Hippolyte Lejosne
Jacques Eugène Hippolyte Lejosne est né le à Paris où il meurt le 26 mai 1884[1].
L'admissibilité de cette page est à vérifier ().
Motif : Manque de sources secondaires centrées sur le sujet de l'article
Vous êtes invité à compléter l'article pour expliciter son admissibilité, en y apportant des sources secondaires de qualité, ainsi qu'à discuter de son admissibilité. Si rien n'est fait, cet article sera proposé au débat d'admissibilité un an au plus tard après la mise en place de ce bandeau.| 1. | Préciser le motif de la pose du bandeau. | Précisez le motif de la pose du bandeau en utilisant la syntaxe suivante :
{{admissibilité à vérifier|date=juillet 2024|motif=remplacez ce texte par le motif}} |
|---|---|---|
| ou | Créer l'espace de discussion. (cette méthode est préférable) |
Créez une section "Admissibilité" en page de discussion de l'article en y précisant le motif de la pose du bandeau. Dans ce cas, utilisez la syntaxe suivante :
{{admissibilité à vérifier|date=juillet 2024|motif=pdd}} |
| 2. | Informer les utilisateurs concernés. | Pensez à avertir le créateur de l'article, par exemple, en insérant le code ci-dessous sur sa page de discussion :
{{subst:avertissement admissibilité à vérifier|Hippolyte Lejosne}}
|
| Naissance | |
|---|---|
| Décès |
(à 70 ans) 7e arrondissement de Paris |
| Nom de naissance |
Jacques Eugène Hippolyte Lejosne |
Il est élève de l'École polytechnique puis de l'École d'état-major dont il sort breveté.
En avril 1859, il devient aide de camp du maréchal Magnan, commandant le 1er corps d'armée ; en mai, il est nommé chef d'escadron.
Du 30 septembre 1861 au 2 mars 1870, il appartient à l'état-major de la Place de Paris.
Le 21 août 1847, il épouse Valentine Cazalis, parente d'Henri Cazalis, ami de Mallarmé.
Dans leur salon, 6, avenue Trudaine, les Lejosne reçoivent Delacroix, Théophile Silvestre, Barbey, Manet (Mme Lejosne figure dans La Musique aux Tuileries) et la jeune génération.
En mars 1869, ils joueront chez eux Ruy Blas dont la reprise a été interdite par le régime impérial.
Un an plus tard, Lejosne est muté à Constantine, où il restera durant la guerre.
Il est admis à la retraite en 1874.
Il a laissé, manuscrits, bon nombre de sonnets où se marque avec un certain talent son esprit indépendant[2].
Source
modifier- « Hippolyte Lejosne », Études baudelairiennes, Honoré Champion, date inconnue (ISSN 0531-9455, lire en ligne, consulté le ) qui cite comme une de ses sources les États de services, Service historique de l'armée.
Notes et références
modifier- Acte de décès à Paris 7e, n° 1085, vue 8/31.
- Jacques Crépet et Claude Pichois (préf. Jean Pommier), Propos sur Baudelaire, Paris,
Liens externes
modifier
