Havrincourt
Havrincourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Havrincourtois.
Havrincourt | |||||
L'église, le monument aux morts et la mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | du Sud-Artois | ||||
Maire Mandat |
Lionel Antinori 2020-2026 |
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Code postal | 62147 | ||||
Code commune | 62421 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Havrincourtois | ||||
Population municipale |
373 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 06′ 43″ nord, 3° 05′ 13″ est | ||||
Altitude | Min. 67 m Max. 132 m |
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Superficie | 16,61 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Cambrai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | canton de Bapaume | ||||
Législatives | première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois, qui regroupe 64 communes et compte 27 059 habitants en 2021.
Géographie
modifierLocalisation
modifierHavrincourt est une commune située à 13 km au sud-ouest de Cambrai et 30 km au sud-est d'Arras.
Le territoire communal est traversé par l'autoroute A2.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes, dont trois dans le département du Nord :
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 16,61 km2 ; son altitude varie de 67 à 132 m[1].
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
Le territoire communal est traversé par le canal du Nord[3] et est drainé par le Riot, qui se jette dans l'Eauette (affluent de l'Escaut) à Marcoing.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 675 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épehy à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Paysages
modifierLa commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[10]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[11].
Milieux naturels et biodiversité
modifierZone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le bois d'Havrincourt, d’une superficie de 2 406 ha et d'une altitude variant de 68 à 132 mètres. C’est la zone boisée la plus vaste du Cambrésis essentiellement occupé par de grandes cultures[12].
Espèces faunistiques et floristiques
modifierLe site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[13].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Havrincourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[15]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,9 %), forêts (38,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,3 %), zones urbanisées (2,5 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierTransports
modifierLa commune était située sur la ligne de chemin de fer d'Achiet à Bapaume et Marcoing, une ancienne ligne de chemin de fer secondaire qui reliait, entre 1871 et 1969, Achiet-le-Grand dans le département du Pas de Calais à Marcoing dans le département du Nord.
Le canal Seine-Nord Europe (CSNE), reliant l'agglomération parisienne avec le réseau fluvial du Nord de la France et du Benelux et dont l'ouverture est prévue en 2030, traverse le territoire de la commune[19].
Toponymie
modifierHavrancurth (1121), Haverencurt (1126), Havraincurt (1148), Averncurt (1179) ; Havringen, en flamand[réf. nécessaire].
Histoire
modifierPréhistoire et antiquité
modifierCette partie de la région connaît une occupation humaine probablement au moins depuis la fin de la dernière glaciation.
Les archéologues, par exemple lors de fouille faisant suite au diagnostic réalisé du 9 mars au dans le cadre du projet de creusement du canal dit canal Seine-Nord ont découvert à Bourlon et sur le territoire des communes voisines des preuves d'habitat et d'agriculture pour la période allant du IVe siècle avant notre ère, et plus encore pour la fin de la période gauloise (fin du Ier siècle avant notre ère). Les restes archéologiques ont cependant été fortement dégradés par les labours successifs[20],[21]
Sur les 150 hectares de la future zone portuaire de Marquion, les archéologues de l'INRAP ont trouvé plusieurs habitats conservés dans le sol depuis la fin de la période néolithique (IIIe millénaire avant notre ère). Des tombes de l'âge du bronze ont aussi été trouvées, de même que des restes d'enclos circulaires à tumulus (plus de 40 m de diamètre pour le plus grand), avec de nombreux restes d'habitations de la même époque sur le site.
Plusieurs vestiges plus récents (âge du Fer) tels que bâtiments agricoles, monument funéraire aristocratique, nécropoles et chemins ont aussi été trouvés, antérieurs à une villa gallo-romaine (plus de 200 m de long sur 100 m de large) équipée de thermes.
Circonscriptions d'Ancien Régime
modifierHavrincourt était le siège d'une seigneurie, devenue ultérieurement baronnie.
À la fin de l'Ancien Régime, le village relevait en 1789 du bailliage de Bapaume et suivait la coutume d'Artois.
Son église paroissiale, qui était placée sous l'autorité du diocèse de Cambrai, doyenné de Beaumetz-lez-Cambrai, était consacrée à saint Géry. Le chapitre de Cambrai avait le pouvoir d'en nommer le curé[22].
En mars 1693, la baronnie d'Havrincourt est érigée en marquisat (marquis) par lettres prises par Louis XIV, à Chantilly. La baronnie d'Havrincourt relève du roi à cause de son comté d'Artois, est composée de 1800 arpens de terre, 800 arpens de bois et autres grands revenus et droits seigneuriaux et féodaux. Elle possède toute la justice seigneuriale, un ancien château et plusieurs terres et fiefs considérables en relèvent, entre autres le marquisat de Guenecourt (Guignicourt ?), situé au pays d'Artois[23].
Famille de Cardevac d'Havrincourt
modifier- La famille de Cardevac d'Havrincourt, seigneurs de la localité, avait pour devise Mieux mourir que me ternir[24].
- Charles de Cardevacque est un de leurs ancêtres. Il bénéficie le de lettres d'anoblissement données à Tolède. il est alors seigneur de Beaumont, ancien avocat postulant au Conseil provincial d'Artois. Ces lettres ont été enregistrées le , moyennant versement de 628 florins. Il a contribué à chasser les rebelles d'Arras (dans le cadre de la révolte des Pays-Bas contre les Espagnols : Guerre de Quatre-Vingts Ans). Il a épousé une dame noble et possède pluseiurs terres et seigneuries. Ses armes reprises, au moins partiellement pas ses descendants, sont : « D'hermines au chef de sable, casque treillé:; lambrequins et bourlet d'hermine et de sable »[25].
- François Dominique de Cardevacque, (Cardevac), baron d'Havrincourt, reçoit en mars 1693, par lettres données à Chantilly par le roi Louis XIV, le titre de marquis pour la terre d'Havrincourt. Il est colonel d'un régiment de dragons d'Artois depuis plusieurs années, s'est signalé aux combats d'Euren et d'Arteville[23].
- Anne Gabriel Pierre de Cardevac (Cardevacque) d'Havrincourt obtient le 9 novembre 1769, une sentence de noblesse et d'enregistrement de titres de noblesse. Il est marquis d'Havrincourt, gouverneur de la ville d'Hesdin[26], colonel dans le régiment des Grenadiers de France et petit-fils de François Dominique de Cardevacque. Le 16 janvier 1770, il fait enregistrer à la chambre des comptes de Paris, les lettres donnant le titre de marquis à son grand-père[23].
- Alphonse de Cardevac d'Havrincourt (1806-1892), né et mort à Havrincourt, marquis d'Havrincourt, novateur en agriculture, homme politique français (maire, conseiller général, président du conseil général du Pas-de-Calais, député, sénateur).
XIXe siècle
modifierLe village a été desservi par une ligne de chemin de fer secondaire à voie normale du département du Pas-de-Calais : le chemin de fer d'Achiet à Bapaume et Marcoing de 1877 à 1969[27],[28].
Les Cardevac d'Havrincourt demeurent solidement implantés dans la commune donnant notamment deux maires à celle-ci (voir Section Politique et administration ci-dessous).
Première Guerre mondiale
modifierLe château a servi de siège d’état major vers 1916, lors de l’occupation allemande.
Le village était un avant-poste stratégique de la ligne Hindenburg qui contrôlait le passage le long du ravin du canal du Nord et a fait l'objet d'importants combats[29],[30],[31].
Il est détruit lors de la retraite allemande de 1917[32],[33] et la Bataille de Cambrai (1917), puis lors de la Bataille d'Havrincourt[34],[35] et est décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [36].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
modifierLa commune était membre de la petite communauté de communes du canton de Bertincourt, créée fin 1992.
Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales, celle-ci fusionne avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Sud-Artois, dont est désormais membre la commune.
Circonscriptions administratives
modifierLa commune faisait partie depuis 1801 du canton de Bertincourt[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Bapaume.
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1988 de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierLes habitants de la commune sont appelés les Havrincourtois[44].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].
En 2021, la commune comptait 373 habitants[Note 5], en évolution de −8,58 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 204 hommes pour 199 femmes, soit un taux de 50,62 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Le château, situé au centre du village. C'est le troisième construit sur ce site et ils ont tous appartenu à la famille de Cardevac d'Havrincourt. Le premier a été brûlé pendant la Révolution française. Le second a été construit en 1880 a été détruit par l'armée allemande à la fin de la Première Guerre mondiale.
- L'édifice actuel a été construit en 1928 et est une réplique du château de Saint-Loup-sur-Thouet.
- Un parterre à la française est aménagé entre deux communs et la façade arrière est précédée d’une terrasse monumentale et d’un escalier à double volée. La grille d'entrée provient de l’ancien château de Vélu détruit pendant la guerre.
- Comme le château de Cheverny, il a inspiré celui de Moulinsart imaginé par Hergé pour ses albums Tintin[50].
- Le monument anglais.
- Le monument aux morts de 1923, réalisé par le sculpteur Lucien Brasseur[51],[52].
- Le monument à la 62e division du Yorshire, unité qui s’est illustrée dans plusieurs localités du secteur en 1917[52].
- Grand ravine British Cemetery et Lowrie Cemetery, cimetières militaires britanniques conçus par l'architecte britannique Noel Ackroyd Rew (d).
-
La mairie. -
Le monument aux morts. -
L'église. -
Le cimetière militaire "Grand Ravine". -
Le monument Anglais.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique, logotype et devise
modifierBlason | Coupé : au 1er de sinople au lion léopardé d'or, au 2e d'hermine; à la divise de sable brochant sur la partition[53].
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierOuvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[54] :
- A.P. D'Havrincourt, Notice sur le domaine d'Havrincourt, Paris, Librairie agricole de la "Maison rustique", 1868.
- A. De Cardevacque, La terre et le château d'Havrincourt, Arras, Imprimerie Rohard-Courtin, 1897.
Articles connexes
modifier- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier relatif aux rattachements de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 6]
- « La commune » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 13 NO, Cambrai [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal du Nord (----0472 ) » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Havrincourt et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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- Archéologie préventive, ferme gauloise de Sains-lès-Marquion ; Une exploitation agricole nervienne très arasée, 2011-07-15, mis à jour 2011-08-10.
- [Vidéo] Stéphane Bégoin, « Les steppes paléolithiques d'Havrincourt », Inrap, Gédéon Programmes, (consulté le ).
- Comte Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, , 499 p. (lire en ligne), p. 219 sur Gallica.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 57, lire en ligne.
- Notice historique sur la maison de Cardevac d'Havrincourt avec ses alliances et sur la terre d'Havrincourt,, Cambrai, Imprimerie et lithographie J. Renaut, , 186 p. (lire en ligne) sur Gallica.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 176, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 105, lire en ligne.
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- Section photographique de l'armée, « Photo : Havrincourt. Rue de la Gare », Fonds des Albums Valois - Pas-de-Calais - Volume 16, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, avant la première guerre mondiale (consulté le ).
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- British official photo, « Photo : Havrincourt (près). Troupes irlandaises ayant combattu près de Bullecourt, au repos, sur le terrain conquis », Fonds des Albums Valois - Pas-de-Calais - Volume 16, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- British official photo, « Photo : Havrincourt (près). Arbres abattus par les Allemands en retraite pour gêner l'avance anglaise sur Cambrai », Fonds des Albums Valois - Pas-de-Calais - Volume 16, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, fin 1917 (consulté le ).
- British official photo, « Photo : Havrincourt. Officier observateur d'artillerie britannique sur les ruines d'une maison », Fonds des Albums Valois - Pas-de-Calais - Volume 16, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- « 27 - Havrincourt », Bataille de Cambrai, Office du tourisme du Cambrésis (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 24 septembre 1920, p. 14066.
- « Alphonse, Pierre de Cardevac d'Havrincourt (1806 - 1892) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- « Alphonse Pierre de Cardevac d'Havrincourt », base Léonore, ministère français de la Culture.
- « Bilan du maire (Havrincourt) : «Le village accueille des jeunes couples avec enfants et c’est tant mieux!», se félicite Lionel Antinori », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Havrincourt: Lionel Antinori élu pour un second mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « À Havrincourt, sécurisation et cadre de vie toujours d’actualité pour le maire : Lionel Antinori a entamé son second mandat de maire avec une liste qui comprenait deux conseillers sortants, et deux nouveaux. La sécurisation routière et du château d’eau sont à l’ordre du jour. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Havrincourt (62421) », (consulté le ).
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- « Château d'Havrincourt », sur montjoye.net, (consulté le ).
- « La longue histoire du monument aux morts d’Havrincourt », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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- « 62 421 - HAVRINCOURT (Pas de Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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