Fantaisie hongroise de Lokchine
La Fantaisie hongroise est une œuvre concertante pour violon et orchestre symphonique, composée par d'Alexandre Lokchine en 1952. La création est donnée à Moscou la même année par le violoniste Julian Sitkovetsky, l'orchestre de la radio de Moscou, sous la direction de Kurt Sanderling.
Fantaisie hongroise | |
Genre | Musique concertante |
---|---|
Musique | Alexandre Lokchine |
Effectif | orchestre symphonique |
Durée approximative | 17 minutes |
Dates de composition | 1952 |
Création | 1952 Moscou |
Interprètes | Julian Sitkovetsky, violon ; Orchestre de la radio de Moscou, dir. Kurt Sanderling |
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Histoire
modifierLa Fantaisie hongroise est la seule œuvre concertante de Lokchine. Elle est aussi l'une des rares œuvres requérant la virtuosité d'un soliste, avec le quintette avec clarinette et la sonate pour violon. L'inspiration encore néoclassique est dans la droite ligne de Béla Bartok[1].
Mouvements
modifierLa Fantaisie est d'un seul mouvement.
Durée : 17 minutes
Instrumentation
modifierInstrumentation de la Sinfonia stretta |
Cordes |
premiers violons, seconds violons, altos,violoncelles, contrebasses2 harpes |
Bois |
Piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois, cor anglais,2 clarinettes en mi ![]() |
Cuivres |
4 cors en fa, 3 trompettes, 3 trombones, Tuba |
Percussions |
4 timbales, triangle, petit tambour, tambour, caisse |
Partition
modifierLa partition est publiée à Moscou en 1958 et par Le Chant du Monde.
Discographie
modifier- Fantaisie hongroise - Julian Sitkovetsky, violon ; Orchestre de la radio de Moscou, dir. Kurt Sanderling (1968, 1975, 1980, 1952, Melodiya MEL CD 10 01983)[2] — Avec les Symphonies nos 4, 9, 11
- Dans la jungle - recreation – Großes Orchester Graz, dir. Michel Swierczewski (, BIS CD-1556)[3]
Bibliographie
modifierNotices discographiques
modifier- (en) Eugenia Chigareva, « Premières compositions », p. 8–11, Moscou, National Music Publishing M-4339, 2006.
- Josef Beheimb (dirigé par Michel Swierczewski), « Les fleurs du mal ; Fantaisie hongroise », p. 21–26, BIS CD-1556, 2009.
Notes et références
modifier- Beheimb 2009, p. 23.
- Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Pierre-Émile Barbier d'un Diapason d'or no 610, p. 88.
- Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Pierre-Émile Barbier d'un Diapason d'or no 580.