Fleurac (Charente)

commune française du département de la Charente

Fleurac
Fleurac (Charente)
La mairie de Fleurac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Michel Ecalle
2020-2026
Code postal 16200
Code commune 16139
Démographie
Population
municipale
240 hab. (2021 en diminution de 3,61 % par rapport à 2015)
Densité 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 43′ 18″ nord, 0° 04′ 56″ ouest
Altitude Min. 49 m
Max. 93 m
Superficie 2,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Jarnac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Fleurac
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Fleurac
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Fleurac
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Fleurac

Fleurac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Située à 20 km à l'ouest d'Angoulême et 8 km au nord-est de Jarnac, Fleurac est la moins étendue du canton de Jarnac.

Fleurac est aussi à 7 km de Rouillac, 9 km d'Hiersac et 19 km de Cognac[1].

La N 141, route Centre-Europe Atlantique, entre Angoulême, Cognac et Saintes, passe à 3 km au sud du bourg. À l'écart des routes importantes, le bourg est desservi par la D 157 et la D 384, nord, sud et sud-ouest, et une route communale vers l'est menant à Échallat[2].

La gare la plus proche est celle de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

Hameaux et lieux-dits modifier

Petite en surface, la commune renferme peu de hameaux. On peut toutefois citer : les Michauds, dans le sud de la commune, les Martins, à la limite de la commune de Vaux-Rouillac, les Bouffanauds et les Naulais, à l'est[2].

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Fleurac
Vaux-Rouillac
Foussignac Fleurac Échallat
Mérignac

Géologie et relief modifier

La commune occupe un plateau calcaire qui s'abaisse doucement vers le sud, et qui appartient au Portlandien (Jurassique supérieur)[3],[4],[5].

La commune est traversée du nord au sud par la vallée de la Guirlande, dans laquelle le bourg est construit. Le point culminant est à une altitude de 93 m, situé au coin nord-ouest de la commune. Le point le plus bas est à 49 m, situé sur la Guirlande en limite sud. Le bourg est à environ 70 m d'altitude[2].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Fleurac.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Guirlande, de[7],[Carte 1].

Le ruisseau la Guirlande, affluent de la Charente, venu de la commune voisine de Vaux-Rouillac, traverse toute la commune du sud au nord. Le bourg de Fleurac domine sa rive droite[8].

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Fleurac est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (60,3 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), zones urbanisées (10,8 %), prairies (9,3 %), terres arables (5,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Fleurac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fleurac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 18,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 96 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 47 sont en aléa moyen ou fort, soit 49 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie modifier

Le nom est attesté sous la forme Floyraco au XIVe siècle[21],[Note 2].

Cette forme ancienne est de type occitan (latinisée) et semblable à celles des noms de lieux méridionaux de type Floirac. Le toponyme a sans doute été francisé d'après Fleur-[Note 3].

L'origine du nom de Fleurac remonterait à un nom de personne gallo-romain Florus ou Florius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à « domaine de Florius »[22]. Des deux, c'est plutôt Florius qui explique les formes anciennes de type Floyr-, car sinon on ne saurait expliquer la présence d'un yod antéposé (qui a migré dans la syllabe précédente).

Histoire modifier

Le château de Fleurac était le siège d'une seigneurie qui relevait de la terre de Jarnac. Le premier seigneur connu est un de La Porte, qui vivait au XIVe siècle et qui épousa une demoiselle Perrette de l'Isle. Il est probable que cette demoiselle appartenait à la famille qui possédait Fleurac avant les de La Porte.

De cette dernière famille, nous connaissons Ithier de la Porte, que nous voyons figurer, en 1467, dans le ban de la sénéchaussée d'Angoumois et Isaïe de la Porte, qui vivait dans la première moitié du XVIIe siècle[23].

La terre de Fleurac passa ensuite dans la famille de Couvidou. Fleurac dépendant alors de la paroisse de Vaux-Rouillac, et afin de n'avoir pas à se déplacer pour se rendre aux offices, Jean de Couvidou fit ériger au château de Fleurac une chapelle, qui fut bénie le , ainsi que le constate un procès-verbal, conservé dans les archives de la paroisse de Houlette. Cette chapelle occupait l'emplacement sur lequel a été bâtie celle qui existe actuellement.

Jean de Couvidou avait épousé Madeleine de Céris, dont il eut trois enfants : Françoise, qui épousa Jacques de Couhé, écuyer, sieur de la Mothe-Chambernaud, paroisse de Suris, Alexandre de Couvidou, qui lui succéda dans la seigneurie de Fleurac et Catherine de Couvidou.

L'entrée du château.

Alexandre de Couvidou laissa la seigneurie de Fleurac à son fils Louis-Alexandre de Couvidou, qui épousa, le , Marie Texier, fille de feu M. Texier, conseiller du roi, lieutenant-général des traites foraines à Civray.

Au XVIIIe siècle, les Couvidou vendirent la terre de Fleurac à messire Abraham Bonniot ; puis ils allèrent habiter Saint-Palais-sur-Mer, près de Royan. Lors de la Révolution, ils passèrent en jugement à Saintes.

Le nouvel acquéreur de la terre de Fleurac était un riche négociant, fournisseur de la marine à Rochefort, qui acheta également les fiefs nobles de Triac et de Salignac et qui, afin de s'anoblir, acquit également, moyennant la somme de 55 000 livres, la charge de Secrétaire du roi, maison et couronne de France près le parlement de Bordeaux. Cette charge anoblissait le titulaire et ses descendants.

La paroisse de Fleurac dépendait autrefois de celle de Vaux-Rouillac, aussi n'y avait-il pas d'église avant la fin du XIXe siècle; cette église a été construite grâce à une souscription, et elle était desservie par le curé de Mérignac[24].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Marcel Matard    
1989 2008 Michel Reboul    
2008 2020 Nicole Deschamphamlaère SE Enseignante
2020 En cours Michel Ecalle    

Fiscalité modifier

La fiscalité en 2007 est d'un taux de 18,65 % sur le bâti, 38,33 % sur le non bâti, et 6,98 % pour la taxe d'habitation.

La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 240 habitants[Note 4], en diminution de 3,61 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
349400422379392347355383420
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
405351353320318278253251245
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
242245225203204191192208244
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
251257238244232230228249238
2021 - - - - - - - -
240--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 124 hommes pour 114 femmes, soit un taux de 52,1 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,6 
90 ou +
1,8 
8,9 
75-89 ans
8,8 
16,1 
60-74 ans
16,7 
18,5 
45-59 ans
12,3 
17,7 
30-44 ans
19,3 
13,7 
15-29 ans
17,5 
23,4 
0-14 ans
23,7 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Agriculture modifier

La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].

Équipements, services et vie locale modifier

La salle des fêtes.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

L'église.
  • L'église paroissiale Sainte-Élisabeth a été construite sur l'emplacement de l'ancienne chapelle du château, et bénie en 1879. Elle est d'une grande simplicité ; c'est un petit monument moderne édifié avec le produit d'une souscription recueillie dans la contrée[32],[33].
  • Le château de Fleurac, datant initialement du XIVe siècle, a été restauré à grands frais dans le dernier quart du XIXe siècle. Il est entouré d'un parc magnifique. C'est aujourd'hui une demeure privée[34].

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Forme sans doute tardive ; voir aussi Fleurac (Dordogne), Floyracum au XIIIe siècle
  3. Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Fleurac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Fleurac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. Sandre, « la Guirlande »
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Fleurac », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Fleurac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 60
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 291.
  23. Frédéric Chassebœuf, Châteaux en Poitou-Charentes, Prahecq, Patrimoines et Médias, coll. « Belles visites », , 173 p. (ISBN 2-910137-91-0, OCLC 71887670)
  24. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 179,180
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fleurac (16139) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  31. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  32. Jean Nanglard, « Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. I », dans Bulletin et mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, t. II-IV, Angoulême, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne)
    Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
  33. « Église de Fleurac », notice no IA00042836, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. « Château de Fleurac », notice no IA00042527, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier