Fleury-Mérogis

commune française du département de l'Essonne

Fleury-Mérogis (prononcé [flœʁi meʁɔʒis] Écouter) est une commune française située à vingt-six kilomètres au sud de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France. Elle est notamment connue pour sa maison d'arrêt, qui est l'une des plus grandes prisons d'Europe.

Fleury-Mérogis
Fleury-Mérogis
L’hôtel de ville.
Image illustrative de l’article Fleury-Mérogis
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Évry
Intercommunalité Cœur d'Essonne Agglomération
Maire
Mandat
Olivier Corzani
2020-2026
Code postal 91700
Code commune 91235
Démographie
Gentilé Floriacumois
Population
municipale
13 983 hab. (2021 en évolution de +37,36 % par rapport à 2015)
Densité 2 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 48″ nord, 2° 21′ 39″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 101 m
Superficie 6,51 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Ris-Orangis
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fleury-Mérogis
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fleury-Mérogis
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Voir sur la carte topographique de l'Essonne
Fleury-Mérogis
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Fleury-Mérogis
Liens
Site web http://fleurymerogis.fr/

Ses habitants sont appelés les Floriacumois[1].

Géographie

modifier

Situation

modifier
Occupation des sols.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 35,3 % 225,42
Espace urbain non construit 11,7 % 74,73
Espace rural 52,9 % 337,70
Source : Iaurif-MOS 2008[2]

Fleury-Mérogis est située à vingt-six kilomètres au sud de Paris-Notre-Dame[3], point zéro des routes de France, six kilomètres au sud-ouest d'Évry[4], sept kilomètres à l'est de Montlhéry[5], neuf kilomètres à l'ouest de Corbeil-Essonnes[6], neuf kilomètres au nord-est d'Arpajon[7], treize kilomètres au sud-est de Palaiseau[8], seize kilomètres au nord de La Ferté-Alais[9], vingt-six kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[10], vingt-six kilomètres au nord-est d'Étampes[11], vingt-huit kilomètres au nord-est de Dourdan[12].

Hydrographie

modifier

Relief et géologie

modifier

Le point le plus bas de la commune est situé à soixante-seize mètres d'altitude et le point culminant à cent un mètres[13].

Communes limitrophes

modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 656 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brétigny-sur-Orge à 5 km à vol d'oiseau[16], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 628,9 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Statistiques 1991-2020 et records BRETIGNY_SAPC (91) - alt : 78m, lat : 48°36'01"N, lon : 2°19'33"E
Records établis sur la période du 01-02-1947 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,5 3,6 5,7 9,2 12,5 14,4 14,1 11 8,2 4,5 2,2 7,4
Température moyenne (°C) 4,5 5 8,1 10,9 14,5 17,9 20,2 20 16,4 12,4 7,7 4,9 11,9
Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,5 12,6 16,2 19,8 23,4 26 25,9 21,8 16,6 10,9 7,6 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−20,6
08.01.10
−17
23.02.1963
−10,7
13.03.13
−4,7
11.04.03
−1,9
07.05.1957
1,4
05.06.1991
3,8
01.07.1960
3,7
28.08.1974
0,2
17.09.1971
−4,5
29.10.1985
−9,6
24.11.1998
−16,4
29.12.1964
−20,6
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
15,8
27.01.03
20,2
27.02.19
25,3
25.03.1955
29,4
20.04.18
32
28.05.17
37,3
18.06.22
42
25.07.19
39,7
06.08.03
35,4
08.09.23
30,3
01.10.1985
22,1
07.11.15
16,8
17.12.15
42
2019
Précipitations (mm) 48,2 44,9 45 44,6 61,4 55,6 53,1 57,7 48,6 52,6 54,5 62,7 628,9
Source : « Fiche 91103001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports

modifier

La ville ne possède pas de gare sur son territoire, les plus proches étant celles de Grigny, Viry-Châtillon (RER D) ou encore de Sainte-Geneviève des Bois (RER C) qui sont toutes trois des villes limitrophes.

Il est possible d'y accéder directement en empruntant les lignes DM5 (Juvisy RER - ZAC de la Croix Blanche) et 510 (Grigny - ZAC de la Croix Blanche) qui sont les lignes les plus importantes de la ville car elles desservent la quasi-intégralité des zones d'habitations de la ville.

La ligne TICE 401 (Saint-Michel-sur-Orge - Corbeil-Essonnes) relie la ville à Évry-Courcouronnes (notamment son centre commercial régional et sa préfecture) et Corbeil-Essonnes qui sont les deux villes les plus importantes du département, mais également à ses voisines Sainte-Geneviève des Bois et Saint-Michel-sur-Orge jusqu'à minuit tous les jours.

Pour la maison d'arrêt, la ligne 109 permet de relier la maison d'arrêt à Paris - Porte d'Orléans en moins de 30 minutes par autoroute tous les jours, et la DM50 à la gare de Juvisy, sans arrêt également.

La ligne TICE 409 (Fleury-Mérogis - Villabé) dessert également le territoire communal, mais uniquement 3 arrêts qui sont tous situés dans la ZI des Ciroliers et aux portes de la ZAC de la Croix-Blanche et avec une desserte assez famélique du fait de ses 4 à 5 passages journaliers les jours ouvrés seulement.

Lieux-dits, écarts et quartiers

modifier
Quartier des Aunettes, reconstruit et réhabilité en 2013-2016.

L'ouest de la ville compte un petit quartier prioritaire nommé Les Aunettes, à ne pas confondre avec plusieurs quartiers éponymes dans ce secteur de l'Essonne. Il compte 1 364 habitants en 2018, le secteur prioritaire étant limité à un petit groupe de treize immeubles à l'ouest de l'avenue du docteur Fichez[20].

Au sein des Aunettes, un écoquartier, les Joncs-Marins, est construit à partir de 2013[21] avec seize lots devant totaliser onze cents logements familiaux (labellisés « effinergie + »[Quoi ?]), sociaux, résidence pour personnes âgées à mobilité réduite, centre commercial. Les petits immeubles, en majorité de cinq étages, sont quadrillés de rues ombragées d'arbres avec des allées de verdure et des pelouses. S'étendant sur 17 hectares, il comprend aussi des parkings et des commerces de proximité. Des appartements sont accessibles à la propriété, les derniers étant livrés pour 2016. Le lot no 2 comprend dix-neuf maisons individuelles construites selon les normes écologiques[réf. nécessaire].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Fleury-Mérogis est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[23],[24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[24]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

Toponymie

modifier

Fluriacum en 1093[27], Floriacum, Floriacum Merogii, Fleury-Merongis, Flori[28] ou Flory au XIIIe siècle.

De florus « être riche », -acum « fortification » et de l'anthroponyme Méraugis[29].

La commune fut créée en 1789 avec son nom actuel[30].

Histoire

modifier

L'histoire de la ville commence en l'an 1093 : c'est à l'époque un domaine agricole appartenant à un seigneur du nom de Florus (d'où le nom de Floriacum = de Florus). L'endroit est la possession du seigneur Robertus de Floriacus en 1140, puis de Guillaume de Mérogis[31], et ainsi le village se nomme Flory-Mérogis au début du XIVe siècle. Il est construit autour de sa petite église et du château fort médiéval détruit en 1722. Guillaume Joly de Fleury (1675-1756), propriétaire des terres, fait construire un nouveau château dans les années 1720. La vocation agricole de Fleury-Mérogis se perpétue jusqu'au début des années 1960. En parallèle, on sait aussi qu'au XIXe siècle, la commune comptait aussi une carrière de pierres meulières, destinées à la ville de Paris, dont le lieu-dit du "Bois des trous" tire son nom[32]. Fleury-Mérogis comptait 261 habitants en 1946 et 361 en 1962.

Depuis 1968, la ville accueille sur son territoire la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, le plus grand centre pénitentiaire d'Europe[33].

La population de la commune explose à partir des années 1970[30], intégrant des travailleurs immigrés et des populations issues de l'exode rural par vagues successives. Cette période marquée par la politique de regroupement familial est gérée par une municipalité communiste (jusqu'en 2009) qui doit faire construire des infrastructures ex nihilo. Les habitants sont au nombre de 4 953 en 1990[31], de 7 419 en 1982 et de 9 219 en 2013[34]. De grandes cités de logements sociaux sont construites rapidement dans les années 1970-1990. La politique de la ville évolue au début du XXIe siècle avec la destruction de tours et la réhabilitation de certains quartiers. Il est à noter que 37 % de la surface de la commune sont constitués d'espaces verts ou boisés[31].

Une nuit d'émeute a éclaté en juin 2016 dans la partie ouest de la ville[non pertinent].

Politique et administration

modifier
Position de Fleury-Mérogis en Essonne.

Rattachements administratifs et électoraux

modifier

Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[35], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à l'Essonne et à son arrondissement d'Évry après un transfert administratif effectif le . Pour l'élection des députés, la commune est rattachée à la dixième circonscription de l'Essonne.

La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Longjumeau. Celui-ci est scindé en 1964 et la commune rattachée à celui de Juvisy-sur-Orge. Lors de la mise en place du département de l'Essonne, la commune intègre en 1967 le canton de Viry-Châtillon, puis, en 1975, celui de Morsang-sur-Orge. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Ris-Orangis.

Intercommunalité

modifier

La commune faisait partie de la communauté d'agglomération du Val d'Orge créée au .

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le projet de schéma régional de coopération intercommunale de février 2015 prévoyait la création, en Essonne, d’une agglomération de plus de 500 000 habitants regroupant 48 communes, allant de l’Arpajonnais au SAN de Sénart Ville Nouvelle en Seine-et-Marne. Après concertation, ce projet a été amendé et le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération du Val d'Orge et de la communauté de communes de l'Arpajonnais »[36].

Cette fusion est intervenue le , créant la communauté d'agglomération Cœur d'Essonne Agglomération[37], dont la commune est désormais membre.

Tendances et résultats politiques

modifier
Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales puis départementales

Résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours

Référendums

Politique locale

modifier

Le maire réélu au terme des élections municipales de 2014 dans l'Essonne, David Derrouet, annonce en juin 2017 sa démission pour des raisons personnelles[59]. Le conseil municipal élit en octobre 2017 son successeur, Aline Cabeza[60], malgré la contestation de certains élus[61]. Celle-ci annonce toutefois sa démission dès novembre 2018, au terme d'un conseil municipal où le quorum n'avait pas été réuni et où des élus avaient reprochés au maire le départ de médecins[62].

Les élections municipales partielles organisées le voient la victoire de la liste « Fleury pleinement citoyenne » (SE) menée par Olivier Corzani (PCF) dès le premier tour[63] et celui-ci est élu maire le [64].

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs[65],[66]
Période Identité Étiquette Qualité
1789 1806 Jean-François Billarant   Gardien du château
1806 1813 Jean-Louis Pierre Defresne   Cultivateur
1813 1843 Armand Guillaume Joly de Fleury   Conseiller d'État
1843 1854 Gabriel Jean Joly de Fleury   Auditeur au Conseil d'État
1854 1871 Jacques Louis-Napoléon Grandidier   Notaire
1871 1871 Louis Victor Auberge   Agriculteur
1871 1888 Ernest Grandidier   Auditeur au Conseil d'État
Conservateur en chef au Musée du Louvre (1894 → 1912) .
1888 1892 Émile Auberge    
1892 1916 Edmond Bartissol[67] Républicains modérés
puis Républicains progressistes
Ingénieur
Député des Pyrénées-Orientales (1889 → 1893 et 1902 → 1910)
Député de l'Aude (1898 → 1898)
1916 1923 Léon Blavet   Agriculteur
1923 1926 Gustave Batiau   Courtier
1926 1948 Pierre Louis Marcille   Agriculteur
1948 1959 Edmond Blanchard   Horticulteur
1959 1975 Auguste Gentelet PCF Économiste
1975 septembre 1998[68] Roger Clavier[69] PCF Inspecteur des ventes
Démissionnaire
septembre 1998 décembre 2009[70] Michel Humbert PCF Ingénieur RATP
Mandat écourté à la suite de la démission d'une partie du Conseil municipal
décembre 2009[71],[72] octobre 2017[73] David Derrouet PS puis DVG[74],[75]
puis ND[76]
Consultant, ancien directeur de cabinet d'Athis et de Juvisy
Vice-président de la CA Cœur d'Essonne Agglomération (2016 → 2017[77])
Démissionnaire[59]
octobre 2017[60] décembre 2018[62],[78] Aline Cabeza DVG Rédactrice territoriale
Démissionnaire
février 2019[64] En cours
(au 9 février 2019)
Olivier Corzani PCF Éducateur
Réélu pour le mandat 2020-2026

Politique de développement durable

modifier

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[79].

Jumelages

modifier

La commune de Fleury-Mérogis n'a développé[Quand ?] aucune association de jumelage.

Population et société

modifier

Démographie

modifier

Évolution démographique

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[80],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 13 983 habitants[Note 5], en évolution de +37,36 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
137251211199210226223225217
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
217230236235224198201180237
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
239287268248349324238201445
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3511 1946 5517 4199 6779 0749 1679 11011 430
2021 - - - - - - - -
13 983--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[81].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 50,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 6,0 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 9 207 hommes pour 4 710 femmes, soit un taux de 66,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,98 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[82]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,5 
0,7 
75-89 ans
1,7 
3,9 
60-74 ans
6,5 
14,6 
45-59 ans
15,4 
30,2 
30-44 ans
26,0 
37,3 
15-29 ans
25,7 
13,3 
0-14 ans
24,2 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2021 en pourcentage[83]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,4 
75-89 ans
7,2 
12,9 
60-74 ans
13,9 
20 
45-59 ans
19,4 
19,9 
30-44 ans
20,1 
20 
15-29 ans
18,2 
21,3 
0-14 ans
19,8 

Enseignement

modifier

Fleury-Mérogis est rattachée à l'académie de Versailles. Elle dispose[Quand ?] des groupes scolaires Robert Desnos, Frédéric Joliot-Curie et Paul Langevin.

Le centre hospitalier Manhes a été créé initialement en 1965 par la FNDIRP (Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes) pour les anciens déportés[84]. Aujourd'hui, le centre hospitalier propose :Soins de Suite et de Réadaptation (SSR), Hôpital de Jour , Psychiatrie, Hémodialyse rénale, un service de consultations externes . La commune dispose sur son territoire de l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes Marcel-Paul (rattaché au centre Manhes, a vu le jour à l'initiative d'anciens déportés). Le centre Jean-Moulin fondé en 1948, est également rattaché au centre Manhes[85]. Un centre de la protection maternelle et infantile est implanté dans la commune[86].

Culture

modifier

La ville dispose[Quand ?] de plusieurs infrastructures culturelles, dont[87] :

  • la salle André-Malraux (théâtre, danse, musique) ;
  • la médiathèque Elsa-Triolet ;
  • l'espace Jean-Wiener (centre musical et artistique) ;
  • Le Onze (studio de répétition et d'enregistrement).
Le stade Auguste-Gentelet.

Le club de football, le FC Fleury 91, la D1 Féminine, les réserves, et les jeunes évoluent au Complexe Sportif Auguste Gentelet. Tandis que l'équipe première masculine réside au stade Robert-Bobin de Bondoufle[réf. nécessaire].

Services publics

modifier

La commune dispose en 2010 sur son territoire d'une brigade de gendarmerie nationale[88] et d'une agence postale[89].

Lieux de culte

modifier
L'église du Saint-Rédempteur.

La paroisse catholique de Fleury-Mérogis est rattachée au secteur pastoral du Val d'Orge-Sainte-Geneviève-des-Bois et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église du Saint-Rédempteur[90], datant du XVIIIe siècle[91].

Médias

modifier

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie

modifier

La ville est principalement connue pour accueillir sur son sol la prison de Fleury-Mérogis.

Emplois, revenus et niveau de vie

modifier

En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 729 , ce qui plaçait la commune au 12 100e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cent quatre-vingtième rang départemental[92].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Fleury-Mérogis 0,0 % 1,5 % 8,8 % 18,2 % 44,7 % 26,9 %
Zone d’emploi d’Orly 0,1 % 4,6 % 15,2 % 27,8 % 30,3 % 22,1 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Fleury-Mérogis 0,3 % 5,7 % 3,1 % 11,5 % 6,4 % 4,1 %
Zone d’emploi d’Orly 0,5 % 8,1 % 7,2 % 15,0 % 14,3 % 6,3 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[93],[94],[95]

Culture locale et patrimoine

modifier

Patrimoine environnemental

modifier

Les bois communaux ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[96].

Lieux et monuments

modifier

Une borne routière marquée d'une fleur de lys, aujourd'hui disparue, a été inscrite aux monuments historiques le [97].

Personnalités liées à la commune

modifier

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Fleury-Mérogis :

Héraldique et logotype

modifier


Blason de Fleury-Mérogis

La commune de Fleury-Mérogis ne dispose pas de blason. Elle s'est dotée d'un logotype.

Logotype de Fleury-Mérogis

Fleury-Mérogis dans les arts et la culture

modifier
  • Trust - Le Mitard (musique) : 8e morceau de la version française de l'album Répression, et 10e pour la version anglaise. Les auteurs sont Bernie Bonvoisin (chanteur du groupe) et Jacques Mesrine (ancien criminel français, connu comme "l'ennemi public numéro un", et principal protagoniste du morceau). Dans cette chanson, Fleury-Mérogis désigne la maison d'arrêt de ladite commune, où Jacques Mesrine fut incarcéré. Elle visait à dénoncer le traitement des détenus.

Notes et références

modifier
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

modifier
  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 02/04/2009.
  2. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 11/11/2010.
  3. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  4. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  5. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  6. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  7. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  8. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  9. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  10. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  11. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  12. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  13. « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 21/02/2013.)..
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  16. « Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Brétigny-sur-Orge », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Brétigny_sapc » (commune de Brétigny-sur-Orge) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Station Météo-France « Brétigny_sapc » (commune de Brétigny-sur-Orge) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  20. Quartier Prioritaire : Les Aunettes sur sig.ville.gouv.fr
  21. Site de la mairie
  22. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Fleury-Mérogis ».
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. dans le Cartulaire de Longpont
  28. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  29. Histoire: archéologie, biographie du canton de Longjumeau
  30. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. a b et c Histoire de Fleury-Mérogis
  32. Maison de Banlieue et de l’Architecture, L’homme de la meulière : extraction, mise en œuvre… en Essonne, , 60 p. (lire en ligne), p. 22-23.
  33. Fiche de la prison de Fleury-Mérogis sur le site topic-topos.com Consulté le 25/07/2016.
  34. Voir tableau ci-après
  35. Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
  36. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional (la coopération intercommunale) » [PDF], sur marneetgondoire.fr (consulté le ).
  37. Julien Heyligen (avec Florian Loisy et Isoline Fontaine), « Nouvelles agglomérations en Essonne : qu’est-ce que ça change vraiment ? », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne).
  38. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  39. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  40. Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 08/05/2012.
  41. « Essonne : Présidentielle 2017 : Les résultats à Fleury-Mérogis », Essonne Info | Site d'actualité et d'information en Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  43. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  44. Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 21/06/2012.
  45. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  46. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  47. Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/10/2014.
  48. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  49. Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 30/03/2010.
  50. Résultats de l'élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  51. Résultats de l'élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 02/04/2011.
  52. Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/01/2013.
  53. Résultats de l'élection municipale partielle 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 02/01/2010.
  54. Résultats du 1er tour pour la commune Fleury-Mérogis.
  55. Cécile Chevallier, « Municipale à Fleury-Mérogis : la liste menée par Olivier Corzani l’emporte dès le 1er tour », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sa liste (SE) « Fleury pleinement citoyenne » arrive en tête avec 56 % des suffrages exprimés. L’abstention frôle les 61 %. ».
  56. « Elections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  57. Résultats du référendum 2000 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  58. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  59. a et b N. C., « Fleury-Mérogis : David Derrouet reste silencieux sur les raisons de sa démission : Maire (DVG) de la commune depuis 2009, il avait déjà démissionné en mars dernier de son poste de vice-président de l’agglomération pour « raisons personnelles », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  60. a et b Sébastien Morelli, « Aline Cabeza, nouvelle maire de Fleury-Mérogis », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  61. N.C., « Fleury-Mérogis : le recours contre l’élection de la maire rejeté par la justice », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  62. a et b Nolwenn Cosson, « Essonne : la maire de Fleury-Mérogis jette bien l’éponge : Essonne : la maire de Fleury-Mérogis jette bien l’éponge », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elle aura tenu un an et un mois. C’est dans un excès de colère qu’Aline Cabeza, maire (DVG) de Fleury-Mérogis, a annoncé vouloir rendre son mandat lors du conseil municipal organisé ce lundi soir. Alors que le quorum n’était pas atteint, l’élue a été prise à partie par les membres de l’opposition sur l’absentéisme, mais aussi sur la question de la santé ».
  63. Nolwenn Cosson, « Fleury-Mérogis : Olivier Corzani prend les rênes de la ville : Le « gamin de la ville » comme il aime à le rappeler n’avait jamais imaginé devenir maire en 2019. Sa liste a remporté l’élection municipale partielle dès le premier tour ce dimanche. », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  64. a et b Nolwenn Cosson, « Olivier Corzani devient le nouveau maire de Fleury-Mérogis », Le Parisien, édition Île-de-France & Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La tête de liste du groupe (SE) Fleury pleinement citoyenne a été élu avec 26 voix. Il promet de mener son mandat « sans rancœur ni amertume ».
  65. « Les maires de Fleury-Mérogis », sur francegenweb.org (consulté le ).
  66. Liste des maires sur le site officiel de la commune (consulté le 19 décembre 2010)
  67. « Edmond Bartissol », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  68. Thomas Segissement, « Roger Clavier passe la main : Le maire se retire au profit de son premier adjoint », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  69. « Carnet : Roger Clavier », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  70. « Bientôt de nouvelles élections municipales », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Annette Tau est la dixième élue, depuis septembre, à quitter le conseil municipal de Fleury-Mérogis. Le quota du tiers de conseillers démissionnaires est donc désormais atteint, synonyme d'organisation d'élections municipales partielles ».
  71. « Le Parti communiste perd la mairie : L'UMP, qui n'avait pas respecté la date limite du dépôt des candidatures, est restée hors jeu. Ce résultat, à l'issue d'un duel « fratricide » entre deux hommes qui faisaient cause commune en mars 2008, constitue un vrai séisme au sein de la gauche essonnienne. Le PC perd un de ses derniers fiefs. Michel Humbert était en poste depuis 1998 », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  72. « Le pari gagné de David Derrouet », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  73. Nolwenn Cosson, « Démission du maire de Fleury-Mérogis : « Je ne regrette rien, j’ai fait du mieux que j’ai pu » : Comme annoncé dans une lettre distribuée il y a quelques semaines à ses concitoyens, David Derrouet, le maire (DVG) de Fleury-Mérogis, vient de démissionner de son mandat. Il dévoile les raisons de son départ », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  74. « Un deuxième maire, David Derrouet, annonce son départ du Parti socialiste car François Hollande "s'est détourné de ses promesses" », Le Lab politique Europe 1,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  75. « Le maire David Derrouet claque la porte du PS », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  76. « Isabelle Attard on Twitter », sur Twitter (consulté le ).
  77. N. C., « Le maire de Fleury-Mérogis quitte l’agglomération », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  78. « Fleury-Mérogis : la démission de la maire effective ce vendredi : Aline Cabeza (DVG) avait annoncé qu’elle quittait son poste le 12 novembre dernier. », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  79. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Fleury-Mérogis, consultée le 26 octobre 2017
  80. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  81. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  82. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fleury-Mérogis (91235) », (consulté le ).
  83. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
  84. Centre hospitalier Manhes
  85. Centre Jean-Moulin
  86. Fiche du centre de PMI de Fleury-Mérogis sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 15/01/2013.
  87. Site de la mairie
  88. Organisation des forces de l'Ordre en Essonne sur le site de la préfecture. Consulté le 24/11/2010.
  89. Coordonnées de l'agence postale de Fleury-Mérogis sur le site de La Poste. Consulté le 15/05/2011.
  90. Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 08/11/2009.
  91. Patrimoine religieux
  92. Résumé statistique national sur le site de l’Insee. Consulté le 26/10/2009.
  93. %5CCOM%5CDL_COM91235.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. Consulté le 25/05/2010.
  94. %5CDL_ZE19901144.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi d'Orly sur le site de l'Insee. Consulté le 25/05/2010.
  95. Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.
  96. Carte des ENS de Fleury-Mérogis sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 03/2019.
  97. « Borne à fleur de lys n° 18 », notice no PA00087913, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier
  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Fleury-Mérogis », p. 821–823
  • Angel Perez, Fleury-Mérogis, La Pensée Unique, , 156 p. (ISBN 978-2-214-04666-1)
  • Collectif d'auteurs, Le Spectateur anonyme, Ramsay,
  • Élisabeth Cons, La boîte à oubli : dix ans à Fleury-Mérogis, Lattes, , 265 p. (ISBN 978-2-7096-2199-1)
  • Martine Schachtel, Femmes en prison : dans les coulisses de Fleury-Mérogis, Albin Michel, , 176 p. (ISBN 978-2-226-12071-7)
  • Isabelle Le Bourgeois, Derrière les barreaux des hommes : femme et aumônier à Fleury-Mérogis, , 150 p. (ISBN 978-2-220-05230-4)

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier