Institut d'astrophysique spatiale

laboratoire de recherche du CNRS et de l'université Paris-Saclay

L'Institut d'astrophysique spatiale (IAS) est une unité mixte de recherche (UMR8617) du CNRS et de l'Université Paris-Saclay.

Institut d'astrophysique spatiale
Bâtiment 121 de l'Université Paris-Saclay occupé par l'Institut d'astrophysique spatiale
Histoire
Fondation
Cadre
Sigle
IASVoir et modifier les données sur Wikidata
Code
UMR 8617
Type
Domaine d'activité
Siège
Pays
Coordonnées
Organisation
Directeur
Marc Ollivier (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Organisations mères
Affiliation
Site web
Localisation sur la carte de l’Essonne
voir sur la carte de l’Essonne
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Bâtiment 121 de l'Université Paris-Saclay de l'Institut d'Astrophysique spatiale à Orsay.

Entre 2003 et 2013, il était également un observatoire des sciences de l'univers. Depuis le , l'IAS et le laboratoire GEOPS forment l'OSUPS (Observatoire des sciences de l'univers de l'Université Paris-Saclay).

Histoire

modifier

L'Institut d'astrophysique spatiale a été inauguré en 1992 et a fêté le les vingt ans de son installation sur le campus de l'Université Paris-Saclay à Orsay.

L'Institut regroupe des équipes de physique solaire et stellaire, d'astrochimie, de planétologie, de cosmologie et d'étude de la matière interstellaire. L'institut est doté d'une station d'étalonnage, étape indispensable dans la conception et la réalisation d'instruments spatiaux embarqués à bord de satellites, de sondes ou de ballons stratosphériques.

Les domaines de recherche

modifier

Les activités de recherche de l'Institut d'astrophysique spatiale sont regroupées en quatre équipes scientifiques[1] :

Les projets et réalisations

modifier

Les principaux projets spatiaux du laboratoire sont liés à des missions de l'Agence spatiale européenne (SoHO, Mars Express, Planck, Solar Orbiter, BepiColombo, Rosetta, Euclid, JUICE) et de la NASA (STEREO)[2]. L'IAS a également développé un microscope hyperspectral proche-IR (MicrOmega) monté sur l'atterrisseur Mascot de la sonde de l'Agence spatiale japonaise Hayabusa 2. Cette dernière se dirige vers l'astéroïde C "Ryugu" et l'atteindra fin 2018[3].

Références

modifier
  1. « Institut d'astrophysique spatiale », IAS (consulté le )
  2. « Projets », IAS (consulté le )
  3. Page dédiée à l'instrument MicrOmega sur le site de l'IAS.

Voir aussi

modifier

Articles connexes

modifier

Lien externe

modifier