Jean-Paul Séguéla

professeur de médecine et homme politique français

Jean-Paul Séguéla, né le à Toulouse[1] et mort le dans la même ville, est un professeur de médecine et homme politique français.

Jean-Paul Séguéla
Fonctions
Député français

(1 an, 7 mois et 16 jours)
Élection 16 mars 1986
Circonscription Haute-Garonne
Législature VIIIe (Cinquième République)
Groupe politique RPR

(3 mois et 6 jours)
Élection 28 septembre 1986
Circonscription Haute-Garonne
Législature VIIIe (Cinquième République)
Groupe politique RPR
Conseiller général de la Haute-Garonne

(19 ans)
Circonscription Canton de Montastruc-la-Conseillère
Prédécesseur Daniel Garipuy
Successeur André Laur
Maire de Bessières

(4 ans)
Successeur Jean-Luc Raysseguier
Biographie
Nom de naissance Jean-Paul, Marie Séguéla
Date de naissance
Lieu de naissance Toulouse
Date de décès (à 71 ans)
Lieu de décès Toulouse
Nationalité Drapeau de la France Français
Parti politique RPR
Profession Professeur de médecine

Jean-Paul Séguéla
Maires de Bessières

Étude et famille

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Il est le fils d'André Séguéla, un officier de marine et de Mme Suzanne, née Bénazet. Il se marie le à Mlle Marie-Pierre Grimal. Ensemble, ils ont quatre enfants (Anne-Bernarde, Jordane (décédée), Laure-Emilie et Jeanne)[2].

Jean-Paul Séguéla effectue ses études au Lycée Pierre-de-Fermat, puis à la Faculté de médecine et à l'Institut Pasteur de Paris. Il en sort docteur en médecine, certificats d'étude spéciales de parasitologie médicale et technique, d'immunologie générale et appliquée, d'étude supérieures de génétique humaine, maîtrise de biologie humaine, diplôme d'études approfondies et de recherche en biologie humaine[2].

Il est doyen de la faculté de médecine de Rangueil de 1983 à 2005.

Détail des fonctions et des mandats

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Mandat parlementaire
Mandat local

Ancien conseiller de Charles Pasqua, Jean-Paul Séguela, a été condamné[Quand ?] à trois ans de prison dont deux avec sursis, plus 50 000 euros d'amende. L'ex-Monsieur Drogue du ministère de l'Intérieur 1993 à 1995, écope également d'une interdiction de quatre ans de ses droits civiques. En première instance, sa peine de prison ferme était de deux ans.[réf. nécessaire][3]

Notes et références

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Voir aussi

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Liens externes

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Articles connexes

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