Gère-Bélesten
Gère-Bélesten est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Gère-Bélesten | |||||
Le bourg de Gère, sur la commune de Gère-Bélesten. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée d'Ossau | ||||
Maire Mandat |
Yves Maysounabe 2020-2026 |
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Code postal | 64260 | ||||
Code commune | 64240 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
182 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 01′ 34″ nord, 0° 25′ 31″ ouest | ||||
Altitude | Min. 439 m Max. 1 898 m |
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Superficie | 12,82 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2 | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Le gentilé est Gère-Bélestinois[1].
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Gère-Bélesten se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 35 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 30 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Aste-Béon (1,1 km), Louvie-Soubiron (3,0 km), Bielle (3,3 km), Béost (3,7 km), Bilhères (4,1 km), Laruns (4,2 km), Castet (5,0 km), Eaux-Bonnes (6,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Gère-Bélesten fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Aste-Béon, Aydius, Bielle et Laruns.
Hydrographie
modifierLa commune est drainée par le gave d'Oloron, L'Arriou Mage, le Lamay, Arrec de Légnère, un bras du gave d'Ossau, L'Arrigast, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 576 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arbéost à 11,8 km à vol d'oiseau[13], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 411,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
modifierRéseau Natura 2000
modifierLe réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[18],[Carte 2] :
- « le gave d'Ossau », d'une superficie de 2 300 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[19] ;
- le « massif du Montagnon », d'une superficie de 8 694 ha, présentant de nombreux habitats de l'annexe I dont certains sont rares dans les Pyrénées[20] ;
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[21],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Ossau à l'amont d'Arudy et ses rives » (586,79 ha), couvrant 12 communes du département[22] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[21],[Carte 4] :
- le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[23] ;
- la « vallée d'Ossau » (43 624,41 ha), couvrant 13 communes du département[24].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Gère-Bélesten est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[25]. Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[26],[27].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,5 %), forêts (38,8 %), prairies (14,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %), zones urbanisées (0,9 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].
Lieux-dits et hameaux
modifier- Déoussoum ;
- Duplaa ;
- Ibech de Gerbe ;
- la Montagne ;
- Village.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Gère-Bélesten est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009, 2013, 2019 et 2021[31],[29].
Gère-Bélesten est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[32]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[33],[34].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[35]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[36].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 38,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[38].
La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[39],[40].
Risque technologique
modifierLa commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 7]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[42].
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Gère-Bélesten est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[43].
Toponymie
modifierLe toponyme Gères apparaît[44] sous les formes Iera (1154, titres de Barcelone[45]), Yere (1270, titres d'Ossau[46]), Gera (1538, réformation de Béarn[47]), Sent Orens de Gere (1606, insinuations du diocèse d'Oloron[48]), Gere et Belestin (1675, réformation de Béarn[47]).
Il a une origine gasconne gera qui signifie grange et herbages environnants[49].
Le toponyme Bélestin est mentionné[44] en 1270 (titres d'Ossau[46]), et apparaît sous la forme Velesten (1385, censier de Béarn[50]).
Il n'y a aucune certitude sur l'origine du toponyme[49].
La réunion des deux paroisses remonte au Moyen Âge et le toponyme Gère-Bélestin est, depuis, resté stable[44].
Le col des Arques, entre les communes d’Aydius et de Gère-Bélesten est mentionné par le dictionnaire topographique de 1863[44].
Histoire
modifierEn 1385, Gère comptait 24 feux et Bélestin 11. Les deux communes dépendaient du bailliage d'Ossau.
Paul Raymond[44] note que la commune comptait une abbaye laïque vassale de la vicomté de Béarn.
Gère :
La commune compta simultanément une abbaye laïque et une seigneurie, qui furent réunies au XVIe siècle.
La seigneurie fut propriété de la famille féodale voisine "de Béon", du XIIIe siècle au début du XVIe siècle.
L'abbaye laïque et la seigneurie réunies fut propriété de la famille "de Laborde" tout au long du XVIe siècle, puis de la famille du For au début du XVIIe siècle.
Enfin, au XVIIIe siècle, de nouveau séparés, la seigneurie était, jusqu'à la Révolution, propriété de la famille de Sorberio, et l'abbaye laïque, de la famille de Monclus.
Bélestin :
La commune comptait au XVIe siècle une abbaye laïque.
Une forge fut créée en 1547 pour traiter le plomb argentifère exploité dans les hauteurs d'Aste et de Castet[51].
Politique et administration
modifierIntercommunalité
modifierLa commune fait partie de trois structures intercommunales[52] :
- la communauté de communes de la Vallée d'Ossau ;
- le SIVU pour la construction de la maison de retraite du Haut-Ossau ;
- le syndicat mixte du Haut-Béarn.
La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[54].
En 2021, la commune comptait 182 habitants[Note 8], en évolution de −11,65 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierLa commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
modifierPatrimoine civil
modifierLa commune compte deux bâtiments offrant un intérêt historique, situés tous les deux à Gère :
- La maison forte, dite la Tour d'Ore, est sise à proximité de l'église de Gère, et date des XIIIe et XIVe siècles. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1997[57].
- Le château de Gère, ancienne domendjadure et siège d'une abbaye laïque, date du XVIe siècle.
Patrimoine religieux
modifierLes deux bourgs réunis de Gère et de Belesten ont chacun leur propre église :
- à Gère : l'église paroissiale Saint-Orens fut reconstruite la fin du XIXe siècle[58], car elle était fort délabrée ;
- à Belesten : l'église paroissiale Saint-Pierre, de style roman, date du XIIIe ou du XIVe siècle.
Événements sportifs
modifierLa commune se situait sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007, qui s'est déroulée le . Le parcours de 218 kilomètres a relié Orthez à Gourette - col d'Aubisque.
Équipements
modifierPersonnalités liées à la commune
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[41].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Gère-Bélesten » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Gère-Bélesten », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type I sur la commune de Gère-Bélesten », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Gère-Bélesten », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Gentilé sur habitants.fr
- Insee, « Métadonnées de la commune de Gère-Bélesten ».
- Stephan Georg, « Distance entre Gère-Bélesten et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Gère-Bélesten et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Gère-Bélesten », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Gère-Bélesten », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave d'Oloron ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Gère-Bélesten et Arbéost », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station Météo-France « Arbeost_sapc » (commune d'Arbéost) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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- Article R214-112 du code de l’environnement
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- Titres publiés dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- Titres de la vallée d'Ossau - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Michel Grosclaude, Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, edicions reclams Escola Gaston Febus, 2006 p.142
- Manuscrit de 1385 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Georges Jorré, « Les Mines des Pyrénées des Gaves », Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest, vol. 7, no 2, , p. 148-168 (DOI https://doi.org/10.3406/rgpso.1936.4217, www.persee.fr/doc/rgpso_0035-3221_1936_num_7_2_4217).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PA64000017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000532, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :