Jean-François Longeot

homme politique français

Jean-François Longeot, né le à Reims, est un homme politique français. Il est élu sénateur du Doubs le . Au 7 octobre 2020, il devient président de la Commission du Développement durable (Sénat).

Jean-François Longeot
Illustration.
Jean-François Longeot, le 10 février 2024 à Planoise.
Fonctions
Président de la commission du Développement durable au Sénat
En fonction depuis le
(4 ans, 2 mois et 15 jours)
Élection
Réélection
Prédécesseur Hervé Maurey
Sénateur français
En fonction depuis le
(10 ans, 2 mois et 21 jours)
Élection 28 septembre 2014
Réélection 27 septembre 2020
Circonscription Doubs
Groupe politique UDI-UC (2014-2017)
UC (depuis 2017)
Maire d'Ornans

(20 ans, 7 mois et 12 jours)
Élection 18 juin 1995
Réélection 23 mars 2014
Prédécesseur Marc Chapelain
Successeur Sylvain Ducret
Biographie
Date de naissance (67 ans)
Lieu de naissance Reims (Marne)
Nationalité Française
Parti politique Horizons
Profession Attaché territorial principal

Biographie

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Il est maire d'Ornans de 1995 à 2015 (réélu en mars 2014) et président de la communauté de communes du Pays d'Ornans. À l'occasion de la création de la commune nouvelle d'Ornans, le , il décide de ne pas se représenter comme maire[1].

En 2007, il est élu député-suppléant de la deuxième circonscription du Doubs.

Il est aussi conseiller général élu dans le canton d'Ornans à partir de 1998 mais en démissionne le à la suite de son élection au Sénat.

Il conduit une liste divers droite, soutenue par Jean-François Humbert, sénateur sortant et ancien président du conseil régional, lors des élections sénatoriales de septembre 2014 et remporte l'un des trois sièges, et intègre le groupe Union centriste.

Il soutient Alain Juppé pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016.

En 2020, il devient président de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable (CATDDa).

En 2024, il rejoint le parti Horizons[2].

Travail parlementaire

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Jean-François Longeot est l’auteur d’une proposition de loi visant à supprimer la dotation d'action parlementaire. Estimant que « le rôle du parlementaire est de légiférer et non pas de distribuer de l’argent public », le sénateur souhaite supprimer cette réserve parlementaire pour être remplacée « dans la prochaine loi de finances, par une réallocation des crédits concernés au profit de la dotation d’équipement des territoires ruraux »[3].

Notes et références

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Liens externes

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