Friart

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Le patronyme Friart, Friard, Fryard provient de l'anthroponyme germanique Fridohart (de frith et hard).
Des variantes sont Friar, Friat, Frias, Friadt, Fréard, Fréart, Freart.

Friart est un nom de famille notamment porté par :

Fréard

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Fréard est un nom de famille notamment porté par :

Fréart

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Fréart est un nom de famille notamment porté par :

Il s'agit d'une famille dont plusieurs membres se distinguèrent dans diverses fonctions et surtout dans les arts. Elle est originaire de Fougerolles-du-Plessis.

  • Jean Fréart, sieur de la Bourdonnière, né le 28 juillet 1484, épousa en 1503, dans l'église de Commer, Brisegaude Madré, devint enquêteur au Mans, puis secrétaire du cardinal Philippe de Luxembourg, revint enfin mourir à Laval près de l'église Saint-Vénérand de Laval[1].
  • Jean Fréart, fils du précédent, épousa en 1545, à Saint-Denis-de-Gastines, Renée Gougeon, fille de Guillaume Gougeon, sieur de Picquaigne, et au mois d'août 1549, au Mans, Marie Nouet, fille d'un avocat. Cinq de ses enfants s'établirent au Mans, six à Laval.[2]. Par son fils, Jean Fréart, né en 1570, qualifié noble homme, grand prévôt de la maréchaussée au Mans, il est le grand-père des trois frères artistes :
    • Jean Fréart de la Parairie, né au Mans le 15 février 1604, fit en 1640, avec son frère Roland, un voyage en Italie pour y rechercher les tableaux des grands maîtres de l'art italien. Commis en 1642 de François Sublet de Noyers, secrétaire des commandements du roi[3] Il revint au Mans après la disgrâce de son protecteur, fut conseiller en l'élection puis échevin en 1653, et mourut le 26 octobre 1674.
    • Roland Fréart de Chambray (1606-1676), architecte et artiste français.
    • Paul Fréart de Chantelou (1609-1694), collectionneur français.

Sources partielles

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Prénom

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  1. Où il eut sa sépulture le 19 octobre 1565. Il avait fait enterrer sa femme, le 30 juin 1519, dans l'église de N.-D. du Pré, devant l'autel Sainte-Barbe. Une « planche ou épitaphe en cuivre » en indiquait l'emplacement.
  2. L'aîné de ces derniers, François, marié avant 1570 à Renée Lelièvre, acquit les belles terres de la Peslardière, Chambray, Gresse, fut marguillier de la Trinité, 1593, et échevin de Laval.
  3. Il s'excuse en cette qualité de ne pouvoir rendre aveu en personne pour sa terre de la Parairie (Saint-Ceneré).