Hoéville

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Hoéville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle et dans la communauté de communes du Pays du Sânon, en région Grand Est.

Hoéville
Hoéville
Mairie.
Blason de Hoéville
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Sânon
Maire
Mandat
François Marchand
2020-2026
Code postal 54370
Code commune 54262
Démographie
Gentilé Hoévillois, Hoévilloises[1]
Population
municipale
206 hab. (2022 en évolution de +3,52 % par rapport à 2016)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 27″ nord, 6° 26′ 07″ est
Altitude 273 m
Min. 218 m
Max. 328 m
Superficie 8,54 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunéville-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Hoéville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Hoéville
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Voir sur la carte topographique de Meurthe-et-Moselle
Hoéville
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Hoéville

Géographie

modifier

Localisation

modifier

Le territoire de la commune est limitrophe de 6 communes.

Il est situé à environ 21 kilomètres de Nancy et à 17 kilomètres de Lunéville, et est proche du parc naturel régional de Lorraine.

Cours d'eau

modifier

La Roanne (ruisseau de Hoéville), prend sa source à 261 mètres au sud du village.

Le Ruisseau de l'Accord, le Ruisseau des Pres Thiebaut sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune d'Hoéville.

Hydrographie

modifier

La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Roanne et le ruisseau des Pres Thiebaut[3],[Carte 1].

La Roanne, d'une longueur de 16 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Meurthe à Saint-Nicolas-de-Port, après avoir traversé neuf communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Hoéville[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 843 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 16 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Hoéville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,5 %), forêts (31,6 %), prairies (17,9 %), zones urbanisées (3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

modifier
plaque de direction du XIXe siècle appelée plaque de cochers
plaque de direction du XIXe siècle appelée plaque de cochers

Au cours de l'histoire, on rencontre les graphies suivantes : Oheiville, en 1296, Oheville en 1298, Hoheiville en 1319, Lehevilla en 1402 (orthographe incertaine), Ohiville en 1447[17].

Selon Föstermann et Buchmüller-Pfaff, le nom du village se serait formé à partir du nom de personne germanique Hoho et du suffixe latin villa qui signifie ici grand domaine rural. Cette formation se serait produite entre le VIe et le IXe siècle[18], à la charnière des périodes mérovingienne et carolingienne.

On remarque sur la plaque de cochers installée à Courbesseaux que Hoéville s'écrivait avec un tréma au XIXe siècle et cette graphie n'est pas une exception.

Histoire

modifier

Selon Henri Lepage, les plus anciennes pièces d'archives concernant Hoéville datent de 1296 et 1298. Il s'agit d'actes de cession de Renaut d'Athienville en faveur de Simonin de Damelevières. Dans le second document, la forteresse de Baramweare est exclue de la vente[19]. Le nom lorrain Baramweare ou Baranware signifierait Ban ware, gardien du ban[20].

Croix de chemin en bois
Croix de chemin en bois

La seigneurie

modifier

On ignore qui possédait cette terre pendant les XIVe XVe siècles. Sous l'Ancien Régime et jusqu'à la Révolution Française, la seigneurie de Hoéville était partagée entre divers propriétaires. Parmi les co-seigneurs, il y eut Marie de Gastinois, veuve de Gaspard de Mercy en 1665 ; Nicolas-Joseph de Beaufort, en 1712, également seigneur de Gellenoncourt ; Hubert-dieudonné de Ravinel en 1771 ; Antoine de Schaken, à qui succédèrent Bernard Grandjean et Jean-Baptiste de Mahuet, qui vendit sa part à Joseph-Hyacinthe Dumésnil le 30 août 1770[21].

Plusieurs co-seigneurs d'Hoéville revendiquaient tout ou partie de la seigneurie de Courbesseaux. Au XVIe et XVIIe siècle, la concurrence était féroce entre eux pour faire entrer les jeunes mariés, futurs contribuables, dans leur seigneurie respective[20].

En 1296, le duc Ferry déclare que pardevant lui, Renaut d'Athienville a reconnu devoir à Simonin de Damelevières sept vingt livres de petits tournois et 10 livres de toulois engagés sur le tiers des bans de Hoéville et Courbessault[22].

Le jour des innocents 1298, Renaut d'Athienville vend à Simonin de Damelevières ce qu'il possède à Hoéville, excepté la forteresse d'Hoéville dite Baranweare[22].

En janvier 1317, Collin d'Aumecourt déclare être homme-lige du duc de Lorraine pour ce qu'il possède à Hoéville[21].

En 1517, Collin D'Ajecourt déclare être homme-lige du duc de Lorraine pour ce qu'il possède à Hoëville[23].

Le 26 juin 1552, Nicolas Des Fours seigneur de Hoéville reprend en foi et hommage du duc Charles III un fief à Hincourt, Hoéville et Courbessaut[24].

Le 26 juin 1562, Nicolas Des Fours donne son dénombrement pour ce qu'il possède à Hoéville et Courbessaux[22].

En 1612, l'abbaye de Gorze détient la moitié de la seigneurie d'Hoéville ainsi que les droits de haute, moyenne et basse justice. Cette année, l'abbé commendataire de Gorze, Charles de Lorraine également appelé De Remoncourt, vend à Charles de Rennel ce que l'abbaye possède à Hoéville pour la somme de 9 000 francs de Lorraine[25].

En 1616, le duc Henri II vend à Antoine De La Grotte sa part de seigneurie d'Hoéville pour 27 704 francs de Lorraine[25].

Le 4 décembre 1623, Jean-Jacques de Montesqieu et son épouse achètent à Antoine de la Grotte les deux tiers et demi et un sixième de l'autre demi tiers en la moitié de la seigneurie pour 54 000 francs de Lorraine[25].

Le 7 juillet 1654, Montesqieu vend Hoéville à Nicolas Henry et à son épouse[25].

En 1704, François D'Arnollet, seigneur d'Athienville, cite Hoéville dans un acte de dénombrement[26].

Le 8 août 1712, à la suite de la mort de Nicolas Henry, Hoéville est vendu par licitation à Gabriel Dumesnil pour la somme de 103 000 francs barrois. L'acheteur acquiers en même temps le fief de Coubesseaux[25]. Suite à cet achat, la famille Dusmenil se fait appeler Du Mesnil de Hoëville.

Le 26 janvier 1724, Charles-Ignace De Mahuet, baron de Drouville, déclare tenir en fief du duc de Lorraine terres labourables, prés, bois, portion de seigneurie et rentes seigneuriales situés dans les territoires des villages de Courbessaux , Hoéville Etc, ci-devant propriétés de Armand-Jules de Rohan pair de France, par son abbaye de Gorze[27].

Le 7 février 1777, Claude de France, veuve d'Antoine De Schaken, est dame en partie de Hoéville[21].

Ancien Régime

modifier

Hoéville fut l'un des premiers villages touchés par les épidémies du XVIIe siècle. Dans les comptes d'Amance pour l'année 1627, il est écrit : Les habitants d'Hoéville sont en provision envers S. A. et Messieurs (de la Chambre des Comptes) pour avoir réduction de leur cotte de l'aide ordinaire Saint-Remy de l'an de ce compte, montant à 195 francs, à cause de la contagion qui les a rendus séquestrés de tous trafics et conversations durant six mois de cette année[28]. Henri Lepage ne parle pas de la guerre de 30 ans pour la commune d'Hoéville, ce qui est assez rare.

Première Guerre Mondiale

modifier
Croix de Guerre-14-18
Croix de Guerre-14-18

En août et septembre 1914, Hoéville a été le théâtre de violents combats qui ont fait d'importants dégâts. La commune est titulaire de la croix de guerre[19]. Émile Chatton, curé d'Hoéville, est pris comme otage et déporté en Bavière, au fort de Ingoistadt[29]. À son retour à Hoéville après seize mois de captivité pendant lesquels il retrouva son frère également prêtre de Moncel-sur-Seille et lui aussi retenu en otage, il reçoit une citation à l'ordre de l'armée[30],[31].

En avril 1916, un avion allemand de type Fokker est abattu et termine sa course sur le territoire de la commune[32],[33]. L'événement fut relaté dans le journal américain The New York Herald[34].

Le 15 janvier 1921 et faisant suite au dégâts importants de la Première Guerre Mondiale, des propriétaires fondent une coopérative de reconstruction. Cette entité porte le nom de Société Coopérative de Reconstruction de Hoéville. Monsieur Albert Douzant est le président[35].

Le monument aux mort est inauguré le 30 septembre 1923[36].

Agriculture

modifier

Immédiatement après la Première Guerre Mondiale et pour pallier au manque de main-d’œuvre dans les campagnes, l'abbé Chatton, curé de la paroisse d'Hoéville, est à l'origine de la création du syndicat agricole local[37].

La revue agricole « Le Bon grain » du 1er janvier 1920 indique que les syndicats agricoles d'Hoéville et de Drouville ont reçu leur premier tracteur[37].

En 1933, un document préfectoral indique que la vaine pâture est interdite à Hoéville[38].

Église

modifier

En 1923, le sculpteur Victor Huel termine la création de deux statues en pierres représentant « la Vierge Mère » et « Saint Nicolas » destinées à l'église d'Hoéville[39].

Politique et administration

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Avant octobre 1861[40] 1869 Voirin   décédé en cours de mandat
Janvier 1869[41]   Adam   reconduit en 1874 et 1876
avant février 1882[42] 1882 Simonin    
décembre 1882[43]   Jérôme    
Mai 1883[44]   Thiriet    
mai 1888[45]   Jérôme    
  1912 Geoffroy   démissionnaire
1912[46]   Louis Malgras    
avant octobre 1927[47]   Nicolas    
         
mars 2001 2014 Michel Malgras    
mars 2014 En cours
(au 28 mai 2020)
François Marchand[48],[49]   Agriculteur sur moyenne exploitation

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].

En 2022, la commune comptait 206 habitants[Note 4], en évolution de +3,52 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
274322342301320377385377380
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
339372362375357330309274262
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
281258183164155149140135131
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
130125122115124158154178195
2019 2022 - - - - - - -
197206-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier
  • Une base d'ULM est située à quelques centaines de mètres de la commune (base ULM d'Hoéville).
  • Chambre d'hôtes Volubilis.

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
  • Église Saint-Nicolas, reconstruite après 1918.
  • Monument aux morts.
  • Au cimetière, la tombe d'un soldat mort pour la Patrie, 1937.
  • Mémorial maquis de Ranzey.
  • Maison forte mentionnée dès la fin du XIIIe siècle, détruite au XVIIe, reconstruite au XVIIIe, vendue comme bien national en 1795, transformée en habitation.

Personnalités liées à la commune

modifier

Joseph Dumesnil ou Du Mesnil né au château d'Hoéville le 4 août 1716 et mort à Florence en mars 1781. Docteur en théologie diplômé de la Sorbonne, prêtre du diocèse de Toul, chanoine de Florence (1743-1747) et évêque de Volterra en 1747 : il n'a jamais exercé cette charge[54],[55].

Héraldique, logotype et devise

modifier
Blason de Hoéville Blason
D'or au hibou de sable au chef de gueules chargé d'un alérion d'argent[56].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

modifier
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique d'Hoéville » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. Edmond (1847-1929) Auteur du texte Delorme, Lunéville et son arrondissement. T. I. Illustré de 191 dessins originaux inédits (lire en ligne), p. 281
  3. « Fiche communale d'Hoéville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  4. Sandre, « la Roanne »
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Hoéville et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Hoéville ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Dictionnaire topographique de la France. Dictionnaire topographique du département de la Meurthe / réd. sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine par M.Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 70
  18. Aude Wirth, Les noms et lieux de Meurthe & Moselle: dictionnaire étymologique, G. Louis, (ISBN 978-2-914554-43-5), p. 174
  19. a et b Edmond (1847-1929) Auteur du texte Delorme, Lunéville et son arrondissement. T. I. Illustré de 191 dessins originaux inédits (lire en ligne), p. 280
  20. a et b « L'Est républicain : quotidien régional », sur Gallica, (consulté le )
  21. a b et c Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 493
  22. a b et c Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 248
  23. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 50
  24. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 138
  25. a b c d et e Académie de Stanislas (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de l'Académie de Stanislas », sur Gallica, (consulté le ), p. 63-64
  26. Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Comité du Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain », sur Gallica, (consulté le ), p. 222
  27. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 2 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 741
  28. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 494
  29. « Journal de la Meurthe », sur Gallica, (consulté le )
  30. « Journal de la Meurthe », sur Gallica, (consulté le )
  31. René (1876-1955) Auteur du texte Hogard, Le clergé du diocèse de Nancy pendant la guerre 1914-1918 : Livre d'or / l'abbé R. Hogard,..., (lire en ligne)
  32. Agence Rol Agence photographique (commanditaire), « Le 35e avion [allemand abattu] de Guynemer à Hoéville [Meurthe-et-Moselle] : [photographie de presse] / [Agence Rol] », sur Gallica, (consulté le )
  33. « Le Courrier de la Lozère : journal littéraire, agricole, industriel, d'annonces commerciales et avis divers », sur Gallica, (consulté le )
  34. « The New York herald », sur Gallica, (consulté le )
  35. « L'Éclair de l'Est », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ), p. 7
  36. « L'Éclair de l'Est », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ), p. 2
  37. a et b Union lorraine des syndicats agricoles Auteur du texte et Ligue des cultivateurs et viticulteurs lorrains Auteur du texte, « Le Bon grain : organe de l'Union des syndicats lorrains ["puis" et de la Ligue des cultivateurs et viticulteurs lorrains "puis" organe de l'Union lorraine des syndicats agricoles et de l'Union lorraine des coopératives de reconstruction "puis" bulletin mensuel de l'ULSA "puis" organe officiel de la Fédération départementale des groupements et associations de sinistrés de Meurthe-et-Moselle...] », sur Gallica, (consulté le ), p. 8-9
  38. Préfecture de Meurthe-et-Moselle. Usages locaux à caractère agricole, (lire en ligne)
  39. « L'Immeuble et la construction dans l'Est : revue de la propriété et des travaux publics et particuliers : organe des intérêts régionaux, des professions, industries et commerces qui concourent au bâtiment / directeur Emile Jacquemin, architecte », sur Gallica, (consulté le )
  40. https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dc8fz3tsm782zmx2/p3.item.r=ho%C3%A9ville
  41. https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dg1pjlcl9jsknhtp/p3.item.r=ho%C3%A9ville
  42. https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/d910xr1qjrbk2c78/p4.item.r=ho%C3%A9ville
  43. https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dq6gpzj4r0f44n7s/p3.item.r=ho%C3%A9ville
  44. https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dkt82rwg41bn1rxb/p3.item.r=Deuxville
  45. https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dp11v4ggt4m8ssq0/p3.item.r=Deuxville
  46. https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/ds44gggm0j0xtk5q/p3.item.r=ho%C3%A9ville
  47. https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dvxdk3tvq9b2k5fk/p2.item.r=ho%C3%A9ville
  48. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  49. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  53. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  54. « Joseph Dumesnil (1716-1781) », sur data.bnf.fr (consulté le )
  55. Académie de Stanislas (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de l'Académie de Stanislas », sur Gallica, (consulté le ), p. 59
  56. Union des Cercles Généalogiques Lorrains