Fernand Piet
Fernand Piet[1], né le à Paris (fils aîné de Jules Piet) où il est mort le [2], est un peintre français arrière petit-fils de Charles Mozin[3] peintre de marine. Il fut l'élève de Eugène Carrière, de Fernand Cormon et de Alfred Roll. Il expose aux Indépendants et aux Artistes Français ses toiles et ses gravures de paysages de Bretagne, de Hollande et du Midi, ainsi que des scènes de genre: parcs, enfants, marchés. Il est également l'auteur d'un grand nombre de nus féminins et de rares marines. L'aisance matérielle que lui procure sa famille ainsi que ses spéculations boursières heureuses lui permettent de mener une vie mondaine avec ses amis Lucien-Victor Guirand de Scevola, Edmond Lempereur et Jean-Louis Forain.
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Décès |
(à 72 ans) 18e arrondissement de Paris |
Nom de naissance |
Fernand Piet |
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Mouvement |
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En 1905, il est vice-président du salon des artistes indépendants ainsi que Paul Signac.
Décoré de l'Ordre des Palmes académiques en 1910.
Expositions
modifier- Galerie du Théâtre d'Application (la Bodinière)1893
- Esposizione internazionale d'arte di Venezia, Biennale de Venise 1899
- Exposition de la Sécession viennoise, Vienne (Autriche) [4]
- Grosse gemälde Ausstellung des Kunstvereins in Bremen, Kunsthalle de Brême (Allemagne) 1900
- Exposition universelle de 1900 Paris (médaille de bronze)
- Exposition universelle de Bruxelles 1910
- Exposition au profit des œuvres de guerre (mai-) N°377 bis Marché à la poterie à Quimperlé
- Salon des indépendants de 1893 à 1925
- Salon des artistes français
- Galerie Interkunst München, Der maler Fernand Piet und die Belle Epoque du 15/11/1968 au 15/1/1969 puis du 2/6/1969 au 30/6/1969
- Galerie Barthelmess & Wischnewski, Berlin du au Die Entdeckung des Alltäglichen (Le Jardin du Luxembourg)
Musée
modifier- Musée de l'Ermitage (Saint-Pétersbourg), Marché à Brest (1899)[5]. ancienne collection Sergueï Chtchoukine.
- Neue Pinakothek München. Le Square Montholon (1891)[6]
Bibliographie
modifierEntre 1985 et 2003, huit ventes à l'Hôtel Drouot ont dispersé son atelier[7].
- L'Estampe Moderne (volume 2 no 141) marché en Zélande 1898
- Die kunst und das schöne heim (1968.Thiemig München)heft11. article de A.Sailer:Fernand Piet ein maler der belle époque
- Fernand Piet: Leben und werk, Erich Steingräfen (Bruckmann 1974)
- Catalogue de la 1re vente d'atelier, Hôtel Drouot 1985:bibliothèque du Musée Rodin[8].
- French art treasures at the hermitage. Albert Grigorevitch Kostenevich (ed:Harry N.Abrams 1999)
- signaturen lexikon Pfisterer Paul (de Gruyter Berlin,New-York 1999)[9] P439
- Catalogue de la 6e vente d'atelier, Hôtel Drouot étude Chochon Barré et Allardi :bibliothèque Kandinsky centre Pompidou[10]
Galerie
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signature tableaux.
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ses parents: Jules Piet (1837-1918) et sa femme Thérèse Touzin (1850-1901) .
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son neveu Michel (1912-2006).
Notes et références
modifier- Source primaire : la généalogie de la famille Piet, établie par Francois Piet, est disponible sur GeneaNet (sur inscription).
- Acte de décès (avec date et lieu de naissance) à Paris 18e, n° 875, vue 29/31.
- Charles Mozin
- Le Figaro 2 janvier 1900
- Musée de l'Ermitage
- Neue Pinakothek
- kandinsky centre Pompidou
- bibliothèque du Musée Rodin
- dictionnaire des signatures
- bibliothèque Kandinsky centre Pompidou
Liens externes
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- Ressources relatives aux beaux-arts :
- (en) Fernand Piet dans Artcyclopedia