Société internationale forestière et minière du Congo

compagnie d'exploitation forestière et minière du Congo belge, créée par Jean Jadot en 1906
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La Société internationale forestière et minière du Congo, ou Forminière, était une compagnie d'exploitation forestière et minière du Congo belge, créée par Jean Jadot en 1906, dont l'exploitation de diamant dans la province du Kasaï commence en 1913. La Forminière exploita des mines d'or, d'argent, et des cultures de coton, de palme, de cacao et caoutchouc, ainsi que des fermes, des scieries et des magasins. L'État colonial était copropriétaire à 50 % du capital de la société, le reste étant majoritairement détenu par des Américains.

Société internationale forestière et minière du Congo
Histoire
Dissolution
Cadre
Type
Domaine d'activité
Siège
Pays
Organisation
Filiales
Société d'Elevage et de Culture au Congo Belge (d), Société Minière du Luebo (d), Société Minière de la Tele (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Produit

En 1959 sa production de diamants s'élevait à 425 234 carats[1].

Elle a été dissoute en 1961.

André Gide, dans Voyage au Congo, présente et critique sévèrement les méthodes employées par cette compagnie, en particulier son exploitation des populations indigènes, mises sous contraintes par la force et la violence, et sous-payées voire escroquées.

Bibliographie

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  • Forminière 1906-1956, Bruxelles, Ed. L. Cuypers, 1956, 211p.

Voir aussi

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Références

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  1. Un autre regard sur Tervuren - Guide alternatif de l'exposition, Tony Busselen, International Action for Liberation, 26 mai 2005