Je suis africain
album de Rachid Taha, sorti en 2019
Je suis africain est le dixième et dernier album solo de Rachid Taha paru de manière posthume le sur le label Naïve Records.
Je suis africain
| Sortie | |
|---|---|
| Enregistré |
La Grande Maison (Les Lilas) |
| Durée | 40 min |
| Genre | pop-rock-chaâbi-raï |
| Producteur | Toma Feterman |
| Label | Naïve Records |
Albums de Rachid Taha
Historique modifier
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Je suis africain est un album posthume de l'artiste – mort d'une crise cardiaque à son domicile des Lilas le – qui avait pratiquement terminé l'enregistrement et le mixage. La finalisation et la production de l'album sont réalisées par Toma Feterman, également coauteur de l'album, et supervisées par Lyès Taha (alias Clyde P), DJ et fils de Rachid Taha[1].
Liste des titres modifier
- Ansit – 3 min 40 s
- Aïta – 3 min 41 s
- Minouche – 3 min 20 s
- Je suis africain – 3 min 42 s
- Wahdi avec Flèche Love – 3 min 42 s
- Insomia – 4 min 5 s
- Andy Waloo – 3 min 58 s
- Striptease – 3 min 32 s
- Like a Dervish – 3 min 48 s
- Happy End – 3 min 33 s
Personnel modifier
- Rachid Taha : Chant
- Flèche Love : Chant sur Wahdi
- Toma Feterman : Guitares, luth, moog basse, claviers, accordéon, bongos, percussions, flûte, flugelhorn, trompette, chœurs
- Mamady Diabate : Guitare
- Idriss Badarou : Basse
- Sekou Bah : Basse
- Hakim Hamadouche : Banjo, mandola, chœurs
- Yves Aouizerate : Claviers
- Anne Le Pape, Jacques Gandard, Ruben Tenenbaum : Violons
- Julien Gaben : Alto, guitare électrique, basse, bongos, chœurs
- Franck Mantegari : Batterie
- Yves Aouizerate : Bâton de pluie, programmation
- Hamani Aït Idir : Darbouka, tar
- Lassana Diabate : Balafon
- Assaba Dramé : Ngoni
- Olivier Llugany : Trombone
Accueil critique modifier
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
L'album est unanimement reçu de manière positive par la critique en France[2],[3],[4],[5],[6] ou à l'international[7],[8],[1],[9] qui dans l'ensemble notent le côté « joyeux » et « cosmopolite » du dernier album de Rachid Taha.
Notes et références modifier
- « "C’est un album très personnel, à son image" », El Watan, 19 septembre 2019.
- Maxime Delcourt, « Rachid Taha, un album posthume beau à pleurer », Les Inrocks, 12 septembre 2019.
- « Je suis africain – Rachid Taha », Télérama, 17 septembre 2019.
- Éric Bureau, « Je suis Africain, le dernier album de Rachid Taha, de joyeux adieux », Le Parisien, 23 septembre 2019.
- Olivier Nuc, « Je suis africain : Rachid Taha, plus vivant que jamais », Le Figaro, 20 septembre 2019.
- Laure Narian, « Je suis Africain de Rachid Taha "sort de manière posthume mais l'album était terminé de son vivant" : le musicien Toma Feterman raconte deux ans de complicité », France TV info, 20 septembre 2019.
- Philippe Renaud, « Je suis Africain, Rachid Taha », Le Devoir, 20 septembre 2019.
- Guillermo Aureano et Marc Coiteux, « Je suis Africain, l'album posthume "lumineux", de Rachid Taha », Radio Canada, 17 septembre 2019.
- Hassina Mechaï, « Musique : "Faire résonner la parole et la musique de Rachid Taha" », Le Point Afrique, 20 septembre 2019.
