Hôpital de Panzi
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| Hôpital de Panzi | |
 Vue de l’hôpital | |
| Présentation | |
|---|---|
| Coordonnées | 2° 32′ 36″ sud, 28° 52′ 04″ est |
| Pays | République démocratique du Congo |
| Ville | Bukavu |
| Fondation | 1999 |
| Site web | hopitaldepanzi.com |
| Organisation | |
| Type | Hôpital général de référence |
| Affiliation | Communauté des Églises de Pentecôte en Afrique centrale |
| Services | |
| Service d’urgences | oui |
| Nombre de lits | 450 |
| Spécialité(s) | gynécologie |
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L'hôpital de Panzi est un hôpital pentecôtiste situé à Bukavu, capitale du Sud-Kivu, province de la République démocratique du Congo. Il est spécialisé dans le traitement des survivantes de violences sexuelles, la grande majorité d'entre elles ont été victimes d'abus sexuels.
Histoire modifier
L'hôpital Panzi a été fondé en 1999 par la Communauté des Églises de Pentecôte en Afrique centrale (CEPAC) et le directeur Dr Denis Mukwege[1],[2].
L'hôpital a été initialement construit pour 120 lits, mais a été augmenté à 350, dont 200 sont consacrés aux victimes de violences sexuelles[3]. En moyenne, l'hôpital Panzi, reçoit 410 patients par mois et accueille pour sa capacité maximale de patients[4],[5].
Références modifier
- Olivier le Bussy, L’hôpital de Panzi n’en a pas fini de réparer les corps meurtris des femmes, lalibre.be, 28 mars 2022
- Héritier Ramazani, RDC : la 8eme CEPAC, un partenaire privilégié de l’État congolais dans les domaines de santé et de l’éducation, afriqueactualite241.com, 2 août 2022
- Stephanie Nolen, « "Not Women Anymore…": The Congo's rape survivors face pain, shame and AIDS », Ms., (consulté le ) : « It took Thérèse Mwandeko a year to save the money...She walked with balled-up fabric clenched between her thighs, to soak up blood that had been oozing from her vagina for two years, since she had been gang-raped by Rwandan militia soldiers who plundered her village in the eastern Democratic Republic of the Congo (DRC). Finally, she arrived at Panzi Hospital...Dr. Denis Mukwege, Panzi's sole gynecologist and one of two doctors in the eastern Congo who can perform such reconstructive surgeries, can repair only five women a week. »
- Jeff Koinange, « Rape, brutality ignored to aid Congo peace », CNN.com, (lire en ligne, consulté le )
- Jeffrey Gettleman, « Rape Epidemic Raises Trauma of Congo War », The New York Times, (lire en ligne, consulté le )
