Haute Infidélité

film sorti en 1964 et réalisé par Elio Petri

Haute Infidélité (Alta infedeltà) est un film à sketches, relevant de la comédie à l'italienne, composé de quatre épisodes réalisés par Franco Rossi (Scandaloso), Elio Petri (Peccato nel pomeriggio), Luciano Salce (La Sospirosa) et Mario Monicelli (Gente moderna)[1], sorti en 1964.

Haute Infidélité
Description de cette image, également commentée ci-après
Jean-Pierre Cassel et Monica Vitti dans l'épisode La Sospirosa, mis en scène par Luciano Salce.
Titre original Alta infedeltà
Réalisation Franco Rossi (Scandaloso)
Elio Petri (Peccato nel pomeriggio)
Luciano Salce (La Sospirosa)
Mario Monicelli (Gente moderna)
Scénario Age & Scarpelli
Ruggero Maccari
Ettore Scola
Acteurs principaux
Pays de production Drapeau de l'Italie Italie
Genre Comédie italienne
Durée 90 minutes
Sortie 1964

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Synopsis modifier

Scandaloso (Scandaleux) modifier

Francesco Mangini est un mari jaloux et excessivement protecteur de son épouse Raffaella, mais un jour il découvre être l'objet du désir de l'amant de sa femme.

Peccato nel pomeriggio (Péché au cours de l'après-midi) modifier

Laura tente de tromper son mari Giulio et par une équivoque se retrouvera justement devant son époux.

La Sospirosa (La Soupireuse) modifier

Gloria est jalouse de son mari Paolo, mais un jour que celui-ci s'absente, elle le trompe avec son meilleur ami Tonino.

Gente moderna (Gens modernes) modifier

Cesare perd tout son argent avec son ami au jeu de cartes et afin de payer sa dette, il accepte de lui prêter pour une nuit son épouse Tebaide.

Fiche technique modifier

Distribution modifier

Scandaloso
  • Nino Manfredi : Francesco Mangini
  • Fulvia Franco : Raffaella Mangini
  • John Phillip Law : Ronald
  • Eleanor Beaucour : patronne de la pension
  • Vittorio La Paglia : l'imbécile
  • Luigi Zerbinati : père de l'imbécile
Peccato nel pomeriggio
La Sospirosa
Gente moderna

Notes et références modifier

  1. (en) « NY Times: High Infidelity », NY Times (consulté le ).

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