Gare de Schleif
La gare de Schleif était une gare ferroviaire luxembourgeoise de la ligne de Kautenbach à Wiltz (frontière), située à Schleif sur le territoire de la commune de Winseler, dans le canton de Wiltz.
Schleif | |||
Ancien bâtiment voyageurs | |||
Localisation | |||
---|---|---|---|
Pays | Luxembourg | ||
Commune | Winseler | ||
Quartier | Schleif | ||
Coordonnées géographiques | 49° 59′ 22″ nord, 5° 51′ 24″ est | ||
Gestion et exploitation | |||
Services | fermée | ||
Caractéristiques | |||
Ligne(s) | Kautenbach à Wiltz (frontière) | ||
Altitude | 363 m | ||
Historique | |||
Mise en service | 1er juillet 1888 | ||
Fermeture | 24 septembre 1967 | ||
Géolocalisation sur la carte : canton de Wiltz
Géolocalisation sur la carte : Luxembourg
| |||
modifier |
Elle est mise en service en 1888 par la Société anonyme luxembourgeoise des chemins de fer et minières Prince-Henri et fermée en 1967 par la Société nationale des chemins de fer luxembourgeois (CFL). Depuis 1986 elle est située sur le bord d'une piste cyclable qui a remplacé la voie ferrée.
Situation ferroviaire
modifierÉtablie à 363 mètres d'altitude, la gare de Schleif est située sur un tronçon fermé de la ligne de Kautenbach à Wiltz (frontière), entre la gare de Winseler et de Schimpach-Wampach.
Histoire
modifierLa station de Schleif est mise en service le par la Société anonyme luxembourgeoise des chemins de fer et minières Prince-Henri, lorsqu'elle ouvre à l'exploitation le prolongement de sa ligne de Kautenbach à Wiltz. Elle est fermée, comme cette section de la ligne, le [1].
En 1986 la voie ferrée est transformée en piste cyclable. Le bâtiment voyageurs est toujours présent, il est utilisé pour le camping[2].
Service des voyageurs
modifierGare fermée, la gare en service la plus proche est celle de Wiltz.
Notes et références
modifier- Site rail.lu Ligne Kautenbach - Wiltz (- frontière belge) lire (consulté le 23 février 2012).
- Christophe Dutrannois, Gilbert Perrin, Guide des randonnées Roller en Belgique, Lannoo Uitgeverij (ISBN 9789020939682), p. 200 lire (consulté le 23 février 2012)