Jean-Luc persécuté (roman)

livre de Charles-Ferdinand Ramuz

Jean-Luc persécuté est un roman de Charles-Ferdinand Ramuz publié en 1908.

Jean-Luc persécuté
Auteur Charles-Ferdinand Ramuz
Pays Drapeau de la Suisse Suisse
Genre roman
Éditeur Librairie académique Didier, Perrin et Cie
Lieu de parution Paris
Date de parution 1908
Chronologie

Historique

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Jean-Luc persécuté est un roman de Charles-Ferdinand Ramuz (1878 † 1947), publié en 1908[1].
En 1906, la maison Payot demande à Ramuz et à Bille, peintre à Sierre, de collaborer pour réaliser un ouvrage sur la montagne valaisanne (Le Village dans la montagne). L'écrivain fera donc plusieurs séjours en Valais et ébauche son premier roman sur la « matière valaisanne »

Résumé

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Au village du haut, Jean-Luc Robille vit avec Christine et son fils. Un dimanche, il découvre que Christine est partie rejoindre dans un fenil Augustin Crettaz, son ancien amoureux, un saisonnier des hôtels. Il prend son fils et descend dans les bas vivre chez sa mère. En mars, Christine étant venue le chercher trois fois, Jean-Luc remonte et un semblant de vie commune reprend. À la fin d'avril, il se casse la jambe en faisant le bois à Sassette. Cet accident les rapproche et c'est de nouveau le bonheur.
À l'entrée de l'été, Augustin étant revenu, Christine court le rejoindre. Jean-Luc la chasse, garde l'enfant et se met à boire. Au printemps suivant, le petit Henri se noie dans l'étang et Jean-Luc sombre dans la folie.
Christine étant revenue pour l'été avec l'enfant d'Augustin, Jean-Luc les enferme dans un fenil et y met le feu. Poursuivi dans la montagne par les gens du village, il se jette dans le vide.

Éditions en français

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Adaptation

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Notes et références

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  1. Doris Jakubec, Jean-Luc persécuté - Notice de Daniel Maggetti, in C. F. Ramuz, Romans – I, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade (2005), pp. 1551-1567 (ISBN 2-07-011639-5)
  2. Le roman est accompagné de deux nouvelles : « Le Tout-Vieux » et « Alors il alla à la messe... ».