Flubromazépam

composé chimique

Le flubromazépam est une benzodiazépine. Il a été développé dans les années 1960. En raison de sa très longue demi-vie, les sociétés pharmaceutiques ne lui trouvent pas d'intérêt commercial. Il est disponible en tant que nouveau produit de synthèse, en cette deuxième décennie du XXIe siècle. Elle fut au début du mois de encouragée à investir les marchés pharmaceutiques des pays d'Europe, n'ayant jamais été commercialisée et représentant des perspectives économiques et thérapeutiques très intéressantes par rapport aux benzodiazépines existantes et une alternative au bromazépam et à sa pyridine très électronégative et aux effets peu attractifs.

Flubromazépam
Image illustrative de l’article Flubromazépam
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Identification
Nom UICPA 7-bromo-5-(2-fluorophényl)-1,3-dihydro-1,4-benzodiazépin-2-one
No CAS 2647-50-9
PubChem 12947024
Propriétés chimiques
Formule C15H10BrFN2O
Masse molaire[1] 333,155 ± 0,014 g/mol
C 54,08 %, H 3,03 %, Br 23,98 %, F 5,7 %, N 8,41 %, O 4,8 %,
Écotoxicologie
DJA 8mg
Données pharmacocinétiques
Biodisponibilité >90%
Liaison protéique élevée
Métabolisme Hépatique
Demi-vie de distrib.

Intermédiaire

Demi-vie d’élim. Très longue
Considérations thérapeutiques
Antidote Flumazénil
Caractère psychotrope
Catégorie hypnotique, anxiolytique de la famille des benzodiazépines
Mode de consommation

per os

Composés apparentés
Autres composés

Flubromazolam


Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire.

Pharmacologie modifier

Il a une structure similaire au flubromazolam.

Le flubromazépam est une benzodiazépine. Comme la majorité de celles-ci, c’est un agoniste des récepteurs GABAA, et possède les 5 effets caractéristiques des benzodiazépines : anxiolytique, hypnotique, sédatif, myorelaxant et anticonvulsivants.

4mg seraient équivalents à 10mg de diazépam. Il est rapporté comme très efficace comme anxiolytique, myorelaxant, et hypno-sédatif à des doses entre 2 et 8mg. Il est le plus souvent utilisé comme hypnotique. Sa longue demi-vie d’élimination prône cependant l’accumulation, avec un risque d’accoutumance et de dépendance plus élevé.

Notes et références modifier

  1. Masse molaire calculée d’après « Atomic weights of the elements 2007 », sur www.chem.qmul.ac.uk.