Guy Perrier est un officier parachutiste de la Légion étrangère, né le 9 février 1925 à Chepniers et mort le à Neuilly-sur-Seine[1], il est enterré au vieux cimetière de Neuilly-sur-Seine[2].

Biographie

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Entré dans la Résistance à l’âge de quinze ans en au sein du réseau Navarre des Forces françaises combattantes. Il fait également partie du réseau Libération-Nord et est admis à Saint-Cyr en 1945[3], il sert dans les unités parachutistes de la Légion étrangère en Indochine puis en Algérie (au 2e BEP et 2e REP).

Partisan de l'Algérie française, il se rallie avec son unité, le groupement des commandos parachutistes, au mouvement insurrectionnel des généraux putchistes d'Alger en avril 1961. Après l'échec du putsch, il effectue 3 mois de détention préventive avant d'être acquitté.

Il quitte l'armée et entreprend alors une carrière civile, chez Peugeot en tant que directeur du centre de production de Mulhouse ou il présida notamment au lancement de production de la 205, puis du centre de production de Sochaux[4].

Publications

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Guy Perrier publie plusieurs biographies et livres dédiés à des grandes figures et événements de la Résistance :

Décorations

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Avec 16 titres de guerre dont une blessure - 13 citations dont 6 palmes à l'ordre de l'armée, il est :

Références

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  1. « PERRIER Guy Jean », sur la base de données Insee des personnes décédées en France depuis 1970 (consulté le )
  2. « Guy Perrier, ancien directeur du centre de production de Peugeot Mulhouse », sur L'Alsace
  3. Promotion Rhin et Danube.
  4. Jacques Balthazard, « Guy Perrier, la disparition d’un capitaine d’industrie », sur www.estrepublicain.fr (consulté le ).
  5. Décret du 4 mai 2012

Liens externes

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