Henry John Cecil Turner
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Henry Turner (Wartling, 1850 - av. 1900) est un joueur de rugby anglais. Il est l'un des premiers joueurs internationaux anglais de rugby, ayant participé comme avant au tout premier match international de l'histoire opposant l'Angleterre à l'Écosse le .
| Naissance | |
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| Décès |
Avant |
| Nationalité | |
| Formation |
Lancing College (en) |
| Activité |
| Sport | |
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| Équipe |
Équipe d'Angleterre de rugby à XV () – 0point marqué |
Biographie
modifierJeunesse et famille
modifierHenry John Cecil Turner naît le à Wartling, dans le Sussex de l'Est, dans l'Angleterre du Sud-Est[1],[2] et est baptisé le dans l'église paroissiale[3].
Il est le fils cadet de John Turner (1817 à 1858) et de Louisa Kemp (née en 1824). Son père est alors curé de Wartling ; diplômé du Balliol College de l'université d'Oxford (BA en 1838, MA en 1844)[4], il devint recteur de Tiffield en 1853 et meurt en 1858, tandis que Henry n'a que 8 ans. Celui-ci a au moins deux frères, Edmund Malcolm Turner (né en 1847) et Cyril James (né en 1852, qui deviendra membre de Lloyd's of London), et deux sœurs, Ellen (née vers 1849) et Alice Mary (1854-1945).
Henry fait ses études au Lancing College (en), une public school située près de Lancing, dans le Sussex de l'Ouest, de 1861 à 1867[2]. Il y aurait été un contemporain de Reg Birkett, qui deviendra son coéquipier en équipe d'Angleterre de rugby.
Carrière
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Henry Turner déménage à Manchester, où il devient employé de banque[5]. Il évolue au poste de forward (avant) au sein du Manchester Football Club[6].
Accompagné de ses coéquipiers de club Arthur Gibson, William MacLaren et Richard Osborne, Turner est sélectionné pour représenter l'Angleterre lors du tout premier match international de rugby de l'histoire, contre l'Écosse, ayant lieu le à Édimbourg. L'Écosse l'emporte 1 à 0 en inscrivant 2 essais et 1 transformation contre 1 essai non transformé pour l'Angleterre (seules les transformations rapportaient des points à l'époque)[7],[8].
Comme douze autre joueurs, c'est le seul match international qu'il joue de sa carrière[9]. Dans son cas, cela pourrait s'expliquer par le fait qu'il pourrait avoir émigré aux États-Unis pour rejoindre son frère Edmund.
Son ancienne école, Lancing College (en), l'a enregistré comme décédé dans une publication de son registre en 1900, mais aucune date ni aucun détail n'ont été donnés[2].
Notes et références
modifier(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de la page de Wikipédia en anglais intitulée « H.J.C. Turner » (voir la liste des auteurs).
- (en) « Notice de Henry John Cecil Turner », sur ESPNscrum (consulté le ).
- (en) The Lancing College magazine, C. Cull and Son, no 2, p. 1248, 1877.
- Registres paroissiaux de Wartling, 1538–1892 Église d'Angleterre. Église paroissiale de Wartling (Sussex), date et lieu du dossier individuel LDS IGI pour le baptême.
- Anciens élèves de l'Université d'Oxford, 1500–1996 (ancestry.com).
- Recensements de l'Angleterre et du pays de Galles, 1871. Kew, Surrey, Angleterre : Les Archives nationales du Royaume-Uni (TNA) : Public Record Office (PRO), 1871. Classe : RG10 ; Pièce : 4046 ; Feuillet : 73 ; Page : 5 ; Rouleau GSU : 846336.
- (en) Francis Marshall, Football : the Rugby union game, Londres/Paris/Melbourne, Cassell and company, , p. 144.
- (en) Martin Williamson, « Scotland win rugby's first international », sur ESPNscrum, (consulté le ).
- (en) « Compte-rendu du match Écosse-Angleterre de 1871 », sur ESPNscrum (consulté le ).
- (en) « Notice de Benjamin Burns », sur ESPNscrum (consulté le ).
Annexes
modifierBibliographie
modifier- (en) Huw Richards, A Game for Hooligans, Édimbourg, Mainstream Publishing, (ISBN 978-1-84596-255-5, lire en ligne).
Liens externes
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- Ressource relative au sport :
