Gilhac-et-Bruzac
Gilhac-et-Bruzac est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Gilhac-et-Bruzac | |||||
Les ruines du château de Pierregourde. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ardèche | ||||
Arrondissement | Privas | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Privas Centre Ardèche | ||||
Maire Mandat |
Gilbert Bouvier 2020-2026 |
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Code postal | 07800 | ||||
Code commune | 07094 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pierregourdains | ||||
Population municipale |
176 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5,7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 51′ 38″ nord, 4° 43′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 160 m Max. 786 m |
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Superficie | 30,94 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Rhône-Eyrieux | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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La commune, étendue, n'a pas de village-centre mais de nombreux hameaux dont deux lui ont donné leur nom. Dans sa partie méridionale se trouve un édifice historique remarquable, le château de Pierre Gourde, perché sur une colline, qui date du XIIIe siècle. L'histoire du lieu et de ses hameaux environnants fut marquée par les guerres de religion entre protestants et catholiques.
Durant le Moyen Âge et l'Ancien Régime, quatre familles ont dominé la seigneurie de Pierre Gourde qui s'étendait sur l'ensemble du territoire communal actuel : les familles Barjac, Maugiron et Veynes[1]
Gilhac-et-Bruzac est une des 42 communes adhérentes à la communauté d'agglomération Privas Centre Ardèche depuis le . C'est une des communes les moins peuplées de cette collectivité mais elle a le plus grand territoire en superficie, soit près de 31 km2.
Ses habitants sont appelés les Pierregourdains[2].
Géographie
modifierSituation
modifierSitué dans la partie nord-est du département de l'Ardèche, entre les villes de Privas et de Valence, le territoire de la commune de Gilhac-et-Bruzac domine en grande partie la vallée du Rhône, mais aussi la basse vallée de l'Eyrieux, au nord de la ville de Saint-Laurent-du-Pape.
Au niveau local, la commune est située sur la bordure orientale du Massif central, à la lisère du massif montagneux des Boutières.
La mairie se situe à 35 km au nord-est de Privas, préfecture de l'Ardèche, et à 20 km de Valence, ville-centre de la principale agglomération de la région.
Description
modifierLa commune essentiellement rurale ne possède pas de véritable bourg central, ni même de village notable. Elle s'est constituée autour de deux hameaux qui lui ont donné son nom : Gilhac, près du château de Pierre Gourde, et Bruzac, près du Moulin à Vent.
Avec ses 779 mètres d'altitude, la montagne du Serre de Mure est le point culminant de la commune.
Communes limitrophes
modifierSaint-Julien-le-Roux | Boffres | Toulaud | ||
Saint-Fortunat-sur-Eyrieux | N | Saint-Georges-les-Bains | ||
O Gilhac-et-Bruzac E | ||||
S | ||||
Saint-Fortunat-sur-Eyrieux | Saint-Laurent-du-Pape | Beauchastel |
Géologie et relief
modifierHydrographie
modifierLe territoire communal est traversé par une rivière, affluent direct du Rhône, le Turzon, qui comprend six affluents s'écoulant tous sur la commune.
- Le Turzon est une petite rivière qui prend sa source à 735 m d'altitude, juste à côté du passage du GR 42 ou GR du Pays de Vernoux. Il creuse des gorges profondes et descend ensuite vers le sud-est pour rejoindre le Rhône au niveau de Saint-Georges-les-Bains, à 107 m d'altitude ;
- le ruisseau de Bruzac, 3,2 km ;
- le ruisseau de Barde, 2,6 km ;
- le ruisseau de Gilhac, 1,3 km
- le ruisseau de Perroter, 1,4 km ;
- le ruisseau de Roustain, 3,3 km ;
- le ruisseau des Fontanelles, 2,2 km.
Ces ruisseaux sont tous, entièrement ou partiellement, situés sur le territoire de la commune
Un ruisseau, affluent de la Dunière et sous-affluent de l'Eyrieux s'écoule au sud du territoire communal : le ruisseau de Grosjeanne (4,6 km).
Un ruisseau, affluent de l'Embroye s'écoule à l'est du territoire communal : le ruisseau des Vans (3,9 km).
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 051 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Pape », sur la commune de Saint-Laurent-du-Pape à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 027,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Voies de communication
modifierVoies routières
modifierLe territoire de la commune se situe hors des voies de grande circulation. Il est cependant traversé par les routes départementales (RD) 232, 266, 279 et 479 qui relient les hameaux avec les communes voisines et l'ancienne route nationale 86 qui longe le Rhône et traverse la ville voisine de La Voulte-sur-Rhône.
L’accès autoroutier vers l'A7 le plus proche de la mairie de Gilhac-et-Bruzac se situe à 25 kilomètres, par la sortie no 16 de Loriol-sur-Drôme.
Voies ferrées
modifierLes gares de voyageurs les plus proches de Gilhac-et-Bruzac sont celles de Livron-sur-Drôme et de Loriol-sur-Drôme (Drôme) à environ 20 kilomètres. La gare de Valence-Ville à 23 kilomètres et la gare de Valence TGV à 33 kilomètres bénéficient d'une desserte plus importante.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Gilhac-et-Bruzac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %)[13].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
modifierVoici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Gilhac-et-Bruzac, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[14]. La commune ne possédant pas de bourg central, voire de chef-lieu bien défini, les principaux hameaux sont indiqués en caractères gras.
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Risques naturels
modifierRisques sismiques
modifierLa totalité du territoire de la commune de Gilhac-et-Bruzac est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées à proximité de la vallée du Rhône, mais en limite orientale de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[15].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Autres risques
modifierToponymie
modifierLe nom de commune est composé de deux aux origines mal connues :
Le suffixe « -ac » est généralement issu du suffixe gallo-latin -acum, qui désigne un lieu rappelant soit l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine, soit un élément de la géographie locale.
Gilhac
modifierEggius ? et suffixe -acum
Bruzac
modifierBrus (Brusius ?) et suffixe -acum
Histoire
modifierPréhistoire
modifierAntiquité
modifierPour Pline[17] la région autour Valentia se nomme « regio Segovellaunorum ». Il s'agit d'un peuple gaulois, les Segovellaunes, qui était géographiquement installé de part et d'autre du Rhône moyen avec toute la plaine de Valence, l'actuel Valentinois.
Si l'on considère l'oppidum du Malpas comme leur chef-lieu, le territoire des Segovellaunes devait également s'étendre sur la rive droite du Rhône, dans la région montagneuse comprise entre l’Eyrieux et le Doux, dans l'actuel Haut-Vivarais. L'étendue du diocèse médiéval plaide en ce sens.
Moyen Âge
modifierPierregourde formait une communauté avec la seigneurie de Beauchastel. Du XIIIe siècle au XVe siècle, les seigneurs de Pierregourde se prénomment Hugon et se lient avec les familles aristocratiques de la région par de nombreux mariages[18].
Renaissance
modifierFrançois de Barjac est le seigneur de Pierregourde durant les guerres de Religion au XVIe siècle. Il fut un important chef protestant de la province du Vivarais dont une importante partie de la population avait suivi la réforme.
Celui-ci fut tué durant les combats qui accompagnèrent la bataille de Mensignac le qui opposa les troupes protestantes aux troupes catholiques commandées par le comte de Brissac[19].
Temps modernes
modifierÉpoque contemporaine
modifierEn 1790, la création de la commune autonome de Gilhac et Bruzac est effectuée par démembrement de la commune de Pierregourde.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierScrutins nationaux
modifierCandidat | 1er tour | 2e tour | ||
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Gilhac et Bruzac | Ensemble de la France | Gilhac et Bruzac | Ensemble de la France | |
Emmanuel Macron | 20,18 % | 24,01 % | 63,3 % | 66,10 % |
François Fillon | 9,17 % | 20,01 % | ||
Jean-Luc Mélenchon | 22,94 % | 19,58 % | ||
Marine Le Pen | 22,02 % | 21,30 % | 36,67 % | 33,90 % |
Benoît Hamon | 11,93 % | 6,36 % | ||
Votants | 80,88 % | 77,77 % | 74,26 % | 74,56 % |
Administration municipale
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2021, la commune comptait 176 habitants[Note 2], en évolution de +3,53 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierRattachée à l'académie de Grenoble, la commune de Gilhac-et-Bruzac, en raison d'une population trop modeste en nombre, ne gère pas d'école primaire ou d'école maternelle. Les enfants de la commune sont donc scolarisés dans les écoles des communes avoisinantes, notamment à Saint-Georges-les-Bains.
Médias
modifierLa commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite régionale :
- L'Hebdo de l'Ardèche, journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche ;
- Le Dauphiné libéré, journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas-centre-Ardèche.
Cultes
modifierCulte catholique
modifierLe territoire communal dépend de la paroisse de « Saint-Nicolas du Rhône » avec dix autres communes. Le siège de la paroisse est implanté à La Voulte-sur-Rhône où se situe le presbytère. Cette création s'est faite en 2022 par fusion et redéfinition des limites des paroisses « Saint-Jean du Pays de Privas », « Saint-François d'Ouvèze-Payre» et « Saint-Michel du Rhône » [27].
Culte protestant
modifierLe territoire communal dépend de la région Centre-Alpes-Rhône de l'Église protestante unie de France. le temple en activité le plus proche est situé dans la commune voisine de Saint-Georges-les-Bains[28].
Autres cultes
modifierÉconomie
modifierEmploi
modifierTaux de chômage
modifierLe taux de chômage des 15-64 ans dans la commune était de 5,1 % pour les hommes et de 21,9 % pour les femmes, pour un taux global de 12,7 % en 2014. (Source : Insee, EMPT4 Chômage (au sens du recensement) des 15-64 ans).
Statut professionnel
modifierLe statut professionnel des travailleurs de la commune relève majoritairement du secteur libéral et plus précisément de travailleurs indépendants (la commune est en secteur agricole).
Statuts professionnels | 2014 | 2009 |
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Salariés | 23,4 % | 20,0 % |
dont femmes | 14,4 % | 13,3 % |
dont temps partiel | 14,4 % | 13,3 % |
Non salariés | 76,6 % | 80,0 % |
dont femmes | 24,0 % | 40,0 % |
dont temps partiel | 14,4 % | 6,7 % |
(Source : Insee, EMPT6 Emplois selon le statut professionnel)[29].
Agriculture
modifierTourisme
modifierLa commune ne compte aucun hôtel, mais certains particuliers proposent des locations de logement dans le cadre d'un gîte rural.
Un terrain de camping privé avec emplacement pour caravanes, tentes et des bungalows disponibles à la location est installé sur le territoire de la commune[30].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierLes ruines du château de Pierregourde
modifierHistorique
modifierDatant du XIIIe siècle, le château de Pierregourde, dont le nom vient du vieux français "tour de guet de pierre", bien que marqué par les guerres de Religion entre protestants et catholiques, doit plutôt sa ruine au fait qu'il fut utilisé comme carrière de pierre après son abandon au XVIIe siècle.
Accès
modifierPour accéder à l'ancien depuis la commune voisine de Saint-Laurent-du-Pape. Depuis l'église de cette commune, le visiteur doit emprunter la RD 266. Cette route s'élève à flanc de montagne jusqu'au village de Girbaud. Un chemin empierré situé sur la gauche permet d'accéder au château[31]. La visite est libre mais il n'y a pas de possibilité d'accéder au site pour les personnes à mobilité réduite (sauf portage).
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Ruines du château de Pierregourde.
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Vue depuis les ruines du château de Pierregourde.
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Autre vue depuis les ruines.
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Ruines du château de Pierregourde.
Il s'agit d'un édifice religieux consacré au rite catholique. Bien que n'étant plus utilisée pour les offices religieux, le portail de cette église a été rénové en .
- Temple protestant de Bruzac.
- Temple protestant de Girbaud.
Patrimoine forestier et floral
modifier- Tableau présentant la flore répertoriée par le DREAL dans le bassin de l'Eyrieux[32]
Erable de Montpellier (Acer monspessulanum), Chardon du Vivarais (Carduus vivariensis), Ciste à feuilles de sauge (Cistus salviifolius), Œillet du granite (Dianthus graniticus Jordan), Doronic mort-aux-panthères (Doronicum pardalianches), Rossolis à feuilles rondes (Drosera rotundifolia), Gagée des rochers (de bohême) (Gagea bohemica), Gagée jaune (Gagea lutea), |
Millepertuis à feuilles de Linaire (Hypericum linariifolium Vahl), Impatiente ne-me-touchez-pas (Impatiens noli-tangere), Cotonnière des champs (Logfia arvensis), Orchis punaise Orchis (coriophora), Orchis punaise Orchis (coriophora subsp), Orchis à fleurs lâches (Orchis laxiflora), Fougère royale (Osmunda regalis), Pédiculaire des forêts (Pedicularis sylvatica), Peucédan à feuilles de carvi (Peucedanum carvifolium), |
Potentille des rochers (Potentilla rupestris), Pulsatille rouge (Pulsatilla rubra Delarbre), Renoncule de Montpellier (Ranunculus monspeliacus), Renoncule des marais (Ranunculus paludosus), Réséda de Jacquin (Reseda jacquinii), Sagine noueuse (Sagina nodosa), Scorzonère peu élevée (Scorzonera humilis), Joubarbe d'Auvergne (Sempervivum tectorum). |
Patrimoine faunistique
modifier- Tableau présentant la faune répertoriée par le DREAL dans le bassin de l'Eyrieux
Sonneur à ventre jaune (Bombina variegata), Crapaud commun (Bufo bufo), Rainette méridionale (Hyla meridionalis), Grenouille agile (Rana dalmatina).
Barbeau méridional (Barbus meridionalis), Toxostome (Chondrostoma toxostoma).
Coronelle girondine (Coronella girondica) Couleuvre d'Esculape (Elaphe longissima), Lézard des souches (Lacerta agilis), Lézard ocellé (Lacerta lepida), Lézard hispanique (Podarcis hispanica). |
Barbastelle (Barbastella barbastellus), Castor d'Europe (Castor fiber), Genette (Genetta genetta), Loutre (Lutra lutra), Vespertilion de Bechstein (Myotis bechsteini), Vespertilion de Natterer (Myotis nattereri), Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii), Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), Molosse de Cestoni (Tadarida teniotis). |
Pipit rousseline (Anthus campestris), Grand-duc d'Europe (Bubo bubo), Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), Circaète Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus), Busard cendré (Circus pygargus), Grand Corbeau (Corvus corax), Pic épeichette (Dendrocopos minor), Bruant (fou Emberiza cia), Bruant ortolan (Emberiza hortulana), Gobemouche noir (Ficedula hypoleuca), Pie-grièche grise (Lanius excubitor), Alouette (lulu Lullula arborea), Guêpier d'Europe (Merops apiaster), Merle de roche (Monticola saxatilis), Traquet motteux (Oenanthe oenanthe), Balbuzard pêcheur (Pandion haliaetus), Fauvette passerinette (Sylvia cantillans), Fauvette orphée (Sylvia hortensis), Fauvette pitchou (Sylvia undata), Huppe fasciée (Upupa epops). |
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierGilhac-et-Bruzac possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Bibliographie
modifier- Alain Saint-André, Pierregourde paroisse de Saint-Martin-de-Gilhac à travers trois documents : in Cahier de Mémoire d'Ardèche et Temps Présent n° 123 consacré aux châteaux et maisons fortes au Moyen Âge, Privas, Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, .
Notes et références
modifierNotes
modifier- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Page sur Gilhac et Bruzac, sur medarus.org.
- « Gilhac-et-Bruzac (07800) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gilhac-et-Bruzac et Saint-Laurent-du-Pape », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Laurent Pape », sur la commune de Saint-Laurent-du-Pape - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Laurent Pape », sur la commune de Saint-Laurent-du-Pape - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site géoportail, page des cartes IGN
- Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
- Pline, H.N. III, 4, 34
- Revue Historique, archéologique littéraire et pittoresque du Vivarais. Privas, 1906
- Site csateland, page sur le Château de Pierregourde
- Résultats sur le site de l'Express
- « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
- Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Eglise en Ardèche>, newsletter catholique du diocèse de Viviers, N° spécial nomination, 13 avril 2022.
- Site de l'aglise protestante unie, recherche sur Gilhac et Bruzac
- Dossier complet sur la commune, sur le site de l'Insee.
- Camping Plein Sud, sur cybevasion.fr.
- Page sur le château de Pierregourde
- Site du DREAL concernant la ZNIEFF du bassin de l'Eyrieux