Gournay-en-Bray

commune française du département de la Seine-Maritime

Gournay-en-Bray est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie. Ancienne place forte dont la fortification remonte au Xe siècle, Gournay-en-Bray a été une grande ville commerçante et la « capitale du beurre » de Normandie jusqu'à la fin du XIXe siècle où elle a été supplantée par Isigny-sur-Mer dans le Calvados. Son centre médiéval a presque totalement été détruit par les bombardements allemands de 1940 pendant la Bataille de France et sa reconstruction aura pris plus de dix ans. Désormais, elle est avec Neufchâtel-en-Bray, l'un des deux pôles majeurs d'emploi du Pays de Bray.

Gournay-en-Bray
Gournay-en-Bray
La mairie, ancien couvent des Capucins.
Blason de Gournay-en-Bray
Blason
Gournay-en-Bray
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes des Quatre Rivières
(siège)
Maire
Mandat
Éric Picard
2020-2026
Code postal 76220
Code commune 76312
Démographie
Gentilé Gournaisiens
Population
municipale
5 944 hab. (2021 en évolution de −5,56 % par rapport à 2015)
Densité 572 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 53″ nord, 1° 43′ 29″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 133 m
Superficie 10,4 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Gournay-en-Bray
(ville-centre)
Aire d'attraction Gournay-en-Bray
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Gournay-en-Bray
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Gournay-en-Bray
Liens
Site web https://www.gournay-en-bray.fr/

Géographie

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Description

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Gournay-en-Bray est une ville du pays de Bray, située à 14 km de Songeons, à 20 km de Forges-les-Eaux, à 25 km de Gisors, à 30 km de Beauvais, à 38 km des Andelys, à 48 km de Rouen et à 99 km de Paris.

Elle se situe au cœur de la Boutonnière du Pays de Bray, une entité géographique remarquable, « échancrure en forme d’amande » qui s'étire de Beauvais à Dieppe selon un axe nord-est sud-ouest. Gournay-en-Bray se trouve ainsi au centre d'un paysage rural de bocage et d'élevage[1].

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La ville est située au confluent de l'Epte et de la Morette. Les deux ruisseaux de l'Auchy et de l'Aulnaie, affluents de la Morette, rejoignent également celle-ci sur le territoire de la commune.

L'Epte est l'un des affluents de la Seine.

Une association de pêche, la Truite gournaisienne, regroupait, en 2021, une centaine d'amateurs[2]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 774 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Forges-les-Eaux à 20 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Gournay-en-Bray est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gournay-en-Bray[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[11],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gournay-en-Bray, dont elle est la commune-centre[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (61,7 %), zones urbanisées (24 %), terres arables (9,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), zones agricoles hétérogènes (1 %), zones humides intérieures (1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Gournay-en-Bray compte un hameau, le Vieux-Saint-Clair.

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 3 408, alors qu'il était de 3 344 en 2013 et de 3 108 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 85,6 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 13,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 51,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 47 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Gournay-en-Bray en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,1 %) inférieure à celle du département (3,9 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 37,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (37,8 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Gournay-en-Bray en 2018.
Typologie Gournay-en-Bray[I 2] Seine-Maritime[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 85,6 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,1 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 13,3 8,1 8,2

Voies de communication et transports

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La gare.

Gournay-en-Bray était desservie par la gare de Gournay-Ferrières située sur la ligne de Paris à Dieppe. Elle a été fermée en juillet 2024.

La commune est desservie, dès 2023, par les lignes 610, 6123, 6147 et 6149 du réseau interurbain de l'Oise[15]. Elle est également desservie par les lignes 522, 527 et 539 du réseau Nomad Car 76[16],[17],[18].

Toponymie

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Panneau d'entrée de la ville.

Le nom de la localité est attesté sous la forme Gornai entre 1049 et 1053, Gurnai vers 1060[19].

Toponyme comparable aux innombrables Gournay et Gornac de France et signifiant « bief, pêcherie » sur la base de l'appellatif celtique *gorn > gord[20] et le suffixe celtique localisant bien connu -ako[21] (latinisé en -acum).

La référence au pays de Bray, région naturelle du nord-ouest de la France partagée entre les départements de Seine-Maritime et de l'Oise a été ajouté au nom de la ville le en raison du risque minime de confusion avec Gournay-le-Guérin dans l'Eure[22],[I 1].

Histoire

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Antiquité

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Des groupements d'habitations existent à Gournay-en-Bray lors de la Guerre des Gaules par Jules César, tout comme à Alges, à Saint-Clair-sur-Epte, à Ferrières-en-Bray, à Dampierre-en-Bray, à Elbeuf-en-Bray, à Avesnes-en-Bray, à Neuf-Marchéetc.

Moyen Âge

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Pendant l'époque franque, Gournay, sous le vocable de Gornacum, est cité comme l'un des dix points principaux du pagus Bracensis (pays de Bray) de la Neustrie[23].

En 911, par le traité de Saint-Clair-sur-Epte, Charles III le Simple concède à Rollon la région comprise entre « l’Epte et la mer ». Ce dernier confie le pagus de Bray à Eudes de Gournay, le chevalier à l'écu noir, à charge pour lui et ses successeurs de garder les marches et de fournir douze de leurs vassaux aux ducs de Normandie lors de leurs guerres[23].

Gournay est fortifié à partir de 984, avec la construction de la tour Hue construite par Hugues Ier de Gournay.

En 990, Gournay reçoit les reliques d'Hildevert[Note 4], évêque de Meaux. Le seigneur de Gournay décide alors de construire une église qui prend alors son vocable actuel.

En 1066, Hugues II de Gournay et son fils Néel[Note 5] combattent aux côtés de Guillaume le Conquérant à la bataille d'Hastings. En raison de leur bravoure Hugues II reçoit des fiefs dans l'Essex et le Suffolk et Néel reçoit plusieurs domaines dans le Somerset près de Bristol et de Bath.

Donation par Galeran, comte de Meulan, au prieuré Notre-Dame de Gournay d'un muid de sel à prendre à Meulan et de cinq mille harengs à prendre à Pont-Audemer, faite à Beaumont, 1165 (Archives nationales de France).

En 1171, neuf chanoines de l'abbaye Notre-Dame de Bellozanne sont nommés à la paroisse Saint-Hildevert de Gournay permettant à l'église de devenir une collégiale.

Lors de la révolte de 1173-1174, Henri le Jeune, en guerre contre son père, et ses alliés, Philippe d'Alsace comte de Flandre, Mathieu d'Alsace comte de Boulogne et Louis VII de France prennent Gournay et font prisonniers Hugues IV de Gournay et 160 hommes ; ils incendient partiellement le château et la collégiale Saint-Hildevert.

La nouvelle église est consacrée le . La foire Sainte-Croix, qui a lieu en septembre, remonte à 1193, quand Hugues V de Gournay revient de croisade.

En , Philippe Auguste s'avance vers Gournay où il capture Robert de Leicester[24].

Historique

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À la suite de la confiscation (commise) de l'ensemble des possessions française de Jean sans Terre par jugement du , en [25], Philippe Auguste met le siège devant Gournay resté fidèle à Jean, après avoir pris Eu et Drincourt. La ville est reprise après que les troupes du roi de France aient ouvert le barrage qui retenait les eaux de l'Epte et de la Morette et qui, une fois libérées, emportèrent les défenses de la ville. Il fait chevalier dans l'église Saint-Hildevert Arthur Ier de Bretagne, et le fiance à sa fille Marie.

En 1204, le roi de France confisque les domaines d'Hugues V de Gournay qui quitte la France. La ville et le comté appartiennent alors à la couronne de France jusque sous le règne de Louis XI qui la donne à la famille d'Harcourt, comtes de Tancarville, avant de passer aux mains des princes d'Orléans-Longueville en 1488 puis à la maison des Montmorency-Luxembourg à partir de 1724[26].

En 1375, la ville subit un incendie qui se termine après une procession des reliques de saint Hildevert.

Durant la guerre de Cent Ans, la ville est occupée durant 41 ans par les Anglais.

En 1435, les troupes anglaises de John FitzAlan, comte d'Arundel sont battues par les troupes françaises commandées par La Hire lors de la bataille de Gerberoy et Jean Poton de Xaintrailles et poursuivies jusqu'au lieu-dit « Les Épinettes », aux abords de Laudencourt, un hameau des environs de Gournay.

Gournay est reprise en 1449 par les troupes royales du roi de France commandées par Louis de Luxembourg comte de Saint-Pol.

Le , le duc de Bourgogne, Charles le Téméraire, prend la ville, la pille et la saccage ainsi que le château de Goulancourt situé à Senantes, celui du Coudray-Saint-Germer, les environs de Gerberoy et le pays de Bray. Le de la même année, Charles de Melun reprend la ville au nom du roi de France.

Époque moderne

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Le , Henri d'Orléans, duc de Longueville et seigneur de Gournay, ouvre les portes de la ville à Henri IV. Le , la ville, défendue par 700 à 800 hommes, est assiégée par les troupes de la Ligue commandée par Charles de Mayenne. Le , après avoir ouvert une brèche près de la porte Ybert, les ligueurs pénètrent et prennent la ville. Philippe de Marles, seigneur de La Falaise devient gouverneur de Gournay.

En , le maréchal Biron assiège et prend la ville au nom d'Henri IV[27]. À cette occasion, les Anglais dressent une carte du siège de la ville qui constitue la plus ancienne représentation de Gournay-en-Bray[28]. René du Bec, marquis de Vardes, devient gouverneur de la ville.

Une longue période de paix s'installe dans la région, permettant à la ville de prospérer jusqu'à la Révolution française.

Époque contemporaine

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De 1789 à 1793, elle fut chef-lieu du district de Gournay. De 1791 à 1794, période d'incertitude, chaque élection municipale apporte un nouveau maire. En 1793, les districts sont supprimés et Gournay devient chef-lieu du canton de Gournay-en-Bray.

En 1791, les paroisses sont regroupées. C'est ainsi que les paroisses Notre-Dame de Gournay, Saint-Aubin, Saint-Clair et une partie de celle de Ferrières-en-Bray sont réunies à la paroisse Saint-Hildevert de Gournay.

L'église paroissiale Notre-Dame est fermée en 1792, vendue comme bien national tout comme le prieuré Saint-Aubin et les églises d'Alges et de Saint-Clair.

Après avoir été une commune à part entière Alges[22] en 1791, Gournay l'absorbe définitivement en l'an III (1794). Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée simplement Gournay, porta provisoirement le nom de Consolation[22]. Cadoudal aurait logé au manoir d'Aché à Saint-Clair-sur-Epte.

Vers 1798, Christophe Potter (1751-1817), homme politique anglais et chef d'entreprise français, établit une manufacture de porcelaine en association avec son bras droit, George Wood. Cette manufacture arrête sa production vers 1811[29].

La gare de Gournay - Ferrières, au tout début du XXe siècle.
Soldats britanniques à Gournay, le , lors de sa libération.

Du au , durant la guerre de 1870, Gournay est occupée par les Prussiens.

Lors de la Première Guerre mondiale, la ville sert de refuge aux populations belges et françaises des zones de combats ou occupées par l'ennemi. La ville et la région servent de transit aux troupes montant au front et d'hôpital de l'arrière. Le , trois gendarmes de la 3e légion de gendarmerie en poste à Gournay tombent sous les balles d'un commando prussien lors du Combat de la Rougemare et des Flamants, dans la forêt de Lyons à Neuf-Marché[30].

Au début de la Seconde Guerre mondiale, lors de la Bataille de France, Le , le centre de Gournay est presque totalement détruit par les bombardements allemands. La ville est occupée à partir du . Le , Gournay est libérée par les troupes canadiennes. Il a fallu plus de dix ans pour achever sa reconstruction.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Gournay-en-Bray[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Gournay-en-Bray

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

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Gournay-en-Bray était le siège de la communauté de communes du Bray-Normand, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Quatre Rivières dont est désormais membre la commune.

A plus large échelle, la commune s'inscrit dans le pôle d'équilibre territorial et rural (PETR) du Pays de Bray et à ce titre, dans l'un des neuf territoires labellisés « territoire durable 2030 » par la Région de Normandie[31].

Tendances politiques et résultats

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Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime, la liste Éric Picard menée par Éric Picard obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 478 voix (53,18 %, 23 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par :
- Jean-Lou Pain, maire sortant (DVG, 1 015 voix, 36,52 %, 5 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) ;
- Helene Le Jeune (FN, 286 voix, 10,29 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 33,47 % des électeurs se sont abstenus[32].

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste DVD menée par le maire sortant Éric Picard obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 996 voix (56,14 %, 23 conseillers municipaux élus dont 11 communautaires), devançant de 218 voix celle DVG menée par Florence Legendre (778 voix, 43,85 %, 6 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 56,19 % des électeurs se sont abstenus[33].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1813 Francois Nicolas Bodin    
1813 1815 Pierre Jacques Élie Noël    
1815 1826 Jean d'Hautecloque de Monturel    
1826 1830 Jean-François Marie de Bongard   général
1830 1831 Pierre Jacques Élie Noël    
1831 1871 Nicolas Bourgeois   Notaire
1871 1891 Alfred Boucault    
1891 1900 François Parfait Queneuil    
1896 1900 Jules Legrand    
1900 1909 Paul Corneille    
1909 1935 Charles Duchesne   Médecin
1935 1937 Géraud Castagné    
1937 1945 Marcel Trou   Arts-et-Métiers An 1914, Commerce alimentaire
1945 1947 Léopold Bellière    
1947 mars 1959 Joseph Finance    
mars 1959 mars 1977 Georges Delatre[34],[Note 6] UNR - UDR -
RPR - UMP
Chirurgien
Maire de Fry (1980 → 2000)
Député de la Seine-Maritime (10e circ.) (1962 → 1988)
Conseiller régional de la Haute-Normandie (1986 → 2000)
mars 1977 1978 René-Jacques Valois    
1978 1982 Robert Duranton    
1982 mars 1989 Bernard Laurent   notaire
mars 1989 juin 1995 Alain Carment PS puis DVG Employé d'IME
Maire de Montroty (2008 → 2011)
Conseiller général de Gournay-en-Bray (1987 → 2011)
Président de la CC du canton de Gournay-en-Bray (? → 2011)
juin 1995 avril 2014[35] Jean-Lou Pain[36] DVG  
4 avril 2014[37],[38] En cours
(au 25 avril 2022)
Éric Picard DVDLR Chef d'entreprise
Vice-président de la CC du Bray-Normand (2014 → 2016)
Président de la CC des Quatre Rivières (2017 →)
Réélu pour le mandat 2020-2026[39] ,[40]

Instances de démocratie participative

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La commune s'est dotée d'un conseil des Sages, qui représente l'ensemble des citoyens et traite des sujets d'intérêt général[41].

Équipements et services publics

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Enseignement

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La commune administre les écoles maternelles Prévert et Curie ainsi que l'école primaire Georges Brassens, dont le regroupement dans une cité scolaire unique est envisagé vers 2024[42].

Le collège Rollon de Gournay-en-Bray accueille les adolescents de la ville et des environs

La ville accueille également l'école et le collège privé Saint-Hildevert[43].

Après le départ de 4 médecins en 2021, l'offre médicale se stabilise en 2022 avec le développement avec le concours de l'intercommunalité du cabinet médical de la Tour Ybert où reçoivent de nouveaux médecins. Ce n'est qu'un déplacement de ces "nouveaux médecins" d'un cabinet à un autre[44],[45].

La commune dispose d'un hôpital local dépendant du CHU de Rouen, et doté d'un service de soins de suite et de réadaptation (SSR), dont la pérennité, en 2021, n'est pas assurée[46],[47].

Équipements culturels

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  • Les Écrans, deux salles de cinéma.
  • L'espace culturel L'Atelier - médiathèque Michel Bussi.

Équipements sportifs

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Gournay dispose d'une piscine municipale, construite en 1993 et rénovée en 2022[48],[49].

Le site du complexe sportif de l’Aulnaie comprend notamment 4 terrains de foot, une piste d’athlétisme, un boulodrome, une piste de BMX un tennis couvert[50].

L'hippodrome du Mont Louvet a été rénové en 2021 par la Société des courses avec l'aide de la Communauté des communes des 4 rivières, après sa fusion avec celui de Mauquenchy[51],[52].

Justice, sécurité, secours et défense

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La commune s'est équipée en 2021 d'un système de vidéosurveillance, constitué de 17 caméras fixes et d'appareils mobiles[53],[54].

La commune est défendue par un centre de secours du Service départemental d'incendie et de secours de la Seine-Maritime.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[56].

En 2021, la commune comptait 5 944 habitants[Note 7], en évolution de −5,56 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 6003 0463 2073 2043 0303 1643 2103 1533 306
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 0413 2823 3533 4983 5213 6313 8183 8294 046
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 2094 1994 4114 2834 6174 6344 7464 3794 441
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
5 0485 7916 4306 3446 1476 2756 1876 1746 229
2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2017 2018
6 3866 3966 4026 4096 3906 3926 2946 0726 051
2019 2020 2021 - - - - - -
6 0416 0275 944------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,4 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 760 hommes pour 3 291 femmes, soit un taux de 54,39 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,90 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,5 
90 ou +
3,1 
10,0 
75-89 ans
16,6 
17,6 
60-74 ans
19,0 
19,3 
45-59 ans
18,7 
15,7 
30-44 ans
13,7 
17,8 
15-29 ans
14,5 
18,1 
0-14 ans
14,2 
Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2021 en pourcentage[58]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
6,7 
75-89 ans
9,6 
16,7 
60-74 ans
18 
19,4 
45-59 ans
19 
18,5 
30-44 ans
17,5 
19,2 
15-29 ans
17,4 
18,9 
0-14 ans
16,7 

Manifestations culturelles et festivités

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  • Les festivités de la Saint-Clair : Chaque année, au mois de juillet, depuis 1953, les Gournaisiens ainsi que les habitants de la commune se réunissent pour célébrer la Saint-Clair organisée par le comité des fêtes de la ville. Au programme, attractions et animations pendant une dizaine de jours. Ces festivités traditionnelles sont marquées par la Cavalcade et le corso de nuit où déambulent différentes associations gournaisiennes, des groupes venant de France ou d'Europe, ainsi que des chars fleuris confectionnés par les bénévoles du comité. Elle se clôt généralement par un feu d'artifice.
  • La Foire des Rameaux, en avril[59].

Économie et Industrie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La collégiale Saint-Hildevert.
  • La collégiale Saint-Hildevert :
    La collégiale Saint-Hildevert, en majeure partie du XIIe siècle, se compose d'une nef romane de six travées, munie de bas-côtés, d'un transept et d'un chœur de trois travées, également flanqué de bas-côtés, se terminant par un chevet plat percé d'une grande fenêtre du XIVe siècle. Deux travées du côté droit du chœur sont encore romanes ; elles offrent une élévation identique à celle de la nef. Le reste du chœur a été reconstruit au XIIIe siècle.
    Les chapiteaux romans de l'église Saint-Hildevert sont sans doute parmi les plus intéressants de la Haute-Normandie. La plupart d'entre eux sont décorés de palmettes et d'entrelacs ; quelques-uns s'ornent de damiers, de chevrons et de motifs de feuillage plaqués ; d'autres enfin sont décorés de scènes figurées, maladroitement traitées mais souvent très expressives.
    L'église Sainte-Hildevert est classée Monument historique depuis 1840[64].
  • La porte de Paris ou porte Ibert (XVIIIe siècle), inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1930[65]. Elle se trouve à l'emplacement d'une ancienne porte fortifiée construite par le duc de Montmorency.
  • La fontaine monumentale (XVIIIe siècle), classée Monument historique en 1945[66]. Elle est construite en 1779, pour permettre la première adduction d'eau dans le centre de la ville.
  • Fortifications de la ville (XIIIe siècle), rue des Remparts et rue Castagne.
  • Anciens fossés du Xe siècle, rue du Croquet-Dubosc et boulevard Montmorency.
  • Pont sur l'Epte et ancien moulin rue de Ferrières.
  • Couvent des Capucins, construit en 1642. Occupé jusqu'en 1789, il accueille successivement les services du chef-lieu de district, la municipalité et le tribunal de commerce.
  • L'ancienne Halle au beurre et le Kursaal. Construite en 1821 pour abriter une halle au beurre, elle est rehaussée en 1927 pour créer une salle de spectacle de 586 places en activité jusqu'en 1975, puis 2 salles de cinéma en 1976 (les écrans) au rez-de-chaussée.
  • Le monument aux morts, édifié en 1922 en hommage aux morts de la Première Guerre mondiale, conçu par l’architecte Fernand Rimbert, réalisé par le marbrier A. Decostre et orné d'une sculpture d'Henri-Léon Gréber représentant un poilu entièrement nu portant un drapeau déchiré et levant son casque[67],[68].
  • Circuit de découverte de la ville Gournay-en-Bray au fil des pas reliant notamment le couvent des Capucins, la Halle au Beurre, la Collégiale Saint Hildevert et le moulin[69],[70].

Personnalités liées à la commune

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Élevage

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La ville a donné son nom à une espèce de poules, la poule de Gournay, au plumage noir et blanc[73].

Héraldique

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Blason de Gournay-en-Bray Blason
De sable au cavalier armé et contourné d'argent, caparaçonné d'hermines et tenant de la main dextre une lance d'argent, surmonté d'une fleur de lis d'or.
Détails
Écu noir d'Eudes, premier sire de Gournay.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Gournay-en-Bray comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Connu sous les noms de Hildebert, Hildever ou Hildebertus.
  5. Néel ou Nigell.
  6. Une rue porte son nom à Gournay-en-Bray : « La rue Georges Delatre vient d’être créée : Une nouvelle rue fait son apparition à Gournay : la rue Georges Delatre », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  2. « Truite Gournaisienne », sur peche76.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
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  11. « Unité urbaine 2020 de Gournay-en-Bray », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  20. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
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  22. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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  37. « Gournay-en-Bray : Éric Picard (53, 18 %) ravit la mairie à Jean-Lou Pain », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  38. M. G. Dartois, « Gournay-en-Bray : Eric Picard prend officiellement ses fonctions », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne).
  39. Raphaël Moury, « Éric Picard brigue un 2e mandat à la mairie de Gournay-en-Bray : Rénovation de la piscine, sortie de la zone d’alerte financière, élections municipales : le maire fait le point sur les dossiers qui font l’actualité de la commune », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Sébastien Aliome, « Gournay-en-Bray : Eric Picard est officiellement maire pour un 2e mandat : C'est sans surprise que le maire sortant Eric Picard a été réélu lors de la mise en place du nouveau conseil municipal le lundi 25 mai 2020. Le nombre d'adjoints a été fixé à 7 », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Eric Picard a recueilli 22 votes en sa faveur tandis que Florence Legendre en glanait 6 (le nombre des membres élus de l’opposition) ».
  41. Marie-Géraldine Dartois, « Gournay-en-Bray : le conseil des Sages a des idées pour mieux vivre ensemble : Chemins communaux, pistes cyclistes et cours d'informatique étaient au cœur de la réunion du Conseil des sages de Gournay-en-Bray », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Marie-Géraldine Dartois, « Une cité scolaire unique dans trois ans à Gournay-en-Bray  ? : La Ville de Gournay-en-Bray a le projet de regrouper les écoles maternelles Prévert et Curie ainsi que l'école primaire Georges Brassens dans un groupe scolaire unique d'ici 3 ans », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. « Des nouveautés à tous les niveaux au collège Saint-Hildevert de Gournay-en-Bray : Le collège Saint-Hildevert à Gournay-en-Bray va connaître du changement à tous les niveaux à partir de la rentrée prochaine », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. Marie-Géraldine Dartois, « Témoignages : l'angoisse des patients après le départ de 4 médecins de Gournay-en-Bray : Après le départ de 4 médecins de Gournay-en-Bray, les patients angoissent, ils recherchent désespérément un nouveau docteur sur le secteur, mais tous sont saturés », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Marie-Géraldine Dartois, « Pas une maison médicale, mais un regroupement de médecins pour Gournay-en-BrayPas une maison médicale, mais un regroupement de médecins pour Gournay-en-Bray : Une réunion d'information s'est déroulée entre les élus et les professionnels de santé du secteur de Gournay-en-Bray. Le point sur l'avancée du projet de la Tour Ybert », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. Marie-Géraldine Dartois, « Une motion collective d'urgence prise contre la fermeture de l'hôpital de Gournay-en-Bray : Une motion d'urgence collective a été prise par les élus de la communauté de communes afin d'interpeller l'Ars sur le devenir de l'hôpital de Gournay-en-Bray », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. Marie-Géraldine Dartois, « Gournay-en-Bray : le service de soins de suite et de réadaptation de l'hôpital sauvé au moins jusque fin 2021 : Annie Vidal, députée de Seine-Maritime soutien les élus de Gournay-en-Bray pour sauver un des services de l'hôpital et annonce sa sauvegarde au moins jusqu'à la fin de l'année », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. Benjamin Epineau, « La réouverture de la piscine de Gournay-en-Bray est prévue à l'été 2022 : Alors que la réhabilitation de la piscine de Gournay-en-Bray a commencé en février 2021, Eric Picard a profité d'une visite du chantier pour annoncer une réouverture à l'été 2022 », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. Marie-Géraldine Dartois, « La réouverture de la piscine de Gournay-en-Bray est annoncée pour la fin du mois de juin 2022 : La piscine de Gournay-en-Bray rouvre pour la fin du mois de juin 2022. C'est la date annoncée lors de la visite du chantier dédiée au grand public », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. Marie-Géraldine Dartois, « Un nouveau regard sur l'espace sportif de Gournay-en-Bray : Il aura suffit d'enlever la haie de Thuyas sur le bord de la RN31 pour rendre plus visible les espaces sportifs de Gournay-en-Bray. Des structures que les habitants redécouvrent », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. Marie-Géraldine Dartois, « Seine-Maritime : l'hippodrome de Gournay-en-Bray et de Mauquenchy fusionnent : L'hippodrome de Mauquenchy vient à la rescousse de celui du Mont-Louvet. Les deux entités fusionnent pour continuer à faire vivre la société des courses de Gournay-en-Bray », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  52. Marie-Géraldine Dartois, « Seine-Maritime : la nouvelle piste de l'hippodrome de Gournay-en-Bray inaugurée par Miss France : Près de Gournay-en-Bray, la piste de l'hippodrome du Mont Louvet, après sa fusion avec celui de Mauquenchy, a été inaugurée en présence d'Amandine Petit, Miss France 2021 », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  53. Marie-Géraldine Dartois, « Vidéosurveillance : désormais vous êtes filmé à Gournay-en-Bray : La Ville de Gournay-en-Bray passe sous vidéosurveillance. D'ici la fin de l'année, 17 caméras mailleront la totalité de la commune. Six sont déjà opérationnelles », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  54. Marie-Géraldine Dartois, « Gournay-en-Bray : 6 caméras mobiles en soutien à la vidéosurveillance fixe pour contrer les incivilités : Le déploiement de l'ensemble du système de vidéosurveillance sera terminé au printemps à Gournay-en-Bray. En plus des 17 caméras fixes, il y aura 6 caméras mobiles », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  55. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  61. Sébastien Aliome, « À Gournay-en-Bray, les syndicats d'Autoliv refusent de signer l'accord du plan social : Les organisations syndicales d'Autoliv contestent l'accord collectif du Plan de Sauvegarde de l'Emploi qui prévoit notamment la suppression de 48 emplois sur le site gournaisien », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  62. Sébastien Aliome, « A Gournay-en-Bray, les salariés d'AKWEL s'inquiètent pour l'avenir de leur entreprise : Le personnel de l'entreprise Akwel est inquiet suite à l'annonce de chômage partiel dès ce mois de décembre. Une situation que déplore le délégué syndical Gilles Alexandre. », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. Marie-Géraldine Dartois, « Gournay-en-Bray : les salariés de l'entreprise Akwel s'interrogent sur l'avenir de leur usine : Par manque de travail, l'usine Akwel de Gournay-en-Bray ferme à partir du 16 décembre pour la fin de l'année. Pour les syndicats la pénurie de semi-conducteurs n’explique pas tout », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  70. Gregory Dyson, « Gournay-en-Bray : Découvrez l’Histoire et les trésors de la ville avec le circuit « Au fil des pas » : Le circuit « Au fil des pas », lancé par l'Office de tourisme des 4 rivières, permet pendant 1 h 30 de visiter la ville de Gournay-en-Bray (Seine-Maritime) et son patrimoine », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  71. « Notice LH de Léopold de Stabenrath », base Léonore, ministère français de la Culture.
  72. « J’étais le seul juif, je me prenais régulièrement des trempes de la part des petits cathos. J’en ai vraiment souffert mais en même temps, ça m’a tanné le cuir »
  73. Marie-Géraldine Dartois, « Insolite : en Seine-Maritime ces élus se mobilisent pour élever 4 poules de Gournay : Sept élus de Gournay-en-Bray se muent en fermier pour s'occuper des 4 poules de Gournay. Ils recherchent des bénévoles pour les aider. En contrepartie des œufs seront offerts », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).