roquefeuil battaient monnaie à l'atelier de Sommières vers 1226[9],[10].

Septième croisade
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Entre 1248 et 1254, Raymond III participe à la septième croisade. Il est alors mentionné auprès de Alphonse de Poitiers, frère du roi Saint-Louis qui se porte garant de l'une de ses transactions à Jaffa[11].

La guerre contre le roi de Majorque
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En 1343, Arnaud II participe au conflit qui oppose Pierre IV d'Aragon et Jaques III de Majorque en levant une armée contre Jacques III. Avec l'intercession du Roi Philippe de Valois et du Pape Clément VI, Arnaud se voit offrir la baronnie du Pouget et les châteaux de Saint-Bauzille et de Pouzols[12].

Guerre de Cent Ans
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La famille Roquefeuil prend part activement à la guerre de Cent Ans par l'intermédiaire d'Arnaud II qui lève une armée de deux chevaliers, 71 écuyers et 190 sergents pour se battre aux cotés des troupes de Pierre Ier de Bourbon.[réf. nécessaire]

Arnaud II et Guillaume de Roquefeuil sont également mentionnés en 1369 dans la défense de leurs terres, le premier avec 28 écuyers sous ses ordres et le second suivi de neuf autres écuyers[13].

En 1361, Arnaud de Roquefeuil est capitaine de la ville de Montpellier et reçoit tout pouvoir sur les habitants de la ville pour fortifier et défendre la ville[13],[14].

Branche des Roquefeuil-Versols

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Guilhem/Guillaume (Guillem de Rocafull) serait un fils naturel d'Arnaud Ier de Roquefeuil[15],[1]. L'érudit espagnol Francisco Cascales (en) (c. 1559-1642) considérait qu'il avait, par son père, des liens familiaux étroits avec le roi Jacques Ier d'Aragon, sans autres précisions[16]. L'historien Pierre Guichard (1983), sans mentionner également de filiation, indique que les « Rocafull, [sont] apparentés aux derniers seigneurs de Montpellier et donc, par alliance, à la maison d'Aragon »[17].

En raison de ses actions auprès du Roi Jacques Ier d'Aragon, notamment dans la conquête des royaumes de Valence et de Murcie, il aurait été légitimé, par lettres patentes, en mai 1263[18].

Il épouse Ricarde [de Beauvoisin], dont[15] :

  • Jean (Joan), qui hérite de ses biens en France, auteur de la branche ainée des Versols ;
  • Raimond/Raymond (Ramón), héritier des biens situés en Aragon, auteur de la branche des Rocafull espagnols.

Branche aînée

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Jean est l'héritier de la terre de Versols. Ses descendants rendaient hommage directement au Roi représenté par le sénéchal du Rouergue[19]. En 1658, ce rameau reçoit le titre de marquis. En 1766, s'éteint le dernier représentant en ligne légitime de ce rameau[20].

Rigaud de Roquefeuil, marié en 1411 avec Béatrix de Maffred, dame de Parlatges, fut l'auteur d'une branche puinée qui conserva la terre et le château de Versols[21].

Ce rameau s'éteignit en ligne légitime en 1756, avec Henri de Roquefeuil, seigneur de Saint-Étienne, son dernier représentant légitime. N'ayant pas contracté d'alliance, il fit le donation, contre une rente viagère[21], de tous ses biens en faveur de l'un de ses neveux, Joseph Bessodes (1717-1802), y compris de reprendre son nom, ses titres et les armes des Roquefeuil Versols[22], et il mourut trois ans après, le .

Soixante-dix ans après, son arrière-petit-neveu Louis-François-Hippolyte Bessodes, sera anobli et autorisé à joindre à son nom celui de Roquefeuil, par lettres patentes du roi Louis XVIII datées du [23]. Son fils Louis-Francisque-Hippolyte Bessodes de Roquefeuil, né à Montpellier en 1824, fut un peintre de paysages, aquarelliste et graveur à l'eau. Elève de Jules Laurens, il a participé aux salons de Paris en 1857 et 1863. Connu sous le nom de Francisque de Saint-Étienne, il signait « Saint-Étienne »[24].

On trouve pour la première fois dans les Filiations languedociennes d'Hubert de Vergnette de Lamotte, qu'Henri de Roquefeuil avait laissé de Marthe Rudel un fils naturel, Henry Roquefeuil, dont on ignore la date et le lieu de naissance, et qui mourut en 1775 à Saint-Étienne-de-Gourgas. De son mariage le avec Marie Audibert, sont issues six générations de médecins[21]. Le docteur Bernard Roquefeuil, né le à Lodève, professeur agrégé de Médecine à la faculté de Montpellier, a été le fondateur en 1978 d'un Centre anti-douleur au CHU de Montpellier. Il a publié La douleur chronique, Paris, Masson, 1988.

Branche cadette espagnole des Rocafull

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Fils cadet de Guillaume de Roquefeuil, Raimond/Raymond (Ramón), héritier des biens situés en Aragon, Adelantado mayor de Murcia (es) (1284)[25],[26]. Progressivement le nom de Rocafull se substitue à celui de Roquefeuil.

Cette branche établie en Espagne s'est éteinte en ligne masculine en 1728[réf. nécessaire].

Filiation

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Personnalités

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Militaires et hommes d'État

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Au service de l’Église

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Abbaye de Gellone à Saint-Guilhem-le-Désert
Abbaye de Mègemont

Plusieurs membres de la famille de Roquefeuil-Anduze ont occupé des fonctions importantes au sein de l’Église catholique, en Languedoc, aux XIIIe et XIVe siècles :

Possessions

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Baronnie de Roquefeuil et comptoirie de Nant

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La baronnie de Roquefeuil était une terre considérable à la frontière du Languedoc et du Rouergue qui comprenait notamment les châteaux, de Paules, de Vallerangue, de Brissac ou encore de Blanquefort[4].

De cette baronnie, dépendait entre-autres la viguerie de Nant (vicaria Nantentis) qui deviendra la comptoirie de Nant au XIIIe siècle. Les Roquefeuil se qualifiaient de comptor de Nant, terre qu'ils tenaient directement du Roi. Cette administration était structurée autour de trois pôles: judiciaire à Nant, militaire à Cantobre et religieux à Saint-Martin du Vican. [40]

Chapelle de Saint-Martin du Vican

Ces terres étaient l'apanage de la première famille de Roquefeuil et furent mentionnées dès 988 par Saint Fulcran dans son testament dans lequel il se présente comme co-seigneur de Roquefeuil pour effectuer des donations à l'abbaye de Nant.

Baronnie de Meyrueis

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Cette terre appartenait à la maison d'Anduze et à notamment à Almerade à la fin du Xe siècle. Raymond d'Anduze reçut l'entièreté de cette baronnie qu'il transmit à son fils, Bertrand, époux d'Adelais de Roquefeuil. Ces derniers unirent Roquefeuil et Meyrueis pour former une unique baronnie[41].

La terre de Roquefeuil-Meyrueis entra dans la maison de Rodez en 1230.

Chateaux et places fortes

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La famille a possédé les châteaux suivants :

Alliances

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Les principales alliances de la famille de Roquefeuil-Anduze sont : de Caylus (122x), de Rodez (1230), Jourdain de Creissels (123x et 132x), de Montcade (124x), de Boussagues (1245), du Tournel (branche des Châteauneuf-Randon - 1259), de Mandagout (126x), de Joyeuse (branche des Châteauneuf-Randon - 1283), d'Esparron (1296), de Thézan (1310 et 1318), de Polignac (1331), de Combret (branche des vicomtes d'Albi - 1316), de Narbonne (132x), de Montpezat (134x), d'Apchier (branche des Châteauneuf-Randon - 1348), d'Arpajon (1361), de Gourdon (1362), de Caussade (1380), de Clermont-Lodève (1380), de Pujols de Blanquefort (1380 et 1380), de Castelnau-Brétenoux (branche des Caylus - 1396).

Postérité

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Notes et références

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  1. a b et c Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France. t. 6 - Richaudeau-Zylof de Steenbourg (sept volumes), (lire en ligne), pp. 58-59.
  2. a et b Laurent Macé, Les comtes de Toulouse et leur entourage, XIIe – XIIIe siècles : rivalités, alliances et jeux de pouvoir, Toulouse, Privat, (réimpr. 2003), 445 p. (ISBN 2-7089-5600-0), p. 106.
  3. « Seigneurs d'Anduze », sur MedLands.
  4. a b c d et e Hippolyte de Barrau, Documens historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue dans les temps anciens et modernes, N. Ratery, (lire en ligne), p. 676-677.
    Hippolyte de Barrau, Documens historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue dans les temps anciens et modernes, N. Ratery, (lire en ligne), p. 271.
  5. Elie Mazel, Monographie sur Nant d'Aveyron et son ancienne abbaye, depuis son origine jusqu'à la Révolution française, Rodez, Carrère, (lire en ligne), p. 116-.
  6. Lina Malbos, « Étude sur la famille féodale d'Anduze et Sauve du milieu du Xe siècle au milieu du XIIIe siècle », Mémoires de l'Académie de Nîmes, vol. LX,‎ , p. 209 (lire en ligne).
  7. Barrau 1853, p. 678.
  8. a et b Barrau 1853, p. 682.
  9. M. Poey d'Avant, Monnaies féodales françaises, Tome II, Pages 297 et 298
  10. Les monnaies Roquefeuil - Emile Caron
  11. Alphonse Léon de Delley De Blancmesnil, Notice sur quelques anciens titres: suivie de Considérations sur les salles des croisades au musée de Versailles, Delaroque, (lire en ligne)
  12. Justin Hippolyte de Barrau, Documents historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue, N.Ratery, (lire en ligne)
  13. a et b Alphonse Delouvrier, Histoire de la vicomté d'Aumelas et de la baronnie du Pouget (Hérault, (lire en ligne).
  14. Vincent Challet, « Une ville face à la guerre : l’entrée de Montpellier dans la guerre de Cent Ans (1352-1364) », Annales du Midi, nos 126-286,‎ , p. 161-180 (lire en ligne).
  15. a et b Barrau 1853, p. 679.
  16. (es) Juan Torres Fontes, La cultura murciana en el reinado de Alfonso X, Murcia, , 89 p. (lire en ligne [PDF]), p. 79.
  17. Pierre Guichard, « Participation des Méridionaux à la Reconquista dans le royaume de Valence », Cahiers de Fanjeaux, no 18,‎ , p. 115-131 (lire en ligne).
  18. Louis de La Roque, Armorial de la noblesse de Languedoc, Généralité de Montpellier, 1860, page 441.
  19. a b et c Louis Moreri, Le grand dictionnaire historique ou Le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane [...], chez les libraires associés, (lire en ligne), p. 355 - 360
  20. « 1766, la fin d’une lignée de seigneurs languedociens, les Roquefeuil – Études Héraultaises » (consulté le )
  21. a b et c Hubert de Vergnette de Lamotte, Filiations languedociennes, Tome 3 (M-Z), pages 223-224, Mémoire & Documents, 2006
  22. "par testament reçu le par Maitre Armely, notaire à Florensac, insinué le 3 juillet 1751 à Florensac , Henri de Roquefeuil fait donation entre vifs à toujours valable et irrévocable au profit de Joseph Bessodes, ancien lieutenant de cavalerie au régiment d’Hédicourt, de tous ses biens présents tant en meubles, qu’immeubles, ensemble de ses noms, armes, droits, titres et action et généralement de tout ce qui peut de droit lui appartenir ».
  23. Vicomte Révérend, Les anoblissements...
  24. Nouvelles archives de l'art français, Paris, Charavay Frères, 1885, tome I, p. 187
  25. « Ramón de Rocafull », sur de l'Académie royale d'histoire - dbe.rah.es (consulté en ).
  26. Vázquez Campos, Adelantados y lucha por el poder en el reino de Murcia, Editorial Zumaque, (ISBN 978-84-96806-77-1).
  27. a et b Louis Moreri, Le grand dictionnaire historique ou Le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane [...], chez les libraires associés, (lire en ligne), p. 355 - 360
  28. (ca) Universidad de Barcelona Departament d'Història Moderna, Pedralbes, Edicions Universitat Barcelona (lire en ligne)
  29. Héloïse HERMANT, Guerres de plumes, publicité et cultures politiques dans l’Espagne du XVIIe siècle, Madrid,
  30. Bernard Lavallé, Au nom des Indiens, une histoire de l'évangélisation en Amérique espagnole, Paris, Payot, , 429 p., p. 133-144
  31. (es) Rubén VARGAS UGARTE, Historia general del Perú,, Lima, Editor Carlos Milla Batres,
  32. Bulletin de la Société héraldique et généalogique de France, Volume 1, 1879, page 48 (Ramon Perellos de Rocafull grand maître de Malte en 1697 n’appartenait à ce rameau que par sa mère)
  33. « Ramón Rabassa de Perellós y de Rocafull | Real Academia de la Historia », sur dbe.rah.es (consulté le ).
  34. Claude de Vic, Joseph Vaissette, Ernest Roschach et Édouard Dulaurier, Histoire générale de Languedoc avec des notes et les pièces justificatives par Cl. Deciv & J. Vaissete, Toulouse, E. Privat, (lire en ligne), p. 541.
  35. a et b Hugues Du Tems, Le Clergé de France, ou tableau historique et chronologique des archevêques, évêques, abbés, abbesses & chefs des chapitres principaux du Royaume, depuis la fondation des églises jusqu'à nos jours; Par M. l'abbé Hugues Du Tems,... Tome premier [- quatrième], Chez Brunet, (lire en ligne)
  36. Sylvain Piron, « Censures et condamnation de Pierre de Jean Olivi : enquête dans les marges du Vatican », Mélanges de l'école française de Rome, vol. 118, no 2,‎ , p. 313–373 (lire en ligne, consulté le )
  37. Louis Servières, Histoire de l'église du Rouergue, Vve E. Carrère, (lire en ligne)
  38. a et b Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, E. Carrère., (lire en ligne)
  39. Claude de Vic, Joseph Vaissette, Ernest Roschach et Édouard Dulaurier, Histoire générale de Languedoc avec des notes et les pièces justificatives par Cl. Deciv & J. Vaissete, Toulouse, E. Privat, (lire en ligne), p. 542.
  40. Frédéric de Gournay, Le Rouergue au tournant de l'an mil, Presses universiataires du Midi, , 507 p., p. 48
  41. Marc Antoine François Gaujal, Études historiques sur le Rouergue: Ouvrage donné par l'auteur au département de l'Aveyron et publié après sa mort par ordre et sous les auspices du conseil général de l'Aveyron, P. Dupont, (lire en ligne)

Voir aussi

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Sources et bibliographie

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Ouvrages généalogiques

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  • Europaische Stammtafeln (références à la lettre R), Europäische Stammtafeln, Band XIV, Marburg, par Verlag Von J.A. Stargardt (branche de Versols)
  • Hippolyte de Barrau, Documens historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue dans les temps anciens et modernes, N. Ratery, .
  • Hubert de Vergnette de Lamotte, Filiations languedociennes, tome 3, Mémoires et documents, 2006 (ISBN 2-914611-49-8) (branche de Versols)
  • Le grand dictionnaire historique, par Louis Moreri
  • Dictionnaire de la noblesse, par La Chesnaye Desbois
  • Annuaire de la noblesse de France, 1898, par Borel d'Hauterive
  • Roquefeuil Cahuzac, Versols & Peralada, par le Vicomte de Bonald
  • Roquefeuil en Rouergue par Chérin - Bibliothèque Nationale - Chérin 214 D3552.

Autres sources

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  • M. Poey d'Avant, Monnaies féodales françaises, Tome II
  • Christian-Pierre Bedel, Nant : La Cavalariá, La Cobertoirada, L'Espitalet, Sauclièras, Sent-Joan-del-Bruèlh/ Nant : La Cavalerie, La Couvertoirade, L'Hospitalet, Sauclières, Saint Jean du Bruel, Mission départementale de la Culture, Rodez, 1994, 239 p. (ISBN 2-907279-20-3)

Articles connexes

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Liens externes

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