Hoplodactylus
Hoplodactylus est un genre de gecko de la famille des Diplodactylidae[1].
Répartition
modifierLes espèces de ce genre sont endémiques de Nouvelle-Zélande[1].
Description
modifierCe sont des lézards nocturnes, d'aspect plutôt massif de couleur variable – généralement des variantes de brun et de beige, bien que certains aient du vert aussi –, à bandes transversales ou longitudinales selon les espèces.
Certaines espèces peuvent changer de teinte, et devenir plus sombres ou plus clairs pour réguler l'absorption de la chaleur.
Liste des espèces
modifierSelon The Reptile Database (5 septembre 2012)[2] :
- Hoplodactylus delcourti Bauer & Russell, 1986
- Hoplodactylus duvaucelii (Duméril & Bibron, 1836)
Taxinomie
modifierCe genre a été démembré, car polyphylétique, depuis une étude génétique de Nielsen et al. publiée en 2011[3]. Des espèces qui appartenaient à ce genre ont été placées dans les genres Dactylocnemis, Mokopirirakau, Toropuku, Tukutuku et Woodworthia.
Publication originale
modifier- Fitzinger, 1843 : Systema Reptilium, fasciculus primus, Amblyglossae. Braumüller et Seidel, Wien, p. 1-106. (texte intégral).
Liens externes
modifier- (en) Référence Animal Diversity Web : Hoplodactylus (consulté le )
- (fr + en) Référence CITES : genre Hoplodactylus (sur le site de l’UNEP-WCMC) (consulté le )
- (en) Référence Catalogue of Life : Hoplodactylus (consulté le )
- (en) Référence Gekkota : Photographies d'espèces du genre Hoplodactylus (consulté le )
- (fr + en) Référence ITIS : Hoplodactylus Fitzinger, 1843 (consulté le )
- (en) Référence NCBI : Hoplodactylus (taxons inclus) (consulté le )
- (en) Référence Reptarium Reptile Database : Hoplodactylus (consulté le )
- (en) Référence UICN : taxon Hoplodactylus (consulté le )
Notes et références
modifier- (en) Référence Reptarium Reptile Database : Hoplodactylus
- Reptarium Reptile Database, consulté le 5 septembre 2012
- (en) Nielsen, Bauer, Jackman, Hitchmough et Daugherty, « New Zealand geckos (Diplodactylidae): Cryptic diversity in a post-Gondwanan lineage with trans-Tasman affinities », Molecular Phylogenetics and Evolution, vol. 59, no 1, , p. 1-22 (lire en ligne)